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The caesarean section rate is gradually increasing in most countries. The frequency of occurrence of foetal injury per birth is estimated to 1%. The majority of these injuries presents a low functional impact, but remains responsible for a significant neonatal morbidity. Even though the foetal risk factors are well documented in cases of vaginal birth, they have not been accurately identified for caesarean section. The aim of this study is to identify the risk factors for neonatal fracture during caesarean section.We conducted a retrospective case-control study comparing complicated caesarean sections foetal fracture with uncomplicated caesarean sections in a tertiary teaching hospital. We collected all the caesarean sections carried out between 1st January 2003 and 1st September 2015 and selected those the medical files of which presented a foetal fracture diagnosis.We identified 10 fractures during the study period, including four skull fractures, three long bone fractures, three clavicle fractures. In all these cases there were no complications with a median perspective of six years (median=6, IQR=4). The push method, which is performed during a caesarean section at the second stage of labour, is identified as a risk factor for foetal trauma in our study (OR: 20.2 [2.8-116.85], p0.01). A significant correlation was found between transverse lie and foetal trauma (OR: 16.67, CI [1.39; 123.18], p=0.0137).Foetal trauma during caesarean delivery is a rare event for which the prognosis is most often favourable. Data in the literature on the subject are minimal. This study highlighted transverse lie and the push method as risks factors for foetal fractures during caesarean sections. This research did not receive any specific grant from funding agencies in the public, commercial, or not-for-profit sectors.

Une enquête annuelle auprès de professionnels de l’éducation a été réalisée par l’INJEP et Vérès Consultants depuis 2011 sur les usages de Twitter en milieu scolaire. Elle fait partie d’une série d’études et d’expérimentations initiées dans le cadre d’une recherche-formation-action plus générale concernant le développement d’outils de suivi des pratiques d’Internet des jeunes et des professionnels de l’éducation et de la jeunesse. Les résultats de cette enquête montrent que ce type de pratique numérique réinterroge la relation éducative. Ils éclairent également sur les compétences développées par les acteurs, tant les jeunes que les professionnels, et sur les apports d’outils numériques, que ce soit en termes pédagogiques, de réseau ou de co-formation, ceci dans un contexte institutionnel encore perçu par les professionnels comme peu favorisant.

L'étude qualitative, dont on trouvera les principaux résultats ci-dessous, a été réalisée pour le Fasild en 2004 et 2005 dans quatre régions françaises : l'Aquitaine, la Bretagne, le Centre et le Poitou-Charentes, qui ne sont pas des régions d'afflux massifs d'immigrés. Il s'agissait, dans des territoires où les moyens mis en œuvre sont moins importants et les lieux d'arrivée plus disséminés, d'analyser la situation de l'accueil, d'identifier les besoins et de fournir des éléments contribuant à son amélioration., Enel Françoise, Delesalle Cécile. Les primo-arrivants en région : Aquitaine, Bretagne, Centre, Poitou-Charentes. In: Hommes et Migrations, n°1261, Mai-juin 2006. Accueillir autrement. pp. 87-100.