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2. Validation d’un tableau de bord d’indicateurs sur un réseau national de fermes en grande culture et en viticulture pour diagnostiquer la qualité biologique des sols agricoles
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Cannavacciulo, M., Cassagne, N., Riou, V., Mulliez, P., Chemidlin Prévost-Bouré, Nicolas, Dequiedt, Samuel, Villenave, C., Cérémonie, H., Cluzeau, D., Cylly, D., Vian, J.F., Peigné, J., Gontier, L., Fourrié, L., Maron, Pierre-Alain, D’oiron Verame, E., Ranjard, Lionel, Unité LEVA, Ecole supérieure d'Agricultures d'Angers (ESA), Chambre d'Agriculture du Maine et Loire (CA 49), Agroécologie [Dijon], Institut National de la Recherche Agronomique (INRA)-Université de Bourgogne (UB)-AgroSup Dijon - Institut National Supérieur des Sciences Agronomiques, de l'Alimentation et de l'Environnement-Université Bourgogne Franche-Comté [COMUE] (UBFC), Elisol Environnement, Ecosystèmes, biodiversité, évolution [Rennes] (ECOBIO), Université de Rennes 1 (UR1), Université de Rennes (UNIV-RENNES)-Université de Rennes (UNIV-RENNES)-Institut Ecologie et Environnement (INEE), Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Observatoire des Sciences de l'Univers de Rennes (OSUR)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Institut Supérieur d'Agriculture et d'Agroalimentaire Rhône-Alpes (ISARA), IFV Sud Ouest, Institut Français de la Vigne et du Vin (IFV), Institut Technique de l'Agriculture Biologique (ITAB), Observatoire Français des Sols Vivants, Université de Bourgogne (UB)-Institut National de la Recherche Agronomique (INRA)-Université Bourgogne Franche-Comté [COMUE] (UBFC)-AgroSup Dijon - Institut National Supérieur des Sciences Agronomiques, de l'Alimentation et de l'Environnement, Institut supérieur d'agriculture et d'agroalimentaire Rhône-Alpes (ISARA), Légumineuses, Ecophysiologie Végétale, Agroécologie (LEVA), Institut National de la Recherche Agronomique (INRA)-Ecole supérieure d'Agricultures d'Angers (ESA), Université de Rennes (UR)-Institut Ecologie et Environnement (INEE), Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Observatoire des Sciences de l'Univers de Rennes (OSUR), Université de Rennes (UR)-Institut national des sciences de l'Univers (INSU - CNRS)-Université de Rennes 2 (UR2)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Institut National de Recherche pour l’Agriculture, l’Alimentation et l’Environnement (INRAE)-Institut national des sciences de l'Univers (INSU - CNRS)-Université de Rennes 2 (UR2)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Institut National de Recherche pour l’Agriculture, l’Alimentation et l’Environnement (INRAE)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Institut supérieur d'agriculture et d'agroalimentaire Rhône-Alpes (I.S.A.R.A.), Ecole Supérieure d'Agricultures d'Angers ( ESA d'Angers ), Chambre d'Agriculture du Maine et Loire ( CA 49 ), Institut National de la Recherche Agronomique ( INRA ) -Université de Bourgogne ( UB ) -AgroSup Dijon - Institut National Supérieur des Sciences Agronomiques, de l'Alimentation et de l'Environnement-Université Bourgogne Franche-Comté ( UBFC ), Ecosystèmes, biodiversité, évolution [Rennes] ( ECOBIO ), Université de Rennes 1 ( UR1 ), Université de Rennes ( UNIV-RENNES ) -Université de Rennes ( UNIV-RENNES ) -INEE-Observatoire des Sciences de l'Univers de Rennes ( OSUR ) -Centre National de la Recherche Scientifique ( CNRS ), Institut Supérieur d'Agriculture et d'Agroalimentaire Rhône-Alpes ( ISARA ), and Institut Technique de l'Agriculture Biologique ( ITAB )
- Subjects
agroecology ,diagnostic biologique ,agricultural soil ,training ,[ SDV ] Life Sciences [q-bio] ,biological diagnosis ,[SDV]Life Sciences [q-bio] ,agroécologie ,formation ,sols agricoles - Abstract
Dans un contexte de transition agroécologique, le projet Agrinnov a permis de valider un tableau de bord d’indicateurs analytiques de la qualité biologique des sols agricoles permettant aux agriculteurs d’appréhender l’impact de leurs pratiques. Le projet AgrInnov a amené des chercheurs et des agriculteurs à collaborer. En parallèle du tableau de bord (comprenant des indicateurs de faune du sol, de microbiologie et agronomiques), des formations sur la biologie des sols ont été élaborées ainsi qu’un mode opératoire de transfert. Les formations et le tableau de bord ont été déployés sur un réseau national de plus de 250 fermes en grande culture et en viticulture. D’un point de vue scientifique, il a été démontré que moins de 10% des parcelles testées étaient dans un état critique en termes de biologie du sol ce qui est encourageant sur la qualité des sols agricoles, même si il faudrait développer leur surveillance sur un plus grand nombre de fermes et de systèmes de production afin d’avoir un diagnostic plus exhaustif et représentatif. D’un