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Technological and organizational innovations have promoted new modes of transport and services. Ridesharing has disrupted the entire transportation sector in the last decade, causing a cultural shift in the general population, but not so much in the older generations. In this paper, we propose a multi-agent systems (MAS) approach to build an innovative mobility service that older people will utilize. To do this, we analyze the system of the ridesharing service of a French shared-mobility company, Mobicoop, revealing that indeed few older people utilize it. In the context of the MobiPA project, we look into the reasons that are hindering this utilization. We propose using a continual innovation method, ADInnov, to better understand and innovate on Mobicoop's rideshar-ing ecosystem. Our proposal deals with each of the identified reasons by adopting MAS techniques and a socio-technical model. We describe the necessary concepts for modeling our multi-agent system, IMOPOP. In IMOPOP, we first use the Hodges' Health Career Model, originating from the social care domain, to model the actors in the ecosystem, further proposing it as an organizational innovation. Secondly, we employ the contract net protocol for the negotiation between agents for a ride contract. Finally, we use Agent-Oriented Programming for modeling time in the system.

National audience

International audience; Absorptive capacity (ACAP) is considered as a dynamic capability based on organisational routines and practices. In information systems, and more generally in management science, most of the current methodological approaches cannot describe these routines and practices on a micro level. This paper presents the research methods that are usually used to study the concept of ACAP. By comparing these methods, we identify their limits and we provide the guidelines to apply a new collaborative research method called ISEACAP (Identification, Simulation, Evaluation, Assimilation of ACAP practices). This method follows a “practice-based” perspective and relies more specifically on the co-creation of new knowledge from both practitioners and researchers. ISEACAP is a gamified participative method to study ACAP’s practices in more depth. This paper presents ISEACAP as a new research method that entails a reflexive disposition from the practitioners about their practices and allows researchers to better understand ACAP mechanisms. Moreover, the method facilitates the study of mobilised organisational routines and practices (consciously or unconsciously) by actors to create and develop any kind of dynamic capabilities.

International audience

International audience; A business process can be characterized by multiple perspectives (intentional, organizational, operational, functional, interactional, informational, etc.). Business process modeling must allow different stakeholders to analyze and represent process models according to these different perspectives. This representation is traditionally built using classical data acquisition methods together with a process representation language such as BPMN or UML. These techniques and specialized languages can easily become hard, complex and time consuming. In this paper we propose ISEA, a participative end-user modeling approach that allows the stakeholders in a business process to collaborate together in a simple way to communicate and improve the business process requirements in an accurate and understandable manner. Our approach covers the organizational perspective of business processes, exploits the information compiled during the simulation of the processes in the organizational perspective and touches lightly an interactional perspective allowing users to create customized interface sketches to test the user interface navigability and the coherence within the processes. Thus, ISEA can be seen as a participative end-user modeling approach for business process requirements and improvement.

