RÉSUMÉ: RÉSUMÉ La prolifération des énergies renouvelables a conduit à une augmentation de l’utilisation des convertisseurs basés sur l’électronique de puissance intégrés au réseau. En raison d’avantages tels qu’une fiabilité élevée, une dynamique rapide et une faible distorsion harmonique, les con-vertisseurs de source de tension (VSC) sont le premier choix pour les applications d’interface réseau parmi d’autres topologies. L’interfaçage des VSC contrôlés par vecteur dans des systèmes de réseau faibles peut cependant entraîner une dégradation des performances et des problèmes de stabilité. Ceci est attribué aux interactions entre les boucles de contrôle et la boucle à verrouillage de phase (PLL) qui est couramment utilisée dans les méthodes de contrôle de courant vectoriel (VCC). Récemment, ce problème a attiré plus d’attention en raison de la croissance rapide des ressources énergétiques distribuées (DER) installées dans des endroits éloignés avec des interconnexions de réseau à très haute impédance. Pour tenter de résoudre ce problème, certaines publications ont suggéré des méthodes sans PLL où le VCC est mis en œuvre à l’aide d’une PLL en boucle ouverte. Cependant, l’exactitude d’une telle affirmation n’est pas claire. Ainsi, le premier objectif de cette thèse porte sur l’évaluation de la méthode sans PLL et la comparaison de ses performances avec les méthodes basées sur PLL dans des conditions de réseau anormales et faibles. Dans cette thèse, il est montré que la dynamique des filtres passe-bande utilisés dans l’approche PLL-Less est très similaire à celle d’une PLL et donc, de telles méthodes ne peuvent pas offrir des performances améliorées dans des conditions de réseau faible. Par conséquent, le problème de la dégradation de la stabilité des VSC dans des conditions de réseau faible reste à réfléchir, ce qui est le deuxième objectif de cette thèse. La dynamique d’une PLL améliorée (ePLL) est intégrée dans les équations caractéristiques d’un système de réseau