point de vue opérationnel, plus de 97% des agriculteurs ont suivi le projet jusqu’au bout avec un fort investissement de leur part. Par conséquent, le projet AgrInnov a fait la démonstration opérationnelle de l’application et de l’appropriation par les agriculteurs des nouveaux outils de diagnostic de la qualité des sols émanant directement de la recherche, Within a context of agroecological transition, the Agrinnov project validated a set of indicators of the biological quality of agricultural soils to enable farmers to grasp the impact of their practices. AgrInnov project brought researchers and farmers to work together. To accompany the set of indicators of soil fauna, microbiology and agronomy, training sessions on soil biology have also been implemented together with an appropriate transfer procedure. The training sessions and the set of indicators were spread on a national network of more than 250 field-crop and viticulture farms. From an operational viewpoint, more than 97% of the farmers invested heavily in the project and stayed involved throughout Cannavacciulo M. et al. 42 Innovations Agronomiques 55 (2017), 41-54 the project. From a scientific viewpoint, less than 10% of the tested plots were assessed to be in a critical state in terms of soil biology, which is encouraging on agricultural soil quality, even though the monitoring should be developed on a broader number of farms and production systems in order to have a more exhaustive and representative diagnosis. Thus the AgrInnov project demonstrated the application and adoption by the farmers of new research-based tools for diagnosing soil quality.
- Published
- 2017
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3. Interactions entre facteurs biotiques et fonctionnement des associations végétales
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Guenaelle Corre - Hellou, Alain Baranger, Laurent Bedoussac, Cassagne, N., Cannavacciuolo, M., Joelle, J., Elise Pelzer, Piva, G., Groupe ESA UR LEVA, PRES Université Nantes Angers Le Mans (UNAM), Institut de Génétique, Environnement et Protection des Plantes (IGEPP), AGROCAMPUS OUEST-Université de Rennes 1 (UR1), Université de Rennes (UNIV-RENNES)-Université de Rennes (UNIV-RENNES)-Institut National de la Recherche Agronomique (INRA), Agrosystèmes Cultivés et Herbagers (ARCHE), Institut National de la Recherche Agronomique (INRA)-Ecole Nationale Supérieure Agronomique de Toulouse-Institut National Polytechnique (Toulouse) (Toulouse INP), Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées-Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées, Agronomie, AgroParisTech-Institut National de la Recherche Agronomique (INRA), Ecole supérieure d'Agricultures d'Angers (ESA), Institut National de la Recherche Agronomique (INRA)-Université de Rennes 1 (UR1), Université de Rennes (UNIV-RENNES)-Université de Rennes (UNIV-RENNES)-AGROCAMPUS OUEST, Institut national d'enseignement supérieur pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement (Institut Agro)-Institut national d'enseignement supérieur pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement (Institut Agro), Institut National de la Recherche Agronomique (INRA)-École nationale supérieure agronomique de Toulouse [ENSAT]-Institut National Polytechnique (Toulouse) (Toulouse INP), Institut National de la Recherche Agronomique (INRA)-AgroParisTech, Ecole Supérieure d'Agricultures d'Angers (ESA d'Angers). Angers, FRA., Institut National de la Recherche Agronomique (INRA)-Université de Rennes (UR)-AGROCAMPUS OUEST, Ecole Nationale de Formation Agronomique de Toulouse (ENFA), AGroécologie, Innovations, teRritoires (AGIR), Institut National de la Recherche Agronomique (INRA)-Institut National Polytechnique (Toulouse) (Toulouse INP), Université de Toulouse (UT)-Université de Toulouse (UT), Légumineuses, Ecophysiologie Végétale, Agroécologie (LEVA), and Institut National de la Recherche Agronomique (INRA)-Ecole supérieure d'Agricultures d'Angers (ESA)
- Subjects
associations végétales ,Vegetal Biology ,facteurs biotiques ,[SDV]Life Sciences [q-bio] ,[SDV.BV]Life Sciences [q-bio]/Vegetal Biology ,interactions ,bioagresseurs ,pédofaune ,Biologie végétale - Abstract
