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ADHD is a pathology that was described and studied recently, yet we can find resembling illnesses in descriptions from all ages. Understanding of ADHD is still incomplete and physiopathological modelisation remains unsatisfying. The basis of our work is a theory that defines cerebral hemispheres as two distinct and specialised entities with very different functional characteristics. This theory is not often used in modern neuroscience despite very solid scientific bases. Following this theory, we can find a lot of similarities between the positive symptoms of ADHD patients and the characteristics of right hemisphere thinking. Also there is equivalent similarities between negative symptoms of ADHD and left hemisphere thinking. It’s just as if patients were using their right hemisphere too much and didn’t manage to use the left. We propose a model based on this observation. ADHD would be a pathology where the patient has difficulties to activate his left hemisphere for a task. This difficulties would come from a lack of sensibility in the switch system between the hemispheres that we call the stimulation/excitation system (S/E). No similar theory has ever been directly tested but our review of the literature found elements backing the theory. Our model, if correct, can help to understand ADHD with a new way of looking at the pathology. It is understandable and applicable by anyone regardless of theirtraining, and offer perspective for new specific therapeutics. It remains largely theoric and would need testing to be confirmed.; Le TDAH est un trouble de description récente mais dont on retrouve des équivalents dans les observations cliniques historiques. Malgré l'intérêt grandissant de la communauté scientifique, la compréhension du TDAH reste incomplète à ce jour et les modèles physiopathologiques restent en grande partie insatisfaisants. Nous utilisons comme base de travail une théorie qui considère les hémisphères cérébraux comme deux entités spécialisées distinctes avec des caractéristiques fonctionnelles très différentes. Cette théorie est peu utilisée aujourd’hui en neuroscience malgré des bases scientifiques très solides. On peut remarquer une analogie très forte entre les caractéristiques attribuées à l’hémisphère droit dans ce modèle théorique et les symptômes positifs de TDAH, et une analogie similaire entre les caractéristiques de l’hémisphère gauche et les symptôme négatifs de TDAH. Comme si un TDAH utilisait trop son hémisphère droit et pas assez son gauche. Nous proposons ainsi un modèle de TDAH basé sur une activation référentielle de l’hémisphère droit. Le TDAH serait un trouble où l’interrupteur qui définit quel hémisphère s’active, que nous appelons système stimulation/excitation (S/E), est trop peu sensible. Cela entraînerait un hémisphère gauche qui s'active difficilement, malgré le fait qu’il soit tout à fait fonctionnel. On retrouve dans la littérature scientifique des éléments qui peuvent être en accord avec cette théorie. Cependant aucune étude expérimentale, ne semble avoir testé une théorie similaire. Le modèle ainsi construit permet de répondre à beaucoup d’interrogations sur le TDAH et de proposer des solutions thérapeutiques. Il est utilisable par tout clinicien. Il reste cependant largement théorique et mériterait d’être exploré expérimentalement.