126 results on '"Ferjaoui M"'
Search Results
2. EPV169/#639 Anxiety and depression in breast cancer patients during COVID-19 pandemic in Tunisia
- Author
-
Berrazaga, Y, primary, Rachdi, H, additional, Mejri, N, additional, Ferjaoui, M, additional, Daoud, N, additional, and Boussen, H, additional
- Published
- 2021
- Full Text
- View/download PDF
3. EPV213/#503 Platinum -sensitive or resistant relapsed ovarian cancer: which predictive factors?
- Author
-
Berrazaga, Y, primary, Mejri, N, additional, Rachdi, H, additional, Ferjaoui, M, additional, Arfaoui, R, additional, Daoud, N, additional, and Boussen, H, additional
- Published
- 2021
- Full Text
- View/download PDF
4. EPV214/#506 Overall survival prognostic factors in recurrent epithelial ovarian cancer in Tunisia
- Author
-
Berrazaga, Y, primary, Mejri, N, additional, Rachdi, H, additional, Ferjaoui, M, additional, Daoud, N, additional, and Boussen, H, additional
- Published
- 2021
- Full Text
- View/download PDF
5. Lymphomes primitifs nasosinusiens. À propos de 25 cas
- Author
-
Boussen, H, Sethom, A, Beddouihech, N, Touati, S, Gamoudi, A, Gritli, S, El May, A, Ferjaoui, M, Benna, F, and Ladgham, A
- Published
- 2001
- Full Text
- View/download PDF
6. Fistules perilymphatiques post-traumatiques a propos de 13 cas
- Author
-
Khamassi, K, Lahiani, R, Jlassi, N, Boulakbeche, R, Hassan, CH, Mannoubi, S, Ben Salah, M, Kaffel, N, and Ferjaoui, M
- Subjects
fistule périlymphatique, traumatisme, vertige, surdité, tomodensitométrie, chirurgie - Abstract
Introduction : La fistule péri-lymphatique (fPL) post-traumatique réalise une communication anormale entre le compartiment liquidien périlymphatique et l’oreille moyenne. Son diagnostic est souvent difficile du fait du tableau clinique parfois incomplet. L’imagerie est indispensable afin d’étayer le diagnostic. Le traitement repose sur la chirurgie.Patients et méthode : : il s’agit d’une étude rétrospective à propos de 13 patients colligés sur une période de 13 ans (1996-2008). un examen ORL complet, une audiométrie et une imagerie (tomodensitométrie des rochers) ont été réalisés dans tous les cas. Tous les patients ont bénéficié d’un traitement médical et ont été opérés sous anesthésie générale. Le contrôle ultérieur était clinique, audiométrique et radiologique avec un recul moyen de 22 mois.Résultats :L’âge moyen était de 29 ans (20-47 ans) et le sex-ratio 3,33. Les signes fonctionnels étaient essentiellement représentés par l’hypoacousie dans 12 cas (92,3%), les vertiges dans 11 cas (84,6%) et les acouphènes dans 4 cas (30,8%). L’écoulement d’un liquide eau de roche par l’oreille a été rapporté par 2 patients (15,4%). L’examen clinique trouvait un nystagmus spontané battant du côté controlatéral au traumatisme chez un seul patient, et un signe de la fistule positif chez 2 patients (15,4%). A l’audiométrie, 9 patients (69,3%) avaient une surdité de perception ou mixte dont 6 cas de cophose. une surdité de transmission a été objectivée dans 3 cas. un patient avait une audition subnormale. La TdM des rochers a montré une fracture extra-labyrinthique dans 5 cas (38,5%) et une fracture trans-labyrinthique ou mixte dans 6 cas (46,2%). un pneumolabyrinthe a été constaté chez 5 patients (38,5%). une exploration chirurgicale a été indiquée chez tous les patients. En per-opératoire, une fPL a été mise en évidence dans tous les cas. Le siège de la fistule était au niveau du promontoire et/ou au niveau des fenêtres. un colmatage de la fistule a été réalisé dans tous les cas. Les matériaux utilisés étaient essentiellement de l’aponévrose temporale superficielle, du périchondre tragal et de la graisse. En post-opératoire, les vertiges se sont améliorés chez patients parmi les 11 vertigineux (81,8%). L’audition était améliorée chez 2 patients parmi les 9 ayant une surdité de perception ou mixte (18,2%).Conclusion : La fistule périlymphatique post-traumatique est de diagnostic difficile. Celui-ci est étayé par un faisceau d’arguments cliniques et paracliniques et n’est confirmé qu’en per-opératoire. L’indication d’une exploration chirurgicale et son délai dépendent essentiellement de la symptomatologie clinique et de son évolution dans le temps.Mots clés : fistule périlymphatique, traumatisme, vertige, surdité, tomodensitométrie, chirurgieObjective : Post-traumatic perilymphatic fistula (PLf) realises an abnormal communication between the perilymphatic fluid compartment and the middle ear. its diagnosis is often difficult because the clinical presentation is sometimes incomplete. imaging is essential in order to support the diagnosis. Treatment is based on surgery.Patients and methods : We carry a retrospective study about 13 patients collected over a period of 13 years (1996- 2008). A complete ENT examination, audiometry and imaging (petrous CT scan) were performed in all cases. All patients received medical treatment and were operated under general anaesthesia. Subsequent control was clinical, radiological and audiometric with a mean period of 22 months.Mean age was 29 years (20-47 years) and sex ratio 3.33. Symptoms were mainly hearing loss in 12 cases (92.3%), vertigo in 11 cases (84.6%) and tinnitus in 4 cases (30.8%). flow of liquid from the ear was reported by 2 patients (15.4%). Clinical examination showed spontaneous nystagmus beating to the contralateral side of the trauma in one patient, and a positive sign of the fistula in 2 patients (15.4%). At audiometry, 9 patients (69.3%) had sensorineural or mixed deafness, of which 6 cases of cophosis. Transmission deafness was found in 3 cases. One patient had a subnormal hearing. Petrous CT scan showed extra-labyrinthic fracture in 5 cases (38.5%) and trans-labyrinthic or mixed fracture in 6 cases (46.2%). A pneumolabyrinth was found in 5 patients (38.5%). Surgical exploration was indicated in all patients. PLf was found in all cases. The localization of the fistula was at the promontory and / or at the windows. Blockage of the fistula was achieved in all cases. Materials used were essentially superficial temporal fascia, tragal perichondrium and fat. Postoperatively, vertigo improved in 9 patients among 11 (81.8%). Hearing was improved in 2 patients among the 9 having sensorineural or mixed deafness (18.2%).Conclusion: TPost-traumatic perilymphatic fistula trauma is difficult to diagnose. This is supported by a beam of clinical and paraclinical arguments, and is confirmed intraoperatively. The indication for surgical exploration and its delay depend mainly on clinical symptomatology and its evolution over time.Keywords : perilymphatic fistula, trauma, vertigo, deafness, CT scan, surgery
- Published
- 2015
7. L’acupuncture : comme alternative dans la prise en charge de la paralysie faciale peripherique idiopathique : experience tunisienne
- Author
-
Marrakchi, J, Souli, I, Kaffel, N, Zakraoui, L, Jouini, L, Lahiani, R, Khammassi, K, Ben Salah, M, and Ferjaoui, M
- Subjects
paralysie faciale périphérique, acupuncture, traitement - Abstract
La paralysie faciale périphérique idiopathique ou à frigoré (PfPi) est la plus fréquente des paralysies faciales. Elle pose un problème thérapeutique malgré la diversité des traitements proposés. L’acupuncture est une des alternatives proposées parmi cet arsenal thérapeutique. Le but de ce travail est d’évaluer l’apport de l’acupuncture dans le traitement de la PfPi et de dégager les différents facteurs pronostiques pouvant influencer la récupération de la fonction faciale. Notre étude a regroupé 40 patients porteurs de PfPi recrutés aux services d’ORL de l’hôpital régional de Jendouba et de l’hôpital de Charles Nicolle sur une période de 14 mois et pris en charge aux centres d’acupuncture à l’hôpital Mongi Slim et à l’hôpital régional de Jendouba. Tous les patients ont été traités, auparavant, selon le concept de la médecine occidentale, et n’ont été adressés qu’après échec du traitement médical conventionnel. L’évaluation de notre travail est basée sur deux tests : le testing musculaire de freyss et le grading de House et Brackman. L’étude statistique s’est basée sur le logiciel « SPSS ». Les résultats de cette étude montrent que le traitement par acupuncture trouve son indication lorsque le traitement médical conventionnel a échoué, même après un long délai de consultation.Mots-clés : paralysie faciale périphérique, acupuncture, traitement.The Bell’s palsy is the most common peripheral facial paralysis. it poses a therapeutic problem despite the diversity of treatments. Acupuncture is an alternative among the proposed therapeutic arsenal. The purpose of this study was to evaluate the contribution of acupuncture in the treatment of facial paralysis and to identify different prognostic factors that may influence the recovery of facial function. Our study included 40 patients with Bell’s palsy recruited in the services of ENT in Jendouba hospital and Charles Nicolle hospital over a period of 14 months and supported in centers of acupuncture in Mongi Slim hospital and Jendouba hospital. All patients were previously under the concept of medical treatment, and were sent after failure of this treatment. The evaluation of our work is based on two tests: muscle testing of freyss and grading of House and Brackman. The study is based on statistical software "SPSS". The results of this study show that treatment with acupuncture is indicated in Bell’s palsy when conventional medical treatment has failed and even after a long period of consultation.Keywords: facial palsy, acupuncture, treatment.