National audience; Chaque année depuis 1982 le congrès INFORSID (INFormatique des ORganisations et Systèmes d’Information et de Décision) réunit les chercheurs et industriels pour partager leurs travaux de recherche et de développement liés à l’ingénierie et à la gouvernance des systèmes d’information et autres domaines connexes. Ingénierie des documents et des connaissances est une des thématiques phares du congrès. Elle aborde plusieurs sujets tels que la modélisation et structuration des informations documentaires, la recherche et recommandation d’informations, la gestion électronique de documents, la définition des métadonnées et ontologies, la classification de documents, etc. Dans ce numéro spécial de la revue Document numérique nous proposons cinq articles sélectionnés parmi les meilleurs articles des éditions 2014 et 2015 du congrès INFORSID. Les versions originales de ces articles ont était complétées et étendues afin de satisfaire les exigences de la revue. Le premier article, intitulé « L’histoire d’Ike Antkare et de ses amis : fouille de textes et systèmes d’information scientifique », décrit la conférence invitée donnée par Cyril Labbé lors du congrès en 2015. L’article retrace toutes les étapes d’une expérience menée pour tester la validité d’indices bibliométriques, tels que le h-index, utilisés pour mesurer l’importance et l’impact des communications scientifiques. Il démontre l’existence des générateurs automatiques de faux articles scientifiques et analyse leur impact sur les systèmes d’information scientifiques qui calculent les indices de notoriété. La création et la gestion des entrepôts de documents XML est le sujet du l’article de F. Abdelhédi et al. Notamment, l’article propose un modèle multidimensionnel qui permet de décrire un entrepôt de documents XML et un nouveau langage d’analyse OLAP qui permet d’exprimer des requêtes complexes sur un tel entrepôt. L’approche est dédié aux décideurs qui nécessitent d’analyser plusieurs sources d’information disponibles sous-forme de documents XML et d’obtenir l’information nécessaire à la prise de décision. B. Moulahi et al. se penchent sur la question de la pertinence d’un document dans la recherche d’information. L’article propose une nouvelle approche pour l’estimation de la pertinence multidimensionnelle. L’approche est basée sur une méthode d’agrégation floue qui permet d’estimer la pertinence globale des documents dans des cadres de recherche d’information différents. En utilisant les indices d’importance et d’interaction, elle permet de mesurer et d’interpréter les poids d’importance associés avec chaque critère et sous ensemble de critères de recherche d’information.L’article de V. Charpenay at al. se concentre sur le problème de la géolocalisation des images, notamment des photos. Les auteurs identifient les limites des algorithmes classiques basés sur les mots-clés et propose une méthode sémantique qui identifie des entités géographiques issues du Linked Open Data pour localiser une photo. En outre, leur approche permet d’étudier la pertinence géographique d’une image.Finalement, le dernier article de ce numéro écrit par A. Sales Fonteles et al. nous amène dans le monde des systèmes de marché crowdsourcing (CMS) dont l’objectif est de permettre à publier et distribuer des tâches à plusieurs personnes. Une des problématiques d’un CMS est la gestion des tâches spatio-temporelles où la période et le lieu de l’exécution de tâches sont précis. Dans cet article les auteurs présente et formalise le Problème de Recommandation de Trajectoires Utiles (PRTU), qui permet à une personne en situation de mobilité d’accomplir des tâches spatio-temporelles sans compromettre l’arrivée à sa destination à temps. L’article propose une méthode et un algorithme pour résoudre le PRTU.

International audience; A health care protocol for a chronic disease contains a set of actions that describe how the patient should treat his/her disease outside the hospital. The patient and possibly his healthcare team should follow the protocol in order to control the evolution of the chronic disease. The main problems are that (i) the patient can't interact and integrate in the protocol the expertise he acquired during his daily life with the disease and (ii) the health care team doesn't know how the protocol is concretely followed. Our main contribution in this paper is an approach for integrating the patient's expertise knowledge expressed in textual or verbal form, and representing this expertise with an ontological paradigm.

