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INTRODUCTION : décrire les aspects épidémio-cliniques et échographiques des môles hydatiformes (MH) à Abidjan.Méthodes: étude transversale de 6 ans (janvier 2011 à décembre 2016) réalisée au CHU de Yopougon au Service de Radiologie. Elle a consisté en la description du profil épidémio-clinique et échographique des patientes porteuses de MH. Les examens échographiques ont été réalisés par voie mixte (endovaginale et sus pubienne) en modes B et Doppler Couleur par des radiologues seniors. Une étude anatomo-pathologique du contenu utérin a été effectuée.Résultats: vingt-cinq cas de MH ont été diagnostiquées sur 12,190 échographies obstétricales réalisées soit 0,2% d'incidence radiologique. L’âge moyen des patientes était de 33,4 ans avec des extrêmes de 22 et 50 ans. Il n'y avait pas de classe d'âge dominante. La notion de masse abdominale 36% et de métrorragies 28% étaient les signes cliniques prédominants qui accompagnaient l'aménorrhée (100%). Sur le plan échographique, l'utérus était hypertrophique dans 100% des cas, homogène dans 96% et myomateux dans 4% des cas. La MH avait une épaisseur moyenne de 42,7mm. Son aspect était décrit comme vésiculaire dans 68%, en nid d'abeille dans 16%, multikystique dans 12% et en tempête de neige dans 4%. Les MH étaient classées partielles dans 4% des cas, complètes dans 92% des cas et invasives dans 4% des cas. Les ovaires étaient hypertrophiques dans 44% des cas avec une notion de macrofollicules dans 32% et des kystes dans 8% des cas. Le diagnostic échographique de MH a été confirmée à l'anatomopathologie dans 100% des cas. Conclusion: les MH demeurent rares à Abidjan et sont dominées par la forme complète. La notion de survenue à des âges extrêmes n'a pas été retrouvée.

Ovarian filariasis is an exceptional disease and displays a major diagnostic problem even in endemic areas. We reported the case of a 19-year-old patient who had ovarian cyst which was revealed by chronic pelvic pain. The histological examination of oophorectomy specimen led to the Wuchereria bancrofti filariasis of the ovary. The anatomopathologic examination is required for the diagnosis of this disease.

Our study describes the epidemiology and aetiology of cervical lymphadenopathy in children diagnosed between 2003 and 2017 at the pathology laboratory of Lomé, Togo. A total of 221 cases were collected. The average age of diagnosis of the study population was 9.8 ± 0.3 years and consisted of 118 (53.4%) boys. HIV was confirmed by indirect ELISA test in 69 (31.2%) cases. The cohort consisted of infections (n = 128, 57.9%), tumours (n = 85, 38.5%) and others (n = 8, 1.6%). The main infectious aetiology was tuberculosis (n = 84). Tumour aetiology consisted of 79 primary malignancies and three metastatic cases. Primary tumours consisted predominantly of lymphoma (n = 74), with Burkitt's lymphoma (n = 44) being the most common. Tuberculosis on a background of HIV infection remains the dominant cause of cervical lymphadenopathy in the tropical region of Togo. [ABSTRACT FROM AUTHOR]