- Published
- 2015
8. Prise en charge des paralysies faciales compliquant un traumatisme de l’os temporal
- Author
-
Khamassi, K, Smaili, A, Kesraoui, I, Lahiani, R, Bougacha, L, Kaffel, N, Ben Salah, M, and Ferjaoui, M
- Subjects
paralysie faciale, traumatisme, fracture, os temporal, tomodensitométrie, corticoïdes, décompression - Abstract
Introduction : Les paralysies faciales périphériques (PFP) compliquant les traumatismes de l’os temporal sont devenues de plus en plus fréquentes, du fait de développement de ’activité humaine. Le but de ce travail est de rapporter nos résultats en matière de prise en charge de ces PFP, et à travers une revue de la littérature, de préciser les caractéristiques cliniques, paracliniques et de proposer une conduite à tenir adéquate devant cette pathologie.Matériel et méthodes : Il s’agit d’une étude rétrospective à propos de 16 patients, pris en charge dans notre service sur une période de 12 ans (2001-2012). Tous les patients ont bénéficié d’un interrogatoire, d’un examen ORL complet. Une tomodensitométrie des rochers a été réalisée dans tous les cas. Les explorations du nerf facial ont été basées surtout sur l’EMG de détection. Le traitement a été médical ou médico-chirurgical. Le suivi a été clinique avec un recul moyen de 26 mois.Résultats : Il s’agissait de 14 hommes et de 2 femmes. L’âge moyen était de 27 ans (6-73 ans). La PF était d’installation immédiate après le traumatisme chez 10 patients et tardive dans 6 cas. La TDM des rochers a montré une fracture extra-labyrinthique dans 7 cas (43,7%), trans-labyrinthique dans 5 cas (31,2%) et mixte dans 4 cas (25%). L’atteinte du canal facial a été notée chez 12 patients. L’EMG de détection a été pratiquée dans 4 cas. Tous nos patients ont bénéficié d’un traitement médical, consistant en une corticothérapie par voie générale, des vasodilatateurs et une rééducation motrice. Sept patients ont bénéficié d’une décompression du nerf facial. L’indication a été retenue devant l’installation d’une PF immédiate et complète. En per-opératoire, nous avons découvert un trait de fracture du canal facial dans 5 cas, mais la continuité du nerf était conservée dans tous les cas. Nous avons réalisé une décompression de la 2e portion, du coude et de la 3e portion. La décompression était étendue au ganglion géniculé dans 2 cas. Sur les 7 patients opérés, 4 ont été améliorés. Un des 3 patients non améliorés a gardé un grade V et a bénéficié d’une anastomose VII-XII. Pour les 9 patients non opérées, une amélioration a été notée dans 5 cas. Au total, le pourcentage d’amélioration de la PF était de 55,5% après traitement médical et de 71,4% après traitement médico-chirurgical.Conclusion : Les paralysies faciales constituent une complication assez fréquente des traumatismes de l’os temporal. L’imagerie est indispensable pour le diagnostic topographique des lésions. La conduite à tenir thérapeutique dépend aussi bien de la sévérité et du délai de l’installation de la paralysie que des données électrophysiologiques et évolutives.Mots-clés : paralysie faciale, traumatisme, fracture, os temporal, tomodensitométrie, corticoïdes, décompression.Introduction : Peripheral facial palsy (PFP) complicating temporal bone traumas have become more frequent due to the development of human activity. The purpose of this study is to report our results in management of these PFP, and through a review of the literature, to clarify clinical, paraclinical characteristics and to propose an adequate management in front of this pathology.Materials and methods : This is a retrospective about 16 patients, treated in our department over a period of 12 years (2001-2012). All patients underwent anamnesis and complete ENT examination. A petrous bone CT was performed in all cases. Explorations of the facial nerve were based primarily on detection EMG. Treatment was medical or medico-surgical. Follow-up was clinical with a mean period of 26 months.Results : There were 14 men and 2 women. Average age was 27 years (6-73 years). FP was installed immediately after the trauma in 10 patients and late in 6 cases. Petrous bone CT showed extra- labyrinthine fracture in 7 cases ( 43.7%) , trans-labyrinthine in 5 cases (31.2%) and mixed in 4 cases (25%). Involvement of the facial canal was noted in 12 patients. Detection EMG was performed in 4 cases. All patients received medical treatment consisting of corticosteroids, vasodilators and motor rehabilitation. Seven patients underwent decompression of the facial nerve. Indication was retained in front of immediate and complete FP. Intraoperatively, we have discovered a fracture of the facial canal in 5 cases, but the continuity of the nerve was conserved in all cases. We performed a decompression of the 2nd portion, the elbow and the 3rd portion. Decompression was extended to the geniculate ganglion in 2 cases. Of the 7 patients who underwent surgery, 4 were improved. One of the 3 unimproved patients kept a grade V and underwent VII-XII anastomosis. For the 9 not operated patients, an improvement was noted in 5 cases. Overall, the percentage of improvement of FP was 55.5% after medical treatment and 71.4% after medico-surgical treatment.Conclusion : Facial palsy is a fairly common complication of trauma to the temporal bone. Imaging is essential for topographic diagnosis of lesions. Therapeutic management depends on both the severity and the delay of the palsy onset and also on electrophysiological and evolutive data.Keywords : facial palsy, trauma, fracture, temporal bone, computed tomography, corticosteroids , decompression.
