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Cette étude porte sur le système de santé de la Côte d’Ivoire post-Covid-19. L’objectif visé est de contribuer à l’amélioration du système de santé ivoirien post-Covid-19. La méthodologie de recherche adoptée est basée sur la recherche documentaire et l’enquête de terrain (entretiens semi-directifs). Les résultats révèlent que, le pays dispose d’un système de santé de type pyramidal avec deux (2) versants hérité de la colonisation. L’étude montre également, qu’en dépit de nombreux moyens mobilisés par le gouvernement ivoirien et le soutien des partenaires au développement, le COVID-19 a fait plus de 800 victimes et a accentué les réserves des populations à l’égard du système de soins. L’étude invite à un système de santé performant et résilient post-Covid-19 avec une grande capacité de prévention et de gestion des urgences de santé publique en vue d’assurer la qualité et l’équité des soins

L’eau est un bien naturel qui intervient dans le fonctionnement des communautés. Il est donc primordial d’entretenir les infrastructures hydrauliques, afin de garantir leur pérennité pour une meilleure protection de la santé. L’eau recueillie peut être de bonne qualité, mais le transport et la conservation peut dégrader sa qualité. Aussi, pendant la saison des pluies, l’eau de ruissellement se déverse dans les sources d’eau non améliorées. Cette situation est observée dans les localités rurales de Bognonzra et Gobazra. L’étude vise à analyser les facteurs qui rendent difficiles l’approvisionnement en eau susceptibles d’influencer négativement la santé des populations de Bognonzra et Gobazra. Il a été question pour la méthodologie adoptée de faire une recherche documentaire et des enquêtes de terrains (Quinze femmes et dix hommes ont été interviewés dans chaque village). Les résultats se déclinent comme suit: le disfonctionnement du réseau d’approvisionnement en eau de la SODECI, la défaillance d’une HVA à Bognonzra contre trois HV fonctionnelles. Gobazra compte six HV, dont trois en pannes et trois fonctionnelles. Les difficultés pour se procurer de l’eau s’accentuent en saison sèche. Consciente des pathologies hydriques, la population évite de consommer l’eau de marigot et de puits non protégés en saison pluvieuse.