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Additional file 1. Cytokine secretion after mitogen reactivation of PBMC

Ce travail cherche à rendre compte des phénomènes d'attraction de l'accord en nombre du verbe par le second nom du sujet complexe ([N1] de [N2]) et ce, dans la continuité de l'étude de Smith, Tabor et Franck (in prep) menée en anglais, qui propose de réfléchir aux effets d'attraction liés à un gradient de grammaticalisation du premier syntagme nominal (N1) du sujet complexe pseudo-partitif. Dans un premier temps, nous exposons les théories sémantiques principales à disposition, ainsi que deux modèles de l'accord, « Marking & Morphing » qui instancie une illustration de l'approche standard de l'accord et un autre « Feature & Controller Selection » qui propose une vision alternative...

Resumen del trabajo presentado a la 3rd International ImpARAS Conference, celebrada en Helsingør (Dinamarca) del 10 al 12 de octubre de 2017., [Background] Protein-induced enterocolitis syndrome (FPIES) is a non-IgE mediated food allergy of increasing prevalence for which immune mechanisms are not elucidated and no biomarkers are available., [Objectives] We aimed 1) to further characterize immune response and 2) to carry complementary and innovative approaches using metabolomics to go deeper in pathogenesis and to identify specific biomarkers of cow’s milk induced-FPIES (CM-FPIES), [Methods] Children with active CM-FPIES (n=9) or active IgE-mediated CM allergy (IgE-CMA, n=6; also avoiding CM consumption) were recruited in Hospital Necker day care Unit when visiting to perform an oral food challenge (OFC). Blood samples were collected before the OFC. Plasma from age-matched patients tolerant to CM but presenting an IgE-mediated peanut allergy (n=6) were used as controls. The total and CM-allergens specific IgE, IgG1-4, IgA, IgM and IgD were assessed in all plasma, as the same as IgE and IgG4 specific to digestats obtained after in vitro gastric and gastro-duodenal digestion of CM. Specific ex-vivo stimulation of PBMC from CM-FPIES and IgE-CMA children were performed and cytokine secretion and cellular proliferation induced analyzed. Additionally, T cells and innate lymphoid cells (ILC) were analyzed in intestinal biopsies obtained from children with active (n=2) vs non active (n=2) FPIES. Finally, individual metabolic profiles were obtained using two complementary LC-MS methods analysis on plasma from CM-FPIES patients and compared to that obtained from patients suffering from active or resolved IgE-CMA (negative OFC, n=3)., [Results] Systemic antigen-specific T-cells and humoral responses were evidenced in IgE-CMA patients whereas they were weak or even absent in CM-FPIES patients, an absence of response that cannot then be restricted to a lower exposure to cow’s milk. Preliminary data evidenced activated Th1, Th2 and Th17 cells and activated innate lymphoid cells showing a mixed ILC1/2 phenotype within the intestinal mucosa of active FPIES. Moreover, discriminant statistical analysis of metabolic profiles clearly separated CM-FPIES versus IgE-CMA patients. Further univariate analysis allowed the identification of discriminant metabolites, demonstrating notably dysregulation of fatty acids metabolism in CM-FPIES children., [Conclusions] Children with CM-FPIES have a weak or absent systemic specific immune responses. Our preliminary data suggest that new studies analysing innate and adaptive cells in the mucosa may help to delineate the pathophysiology of FPIES. Metabolomics could further help to identify biomarkers for FPIES, by highlighting altered metabolic pathways.

Le syndrome de Frey est rare en pédiatrie, souvent confondu avec une allergie alimentaire, amenant à la réalisation d’examens complémentaires inutiles et à des prises en charge inadaptées. 106 cas pédiatriques sont rapportés dans la littérature. La cause présumée la plus fréquente est l’extraction instrumentale par forceps ou spatules. Le traumatisme obstétrical serait à l’origine de la lésion du nerf auriculo-temporal, entraînant une régénération aberrante de fibres parasympathiques vers la peau. Ce travail est une étude rétrospective colligeant 10 observations d’enfants ayant développé ce syndrome, diagnostiqué à la consultation d’allergologie pédiatrique du CHU de Nice, entre octobre 2008 et avril 2014. Tous ont subi un traumatisme obstétrical par extraction instrumentale. L’âge moyen de début des symptômes était de 8,00 mois, correspondant pour 9 enfants au début de la diversification alimentaire. Tous avaient développé un flush unilatéral au niveau de la région auriculo-temporale, déclenché dès l’ingestion des aliments, régressant spontanément. 5 enfants avaient eu des tests allergologiques, tous négatifs. L’âge moyen de diagnostic était de 28,40 mois. L’évolution clinique était favorable avec une régression partielle des symptômes à partir de l’âge de 3,20 ans. Les symptômes étaient moins intenses et, déclenchés seulement après certains stimuli (sucré, acide, salé). L’apparition d’un flush gustatif au niveau du territoire du nerf auriculo-temporal après l’ingestion d’aliments à saveur sucrée, acide ou salé doit faire évoquer un syndrome de Frey. En pédiatrie, ce syndrome reste une pathologie strictement clinique, ne nécessitant aucune exploration diagnostique ni traitement.