- Published
- 2015
9. L’ectopie des glandes parathyroides dans la chirurgie de l’hyperparathyroidie
- Author
-
Ben Salah, M, Khamassi, K, Dhaouadi, A, Lahiani, R, Brahem, E, Ben Gharbia, D, Najeh, D, Kaffel, N, and Ferjaoui, M
- Subjects
glande parathyroïde, ectopie, hyperparathyroïdie, imagerie, parathyroïdectomie - Abstract
Introduction : L’ectopie parathyroïdienne est la cause d’échec la plus fréquente de la chirurgie de l’hyperparathyroïdie, entrainant le plus souvent des reprises chirurgicales. Son diagnostic topographique pré-opératoire reste difficile malgré le progrès dans les différentes explorations radiologiques. Le diagnostic per-opératoire doit être guidé par une stratégie de dissection de référence. Le but de travail est d’étudier la stratégie de recherche des parathyroides lors de leur chirurgie.Matériels et méthodes : Il s’agit d’une étude rétrospective à propos de 137 patients (162 glandes parathyroïdes ectopiques) parmi 572 patients opérés d’une hyperparathyroïdie, colligés sur une période de 11 ans (Janvier 2001-Décembre 2011). Tous les patients ont bénéficié d’une imagerie pré-opératoire et ont été opérés sous anesthésie générale.Résultats : L’âge moyen était de 49 ans (11-71 ans) et le sex-ratio de 1,04. Une hyperparathyroïdie primaire était présente chez 26 patients (18,98%) et une hyperparathyroïdie secondaire à une insuffisance rénale chronique chez 111 patients (81,02%).Une cervicotomie par voie classique avec exploration des 2 loges thyroïdiennes a été réalisée dans 136 cas. Dans les cas où la parathyroïde n’a pas été retrouvée, un geste opératoire a été associé. Ce geste consistait en un curage médiastino-récurrentiel (15 cas), une thymectomie (12 cas) et une lobectomie thyroïdienne (9 cas). Un seul patient a eu une thoracotomie en chirurgie thoracique, sans abord cervical classique. Sur les 162 glandes parathyroïdes ectopiques retenues dans l’étude, 68 étaient des glandes parathyroïdes inférieures. Les localisations de celles-ci étaient par ordre de fréquence le thymus (26 cas), le ligament thyro-thymique (14 cas), le médiastin antéro-supérieur (5 cas) et la gaine carotidienne (3 cas). Vingt glandes parathyroïdes inférieures n’ont pas été retrouvées sur les 68 (29,41%). Le nombre des glandes parathyroïdes supérieures ectopiques était de 94 sur 162. Leurs localisations étaient par ordre de fréquence le pôle supérieur (33 cas), le pédicule supérieur (20 cas), la région rétro-oesophagienne (15 cas), la gaine carotidienne (11 cas), intra-thyroïdienne (5 cas) et le médiastin postéro-supérieur (2 cas). Huit glandes parathyroïdes supérieures n’ont pas été trouvées sur les 94 (8,51%). Au total, sur les 162 glandes parathyroïdes ectopiques, 28 n’ont pas été retrouvées (17,28%).Conclusion : L’imagerie est un moyen incontournable à la recherche d’une glande parathyroïde ectopique. Lorsqu’elle n’est pas retrouvée dans sa localisation habituelle, la stratégie de dissection chirurgicale doit être méthodique.Mots-clés : glande parathyroïde, ectopie, hyperparathyroïdie, imagerie, parathyroïdectomieIntroduction: The ectopic parathyroid is the most common cause of failure of hyperparathyroidism surgery, resulting often in reoperations. Its preoperative topographic diagnosis remains difficult despite advances in various imaging studies. The intraoperative diagnosis should be guided by a reference strategy of dissection.Materials and Methods: This is a retrospective study of 137 patients (162 ectopic parathyroid glands) among 572 patients undergoing hyperparathyroidism surgery, collected over a 11-year period (January 2001-December 2011). All patients underwent preoperative imaging and were operated under general anesthesia.Results: The mean age was 49 years (11-71 years) and the sex-ratio 1.04. Primary hyperparathyroidism was present in 26 patients (18.98%) and hyperparathyroidism secondary to chronic renal failure in 111 patients (81.02%). Cervicotomy through traditional approach with bilateral exploration was performed in 136 cases. In cases where the parathyroid was not found, a surgical procedure was performed. This act consisted in mediastinal-recurrential lymphadenectomy (15 cases), thymectomy (12 cases) and thyroid lobectomy (9 cases). One patient had a thoracotomy in thoracic surgery department without conventional cervical approach. Among the 162 ectopic parathyroid glands included in the study, 68 were inferior parathyroid glands. The locations of these were in order of frequency the thymus (26 cases), the thyro-thymic ligament (14 cases), the antero-superior mediastinum (5 cases) and the carotid sheath (3 cases). Twenty inferior parathyroid glands were not found among the 68 (29,41%). The number of ectopic superior parathyroid glands was 94 of 162. Their locations were in order of frequency the upper pole (33 cases), the superior pedicle (20 cases), the retro-esophageal region (15 cases), the carotid sheath (11 cases), intra-thyroid (5 cases) and the postero-superior mediastinum (2 cases). Eight superior parathyroid glands were not found among the 94 (8.51%). In total, among 162 ectopic parathyroid glands, 28 were not found (17,28%).Conclusion: Imaging is essential to search an ectopic parathyroid gland. When not found in its usual location, the strategy of surgical dissection should be methodical.Keywords: parathyroid gland, ectopia, hyperparathyroidism, imaging, parathyroidectomy
- Published
- 2015
10. Leiomyome agressif naso-sinusien : a propos d’un cas et revue de la litterature
- Author
-
Khamassi, K, Kesraoui, I, Smaili, A, Lahiani, R, Bougacha, L, Kaffel, N, Boubaker, A, Ben Salah, M, and Ferjaoui, M
- Subjects
léiomyome, fosses nasales, sinus, tomodensitométrie, imagerie par résonance magnétique, chirurgie sinusienne - Abstract
Introduction : Les léiomyomes sont des tumeurs bénignes issues des fibres musculaires lisses. La localisation au niveau des cavités nasosinusiennes est très rare.Cas clinique : Il s’agit d’une patiente âgée de 59 ans, qui a consulté pour obstruction nasale et épistaxis gauches. L’endoscopie nasale a montré une formation comblant totalement la fosse nasale gauche. L’imagerie (TDM, IRM) a objectivé un volumineux processus expansif tissulaire naso-ethmoïdo-maxillaire, avec extension intra-orbitaire et endocrânienne. La biopsie confirmé qu’il s’agit d’un léiomyome à localisation nasosinusienne. La patiente a été opérée par voie paralatéronasale élargie. Elle a eu une exérèse tumorale complète et une reconstruction de la perte de substance osseuse par autogreffe. Les suites opératoires étaient simples. Aucune récidive n’a été notée après un recul de 1 an.Conclusion : La localisation nasosinusienne du léiomyome est très rare. L’imagerie est indispensable dans le cadre du bilan d’extension loco-régional. Seul une exérèse chirurgicale complète permettra d’éviter toute récidive aussi bien à court qu’à long terme.Mots-clés : léiomyome, fosses nasales, sinus, tomodensitométrie, imagerie par résonance magnétique, chirurgie sinusienneIntroduction: Leiomyomas are benign tumors arising from smooth muscle fibers. The location at the sinonasal cavities is very rare.Case report: This is a female patient aged 59, who consulted for left nasal obstruction and epistaxis. Nasal endoscopy showed a tumor completely filling the left nasal cavity. Imaging (CT, MRI) has objectified a large expansive tissularnaso-maxillary-ethmoidal process with intraorbital and intracranial extension. The biopsy confirmed that this was a leiomyoma with sinonasal localization. The patient was operated by extended paralatéronasale approach. She had a complete tumor resection and reconstruction of the bone defect with autograft. The postoperative course was uneventful. No recurrence was observed after a follow-up period of 1 year.Conclusion: The sinonasal location of leiomyoma is very rare. Imaging is essential for locoregional staging. Only a complete surgical resection will prevent any recurrence both in short and long term.Keywords : leiomyoma, nasal fossae, sinus, computed tomography, magnetic resonance imaging, sinusal surgery
