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4 results on '"Arame Dièye"'

1. Inverse Estuaries in West Africa: Evidence of the Rainfall Recovery?

Author

Luc Descroix, Yancouba Sané, Mamadou Thior, Sylvie-Paméla Manga, Boubacar Demba Ba, Joseph Mingou, Victor Mendy, Saloum Coly, Arame Dièye, Alexandre Badiane, Marie-Jeanne Senghor, Ange-Bouramanding Diedhiou, Djiby Sow, Yasmin Bouaita, Safietou Soumaré, Awa Diop, Bakary Faty, Bamol Ali Sow, Eric Machu, Jean-Pierre Montoroi, Julien Andrieu, and Jean-Pierre Vandervaere

Subjects
water salinity, inverse estuaries, west africa, drought, mangrove, Hydraulic engineering, TC1-978, Water supply for domestic and industrial purposes, TD201-500
Abstract

In West Africa, as in many other estuaries, enormous volumes of marine water are entering the continent. Fresh water discharge is very low, and it is commonly strongly linked to rainfall level. Some of these estuaries are inverse estuaries. During the Great Sahelian Drought (1968−1993), their hyperhaline feature was exacerbated. This paper aims to describe the evolution of the two main West African inverse estuaries, those of the Saloum River and the Casamance River, since the end of the drought. Water salinity measurements were carried out over three to five years according to the sites in order to document this evolution and to compare data with the historical ones collected during the long dry period at the end of 20th century. The results show that in both estuaries, the mean water salinity values have markedly decreased since the end of the drought. However, the Saloum estuary remains a totally inverse estuary, while for the Casamance River, the estuarine turbidity maximum (ETM) is the location of the salinity maximum, and it moves according to the seasons from a location 1−10 km downwards from the upstream estuary entry, during the dry season, to a location 40−70 km downwards from this point, during the rainy season. These observations fit with the functioning of the mangrove, the West African mangrove being among the few in the world that are markedly increasing since the beginning of the 1990s and the end of the dry period, as mangrove growth is favored by the relative salinity reduction. Finally, one of the inverse estuary behavior factors is the low fresh water incoming from the continent. The small area of the Casamance and Saloum basins (20,150 and 26,500 km² respectively) is to be compared with the basins of their two main neighbor basins, the Gambia River and the Senegal River, which provide significant fresh water discharge to their estuary.

Published
2020
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3. Le château d’eau de l’Afrique de l’Ouest est-il hydrologiquement résilient ?

Author

Luc Descroix, Sylvie Paméla Manga, Arame Dièye, Ange Bouramanding Diedhiou, Kadiatou Diallo, Yaya Sakho, Ababacar Fall, Julien Andrieu, Andrew Ogilvie, Oumar Marega, Ousmane Diouf, and Bakary Faty

Abstract

Le Fouta Djallon est considéré comme le « château d’eau » de l’Afrique de l’Ouest. La plupart des grands cours d’eau d’Afrique de l’Ouest y prennent leur source. Les eaux provenant de ce massif constituent l’essentiel du débit des grands cours d’eau apportant de l’eau douce à la bande sahélo-soudanienne, en particulier, d’ouest en est, la Gambie, le Sénégal et le Niger.Ce massif est caractérisé par une forte hydraulicité. Ceci est lié avant tout à une forte pluviométrie, à des pentes appréciables et à une lithologie peu perméable. Les roches sont en effet peu poreuses, ce qui s’oppose grandement à la nation de « château d’eau ». de fait, les réserves sont faibles, et essentiellement liées à la présence de 8000 petites zones humides qui stockent des volumes d’eau permettant de garantir des écoulements faibles en fin de saison sèche, mais pérennes sur de nombreux cours d’eau.La couverture végétale du Fouta Djalon n’est pas très dense, du fait d’une lithologie peu propice. Mais elle ne montre pas, ni sur le court ni sur le long terme de signes de dégradation pouvant menacer sa résilience.Après la période hyper humide 1950-1967 et la longue sécheresse de 1968 à 1993, la pluviométrie annuelle est en croissance au point de dépasser, dans de nombreuses régions d’Afrique de l’Ouest, la moyenne de long terme. Mais les débits mettent du temps à rejoindre ceux de la période antérieure à la phase hyper humide, du fait de la reconstitution des stocks d’eau suite à leur vidange progressive durant la phase sèche où elles ont longtemps soutenu les étiages.Cette recherche vise à déterminer les conditions de la résilience hydrologique du massif du Fouta Djalon, source majeure d’alimentation en eau douce de la bande sahélo-soudanienne.