National audience; Ce numéro spécial présente cinq articles sélectionnés parmi les meilleurs articles publiés dans le congrès INFORSID’2015 qui s’est tenu à Biarritz du 26 au 29 mai 2015. Le congrès INFORSID (INFormatique des ORganisations et Systèmes d’Information et de Décision) est, chaque année, depuis 1982, un lieu d’échange privilégié entre chercheurs, « jeunes chercheurs » et industriels sur les recherches et développements liés à l’ingénierie, à la gouvernance et à l'évolution des systèmes d’information. A l’heure où les systèmes d'information tiennent plus que jamais une place stratégique dans les entreprises et les organisations qui n'ont de cesse de devoir faire preuve d'agilité et d'innovation afin de gagner en compétitivité et en performance, les recherches en systèmes d'information doivent proposer de nouvelles approches et de nouvelles techniques permettant de développer et de faire évoluer des systèmes d'information de qualité, flexibles, adaptés aux nouveaux besoins, aux nouvelles technologies et aux acteurs des processus.Si les thématiques du congrès INFORSID sont variées (ingénierie des exigences, ingénierie des processus, ingénierie des méthodes, adaptation des systèmes d’information, gestion de données massives dans les systèmes d’information, systèmes d’information dédiés, etc.), ces cinq articles montrent à quel point la prise en compte de l’utilisateur final est inhérente à tout système d’information. Cette prise en compte se décline selon quatre niveaux progressifs : la « simple » prise en compte des besoins de l’utilisateur dans le cadre de systèmes d’information de plus en plus ouverts et stratégiques, l’adaptation aux besoins de l’utilisateur sans cesse plus aboutie, la prise en compte de l’expertise de l’utilisateur, et enfin, l’intégration de l’utilisateur en tant que partie prenante au sein même du système d’information. Les deux premiers articles proposent différentes approches permettant de prendre en compte des besoins utilisateurs de plus en plus stratégiques dans le contexte grandissant d’ouverture des organisations et des systèmes d’information. Ainsi, l’article de Salim Chehida, Akram Idani, Yves Ledru et Mustapha Kamel Rahmouni, se focalise sur le problème de sécurité dans des systèmes d’information ouverts, et a pour objectif de prendre en compte les droits d’accès des utilisateurs non seulement dans leurs accès aux données, mais également au niveau des workflows des processus métier. Les auteurs proposent ainsi un méta-modèle permettant la propagation des permissions définies sur un diagramme de classes modélisé avec le profil SecureUML, vers des contraintes associées aux activités décrivant un processus métier. L’article de Rémi Delmas et Thomas Polacsek a pour cadre les systèmes de gestion de crises où l’utilisateur est amené à prendre des décisions stratégiques en fonction d’informations issues d’organisations multiples interconnectées et qui lui sont adressées le plus souvent dans des contextes d’urgence absolue. Les auteurs proposent ainsi une approche formelle pour la spécification de politiques d’échange permettant d’exprimer sans ambiguïté les exigences de diffusion d’information et de confidentialité. Une telle approche peut ensuite servir à établir, par analyse formelle et automatique des exigences, des garanties sur la bonne circulation de l’information permettant aux acteurs du système de réaliser leurs missions. Le troisième article, présenté par Marie-Françoise Canut, Sirinya On-at, André Péninou et Florence Sèdes, s’intéresse au profil de l’utilisateur afin de lui offrir des informations qui correspondent le plus parfaitement possible à ses besoins. Pour ce faire, les auteurs proposent une approche de construction du profil utilisateur à partir du réseau social numérique de l’utilisateur. Ils proposent ainsi d’intégrer des critères temporels dans le processus de construction du profil de l’utilisateur à partir de son réseau social numérique appelé « profil social », de manière à pondérer les individus et les informations du réseau social de l’utilisateur et d’extraire des intérêts de l’utilisateur pertinents et à jour. Dans l’article de Rébecca Deneckère et Elena Kornyshova, l’utilisateur est appréhendé en tant qu’expert d’un domaine. Cet article présente en effet les résultats d’une évaluation réalisée auprès d’utilisateurs professionnels et académiques afin d’évaluer le concept de familles de méthodes. L’objectif est de comprendre si les familles de méthodes en général sont faciles à comprendre et utiles du point de vue des utilisateurs auxquels elles sont destinées. Une seconde partie de cette étude a été réalisée sur un type de famille de méthodes particulières, les méthodes dédiées au lancement de projets agiles dans le but d’identifier l’utilité et la facilité d’utilisation de cette famille, ainsi que la cohérence avec les méthodes agiles telles qu’elles sont connues et/ou couramment utilisées dans les entreprises. Enfin, l’article présenté par Amira Derradji et Christine Verdier propose une vision de l’utilisateur final en tant qu’acteur expert et partie prenante du système d’information. Plus particulièrement, cet article traite de la notion de patient expert dans un système de suivi de protocole de soins de maladies chroniques à domicile. L’idée générale de ce travail consiste à prendre en compte et intégrer l’expertise du patient chronique dans le protocole de soins afin d’améliorer son suivi médical en lui offrant la possibilité de signaler tout imprévu subi ou réalisé et non défini dans le protocole initial, permettant ainsi au protocole de soins « d’apprendre » et éventuellement d’évoluer.

