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L'objet de ce mémoire trouve ses racines dans les recherches sur l' International Klein Blue, couleur chère à l'artiste Yves Klein (1928 – 1962). Elle se caractérise par une importante quantité de pigment bleu outremer dispersé dans un liant synthétique selon un procédé bien précis. Après une série de reconstitutions à partir des sources écrites et de témoignages oraux, nous avons souhaité élargir notre sujet de recherche à la quantification de la pulvérulence des couches picturales mates, problème récurrent dans certaines œuvres modernes et contemporaines.L'analyse de la bibliographie nous a permis d'identifier certaines lacunes dans la méthodologie d'expérimentation, qui ont été mises à profit pour concevoir notre propre protocole. Des instruments de mesure sans contact ont servi à observer des éprouvettes réalisées avec des concentrations volumiques pigmentaires variables, mises en œuvre à partir d'un pigment, le bleu outremer et deux liants fréquents dans la productionartistique du XXe siècle. Les résultats sont en cours de recoupement. Toutefois l'expérimentation nous a beaucoup appris et nos connaissances acquises ont été confrontées à l'étude de deux cas concrets de pulvérulence sur des œuvres d'Art Moderne. La discussion de ce travail réserve une large place au faire du conservateur-restaurateur lorsqu'il est face à une altération de cette nature.

A retrospective study of 23 cases of nonlymphoblastic T cell lymphomas with no features of either mycosis fungoides (MF) or Sézary syndrome (SS) was carried out. 6 patients exhibited cutaneous (or mucous) lesions and are presented herein. There was no detectable visceral or node involvement except in 1 patient. 3 cases were immunologically proven to be of peripheral T cell origin. Except T cell lymphomas in Japan and in the Caribbean area, the frequency of prevalent skin involvement is reportedly very low in non-MF/SS non lymphoblastic T cell lymphomas. However, it is likely that this frequency has been underestimated in Western countries. The histologic features of our cases run the heterogeneous spectrum of recently described node-based forms of peripheral T cell lymphomas: ‘angioimmunoblastic lymphadenopathy with dysproteinemia’ -like lymphoma, large T cell lymphoma, multilobulated cell lymphoma, T zone lymphoma. The histologic pattern of skin infiltration was different from that of MF/SS. One case was initially suggestive of a pseudolymphoma and had a prolonged evolution but the other patients suffered from rapid extracutaneous involvement and fatal evolution with resistance to treatment. Cutaneous plasmocytomas were seen in 1 case. Hence, certain cutaneous T cell lymphomas exhibit histologic, immunological and developmental features similar to those of node-based peripheral T cell lymphomas but different from those of MF/SS.