Les associations végétales, par la complexité du couvert végétal qu’elles créent, sont le siège d’interactions biotiques particulières avec les ravageurs, les prédateurs, les champignons pathogènes, les adventices ou encore les organismes non pathogènes du sol. Cet article traite de la diversité des mécanismes en jeu (modification de paramètres tels que la disponibilité, la compétition et la complémentarité temporelle et spatiale pour les ressources, le microclimat, les stimuli variés, l’allélopathie) permettant de mieux comprendre leurs effets potentiels sur ces interactions pour diverses combinaisons d’espèces. De nombreux exemples mettent en avant l’intérêt des associations végétales pour lutter contre les bioagresseurs. Par ailleurs de nouveaux mécanismes sont aujourd’hui explorés notamment au niveau de la biologie des sols, qui semblent avoir un effet important sur le fonctionnement des associations végétales. Cependant, même si les travaux de recherche se développent sur l’analyse des facteurs biotiques pour une diversité de combinaisons d’espèces, ils restent encore rares en France et doivent se poursuivre tout en s’appuyant sur les observations (réussites et échecs) des agriculteurs et sur plusieurs essais en conditions agricoles avant leur déploiement pour un objectif donné bien identifié., Several particular biotic interactions including pests, predators, pathogens, weeds and non-pathogenic soil organisms occur in intercropping systems due to the diversity of the canopy. This paper deals with the range of mechanisms (modification of different parameters such as availability of resources, competition and temporal and spatial complementarity for resources, microclimate, various stimuli, allelopathy) involved in order to better understand the potential effects in various intercropping systems. Several examples illustrate the positive effects of intercropping on pests, diseases and weeds. Moreover new mechanisms including soil organisms have also been recently investigated and may have major effects on the functioning of intercrops. There is an increase in published papers recently concerning biotic factors for a wide range of intercropping systems. However studies remain scarce in France and should be further developed while involving farmers (observations of success and failures) and testing new practices in agricultural conditions before their implementation for a well-defined objective.
- Published
- 2014
4. La Résistivité Electrique : une nouvelle méthode de cartographie de certaines propriétés des sols forestiers et des formes humus
- Author
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Paillet, Y., Cassagne, N., Cecillon, L., BRETON, Vincent, Mermin, E., Tardif, P., Brun, J.J., Ecosystèmes montagnards (UR EMGR), and Institut national de recherche en sciences et technologies pour l'environnement et l'agriculture (IRSTEA)
- Subjects
SOL DE FORET ,[SDE]Environmental Sciences ,RESISTIVITE ,HUMUS ,EXPERIMENTATION ,METHODE ,PROPRIETE DU SOL ,RESISTIVITE ELECTRIQUE ,METHODOLOGIE ,CARTOGRAPHIE - Abstract
National audience; Pourquoi mesurer la résistivité électrique des sols ? L'hétérogénéité spatiale des sols forestiers doit être prise en compte tant par le gestionnaire que par le scientifique, notamment lorsqu'il s'agit d'étudier d'éventuelles modifications sur le long terme. Actuellement, les méthodes qui permettent de rendre compte de cette hétérogénéité sont peu nombreuses et conduisent la plupart du temps à l'altération, voire la destruction, du milieu étudié. Au cours des dernières décennies, plusieurs études ont montré des relations entre les propriétés physiques et chimiques du sol et la résistivité électrique. La résistivité électrique (ρ) est définie comme suit : ρ = K.ΔV/I où K est un facteur géométrique qui dépend de la configuration utilisée lors de la mesure, ΔV la différence de potentiel et I l'intensité (donc ΔV/I la résistance). La majorité des études actuelles sont menées sur les sols agricoles alors que les études sur les sols forestiers sont très rares. Le but de notre étude est : (i) d'identifier dans quelle mesure les propriétés des sols forestiers influencent la résistivité électrique ; (ii) de préciser les éventuelles implications pour la prise en compte de l'hétérogénéité spatiale du sol lors de la mise en place de protocoles expérimentaux. Comment mesure-t'on la résistivité électrique des sols ? Les mesures de résistivité sur une maille de 5x10m sur l'ensemble de la placette nous a permis de tracer une carte de résistivité électrique du sol. Cette carte est ensuite utilisée pour définir un protocole d'échantillonnage du sol équilibré entre les différentes classes de résistivité et relier ainsi les propriétés mesurées du sol à une valeur de résistivité in situ. La campagne de mesure se déroule sur 2 jours : la mesure de résistivité le premier jour ; le prélèvement des 24 échantillons de sol le second jour, la localisation des points d'échantillonnage étant définie à partir de la carte de résistivité. Pour que ces mesures soient valables, il ne doit pas pleuvoir entre les 2 phases de travail. Les résultats présentés ont été obtenus sur la placette RENECOFOR EPC74, située dans la forêt domaniale des Voirons, en Haute-Savoie. Deux exemples de caractérisation des variations des propriétés du sol : la teneur en argile et la forme d'humus On observe des corrélations significatives entre certaines propriétés du sol et la résistivité mesurée sur la placette. Ainsi, la résistivité traduit 