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Le projet des Trans repose sur la revendication de la libert�� de choix de sa vie culturelle. Et la curiosit�� est act��e comme une des conditions d���atteinte de cette libert�� parce qu���il n���y a pas de choix sans une grande diversit�� de propositions. Alors la programmation est pens��e dans une dynamique de recherche et pour les publics comme un espace de d��couvertes. Elle se veut ��clectique, internationale et en devenir. Depuis 1979, et le concert de soutien qui marque l���origine du festival, les Rencontres Trans Musicales de Rennes (ou Trans Musicales) ont ��volu�� dans leur p��rim��tre de programmation, leur format, dans les configurations propos��es aux publics. Elles sont encore et toujours une destination artistique et musicale, un territoire se voulant ouvert �� tou��te��s et un moment propice aux d��bats et �� la r��flexion. Donc, les Trans ont comme principal sujet d���attention ce duo artistes-publics, ins��parable en spectacle vivant. C���est le noeud relationnel qui fonde les actions. Au fil du temps, le projet culturel s���est dessin�� comme la mise en r��sonance du projet artistique vers les publics. Il s���est formalis�� avec l���autonomie des personnes comme finalit�� et a int��gr�� l�����ducation artistique et culturelle puis les droits culturels comme principales trames de travail. Il s���est intensifi�� et diversifi��. Et maintenant les Trans proposent de nombreux accompagnements aux publics pendant et autour de l���exp��rience du concert : conf��rences, pr��sentations de la programmation, visites guid��es, ouverture de balances, initiation �� la technique, ateliers de pratiques, expositions, etc. Toutes ces actions sont autant de pans du projet des Trans que de mani��res d���approfondir et ��tendre l���exp��rience des publics. Au milieu des ann��es 1990 ont d��marr�� les enqu��tes sur les publics du festival. A partir des ann��es 2010, gr��ce �� la rencontre avec le Laboratoire Culture et Communication de l���Universit�� d���Avignon, ces enqu��tes ont b��n��fici�� de l���expertise scientifique et du regard de la sociologie, plus g��n��ralement des sciences humaines et sociales. Et de nouveaux outils de collecte des avis des publics ont ��t�� mis en place, au-del�� du questionnaire.

Le projet des Trans repose sur la revendication de la liberté de choix de sa vie culturelle. Et la curiosité est actée comme une des conditions d’atteinte de cette liberté parce qu’il n’y a pas de choix sans une grande diversité de propositions. Alors la programmation est pensée dans une dynamique de recherche et pour les publics comme un espace de découvertes. Elle se veut éclectique, internationale et en devenir. Depuis 1979, et le concert de soutien qui marque l’origine du festival, les Rencontres Trans Musicales de Rennes (ou Trans Musicales) ont évolué dans leur périmètre de programmation, leur format, dans les configurations proposées aux publics. Elles sont encore et toujours une destination artistique et musicale, un territoire se voulant ouvert à tou·te·s et un moment propice aux débats et à la réflexion. Donc, les Trans ont comme principal sujet d’attention ce duo artistes-publics, inséparable en spectacle vivant. C’est le noeud relationnel qui fonde les actions. Au fil du temps, le projet culturel s’est dessiné comme la mise en résonance du projet artistique vers les publics. Il s’est formalisé avec l’autonomie des personnes comme finalité et a intégré l’éducation artistique et culturelle puis les droits culturels comme principales trames de travail. Il s’est intensifié et diversifié. Et maintenant les Trans proposent de nombreux accompagnements aux publics pendant et autour de l’expérience du concert : conférences, présentations de la programmation, visites guidées, ouverture de balances, initiation à la technique, ateliers de pratiques, expositions, etc. Toutes ces actions sont autant de pans du projet des Trans que de manières d’approfondir et étendre l’expérience des publics. Au milieu des années 1990 ont démarré les enquêtes sur les publics du festival. A partir des années 2010, grâce à la rencontre avec le Laboratoire Culture et Communication de l’Université d’Avignon, ces enquêtes ont bénéficié de l’expertise scientifique et du regard de la sociologie, plus généralement des sciences humaines et sociales. Et de nouveaux outils de collecte des avis des publics ont été mis en place, au-delà du questionnaire.

