Brachet, Marie-Lisa, Moronvalle, A., Désiré, Sylvie, Mechenin, V., Sclaunich, Eric, Labeyrie, Baptiste, Bornes, S., Chevallier, Louise, Poliakoff, Françoise, Morris, Cindy, Borschinger, Benoit, Laboratoire Départemental Vétérinaire et d'Hygiène Alimentaire des Hautes Alpes, Fédération Départementale des Groupements de Défense contre les Organismes Nuisibles (64) (FDGDON ), Fédération Régionale de Défense contre les Organismes Nuisibles d'Aquitaine (FREDON Aquitaine), Fruits et Légumes d'Aquitaine (INVENIO), Station d’Expérimentation Fruits Rhône-Alpes (SEFRA), Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (ANSES), Station de Pathologie Végétale (AVI-PATHO), Institut National de la Recherche Agronomique (INRA), PACA, Ctifl - Centre de Lanxade (Ctifl - Centre de Lanxade ), Centre Technique Interprofessionnel des Fruits et Légumes (CTIFL), and Unité de Pathologie Végétale (PV)
Ce numéro comprend les articles correspondant aux présentations du Colloque Casdar 2018.; Bacterial canker of kiwifruit, Pseudomonas syringae pv. actinidiae, has caused severe damages inFrance since 2010 and has spread throughout nearly all the kiwifruit production areas. A 3-yearresearch project began in 2012, fruit of cooperation between one institute (Ctifl), two researchlaboratories (ANSES, INRA), and three regional partners (Sefra, Invenio and Fredon Aquitaine).Partners were able to acquire knowledge on the development and the behavior of this bacterium as wellas to develop a series of tests (an official detection method, pathogenicity tests, a varietal susceptibilitytest) and to assess different control strategies.; La bactériose du kiwi, Pseudomonas syringae pv. actinidiae, sévit depuis 2010 en France et concernemaintenant la quasi-totalité des aires de production. Un programme de recherche a vu le jour en 2012pour 3 années, fruit d’un partenariat entre un institut (Ctifl), deux laboratoires (Anses, Inra) et troiscollaborateurs régionaux (Sefra, Invenio, Fredon Aquitaine). Il a permis aux partenaires i) d’acquérir desconnaissances quant au développement et au comportement de cette bactérie ; ii) de mettre au pointun certain nombre de test (méthode officielle de détection, tests de pathogénicité, test de sensibilitévariétale) ; et iii) d’évaluer différentes stratégies de protection. Beaucoup de données et d’informationsont ainsi été générées, et sont maintenant disponibles pour les producteurs.