National audience; Jeux sérieux, opportunisme ou oxymore ? L'idée fondamentale des jeux sérieux est d'appliquer les principes des jeux (vidéo, mais pas forcément) dans d’autres domaines que le divertissement. Un exemple éloquent est celui du jeu de puzzle fold.it proposé par le département de biochimie de l’Université de Washington. Grâce à ce jeu, les chercheurs du département mobilisent une force intellectuelle considérable sur des problèmes de pliage de protéines dont les structures sont encore inconnues, identifiant ainsi de nouvelles stratégies de pliage qui servent ensuite à concevoir des logiciels de prédiction de protéines plus efficaces. Un autre exemple est celui du système de recommandation du loueur de vidéo à la demande Netflix. Afin de surmonter les limites des algorithmes classiques de recommandations, la société a exploité les données collectées grâce à un jeu, inventant ainsi un nouveau mode de catégorisation des films qui est devenu une clé essentielle de son modèle économique. Ces deux exemples ont un point commun : une exploitation opportuniste des jeux qui, tout en conservant leur caractère ludique, arrivent à atteindre des buts que l’on peut qualifier de sérieux. Il n’y a donc pas nécessairement contradiction entre la dimension ludique que l’on est en droit d’attendre d’un jeu de ses finalités éventuellement sérieuses. Tout naturellement utilisés dans le monde de l’éducation afin de permettre aux élèves d'apprendre en s'amusant, les jeux sérieux trouvent un nombre sans cesse croissant d'applications : publicité, formation professionnelle, lobbying et activisme, préparation et entrainement militaire, compréhension des ressorts de la performance et des processus de l’entreprise, etc. Peut-être parce qu’ils ont su introduire une certaine forme de ludicité –pour ne pas dire de légèreté- dans des sujets difficiles, parfois même conflictuels, les jeux sérieux ont démontré leur intérêt dans une série de situations dans lesquels on ne les attendait pas. Inventer, créer, concevoir, développer de tels jeux sérieux n’est certainement pas simple. Ce numéro spécial présente 5 articles qui donnent un aperçu non exhaustif de travaux de recherche actuels qui soit utilisent les jeux sérieux dans le contexte de l’ingénierie de systèmes d’information, soit visent à développer des jeux sérieux intégrés aux systèmes d’information. Le premier article, présenté par Daniel Lang, Olfa Chourabi et Imed Boughzala nous plonge directement dans le monde des systèmes d’information. La question posée est celle de l’efficacité d’un jeu sérieux – ici INNOV8- dans l’enseignement des SI. L’article présente les résultats d’une expérimentation menée avec INNOV8 dans une école de commerce, dans lequel le jeu sérieux a été utilisé pour l’enseignement du management des processus métier. L’article montre un retour globalement positif, mais un apport limité pour les étudiants novices. Il faut cependant retenir que le jeu sérieux complète efficacement les exposés magistraux à caractère « théorique » en permettant aux apprenants d’être acteur dans leur apprentissage et ainsi de développer d’autres compétences par des mises en situation proches de leur future vie professionnelle. Le deuxième article aborde la spécificité des jeux sérieux du point de vue de leur conception. Analysant 10 travaux sur les procédés de conception de jeux sérieux, Damien Djaouti propose une généralisation sous la forme d’une méthode de conception de jeux sérieux, qualifiée de « générique » au sens où elle met en exergue les récurrences des méthodes étudiées.Dans la même lignée, Hassina El Kechai et Laëtitia Pierrot rendent compte dans leur article d’une expérience de création de jeux sérieux par une démarche de conception participative. L’article montre qu’en impliquant les utilisateurs finaux dans le travail de conception, la démarche participative a permis d’une part de mieux caractériser les situations pédagogiques traitées, d’autre part de préserver les besoins des utilisateurs finaux, alors que ceux-ci sont parfois sacrifiés au profit d’un réinvestissement technique.Le quatrième article de Philippe Lépinard, Claude Chary et Muriel Meyer est aussi un retour d’expérience, mais qui cette fois présente un cheminement inverse : il s’agit ici de construire un système totalement sérieux – un simulateur militaire destiné à la formation et à l’entrainement des combattants des bas échelons tactiques – en partant d’un jeu vidéo. L’article montre les défis techniques et conceptuels rencontrés par l’Armée de Terre pour rendre ce système apte à supporter les missions de formation qui lui sont attribuées.Enfin, Thomas Constant, Axel Buendia, Catherine Rolland et Stéphane Natkin s’intéressent aux mécanismes de prise de décision dans les jeux sérieux, et au rôle qu’y joue l’excès de confiance. L’excès de confiance est l’un des comportements les plus étudiés dans les travaux sur la prise de décision en situation d’incertitude. Reposant sur une analyse approfondie d’une littérature riche et diversifiée sur le sujet, cet article introduit quelques éléments pour une méthode de conception d’un jeu sérieux focalisé sur le comportement d’excès de confiance.