57% des variations de la teneur en argile du sol et 41% des variations des formes d'humus.La résistivité représente une mesure indirecte et non destructive des propriétés du sol qui permet d'établir une cartographie assez précise de ces propriétés. Sur la placette EPC74, les zones de forte résistivité (brun foncé) correspondent à des sols sableux drainants, pauvres en cations échangeables et à humus peu actifs (Dysmull), probablement issus de la désagrégation de moraines glaciaires. Les zones de faible résistivité (jaune) correspondent à des sols argileux riches en cations et à formes d'humus actives (Eumull). Nos résultats confirment ceux obtenus en terrains agricoles pour les propriétés intrinsèques du sol (texture, chimie). La corrélation avec la forme d'humus est plus originale et permet une cartographie ce compartiment clé du milieu forestier qui assure de nombreuses fonctions de l'écosystème. Cependant, la calibration des mesures de résistivité par au minimum 6 échantillons de sol doit être reproduite pour chaque site étudié car les variations spatiales et temporelles de propriétés telles que l'humidité influencent fortement les mesures et ne permettent pas de construire un modèle général de relation résistivité / propriétés du sol. Implications pour le réseau RENECOFOR: L'utilisation de la résistivité électrique a un triple intérêt car elle permet : (i) d'obtenir des informations spatialisées sur la placette étudiée ; (ii) de définir des protocoles expérimentaux qui prennent en compte la variabilité spatiale des propriétés du sol ; (iii) de réaliser des suivis dans le temps dans le but de détecter des modifications de fertilité.
- Published
- 2008
5. Endemic collembola, priviliged bioindicators of forest management
- Author
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Cassagne, N., THIERRY GAUQUELIN, Charles Gers, Ecosystèmes montagnards (UR EMGR), Institut national de recherche en sciences et technologies pour l'environnement et l'agriculture (IRSTEA), Laboratoire Dynamique de la Biodiversité (LADYBIO), Université Toulouse III - Paul Sabatier (UT3), and Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées-Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)
- Published
- 2006
6. Predicting soil quality indices with near infrared analysis in a wildfire chronosequence
- Author
-
CECILLON, L, primary, CASSAGNE, N, additional, CZARNES, S, additional, GROS, R, additional, VENNETIER, M, additional, and BRUN, J, additional
- Published
- 2009
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7. Discrimination of vegetation strata in a multi-layered Mediterranean forest ecosystem using height and intensity information derived from airborne laser scanning
- Author
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Morsdorf, F, Marell, A, Koetz, B, Cassagne, N, Pimont, F, Rigolot, E, and Allgöwer, B
- Subjects
15. Life on land
8. [Effects of fire recurrence on fire behaviour in cork oak woodlands (Quercus suber L.) and Mediterranean shrublands over the last fifty years].
- Author
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Schaffhauser A, Pimont F, Curt T, Cassagne N, Dupuy JL, and Tatoni T
- Subjects
- Ecosystem, France, Time Factors, Fires, Forests, Quercus
- Abstract
Past fire recurrence impacts the vegetation structure, and it is consequently hypothesized to alter its future fire behaviour. We examined the fire behaviour in shrubland-forest mosaics of southeastern France, which were organized along a range of fire frequency (0 to 3-4 fires along the past 50 years) and had different time intervals between fires. The mosaic was dominated by Quercus suber L. and Erica-Cistus shrubland communities. We described the vegetation structure through measurements of tree height, base of tree crown or shrub layer, mean diameter, cover, plant water content and bulk density. We used the physical model Firetec to simulate the fire behaviour. Fire intensity, fire spread, plant water content and biomass loss varied significantly according to fire recurrence and vegetation structure, mainly linked to the time since the last fire, then the number of fires. These results confirm that past fire recurrence affects future fire behaviour, with multi-layered vegetation (particularly high shrublands) producing more intense fires, contrary to submature Quercus woodlands that have not burnt since 1959 and that are unlikely to reburn. Further simulations, with more vegetation scenes according to shrub and canopy covers, will complete this study in order to discuss the fire propagation risk in heterogeneous vegetation, particularly in the Mediterranean area, with a view to a local management of these ecosystems., (Copyright © 2015 Académie des sciences. Published by Elsevier SAS. All rights reserved.)
- Published
- 2015
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