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Plant Growth Promoting Rhizobacteria (PGPR) are soil bacteria that can stimulate plant growth by supplying substances that are usually in limited quantities in the soil especially phosphorous, nitrogen and growth hormone such as indole acetic acid (AIA). These bacteria can also slow the growth of plant pathogens through the production of several antimicrobial metabolites. To investigate the role of rhizobacteria as a biostimulant agent a novel bacterium B8, isolated from the rhizospheric soil of medlar (Mespilus germanica L.- Family Rosaceae), was evaluated on Brassica napus and Medicago sativa. In addition to the classical methods of identification (physiological and biochemical tests), B8 was identified by 16S rRNA gene sequencing as Bacillus clausii. The ability of the strain to produce lytic enzymes such as cellulases, chitinases, pectinases, and phospholipases was studied. Furthermore, the strain B8 was tested for the capability to produce plant growth metabolites like phosphatases and phytases in order to solubilize inorganic phosphate and production of siderophores, cyanhydric acid (HCN) and indole-3-acetic acid. The strain was able to produce lytic enzymes, with an intense production of siderophores and to solubilize inorganic phosphate. Result of in vivo experiments indicated that the application of B8 at 107 CFU/mL, improved markedly the germination rate of rapeseed, whereas alfalfa seeds treated with the same strain showed a lower germination rate than the controls. The vegetative growth parameters; Roots length, lateral roots number, stem length, number of leaves, diameters of stems and plant weight were significantly improved. We also noted capacity of bacteria to colonize root systems of both plants B. napus and M. sativa in one week of inoculation. The overall results of this study showed that B clausii B8 has a great potential to be commercialized as a biostimulant agent and provide promising new option for sustainable agriculture.

Cette étude est consacrée à la détermination de la capacité de 5 souches autochtones de groupe fluorescent des Pseudomonas et une souche de référence CHA0 à produire des sidérophores. Les 5 souches testées ont été isolées de la rhizosphère de l’olivier cultivé dans la région de Bouira (localisée au nord algérien). Les tests d’évaluation de la production des sidérophores ont été réalisés dans cinq milieux de culture différents à savoir le succinate (SM), le King B, le milieu PD, le milieu CAA et le milieu TSB. Les résultats obtenus confirment que l’ensemble des souches testées ont la capacité de produire des sidérophores sur le milieu succinate (MS) avec des intensités de production variable d’une souche à une autre. L'influence de certains facteurs tels que l’assimilation du fer ajouté, sous forme de FeCl3 à différentes concentrations, le pH, et le type de sucre sur la production des sidérophores a été également testées. Nous avons remarqué que l’absence de fer dans le milieu, à des pH neutre (7) en présence de fructose comme source de carbone assure les meilleurs taux de production. Plusieurs méthodes ont été utilisées pour la détection des sidérophores tels que les tests chimiques et biochimiques par l’électrophorèse SDS-PAGE. Ces méthodes ont permis de conclure que la plupart des sidérophores synthétisés par nos souches sont de type hydroxamate. D’autre part, l’infrarouge (IR) a été utilisée pour la détection du groupement fonctionnel des pigments responsables de la fluorescence (les chromophores) qui sont dans notre cas très riche en groupement OH, NH, cycles benzoïques, acide carboxylique COOH ce qui confirme la synthèse des sidérophores de type hydroxamates et plus précisément la classe des pyoverdines. L’évaluation qualitative de l’activité antifongique des sidérophores produits par les différentes espèces de Pseudomonas fluorescents à l’encontre de Verticillium dahliae a montré des taux d’inhibition qui varient de 25 à 48%.