Background: It is unclear whether the coronary microvascular responses to multiple, mechanistically distinct hyperaemic agents exert similar dilatory responses or share common clinical predictors. This study therefore sought to characterize the index of microvascular resistance (IMR) response to multiple hyperaemic agents in the human coronary circulation. Methods: Thermodilution-derived IMR was determined during intravenous adenosine, intracoronary acetylcholine, and intravenous dobutamine in patients with ischemic symptoms and nonobstructive coronary angiograms. A total of 128 patients were studied (44 with adenosine and acetylcholine, and 84 with all agents). Adenosine IMR >25, acetylcholine IMR >31, and dobutamine IMR >29 were used to define elevated responses. Results: IMR responses demonstrated weak-to-moderate association (adenosine vs acetylcholine IMR: ρ = 0.33; adenosine vs dobutamine IMR: ρ = 0.51; acetylcholine vs dobutamine IMR: ρ = 0.28; all P < 0.01). Logistic regression analyses revealed that: (1) elevated adenosine IMR was associated with increasing age and left ventricle hypertrophy (odds ratio [OR] = 1.27 and 1.58; both P < 0.05, respectively), (2) elevated acetylcholine IMR was associated with increasing plasma uric acid (OR = 1.09; P < 0.05), and (3) elevated dobutamine IMR was associated with hypertension and left atrial volume index (OR = 3.99 and 1.07; both P < 0.05, respectively). Subset analyses to evaluate clinical utility of the acetylcholine and dobutamine IMR, independent of abnormal adenosine IMR, revealed that elevated acetylcholine and/or dobutamine IMR were associated with higher risk exercise stress tests, left atrial volumes, and burden of exertional chest pain. Conclusions: Microvascular-specific IMR responses to different hyperaemic agents are only moderately associated, whereas the predictors for agent-specific IMR responses varied, suggesting that multiple pharmacologic agents interrogate different microvascular control mechanisms. Résumé: Contexte: On ne sait pas vraiment si les réponses microvasculaires coronariennes à de multiples agents hyperémiques aux modes d’action distincts ont des effets vasodilatateurs similaires ou partagent des facteurs prédictifs cliniques communs. Cette étude visait donc à caractériser la réponse selon l’indice de résistance microvasculaire (IMR) aux multiples agents hyperémiques dans la circulation coronarienne chez l’humain. Méhodologie: L’IMR obtenu par thermodilution a été déterminé pendant l’administration intraveineuse d’adénosine, intracoronarienne d’acétylcholine et intraveineuse de dobutamine chez des patients présentant des symptômes ischémiques et par angiogrammes coronariens non obstructifs. Un total de 128 patients (44 avec l’adénosine et l’acétylcholine, et 84 avec tous les agents) ont fait partie de l’étude. Des réponses élevées étaient définies par un IMR à l’adénosine > 25, un IMR à l’acétylcholine > 31 et un IMR à la dobutamine > 29. Résultats: Les réponses selon l’IMR ont révélé une association faible à modérée (IMR à l’adénosine vs IMR à l’acétylcholine : ρ = 0,33; IMR à l’adénosine vs IMR à la dobutamine : ρ = 0,51; IMR à l’acétylcholine vs IMR à la dobutamine : ρ = 0,28; tous : p < 0,01). Des analyses de régression logistique ont révélé que : 1) un IMR à l’adénosine élevé était associé à l’avancement en âge et à une hypertrophie ventriculaire gauche (rapport des cotes [RC] = 1,27 et 1,58; p < 0,05 respectivement pour les deux), 2) un IMR à l’acétylcholine élevé était associé à l’augmentation de la concentration plasmatique d’acide urique (RC = 1,09; p < 0,05) et 3) un IMR à la dobutamine élevé était associé à l’hypertension et à l’indice de volume auriculaire gauche (RC = 3,99 et 1,07; p < 0,05 respectivement pour les deux). Des analyses par sous-groupes visant à évaluer l’utilité clinique de l’IMR à l’acétylcholine et à la dobutamine, indépendamment d’un IMR à l’adénosine anormal, ont révélé que des IMR à l’acétylcholine et/ou à la dobutamine élevés étaient associés à une augmentation du risque lors des épreuves à l’effort, à un volume auriculaire gauche plus élevé et à une augmentation du fardeau associé à la douleur thoracique à l’effort. Conclusions: Les réponses microvasculaires selon l’IMR à différents agents hyperémiques sont seulement modérément associées, alors que les facteurs prédictifs des réponses selon l’IMR spécifique de l’agent varient, ce qui laisse croire que les multiples agents pharmacologiques font appel à différents mécanismes de contrôle microvasculaire.