- Published
- 2015
11. Fistule et kyste nasofrontaux : a propos d’un cas
- Author
-
Zaim, H, Chkili, R, Harbaoui, A, Achoura, S, Yeadeas, M, Khamassi, K, Ben Salah, M, and Ferjaoui, M
- Subjects
fistule nasofrontale, kyste nasofrontal, tomodensitométrie, imagerie par résonance magnétique, craniotomie frontale - Abstract
Introduction : Les fistules nasofrontales correspondent à la persistance d’une communication anormale d’origine embryologique entre la couche profonde de la peau et le système nerveux. Ils peuvent être associés à un kyste dermoïde ou épidermoïde.Ils peuvent être révélés par une infection loco-régionale et surtout neuro-méningée qui fait toute la gravité de cette malformation congénitale. Notre objectif est d’insister sur les caractéristiques de cette pathologie pour un diagnostic précoce.Observation : Il s’agit d’un enfant âgé de 2 ans, qui présente depuis sa naissance une fistule cutanée au niveau du dos du nez laissant sourdre du pus de façon intermittente. L’imagerie a objectivée une formation kystique basi-frontale médiane, associée à une déhiscence de l’os frontal gauche avec défaut de développement de l’apophyse crista galli. Le diagnostic de fistule associée à un kyste nasofrontal a été retenu. Le patient a été opéré par voie bicoronale. En per-opératoire, nous avons découvert un kyste extra-dural mais adhérant au feuillet externe de la dure-mère. La paroi kystique a été disséquée puis enlevée en totalité. Le défect osseux de l’os frontal gauche a été colmaté par de la poudre d’os et du surgicel. Les suites opératoires étaient simples et l’examen anatomopathologique a confirmé qu’il s’agit d’un kyste dermoïde nasofrontal. Une fistulectomie a été réalisée 6 mois plus tard avec bonne évolution.Conclusion : L’apport de l’imagerie est indispensable pour le diagnostic positif et topographique desfistules et kystes nasofrontaux. Le risque de complications infectieuses impose un traitement chirurgical. Le but de la chirurgie doit être une résection totale, seule garante de l’absence de récidive à long terme.Mots-clés : fistule nasofrontale, kyste nasofrontal, tomodensitométrie, imagerie par résonance magnétique, craniotomie frontaleIntroduction : Naso frontal fistula correspond to the persistence of an abnormal communication of embryological origin between the deep layer of the skin and the nervous system. They can be associated with dermoid or epidermoid cyst. They can be revealed by a locoregional and especially neuro-meningeal infection, wich makes all the severity of this malformation.Case-report : A 2 year-old child presents since birth cutaneous fistula at the nasal dorsum with intermittent purulent effuse. Imaging showed medial basi-frontal cyst, associated with dehiscence of the left frontal bone and defective development of the crista galli. The diagnosis of fistula associated with nasofrontal cyst was retained. The patient was operated by bicoronal approach. Intraoperatively, we found an extradural cyst but adhering to the outer layer of the dura mater. The cyst wall was dissected and removed totally. The bone defect of the left frontal bone was clogged with bone powder and surgicel. The postoperative course was uneventful and pathologic examination confirmed that this is a nasofrontal dermoid cyst. Fistulectomy was performed 6 months later with good evolution.Conclusion : Contribution of imaging is essential for positive and topographic diagnosis of nasofrontal fistulas and cysts. The risk of infectious complications requires surgical treatment. The goal of surgery should be a total resection, the only guarantee of the absence of long-term recurrence.Keywords : nasofrontal fistula, nasofrontal cyst, computed tomography, magnetic resonance imaging, frontal craniotomy
- Published
- 2015
12. Les tumeurs benignes de la parotide
- Author
-
Khamassi, K, Dhaoudi, A, Lahiani, R, Sellami, H, Gaied, K, Najeh, D, Kaffel, N, Ben Salah, M, and Ferjaoui, M
- Subjects
tumeur bénigne, glande parotide, imagerie par résonance magnétique, cytoponction, parotidectomie, nerf facial - Abstract
Introduction : Les tumeurs parotidiennes bénignes sont caractérisées par une grande diversité histologique. Les indications thérapeutiques ne sont pas encore bien codifiées et restent un sujet de controverse.Matériel et méthodes : Nous rapportons une étude rétrospective à propos de 48 cas de tumeurs parotidiennes bénignes, colligés sur une période de 7 ans (2004-2010). Tous les patients ont bénéficié d’un examen ORL complet, d’un bilan biologique et radiologique. Le traitement était chirurgical dans tous les cas.Résultats : L’âge moyen était de 46 ans et le sex-ratio 1,52. Le motif de consultation était dans tous les cas une tuméfaction au niveau de la région parotidienne. L’échographie cervicale a confirmé le siège intra-parotidien dans tous les cas. L’IRM était pratiquée chez 28 patients. Le cystadénolymphome était évoqué dans 6 cas et l’adénome pléomorphe dans 22 cas. Une cytoponction a été pratiquée chez 8 patients et a montré un aspect en faveur d’adénome pléomorphe dans 6 cas et de cystadénolymphome dans 2 cas. Tous les patients ont été opérés sous anesthésie générale. La tumeur était au dépends du lobe superficiel dans 43 cas et du lobe profond dans 5 cas. Une parotidectomie totale a été pratiquée chez les 5 patients ayant une tumeur au dépends du lobe profond. Parmi les 43 patients ayant une tumeur au dépends du lobe superficiel, une parotidectomie totale a été pratiquée chez 5 patients, une parotidectomie exofaciale chez 35 patients et une simple énucléation tumorale dans 3 cas. L’examen anatomopathologique définitif était concordant avec l’examen extemporané dans 100% des cas. Au total, nous avions 31 cas d’adénome pléomorphe et 17 cas de cystadénolymphome. Des complications post-opératoires étaient présentes dans 9 cas. L’évolution ultérieure a été marquée par l’absence de récidive dans tous les cas, avec un recul moyen de 28 mois.Conclusion : Le développement des techniques de l’imagerie a permis actuellement d’évoquer le diagnostic de bénignité d’une tumeur parotidienne et même d’évoquer fortement un diagnostic anatomopathologique. Le choix de l’intervention chirurgicale est guidé par la localisation et l’étendue de la tumeur et par le type histologique.Mots-clés : tumeur bénigne, glande parotide, imagerie par résonance magnétique, cytoponction, parotidectomie, nerf facialIntroduction: Benign parotid tumors are characterized by high histological