International audience; Social networks on the Internet are becoming increasingly important in our society. In recent years, this type of media, through communication platforms such as Twitter, has brought new research issues due to the massive size of data exchanged and the important number of ever-increasing users. In this context, the CLEF 2018 Mining opinion argumentation task aims to retrieve, for a specific event (festival name or topic), the most diverse argumentative microblogs from a large collection of tweets about festivals in different languages. In this paper, we propose a four-step approach for extracting argumentative microblogs related to a specific query (or event) while no reference data is provided.

Depuis 1992, l’Équipe Culture et Communication de l’Université d’Avignon a construit différents programmes de recherche en sociologie de la culture, chacun s’échelonnant sur plusieurs éditions afin de mesurer structures et pratiques du public du Festival d’Avignon dans le temps. De ces séries d’enquêtes est né en 2014 le projet Galerie de Festivals (GaFes), un programme scientifique financé par l’Agence nationale de la recherche (ANR), associant sociologues et informaticiens. Depuis un corpus de cinq festivals (Festival d’Avignon, Festival de Cannes, Rencontres Trans Musicales de Rennes, Vieilles Charrues et Festival Lumière), les chercheurs se donnent pour objectif l’étude des pratiques festivalières et culturelles depuis le numérique (écrans, Internet, réseaux sociaux, contenus, etc.). Le Festival d’Avignon est ainsi le seul festival à être suivi nationalement par un laboratoire de recherche universitaire sur une longue durée, et à avoir ainsi une connaissance sociologique de son public dans le temps.

Working note aimed at proposing improved system from In-dri Search Engine for the Microblog Search Task of MC2 CLEF 2017 lab. This improvement is tried thanks to Word2Vec model used in re-classing results in comparing them with query.; Working note aimed at proposing improved system from In-dri Search Engine for the Microblog Search Task of MC2 CLEF 2017 lab. This improvement is tried thanks to Word2Vec model used in re-classing results in comparing them with query.

Le projet des Trans repose sur le constat que les créneaux de diffusion musicale ne rendent pas toujours compte de la création et des multiples voies d’expression de ce qu’il faut bien reconnaître comme un art. Le projet Trans repose sur la rencontre artistes-publics autour des musiques actuelles, reconnues comme une forme artistique et une expérience culturelle à part entière. Depuis 1979 et le concert de soutien qui marque l’origine du festival, les Rencontres Trans Musicales ont évolué et sont aujourd’hui un lieu de propositions musicales, bien sûr, mais aussi de rencontres professionnelles, de débats et de réflexion. Ce festival de musiques actuelles interrompt le quotidien et en inverse les codes afin de proposer un autre mode de vie culturelle, tourné vers la découverte artistique. Ce festival est un microcosme qui réunit une diversité de publics: les habitués comme ceux qui viennent pour la première fois, les amateurs de musique curieux comme les professionnels du secteur, les Rennais comme les internationaux. Pensées dès l’origine comme l’occasion de faire se rencontrer des artistes et des publics, les Trans ont développé à partir du début des années 2000 une politique de relations aux publics et d’action culturelle. Elle s’est notamment appuyée, dès 2003, sur la réalisation d’enquêtes sur les publics du festival. Ces recherches sont poussées par la volonté d’utiliser les sciences humaines et sociales comme aliment et matière de la réflexion et ainsi de passer d’une conviction à des connaissances, puis à un savoir. Les années 2010 ont ainsi vu le lancement de travaux menés chaque année par l’Université d’Avignon et des Pays de Vaucluse, afin de bénéficier d’une expertise en sociologie et avoir ainsi une meilleure connaissance des publics du festival. Plus largement, les recherches sur ces écosystèmes que sont les festivals permettent de mieux comprendre la société en perpétuelle évolution, quelles qu’en soient les dimensions observées.

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