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This essay situates Henry James’s Italian Hours within recent conversations about Anthropocene ecotourism. Although ecotourism aspires to educate its participants, scholars have struggled to define and assess the education it occasions. This article opens by offering Henry James’s reflections on reading John Ruskin in Italy to make an environmental humanities contribution to that scholarship. Thereafter, the article considers the Anthropocene ecotourism context in the other direction, drawing from “Siena Early and Late” to develop emergent work in econarratology. Cette étude fait dialoguer Italian Hours de Henry James avec les derniers développements en matière d’écotourisme anthropocène. Si l’écotourisme affiche une visée éducative, les spécialistes ont du mal à définir et à évaluer le type d’enseignement qu’il est susceptible d’offrir. Cet article examine d’abord les commentaires de James sur les textes de Ruskin à propos de l’Italie de façon à apporter l’éclairage des humanités environnementales sur la question, pour ensuite prolonger les études émergentes en éco-narratologie en s’appuyant sur l’essai « Siena Early and Late ».