diversity. Therapeutic indications are not well codified and remain a subject of controversy.Materials and Methods: We report a retrospective study of 48 cases of benign parotid tumors, collected over a period of 7 years (2004-2010). All patients underwent complete ENT examination, biological and radiological assessment. Treatment was surgical in all cases.Results : The mean age was 46 years and the sex ratio 1.52. Tumefaction in the parotid region was the presenting symptom in all cases. Cervical ultrasound confirmed the intra-parotid location in all cases. MRI was performed in 28 patients. Cystadenolymphoma was suggested in 6 cases and pleomorphic adenoma in 22 cases. A fine-needle aspiration was performed in 8 patients and showed pleomorphic adenoma in 6 cases and cystadenolymphoma in 2 cases. All patients were operated under general anesthesia. The tumor was at the expense of the superficial lobe in 43 cases and the deep lobe in 5 cases. A total parotidectomy was performed in 5 patients having a deep lobe tumor. Among the 43 patients having a superficial lobe tumor, a total parotidectomy was performed in 5 patients, an exofacialparotidectomy in 35 patients and a single tumor enucleation in 3 cases. The final histological examination was consistent with the frozen section in 100% of cases. In total, we had 31 cases of pleomorphic adenoma and 17 cases of cystadenolymphoma. Postoperative complications were present in 9 cases. The subsequent evolution was marked by the absence of recurrence in all cases, with a mean follow-up period of 28 months.Conclusion : The development of imaging techniques has currently allowed to suggest the diagnosis of benignity of a parotid tumor, and even to highly evoke the pathological diagnosis. The choice of surgical procedure is guided by the location and extent of the tumor and by the histological type.Keywords : benign tumor, parotid gland, magnetic resonance imaging, fine-needle aspiration, parotidectomy, facial nerve
- Published
- 2015
13. Les lymphomes naso-sinusiens etude rétrospective à propos de 31 cas
- Author
-
Khamassi, K, Jaafoura, H, Lahiani, R, Mellouli, Y, Jendoubi, L, Nejah, D, Salah, MB, Kaffel, N, Maalej, M, Mezlini, A, and Ferjaoui, M
- Abstract
Objectif: Le but de ce travail est d’analyser les caractéristiques épidémiologiques, cliniques et paracliniques des lymphomes primitifs naso-sinusiens, de préciser leurs particularités anatomopathologiques et de discuter leurs différentes modalités thérapeutiques en comparant nos résultats à ceux de la littérature.Matériel et méthodes : Il s’agit d’une étude rétrospective à propos de 31 patients colligés entre 1975 et 2009. Tous les patients ont bénéficié d’un examen clinique, d’une TDM du massif facial, d’une biopsie avec examen anatomopathologique et d’un bilan d’extension général. Le traitement était basé sur la radio et la chimiothérapie. La surveillance a étéclinique et radiologique avec un recul moyen de 33 mois.Résultats : L’obstruction nasale (64,5%) et l’épistaxis (48,4%) étaient les signes fonctionnels les plus fréquents. L’endoscopie nasale a objectivé une tumeur des fosses nasales chez 29 patients (93,5%) et une simple hypertrophie de la muqueuse chez les 2 autres. Six patients avaient des adénopathies cervicales associées. La TDM du massif facial a montré une extension au sinus maxillaire homolatéral (25,8%), à l’ethmoïde antérieur (22,6%) et à l’orbite (6,5%). L’anatomopathologie a révélé un lymphome de haut grade (51,6%), de grade intermédiaire (22,6%) et de faible grade(25,8%). Les patients étaient classés stade I d’Ann Arbor (61,2 %), stade II (19,4 %), stade III (6,5 %) et stade Iv (12,9%). Après traitement initial, le taux de rémission global était de 71%. Une récidive ou une poursuite évolutive ont été notées chez 9 patients (29%), dont 1 cas classé stade I, 3 cas stade II, 1 cas stade III et 4 cas stade Iv. Chez 5 de ces patients, une chimiothérapie de rattrapage a été administrée, avec rémission dans un seul cas. pour les 4 autres, un patient était décédé, un autre perdu de vue, et l’abstention thérapeutique était préconisée chez les deux autres devant l’âge avancé et l’altération de l’état général. Au total, le taux de rémission final était de 100% pour les patients classés stade I et de 33,3% pour les autres stades.Conclusion : Les lymphomes primitifs naso-sinusiens sont rares. Leur traitement donne des résultats variables et leur pronostic dépend essentiellement du stade tumoral et du grade histologique.Mots-clés : lymphome, fosse nasale, tomodensitométrie, radiothérapie, chimiothérapie
- Published
- 2013
14. Prise en charge de l’atresie choanale
- Author
-
Khamassi, K, Selmi, Z, Stambouli, I, Lahiani, R, Harzallah, M, Nejah, D, Salah, MB, Kaffel, N, and Ferjaoui, M
- Abstract
Introduction: L’atrésie choanale est une malformation congénitale rare mais non exceptionnelle. Le but de notre travail est d’étudier les caractéristiques épidémiologiques, cliniques et radiologiques de cette pathologie, et de discuter les différentes modalités thérapeutiques et leurs résultats respectifs.Matériel et méthodes: Notre étude rétrospective porte sur une série de 12 cas d’atrésie choanale opérés dans notre service entre 2002 et 2010. Tous les patients ont bénéficié d’un examen ORL et d’une tomodensitométrie du massif facial. Tous les patients ont été opérés sous anesthésie générale.Résultats: L’âge moyen était de 10,7 ans (3 jours - 31 ans) et le sex-ratio était de 2. L’atteinte était unilatérale dans 66,6% et bilatérale dans 33,3% des cas. Dans 16% des cas, l’atrésie rentrait dans le cadre d’un syndrome polymalformatif. La technique opératoire utilisée était la voie endoscopique dans 10 cas et la voie transpalatine dans 2 cas. Le taux de succès global était de 75%. Trois cas de récidive ont été notés. Ils ont été réopérés par voie endonasale.Conclusion: L’endoscopie nasale et la TDM permettent le diagnostic positif de l’atrésie choanale. Le traitement de référence actuellement est la chirurgie par voie endonasale.Mots-clés: atrésie choanale, malformation, obstruction nasale, endoscopie, tomodensitométrie, chirurgie endonasale
- Published
- 2013
15. Sarcome d’ewing- Une localisation exceptionnelle : Le rocher
- Author
-
Khamassi, K, Jlassi, N, Ghamra, SB, Jaafoura, H, Lahiani, R, Nejah, D, Salah, MB, Kaffel, N, and Ferjaoui, M
- Abstract
Introduction : Le sarcome d’Ewing des rochers est exceptionnel. Nous rapportons un cas diagnostiqué à l’occasion d’une otorragie.Observation : Il s’agit d’un enfant âgé de 16 mois qui a présenté une otorragie spontanée gauche. L’examen otoscopique avait mis en évidence une formation tumorale charnue comblant le conduit auditif externe gauche. L’imagerie a révélé un processus tissulaire du conduit gauche, étendu à l’oreille moyenne et envahissant la parotide. L’examen anatomopathologique avec étude immunohistichimique ont confirmé le diagnostic de sarcome d’Ewing. Le bilan d’extension était négatif.L’enfant a reçu six cures de chimiothérapie d’induction puis a bénéficié d’une chirurgie d’exérèse large avec des suites simples. Un traitement complémentaire par chimiothérapie a été administré. On n’a pas noté de récidive après 18 mois de recul.Conclusion : La localisation ORL d’un sarcome d’Ewing est très rare. Son pronostic a été considérablement amélioré grâce à une approche multidisciplinaire.Mots clés : sarcome d’Ewing, rocher, tomodensitométrie, imagerie par résonance magnétique, pétrectomie
