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Le Département des Affaires Foncières (DAF) du Ministère de l'Agriculture de l'Afrique du Sud a lancé un appel d'offre pour une étude de base devant supporter la mise en oeuvre d'un projet pour définir la réglementation des droits fonciers des Communautés dans les Bantustans. Le rapport rappelle l'évolution historique du peuplement dans les Bantustans et la complexité des arrangements actuels en matière légale pour l'accès à la terre. Il présente également rapidement les principales orientations initiales de la réforme foncière envisagées après l'abolition du régime de l'apartheid. La mise en place des lois sur les droits fonciers dans les communes à définir dans les Bantustans traduit la dernière version de la réforme foncière dans ce pays en ce qui concerne les terres mises en valeur par les populations noires. Le cadre logique de l'action du DAF en la matière est discuté. Pour préparer ce programme, le DAF demande aux Universités du pays de mettre en oeuvre une étude pour qualifier la situation sur ces terrains imparfaitement connus de l'administration. Cette étude doit permettre d'évaluer les impacts de la réforme dans les communautés qui l'accueilleront par une comparaison avec des communautés qui ne seront pas impliquées. L'étude va également permettre au Ministère de préciser ses cibles, ses modes d'intervention, et aussi de préciser ses objectifs. Les sections d'étude pour lesquelles la contribution des universités est requise porte sur l'interprétation des informations générales sur la population des Bantustans, l'organisation et le fonctionnement des administrations locales du foncier, les systèmes locaux de droits fonciers, l'utilisation des ressources par les populations, le niveau de développement des ménages, la définition et le contour des communautés qui pourraient être impliquées dans la réforme. Le CIRAD a proposé son appui méthodologique au Département d'Économie Agricole de l'Université de Prétoria pour cette étude. A ce titre, le contenu des rubriques de chaque section est discuté.

Le secteur coton du Tchad est entré dans une phase de crise sévère que la baisse des cours de la fibre de coton sur les marchés internationaux a révélé. A la suite d'une série de crises entre 1972 et 1986, dues à l'agitation politique et sociale, la surface plantée en coton et la production de coton graine ont augmenté fortement jusqu'en 1997. [...] De 1993 à 1997, les progrès de la production du coton ont été soutenus par une augmentation régulière du prix du coton graine concédé aux agriculteurs. Depuis, les problèmes rencontrés par la COTONTCHAD, la société publique d'égrenage du coton graine, et la chute des cours internationaux de la fibre de coton ont provoqué entre 1997 et 2003 une baisse de 18% du prix du coton graine donné aux producteurs et une chute brutale de la production déclarée. [...] Le gouvernement est en train de préparer, avec la contribution de la Banque Mondiale depuis 2000, la privatisation de la COTONTCHAD. Cependant, la conduite de cette privatisation se heurte à de nombreuses difficultés. Cette crise récente résulte d'une incompréhension croissante entre les agriculteurs et la COTONTCHAD, qui est le produit de la situation politique, économique et sociale dans la région soudanienne du Tchad et du style de gestion de la compagnie publique. Dans son premier tome, le rapport passe en revue le rôle des acteurs dans la filière coton et l'arsenal légal et réglementaire actuel qui régit l'environnement institutionnel de la filière coton. Le développement rural n'est pas un objectif premier de la compagnie d'égrenage au Tchad, et la société publique rend compte au Ministère du Commerce et non au Ministère de l'Agriculture, comme c'est la cas dans l'ensemble des autres pays de l'Afrique de l'Ouest et du Centre. Aussi, la collecte et la transformation du coton graine sont complètement déconnectées du pilotage du progrès économique et social des agriculteurs produisant du coton. Les producteurs de coton au Tchad sont des petits exploitants qui gèrent des systèmes de production manuels à faible usage d'intrants onéreux, dans un environnement physique aux potentiels modestes. [...] Ces conditions et surtout les conditions sociales dominantes ont maintenu la zone soudanienne du Tchad dans un état d'arriération du développement rural, que l'on peut comparer à la situation qui prévalait sur l'ensemble de l'Afrique de l'Ouest dans les années 60. Le gouvernement a récemment imposé sa règle politique aux organisations paysannes qui émergeaient avec le soutien des associations de la société civile, en créant un système de courroie de transmission entre les organisations paysannes de base au niveau du village et la COTONTCHAD. Ce système est largement manipulé par les chefferies féodales locales. Ainsi, la situation sociale et politique du secteur coton au Tchad est très spécifique par rapport aux situations observées dans les autres pays de l'Afrique de l'Ouest et du Centre et le transfert au Tchad de méthodes en vigueur dans d'autres pays requiert des adaptations majeurs de ces méthodes aux conditions du contexte local. Dans le deuxième tome du rapport, on trouvera une analyse critique de la situation présente de la réforme du secteur coton au Tchad. La procédure de privatisation a été initiée en 1999 et les contradictions entre l'approche proposée et les réalités de la filière coton ont depuis mis en difficulté les plans tirés pour cette privatisation. [...] Le Gouvernement et COTONTCHAD ont adopté un plan pour la relance de la production de coton graine basée sur une augmentation significative du prix alloué aux agriculteurs. Cependant, les conditions requises pour le succès de ce plan n'ont pas été organisées; cette tentative pourrait dégrader encore la filière coton. Le rapport présente une revue critique des problèmes à traiter et des options pour le gouvernement et la Banque Mondiale, afin de parvenir à une situation réformée et durable de la filière coton. [...] Un schéma de plan d'action est proposé.