National audience; La complexification des systèmes d'information a accru la difficulté de leur conception, augmentant ainsi la nécessité d'utiliser de nouveaux modèles. Grâce à l'ingénierie dirigée par les modèles, de nombreux langages de modélisation spécifiques à un domaine ont été développés. Malheureusement ils sont généralement conçus par des experts sans prendre en compte les concepteurs, futurs utilisateurs des langages, ce qui peut conduire à des langages inadaptés. Dans cet article, nous proposons de compléter les techniques d'ingénierie existantes par une approche centrée utilisateur. Ainsi la conception d'un langage de modélisation s'appuie sur l'intégration des pratiques expérimentales de la démarche centrée utilisateur au sein du cycle de création d'un langage. Cette proposition s'appuie sur nos nombreuses expériences passées en matière d'évaluation de langages de modélisation par des utilisateurs.

National audience; Ce chapitre introduit le domaine de l'ingénierie des méthodes et présente des approches dans lesquelles la dimension ―adaptation‖ est prise en compte au moment de la conception/construction d'une méthode. Dans l'introduction à cette partie du livre, ces approches ont été qualifiées d'adaptatives ; elles considèrent l'adaptation comme une activité à part entière de l'ingénierie d'une méthode. Elles proposent à la fois des modèles de description de méthodes permettant leur adaptation à chaque situation à traiter et des processus pour contrôler et guider l'adaptation. Nous distinguons trois familles d'approches adaptatives : les approches dirigées par les modèles, les approches à base de composants et les approches à base de services. Les différentes approches sont comparées selon un ensemble de critères relatifs à la dimension adaptation qui ont été présentés dans l'introduction.

National audience; Ce chapitre introduit le domaine des méthodes d'ingénierie de systèmes d'information (ISI). Il présente notamment les notions de modèle de produit et de modèle de processus qui sous-tendent la définition d'une méthode. Après avoir rappelé les grandes stratégies d'adaptation, ce chapitre traite des approches adaptables. En utilisant une méthode de base (ou un élément méthodologique), ces approches proposent différentes techniques pour l'adapter. L'adaptation est ici vue comme une ―modification‖ d'une méthode de référence. Ce chapitre présente différentes propositions qui relèvent de l'approche adaptable et les compare sur plusieurs critères présentés dans l'introduction et qui sont pertinents du point de vue de l'adaptation.