- Published
- 2013
16. Diagnostic et prise en charge de l’hyperparathyroïdie primaire
- Author
-
Lahiani, R, Khamassi, K, Dhaouadi, A, Attia, Z, Kaffel, N, Najeh, D, Salah, MB, Hajri, H, and Ferjaoui, M
- Abstract
Objectif : L’hyperparathyroïdie primaire (hPTP) est définie par la production excessive et inappropriée de parathormone (PTh). Les formes asymptomatiques et modérées sont devenues de plus en plus fréquentes. Le but de ce travail est d’étudier les caractéristiques cliniques et paracliniques de l’hPTP, de préciser les indications thérapeutiques et de les discuter en comparant nos résultats avec ceux de la littérature.Matériel et méthodes: Il s’agit d’une étude rétrospective à propos de 86 patients colligés entre Janvier 2005 et Décembre 2010. Tous les patients ont bénéficié d’un examen ORL et d’un bilan biologique comportant une calcémie et un dosage de la PTh. Le bilan radiologique comportait une échographie cervicale, une scintigraphie au MIBI et/ou une IRM cervicale.Tous les patients ont été opérés sous anesthésie générale et ont eu une cervicotomie par approche classique. La surveillance a été clinique et biologique avec un recul moyen de 16 mois (4-36 mois).Résultats : La calcémie était élevée chez 77 patients (89,5%) et la PTh chez tous les patients. Une échographie cervicale a été réalisée chez 79 patients et a montré une image en faveur d’un adénome parathyroïdien chez 37 d’entre eux (46,8%). La scintigraphie au MIBI, pratiquée chez 46 patients, a montré une hyperfixation dans 31 cas (67,4%). L’IRM aété pratiquée chez 5 patients et a révélé un adénome dans 3 cas.L’exploration chirurgicale avec examen extemporané a révélé un adénome unique chez 65 patients deux adénomes chez 12 patients, et une hypertrophie des 4 PTh chez 9 autres. Une exérèse des adénomes a été ainsi réalisée chez 77 patients et une parathyroïdectomie subtotale dans 9 cas. en post-opératoire, 12 patients (14%) ont présenté une hypocalcémietransitoire. Aucune hypocalcémie définitive ni paralysie récurrentielle n’ont été notées. L’examen anatomopathologique définitif a révélé un adénome unique, un adénome double, une hyperplasie et PTh normale respectivement chez 58, 3, 24 et 1 patients. L’évolution à long terme a été marquée par l’amélioration clinique et biologique chez 81 patients (94,2%). Une non-amélioration clinique et biologique a été notée chez 5 patients. Ils ont été réopérés et ont eu une parathyroïdectomie subtotale. L’anatomopathologie confirmait l’hyperplasie dans tous les cas.Conclusion : Le traitement de l’hPTP symptomatique est chirurgical. L’approche classique a fait preuve de son efficacité. Les progrès récents des explorations préopératoires et le dosage peropératoire de la PTh ont rendu possible une approche mini-invasive. Des controverses persistent quant à la prise en charge de l’hPTP asymptomatique dont l’indicationthérapeutique doit être bien étudiée.Mots-clés : hyperparathyroïdie primaire, adénome, glande parathyroïde, parathormone, scintigraphie, parathyroïdectomie
- Published
- 2013
17. La rhinolithiase
- Author
-
Kaffel, N, Khamassi, K, Marrakchi, J, Selmi, Z, Lahiani, R, Najeh, D, Salah, MB, Hajri, H, and Ferjaoui, M
- Abstract
Introduction : La rhinolithiase est une affection rare dont l’étiopathogénie est inconnue. elle se manifeste souvent par une symptomatologie nasale unilatérale d’évolution chronique. Le but de ce travail est d’étudier les particularités cliniques et radiologiques des rhinolithiases et de préciser les modalités thérapeutiques.Matériel et méthodes : Il s’agit d’une étude rétrospective portant sur 5 cas de rhinolithiases diagnostiqués et traités dans notre service entre 2000 et 2010. Un examen ORL complet comportant notamment une endoscopie nasale a été pratiqué. Tous les patients ont bénéficié d’une TDM du massif facial et ont été opérés par voie endonasale sous anesthésie générale avec extraction du rhinolithe. La surveillance ultérieure était clinique avec un recul moyen de 19 mois.Résultats : :L’âge moyen était de 55 ans et le sexe ratio 1,5. Le délai moyen de consultation était de 10 mois (4-24 mois). L’obstruction nasale était présente chez tous les patients. elle était associée à une rhinorrhée purulente (4 cas), à une épistaxis (4 cas), à une cacosmie (1 cas) et à des céphalées frontales (1 cas). L’endoscopie nasale a objectivé chez tousles patients une formation dure et recouverte de sécrétions purulentes. La TDM du massif facial a objectivé un comblement unilatéral de la fosse nasale. Des signes de lyse osseuse de la cloison nasale, du cornet inférieur ou du palais osseux ont été notés dans 2 cas. Tous les patients ont été opérés par voie endonasale. Le geste chirurgical consistait en une extraction par morcellement du rhinolithe. Aucun incident per ou post-opératoire n’a été noté. L’examen anatomopathologique confirmait le diagnostic de rhinolithiase. La surveillance endoscopique chez tous lespatients n’a pas révélé de récidive.Conclusion : La rhinolithiase est une affection rare dont la symptomatologie fonctionnelle est non spécifique. Son diagnosticest basé sur l’endoscopie nasale et l’imagerie. Son traitement repose sur la chirurgie par voie endonasale. Les récidives sont exceptionnellesMots-clés : rhinolithiase, obstruction nasale, tomodensitométrie, chirurgie endonasale
- Published
- 2013
18. Cytoponction ganglionnaire cervicale : facteurs influençant le taux d’échec
- Author
-
Rammeh, S., primary, Ben Rejeb, H., additional, M’farrej, M.K., additional, Znaidi, N., additional, Farah, F., additional, Ferjaoui, M., additional, and Zermani, R., additional
- Published
- 2014
- Full Text
- View/download PDF
19. [Mucous malignant melanoma of the neck and face. Experience at the Salah Azaiz Institute (Tunis)]
- Author
-
Oueslati Z, Touati S, Gritli S, el-May A, Farouk Benna, Boussen H, el-Khedim A, Ferjaoui M, and Ladgham A
- Subjects
Adult ,Aged, 80 and over ,Male ,Tunisia ,Head and Neck Neoplasms ,Humans ,Female ,Middle Aged ,Melanoma ,Aged ,Retrospective Studies - Abstract
The mucosal melanoma of the head and neck is rare and of late diagnosis. This retrospective study concerns 17 cases brought together in 30 years. Sex-ratio was of 1.1, the average age of 58 years. Tumoral seats were the following ones: nasal cavity and paranasal sinus (n = 10), nasopharyngeal cavity (n = 2), gingival seat (n = 2), palate (n = 1), laryngeal seat (n = 1), middle ear (n = 1). Tumoral extension was classified an follows: stage I: 52.9%, stage II: 17.6%, stage III: 29.4%. Melanomas were achromic in 23.5% of cases. On the therapeutic plan, 47.1% of the patients were treated in a purpose palliative because of the importance of the tumoral extension. Seven patients (41.2%) were treated surgically; three among them received an additional radiotherapy for an insufficient tumoral excision or adenopathy in break capsular. Two patients (11.8%) were treated by exclusive radiotherapy. The rates of survival were 17.6% in 2 years, and 5.9% in 5 years. The average duration of survival was of 18.1 months. The causes of failure were essentially local and metastatic.