Published
2022

4. Inverse estuaries in West Africa : evidence of the rainfall recovery ?

Author

Ange-Bouramanding Diedhiou, Victor Mendy, Julien Andrieu, Awa Diop, Djiby Sow, Yancouba Sané, Mamadou Thior, Jean-Pierre Vandervaere, Arame Dièye, Bamol Ali Sow, Jean-Pierre Montoroi, Safietou Soumaré, Yasmin Bouaita, Marie-Jeanne Senghor, Luc Descroix, Saloum Coly, Alexandre Badiane, Sylvie-Paméla Manga, Bakary Faty, Joseph Mingou, Eric Machu, Boubacar Demba Ba, ORSTOM, Université Assane SECK de Ziguinchor (UASZ), Laboratoire d'Algèbre, de Cryptologie, de Géométrie Algébrique et Applications (LACGAA), Université Cheikh Anta Diop [Dakar, Sénégal] (UCAD), Patrimoines Locaux et Gouvernance (PALOC), Muséum national d'Histoire naturelle (MNHN)-Institut de Recherche pour le Développement (IRD), Patrimoines locaux, Environnement et Globalisation (PALOC), Muséum national d'Histoire naturelle (MNHN)-Institut de Recherche pour le Développement (IRD)-Sorbonne Université (SU), Patrimoines et Territoires de l'eau (LMI PATEO), Muséum national d'Histoire naturelle (MNHN)-Institut de Recherche pour le Développement (IRD)-Muséum national d'Histoire naturelle (MNHN)-Institut de Recherche pour le Développement (IRD), Université de Lorraine - UFR Sciences humaines et sociales - Metz (UL UFR SHS), Université de Lorraine (UL), LMI ECLAIRS, Ecole polytechnique de Thiès, Ecole Polytechnique de Thiès, Université Côte d'Azur (UCA), Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ), Direction de la Gestion et la Planification des Ressources en Eau (DGPRE), Laboratoire d'Océanographie Physique et Spatiale (LOPS), Institut de Recherche pour le Développement (IRD)-Institut Français de Recherche pour l'Exploitation de la Mer (IFREMER)-Institut national des sciences de l'Univers (INSU - CNRS)-Université de Brest (UBO)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Institut d'écologie et des sciences de l'environnement de Paris (iEES Paris ), Institut de Recherche pour le Développement (IRD)-Sorbonne Université (SU)-Université Paris-Est Créteil Val-de-Marne - Paris 12 (UPEC UP12)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Institut National de Recherche pour l’Agriculture, l’Alimentation et l’Environnement (INRAE), Études des Structures, des Processus d’Adaptation et des Changements de l’Espace (ESPACE), Université Nice Sophia Antipolis (1965 - 2019) (UNS), COMUE Université Côte d'Azur (2015-2019) (COMUE UCA)-COMUE Université Côte d'Azur (2015-2019) (COMUE UCA)-Avignon Université (AU)-Aix Marseille Université (AMU)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Université Côte d'Azur (UCA), Institut des Géosciences de l’Environnement (IGE), Institut de Recherche pour le Développement (IRD)-Institut national des sciences de l'Univers (INSU - CNRS)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Université Grenoble Alpes (UGA)-Institut polytechnique de Grenoble - Grenoble Institute of Technology (Grenoble INP ), Université Grenoble Alpes (UGA), Sorbonne Université (SU)-Muséum national d'Histoire naturelle (MNHN)-Institut de Recherche pour le Développement (IRD), Institut de Recherche pour le Développement (IRD)-Institut Français de Recherche pour l'Exploitation de la Mer (IFREMER)-Université de Brest (UBO)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Institut de Recherche pour le Développement (IRD)-Sorbonne Université (SU)-Université Paris-Est Créteil Val-de-Marne - Paris 12 (UPEC UP12)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Université de Paris (UP)-Institut National de Recherche pour l’Agriculture, l’Alimentation et l’Environnement (INRAE), Université Grenoble Alpes (UGA)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Institut national des sciences de l'Univers (INSU - CNRS)-Institut de Recherche pour le Développement (IRD)-Institut polytechnique de Grenoble - Grenoble Institute of Technology (Grenoble INP ), and UFR Sciences humaines et sociales - Metz [Université de Lorraine] (UL UFR SHS)

Subjects
Wet season, lcsh:Hydraulic engineering, 010504 meteorology & atmospheric sciences, [SDE.MCG]Environmental Sciences/Global Changes, Geography, Planning and Development, drought, 010501 environmental sciences, Aquatic Science, water salinity, 01 natural sciences, Biochemistry, West africa, lcsh:Water supply for domestic and industrial purposes, lcsh:TC1-978, Dry season, West Africa, 14. Life underwater, mangrove 1 Problematics, 0105 earth and related environmental sciences, Water Science and Technology, Hydrology, lcsh:TD201-500, geography, mangrove, geography.geographical_feature_category, Estuary, 15. Life on land, 6. Clean water, State of the Art, Salinity, Fresh water, 13. Climate action, inverse estuaries, Period (geology), Environmental science, Mangrove
Abstract

In West Africa, as in many other estuaries, enormous volumes of marine water are entering the continent. Fresh water discharge is very low, and it is commonly strongly linked to rainfall level. Some of these estuaries are inverse estuaries. During the Great Sahelian Drought (1968&ndash, 1993), their hyperhaline feature was exacerbated. This paper aims to describe the evolution of the two main West African inverse estuaries, those of the Saloum River and the Casamance River, since the end of the drought. Water salinity measurements were carried out over three to five years according to the sites in order to document this evolution and to compare data with the historical ones collected during the long dry period at the end of 20th century. The results show that in both estuaries, the mean water salinity values have markedly decreased since the end of the drought. However, the Saloum estuary remains a totally inverse estuary, while for the Casamance River, the estuarine turbidity maximum (ETM) is the location of the salinity maximum, and it moves according to the seasons from a location 1&ndash, 10 km downwards from the upstream estuary entry, during the dry season, to a location 40&ndash, 70 km downwards from this point, during the rainy season. These observations fit with the functioning of the mangrove, the West African mangrove being among the few in the world that are markedly increasing since the beginning of the 1990s and the end of the dry period, as mangrove growth is favored by the relative salinity reduction. Finally, one of the inverse estuary behavior factors is the low fresh water incoming from the continent. The small area of the Casamance and Saloum basins (20,150 and 26,500 km&sup2, respectively) is to be compared with the basins of their two main neighbor basins, the Gambia River and the Senegal River, which provide significant fresh water discharge to their estuary.

Published
2020

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