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National audience; La protection sociale est un droit fondamental de notre pays. "La nation garantit à tous, notamment à l'enfant, à la mère et aux vieux travailleurs, la protection de la santé, la sécurité matérielle, le repos et les loisirs", tels sont les termes employés dans le préambule de la Constitution de 1946. Cependant, les problèmes d'équilibre financiers que rencontrent différentes branches et régimes de notre protection sociale soulèvent de nombreuses questions. En particulier, le risque de longévité a une composante systématique qui met en péril les systèmes de retraite. Beaucoup s'interrogent sur les solutions à apporter afin de pérenniser le système, et on observe d'ailleurs une convergence des solutions proposées : intervention de l'Etat, fonds de réserve, tentative d'implication des marchés de capitaux... Probablement, la complexité des systèmes de protection sociale ne permet de définir une solution simple et unique. En revanche, il semble intéressant de se pencher sur les différentes possibilités de financement permettant de répartir au mieux le risque de longévité sur les agents les plus aptes à le porter et peut-être éviter la faillite de nombreux acteurs de la protection sociale et du secteur de l'assurance privée.

L'objet de cet article est de dresser un état des lieux de l'accès aux différentes ressources financières des PME françaises en soulignant le rôle des parties prenantes : de l'état au travers de sa possibilité de soutenir l'octroi de prêt bancaire via un dispositif de "prêt garanti", des investisseurs-privés et de celui étroitement lié des marchés de capitaux apporteurs de fonds propres. Notre analyse est fondée sur un ensemble de données récentes qui nous permettent de mettre en perspectives l'intérêt et la place des différents acteurs dans l'amélioration des conditions de financement des PME françaises.

PURPOSE: Postmortem computed tomography angiography (PMCTA) was introduced into forensic investigations a few years ago. It provides reliable images that can be consulted at any time. Conventional autopsy remains the reference standard for defining the cause of death, but provides only limited possibility of a second examination. This study compares these two procedures and discusses findings that can be detected exclusively using each method. MATERIALS AND METHODS: This retrospective study compared radiological reports from PMCTA to reports from conventional autopsy for 50 forensic autopsy cases. Reported findings from autopsy and PMCTA were extracted and compared to each other. PMCTA was performed using a modified heart-lung machine and the oily contrast agent Angiofil® (Fumedica AG, Muri, Switzerland). RESULTS: PMCTA and conventional autopsy would have drawn similar conclusions regarding causes of death. Nearly 60 % of all findings were visualized with both techniques. PMCTA demonstrates a higher sensitivity for identifying skeletal and vascular lesions. However, vascular occlusions due to postmortem blood clots could be falsely assumed to be vascular lesions. In contrast, conventional autopsy does not detect all bone fractures or the exact source of bleeding. Conventional autopsy provides important information about organ morphology and remains the only way to diagnose a vital vascular occlusion with certitude. CONCLUSION: Overall, PMCTA and conventional autopsy provide comparable findings. However, each technique presents advantages and disadvantages for detecting specific findings. To correctly interpret findings and clearly define the indications for PMCTA, these differences must be understood.

L'allongement de l'espérance de vie que nous connaissons actuellement se traduit par la naissance d'un nouveau groupe social de personnes âgées nombreuses et en bonne santé. Bien au-delà de la question du financement des risques liés au vieillissement - risque de longévité défini comme le risque de survivre à ses ressources, risque de dépendance en fin de vie, risque de faillite de nos systèmes de retraite...-, la compréhension des changements qui s'opèrent à notre insu dans l'organisation de la société est fondamentale. C'est la place des personnes âgées dans notre société qu'il s'agit de définir avant de tenter de répondre à toute question de financement. Un réel projet de société doit être bâti afin d'accompagner les changements qui s'opèrent dans le sens choisi. Aussi, il apparaît nécessaire de redéfinir une politique d'équité offrant la possibilité de faire évoluer les solidarités existantes de nos sociétés, et ce, en se fondant sur un dialogue démocratique permettent l'obtention d'un consensus. C'est à cette condition, et à cette condition seulement, que nous pourrons pleinement saisir les opportunités que présentent nos sociétés vieillissantes.