- Published
- 2002
20. Surdité brusque idiopathique : à propos de 40 cas
- Author
-
Harrathi, K., primary, El korbi, A., additional, Ferjaoui, M., additional, Bouattay, R., additional, Kolsi, N., additional, Krifa, N., additional, Gassab, E., additional, and Koubaa, J., additional
- Published
- 2013
- Full Text
- View/download PDF
21. Les goitres plongeants : à propos de 28 observations
- Author
-
Gassab, E., primary, Krifa, N., additional, Kâabi, A., additional, Ferjaoui, M., additional, Mâatouk, M., additional, Hadhri, R., additional, Kolsi, N., additional, Korbi, A., additional, Harrathi, K., additional, and Koubâa, J., additional
- Published
- 2013
- Full Text
- View/download PDF
22. Les sténoses trachéales post-intubation : à propos de 11 cas
- Author
-
Gassab, E., primary, Krifa, N., additional, Ferjaoui, M., additional, Smaili, A., additional, Mâatouk, M., additional, Toumi, S., additional, Kolsi, N., additional, Korbi, A., additional, Harrathi, K., additional, and Koubâa, J., additional
- Published
- 2013
- Full Text
- View/download PDF
23. Évaluation de la rentabilité de la cytoponction à l’aiguille fine dans le diagnostic de tuberculose ganglionnaire sur une série de 250 cas
- Author
-
Ben Rejeb, H., primary, Rammeh, S., additional, Aloui, S., additional, Hergli, I., additional, Znaidi, N., additional, Zidi, Y.S.H., additional, Kourda, N., additional, Farah, F., additional, Ferjaoui, M., additional, and Zermani, R., additional
- Published
- 2012
- Full Text
- View/download PDF
24. Sarcome d'ewing du rocher
- Author
-
Kaffel, N, primary, Jlassi, N, additional, Ben Gamra, S, additional, Lahiani, R, additional, Hajri, H, additional, and Ferjaoui, M, additional
- Published
- 2011
- Full Text
- View/download PDF
25. Carcinome papillaire sur kyste du tractus thyreoglosse
- Author
-
Kaffel, N, primary, Jlassi, N, additional, Chorfa, A, additional, Lahiani, R, additional, Nejah, D, additional, Salah, MB, additional, Hajri, H, additional, and Ferjaoui, M, additional
- Published
- 2011
- Full Text
- View/download PDF
26. Osteite frontale post-sinusitique: Etude rétrospective à propos de 31 cas
- Author
-
Kaffel, N, primary, Khamassi, K, additional, Selmi, Z, additional, Lahiani, R, additional, Ben Makhlouf, T, additional, Najeh, D, additional, Ben Salah, M, additional, Hajri, H, additional, Khaldi, M, additional, and Ferjaoui, M, additional
- Published
- 2011
- Full Text
- View/download PDF
27. ORL-WP-30 Les voies d’extension des tumeurs du cavum
- Author
-
Ben Amara, F., primary, Hentati, Y., additional, Salem, A., additional, Sahnoun, M., additional, Rajhi, H., additional, Hamza, R., additional, Marrakchi, M., additional, Hajri, H., additional, Ferjaoui, M., additional, and Mnif, N., additional
- Published
- 2009
- Full Text
- View/download PDF
28. ORL-WP-1 Radioanatomie de la base du crane
- Author
-
Ben Amara, F., primary, Hentati, Y., additional, Salem, A., additional, Mezghenni, S., additional, Rajhi, H., additional, Homza, R., additional, Mnif, N., additional, Marrakchi, M., additional, Ferjaoui, M., additional, and Hentati, N., additional
- Published
- 2009
- Full Text
- View/download PDF
29. ORL-WP-10 Classification scanographique des otospongioses
- Author
-
Ben Amara, F., primary, Hentati, Y., additional, Salem, A., additional, Jabr, M., additional, Rajhi, H., additional, Hamza, R., additional, Marrakchi, M., additional, Hajri, H., additional, Ferjaoui, M., additional, and Mnif, N., additional
- Published
- 2009
- Full Text
- View/download PDF
30. ORL-WP-2 Radioanatomie des nerfs craniens
- Author
-
Ben Amara, F., primary, Hentati, Y., additional, Salem, A., additional, Rouissi, W., additional, Hmaied, E., additional, Rajhi, H., additional, Hamza, R., additional, Hentati, N., additional, Ferjaoui, M., additional, and Mnif, N., additional
- Published
- 2009
- Full Text
- View/download PDF
31. ORL-WP-3 Variantes anatomiques des sinus de la face : elements a preciser dans le compte rendu du scanner
- Author
-
Ben Amara, F., primary, Toumi, N., additional, Salem, A., additional, Boughanmi, N., additional, Rajhi, H., additional, Hamza, R., additional, Marrakchi, M., additional, Hajri, H., additional, Ferjaoui, M., additional, and Mnif, N., additional
- Published
- 2009
- Full Text
- View/download PDF
32. Epidemiological study, immunohistochemistry and in situ hybridization studies of nasopharyngeal carcinomas: A Tunisian report
- Author
-
Hila, L., primary, Farah, F., additional, Ayari, H., additional, Ferjaoui, M., additional, Dehria, W., additional, and Ben Jilani, S., additional
- Published
- 2009
- Full Text
- View/download PDF
33. Imperforation choanale aspects cliniques, approache therapeutique
- Author
-
Hajri, H, primary, Mannoubi, S, additional, Mathlouthi, N, additional, Kaffel, N, additional, Marrakchi, M, additional, Kooli, H, additional, and Ferjaoui, M, additional
- Published
- 2008
- Full Text
- View/download PDF
34. Kyste Amygdaloïde Oropharynge A Propos D\'un Cas
- Author
-
Hajri, H, primary, Manoubi, S, additional, Kaffel, N, additional, Bouzaiene, B, additional, Riahi, K, additional, Marrakchi, M, additional, Najah, D, additional, Lahiani, R, additional, and Ferjaoui, M, additional
- Published
- 2008
- Full Text
- View/download PDF
35. ORL28 Apport de l’imagerie en coupe dans l’etude de la pathologie parotidienne
- Author
-
Ben Amara, F., primary, Bouassida, N., additional, Salem, A., additional, Mhiri, S., additional, Marrakchi, M., additional, Rajhi, H., additional, Hamza, R., additional, Ferjaoui, M., additional, and Mnif, N., additional
- Published
- 2006
- Full Text
- View/download PDF
36. La labyrinthite ossifiante : apport de la tomodensitométrie
- Author
-
Rajhi, H., primary, Kechaou, S., additional, Ayadi, S., additional, Salem, A., additional, M’nif, N., additional, Kooli, H., additional, Ferjaoui, M., additional, and Hamza, R., additional
- Published
- 2005
- Full Text
- View/download PDF
37. ORL26 Le rocher : radio-anatomie, variantes et applications pathologiques
- Author
-
Mnif, N., primary, Ayadi, S., additional, Mlika, N., additional, Rajhi, H., additional, Marrakchi, M., additional, Ferjaoui, M., additional, and Hamza, R., additional
- Published
- 2005
- Full Text
- View/download PDF
38. L’imagerie dans la mucormycose rhinocérébrale
- Author
-
Mnif, N., primary, Hmaied, E., additional, Oueslati, S., additional, Rajhi, H., additional, Hamza, R., additional, Marrakchi, M., additional, Kaffel, N., additional, Kooli, H., additional, Ben Salah, M., additional, and Ferjaoui, M., additional
- Published
- 2005
- Full Text
- View/download PDF
39. Microcarcinome médullaire occulte sporadique de la thyroïde révélé par une métastase ganglionnaire. À propos d’un cas
- Author
-
Zeddini, A., primary, Zermani, R., additional, Rammeh, S., additional, Kourda, N., additional, Farah, F., additional, Hajri, H., additional, Bettaieb, E., additional, Gloulou, F., additional, Ferjaoui, M., additional, and Bn Jilani, S., additional
- Published
- 2004
- Full Text
- View/download PDF
40. TC11 Radio-anatomie normale et imagerie du larynx tumoral : CD-Rom d’auto-enseignement
- Author
-
Rajhi, H., primary, Belhiba, H., additional, Salem, A., additional, Mnif, N., additional, Felfel, M., additional, Kooli, H., additional, Ferjaoui, M., additional, and Hamza, R., additional
- Published
- 2004
- Full Text
- View/download PDF
41. L’ectopie thyroïdienne : à propos de deux cas
- Author
-
Cherif, L., primary, Lakhoua, Y., additional, Khiari, K., additional, Hadj-Ali, I., additional, Rajhi, H., additional, Kaffel, N., additional, Mahjoubi, I., additional, Mchirgui, N., additional, Ferjaoui, M., additional, Hamza, R., additional, and Ben Abdallah, N., additional
- Published
- 2004
- Full Text
- View/download PDF
42. Castelman´s disease of the neck: a case report and literature review
- Author
-
Amel El Korbi, Jellali Sondes, Jguirim Mahbouba, Bellalah Ahlem, Ferjaoui Mehdi, Bouatay Rachida, Kolsi Naourez, Harrathi Khaled, and Koubaa Jamel
- Subjects
castleman´s disease ,lymphadenopathy ,surgery ,Medicine - Abstract
Castleman’s disease is a rare pathology, poorly understood. It is considered as a lymphoproliferative disorder, described for the first time in 1954, which may be confused with other causes of lymphadenopathy. We report in this paper the case of a young women presenting with left latero-cervical lymphadenopathy. All the investigations were negative except a large high-vascularized level II cervical lymphadenopathy. We performed a cervicotomy. The extemporaneous histological exam was non-contributive. We decided to perform a complete level II and III left cervical lymphadenectomy. The diagnosis of unicentric Castleman´s disease was confirmed based on the final histological study of the specimen, and the absence other cervical and extra-cervical lymphadenopathy. The patient is free of recurrence at the time of reporting this article.
