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11 pages + poster; International audience; The aim of this study was to analyse the relationships between soil colour and the duration of soil waterlogging by phreatic or perched groundwater, in a representative hillside of the West African granito-gneissic bedrock. This duration is a decisive parameter for agricultural or forestry development, but it can vary widely over short distances on hillsides, such as those of the West African granito-gneissic bedrock. Whereas existing methods do not give ready access to this parameter, two arguments suggest that soil colour could give relatively low cost and low time-consuming indicators of the duration of soil waterlogging: i) soil color depends on the types of soil constituents present, which can depend on the duration of soil waterlogging; ii) soil color is also easily accessible and relatively stable over time. The selected catena was in central Togo lat 8°38'–8°39'N, long 1°00''–1°01''E, in a biophysical environment covering some 500,000 km in West Africa. Nineteen hydropedological stations were installed on this catena. Soil and piezometric conditions were studied on these stations for three annual cycles (1989–1992). Data collected in each station were used to calculate the mean annual rate of soil waterlogging (WLG) at 10-cm intervals from the surface down to a depth of 7 m. At the same intervals, 8 numerical colour variables were calculated from the colours of the uncemented soil phases: Munsell value, chroma, angular hue and redness rating of the principal uncemented phase; mean Munsell value, mean chroma, mean angular hue and mean redness rating. Statistical relationships were established between WLG and each of these soil colour variables. The two most significant relations were those between WLG on one hand, and mean angular hue and mean redness rating on the other hand. These two relationships provided the basis for logistic models predicting the mean annual rate of soil waterlogging. The operational limits of these models were finally discussed.

Une bonne corrélation entre la circonférence du tronc et le poids sec de l'arbre, établie sur huit individus d'#Acacia mangium$ et huit individus d'#Acacia auriculiformis$, a permis d'évaluer la biomasse de peuplements de sept de ces espèces, ainsi que leur minéralomasse. Les valeurs de 120 à 130 t/ha de biomasse aérienne sont comparables à ce que l'on obtient en plantation d'eucalyptus sur le même sol. La minéralomasse des acacias est faible à l'exception de l'azote. (Résumé d'auteur)

Cette étude traite de l'influence de l'arbre sur la structure et le fonctionnement de la végétation herbacée des phytocénoses sahéliennes du Ferlo (Réserve de Sogobé, 282 mm de pluies annuelles) au Nord-Sénégal. Après avoir rappelé les connaissances relatives aux effets de l'arbre sur le tapis herbacé dans d'autres zones bioclimatiques, les conditions sahéliennes ont été présentées. L'étude aborde ensuite les aspects méthodologiques. Les observations ont porté sur la composition floristique, la production épigée et hypogée, la composition minérale et la phénologie de la strate herbacée. De plus, certains paramètres édaphiques et microclimatiques ont été mesurés afin de caractériser les niches hors et sous couvert ligneux. Les résultats recueillis au cours des cycles 1989 et 1990 à l'échelle de la station et du secteur écologique ont montré que la végétation sahélienne est constituée de communautés déterminées essentiellement par le facteur éclairement et le gradient hydrique. L'analyse des interactions Arbre/Herbe révèle que celles-ci se manifestent beaucoup plus par des relations de complémentarité. L'ensemble de ces résultats nous a permis de proposer pour le Sahel un modèle d'interaction Arbre/Herbe. (D'après résumé d'auteur)