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Le déséquilibre structurel entre la production et l’exportation des produits miniers congolais exige des compétences requises pour dénouer, à coup sûr, le nœud gordien qui caractérise leur vente à l’international. Ceci du fait de l’impact sévère du rôle croissant de la technologie et de l'innovation expliquant en partie les échanges entre pays à degré de développement comparable et la montée inexorable des échanges de produits similaires différenciés par les entreprises. Notre objectif est de fournir une grille de lecture sur les alternatives crédibles au commerce international en termes de compétences clés pour améliorer la performance commerciale des entreprises extractives de la RDC. Ainsi, la littérature met essentiellement en évidence l’influence des compétences du cadre dirigeant, des compétences productives de l’entreprise, informationnelles et des compétences marketing sur l’efficacité des ventes à l’exportation. Il s’est avéré que les compétences des entreprises congolaises en profil des dirigeants, l’innovation, la prise en compte des risques, la proactivité, etc. sur le marché extérieur résument en partie la faible rentabilité dans les ventes des minerais et l’amenuisement des recettes du commerce international ; d’où l’importance de promouvoir le développement et l’acquisition des compétences des Entreprises en contexte congolais.

Le découpage de l’activité hospitalière en branches médicale et analytique pose l’incertitude dans la manière d’apprécier les retombées de l’exploitation des établissements de production de soins et de services liés à la santé où sont soignés les malades et des blessés. Voilà pourquoi, nous cherchons, dans cette étude, à construire une réflexion sur le contraste de la mise en cause de maximisation du profit dans l’activité des soins de santé. Pour cela, nous fondons celle-ci à partir des éléments comptables pour nous permettre de mesurer leur efficacité par la connaissance des coûts significatifs comme base dans la détermination de la nature de l’out put hospitalier du fait que les subsides de l’Etat sont non seulement absents mais surtout déficitaires dans les hôpitaux publics en République Démocratique du Congo (RDC). Nous nous fondons ici sur le cas de l’hôpital provincial au Kasaï Central, afin d’extrapoler la demande sur toutes les institutions de santé du pays, dans l’analyse des indicateurs d’efficacité dans la détermination de la nature de l’out put hospitalier.

L’entreprise occupe une place centrale dans le tissu économique de chaque pays. C’est pourquoi, préserver sa pérennité et sa performance s’avère vitale et important. En effet, de nombreux travaux de recherche se sont intéressés à cette question pour des entreprises industrielles, mais en marginalisant celles de services. Nous nous sommes intéressés aux études qui ont tenté de déterminer les indicateurs de mesure de la performance des entreprises d’assurance en termes financiers. Cette recherche s’inscrit dans le cadre indicatif de l’entreprise d’assurance dont la performance financière suffit amplement pour montrer l’efficience et l’efficacité dans son exploitation. Dans cet article, notre contribution réside à l’évaluation de capacité financière des entreprises d’assurance à indemniser les sinistres dans le contexte congolais. Ainsi, plusieurs indicateurs financiers ont été calculés, avec un résultat qui révèle que sur 100 sinistres, le nombre des sinistres que la SONAS a la capacité d’indemniser est de loin inférieur à ceux qu’elle ne peut pas indemniser ; ce qui montre que la SONAS est loin d’être performante depuis que le secteur des assurances en RDC a été libéralisé.