- Published
- 2020
- Full Text
- View/download PDF
43. Pediatric naso-sinusal inverted papilloma: report of a case and literature review: a case report
- Author
-
Amel El Korbi, Jellali Sondes, Kolsi Naourez, Bouatay Rachida, Njim Leila, Berguaoui Emna, Ferjaoui Mehdi, Harrathi Khaled, and Koubaa Jamel
- Subjects
inverted ,papilloma ,pediatric ,endoscopic surgery ,case report ,Medicine - Abstract
Inverted papilloma is a rare nasosinusal tumor that mainly occurs in adults during the 5thdecade. The occurrence in children is exceptional and only few cases have been reported in the litterature. Clinical and radiological findings mimic other benign nasosinusal pathologies; therefore, diagnosis is based on histopathology either via biopsy or following surgical excision. Here we present a rare case of pediatric inverted papilloma in a 11-year-old child and we discuss clinical, radiological, therapeutic and evolutionary features through a literature review.
- Published
- 2020
- Full Text
- View/download PDF
44. Histiocytose langerhansienne infiltrant la glande thyroïde : à propos d’une observation
- Author
-
Khiari, K, primary, Abdallah, N.Ben, additional, Cherif, L, additional, Maazoun, I, additional, Hadj-Ali, I, additional, Maïz, H.Ben, additional, Rajhi, H, additional, Tanazakhti, F, additional, Ouertani, L, additional, Ferjaoui, M, additional, and Ayed, F.Ben, additional
- Published
- 2003
- Full Text
- View/download PDF
45. Paleozoic Petroleum Systems in Ghadames Basin, Southern Tunisia
- Author
-
Acheche, M.H., primary, Troudi, H., additional, Ferjaoui, M., additional, and Kebaier, D., additional
- Published
- 2003
- Full Text
- View/download PDF
46. Tectonics & Trap Types in Tunisia
- Author
-
El Euchi, H., primary, Ouachi, A., additional, Tremolieres, P., additional, Adouani, F., additional, Ben Boubaker, K., additional, and Ferjaoui, M., additional
- Published
- 2002
- Full Text
- View/download PDF
47. Submucosal myomas and fertility in a Tunisian population
- Author
-
Ferjaoui Mohamed Aymen, Hannachi Mohamed Amine, Marzougui Ali, Abdessamia Kais, Azri Raja, Khedheri Slim, Malek Monia, and Neji Khaled
- Subjects
submucosal myoma ,infertility ,hysteroscopic resection ,Medicine - Abstract
INTRODUCTION: Infertility associated with submucosal myomas may be treated by hysteroscopic resection. Aim: this retrospective study is aimed to analyze 50 subfertile patients who underwent hysteroscopic myomectomy with particular regard to their post procedure pregnancy outcome. METHODS: the patient group (n=50) underwent the procedure between January 2012 and January 2017. The submucosal were G0 (n=37), G1 (n=12) and G2 (n=4). The mean size was 3.2 cm, while the mean duration of the procedure was 26 minutes and the mean follow-up was 18 months (9 months to 5 years). Eight cases had one or more associated infertility factors. RESULTS: eighteen patients (36%) conceived after procedure, at 12 months ±2.6 months after procedure. The pregnancy rate was better when myomas was the exclusive etiology of infertility (42.85%). The complication rate was 7%. CONCLUSION: hysteroscopic myomectomy is a safe procedure to enhance infertility essentially in case of unexplained infertility.
- Published
- 2020
- Full Text
- View/download PDF
48. Traitement médical des fausses couches incomplètes en ambulatoire
- Author
-
Monia Malek, Ferjaoui Mohamed Aymen, Garci Mariem, Ali Marzougui, Khaoula Samaali, Khedheri Slim, and Khaled Neji
- Subjects
fausse couche ,misoprostol ,aspiration ,Medicine - Abstract
Introduction: évaluer la faisabilité du traitement médical des fausses couches par misoprostol en ambulatoire et préciser ses avantages en comparaison avec la révision utérine instrumentale classique. Méthodes: étude prospective comparative au service B du centre de maternité de Tunis (CMNT) s´étalant sur une période de 12 mois (Juillet 2015-Juin 2016), colligeant 50 patientes sélectionnées ayant des constantes hémodynamiques stables et ayant consulté pour fausses couches incomplètes et traitées par misoprostol en ambulatoire, à un groupe de 50 patientes qui avaient eu une révision utérine pour le même motif au cours de la même période d´étude. Le misoprostol a été administré à la dose de 400 µg, soit 2 comprimés, par voie sublinguale (25 cas) et par voie vaginale (25 cas). Résultats: chez les 25 patientes qui avaient reçu 400 µg (soit 2 cp) de misoprostol par voie vaginale, le taux d´expulsion complète de la grossesse avait atteint 88% (22 patientes). Chez les 25 femmes ayant reçu le misoprostol par la voie sublinguale, le taux d´expulsion a chuté à 84% (21 patientes), la différence n´est pas statistiquement significative. Six patientes ont eu secondairement une aspiration utérine et une patiente a expulsé suite à une dose supplémentaire de misoprostol 400 µg. Dans le groupe des 50 patientes ayant eu une aspiration chirurgicale pour fausse couche incomplète, nous avons noté des complications hémorragiques chez 5 patientes (10% des cas) et 3 cas de rétention trophoblastique. La durée moyenne d´hospitalisation a varié de 1 à 3 jours; 80% des patientes ont été hospitalisées pendant 48 heures. La révision instrumentale a coûté en moyenne 73 Dinar tunisien (DT) soit environ 3 fois plus cher en comparaison avec le traitement de la fausse couche incomplète par misoprostol. Ainsi, cette approche médicale s´est avérée plus économique en termes de coût de santé publique. Conclusion: le traitement des fausses couches incomplètes par misoprostol est une méthode efficace, sûre, à condition qu´elle soit prescrite chez des femmes sélectionnées au préalable.
- Published
- 2020
- Full Text
- View/download PDF
49. Kyste hydatique appendiculaire simulant un kyste ovarien compliqué: à propos d’un cas
- Author
-
Ferjaoui Mohamed Aymen, Hannachi Mohamed Amine, Marzougui Ali, Fathalla Mehdi, Khedheri Slim, Malek Monia, and Neji Khaled
- Subjects
kyste de l´ovaire ,hydatidose ,appendice ,Medicine - Abstract
Le kyste hydatique est une zoonose causée par l´ingestion accidentelle de l´Echinococcus granulosus. Cette parasitose est un problème de santé en Tunisie où elle constitue une endémie. Les organes les plus touchés sont essentiellement les poumons et le foie. La localisation appendiculaire est exceptionnelle. La rareté de la localisation appendiculaire peut être à l´origine de confusion diagnostique avec les masses latéro-utérines. Nous rapportons dans cet article le cas d´un kyste hydatique appendiculaire chez une jeune femme de 36 ans pris à tort initialement comme un kyste ovarien compliqué. Il s´agit d´une femme âgée de 36 ans, sans antécédents pathologiques, qui a été hospitalisée dans un tableau de suspicion de torsion d´annexe. L´échographie pelvienne a montré une formation kystique latéro-utérine droite. En per-opératoire on découvre une formation kystique qui dépend de l´appendice. La patiente a eu une appendicectomie avec la résection de la masse. L´examen anatomo-pathologique était en faveur d´un kyste hydatique appendiculaire. Les suites opératoires étaient simples. La localisation appendiculaire, dans l´hydatitose, est certainement exceptionnelle. Cependant, ce diagnostic doit être évoqué devant toute lésion kystique abdomino-pelvienne, surtout dans les pays où l´hydatidose est une endémie.
- Published
- 2019
- Full Text
- View/download PDF
50. R149 Incidence de l'Intubation difficile en ORL
- Author
-
C.H.erif, R, primary, Bounatirou, T, additional, Houissa, M, additional, Ghedira, S, additional, Ferjaoui, M, additional, and Daoud, A, additional
- Published
- 1998
- Full Text
- View/download PDF
Catalog
Discovery Service for Jio Institute Digital Library
For full access to our library's resources, please sign in.