Une mission a été organisée par l'IRAM du 7 au 14 Juin 2004, pour la Coopération Française au Niger, pour identifier un appui institutionnel de la France à la mise en oeuvre de la Stratégie de Développement rural du Niger (SDR) définie par le Gouvernement en 2003. Ce rapport présente le diagnostic et les propositions concernant la Recherche Agricole et ses relations avec la formation des cadres de l'agriculture et de la vulgarisation. Trois catégories d'acteurs ont été consultés: - les ministères impliqués dans la Recherche et dans la formation pour l'agriculture, - les institutions mettant en oeuvre la Recherche et la formation supérieure, - les usagers de la recherche et de la formation supérieure (organisations paysannes, bailleurs et projets). Il est proposé de lier étroitement les activités de recherche et de formation supérieure pour l'agriculture et d'organiser trois niveaux de la recherche pour le développement agricole: - la recherche cognitive et académique sur les ressources, les sociétés, l'économie, - la recherche en appui à la politique et aux programmes de l'état, - la recherche pour l'autonomie et le développement des opérateurs économiques.

Le projet de recherche action dans l ' Ouest Guyane, en lien étroit avec les services de la Préfecture de Guyane et les représentants des communautés territoriales de l ' Ouest Guyane, a permis d' acquérir de nombreuses références et d'élargir les connaissances sur les stratégies des agriculteurs et le fonctionnement des exploitations agricoles familiales de la région. Ces informations, destinées aux décideurs du développement économique, doivent contribuer à une reconnaissance et une meilleure insertion socio économique des ruraux qui mettent en valeur des abattis dans la région. Le projet est intervenu majoritairement sur cinq sites englobant une grande diversité des situations rencontrées dans la zone : village de Prospérité (communauté amérindienne), village de Charve in (communauté de PPDS), CD8 (communauté de migrants Haïtiens), Bassin Mine d'Or (aire d' installation de PPDS et de migrants) et Saut Sabbat (communauté de forestiers reconvertis à l ' agriculture). Les principaux résultats obtenus concernent : • Une contribution à la connaissance des conditions de la production agricole et de la gestion des ressources naturelles par les ruraux, à la connaissance des conditions sociales, techniques et économiques des famil les rurales ainsi qu'à l ' analyse des stratégies sociales et économiques de ces familles rurales de l ' Ouest Guyane. • Une meilleure connaissance sur la commercialisation et la valorisation des produits ainsi que sur la marge de manoeuvre de agriculteurs • La création de modèles et de représentations à 1' intention des agriculteurs pour la prise de décision dans 1' exploitation. • l ' identification de matériel biologique performant et d'innovations techniques dans les ateliers de production, notamment pour la transformation des produits à la ferme. • L ' identification des fonctions d'appui à la production agricole • La création de modèles et de représentations pour la prise de décision par les décideurs du développement régional, notamment en ce qui concerne 1' aménagement du territoire.

Le rapport sur l'étude des filières intrants agricoles au Bénin préparée par la Faculté des Sciences Agronomiques de l'Université du Bénin à la requête conjointe du MDR, de la GTZ et de la FAO a été remis sous forme d'une version provisoire à la FAO le 12/10/2000. Ce rapport rassemble et organise une masse très importante d'informations sur les flux d'intrants, les prix et leurs composantes, les interventions des opérateurs et les conditions qui déterminent actuellement le fonctionnement de ces filières. Le rapport propose des recommandations pour le plan d'action, qui sont généralement partagées par la FAO. Sauf quelques amendements mineurs discutés avec les auteurs, ce rapport répond aux termes du contrat qui a été donné à la FSA. Ce rapport fait apparaître des problèmes pour lesquels il est nécessaire d'avoir une meilleure compréhension de la situation, et souligne que des analyses d'impact de décisions proposables devraient être conduites sans tarder. Il est ainsi proposé de continuer le travail sur les dossiers suivants : - Les modifications en cours des pratiques des agriculteurs en termes de gestion des emblavements et de mobilisation des sources locales ou achetées de fertilisants, de pesticides et des outils et des machines agricoles. - L'évolution prévisible de la demande en intrants et machines pour redresser la situation périlleuse de la productivité de la culture cotonnière et pour accompagner l'essor des cultures de céréales et de tubercules. - Les possibilités pour générer une capacité autonome d'achat d'une partie des intrants par les agriculteurs grâce à des mécanismes de capitalisation des groupements d'agriculteurs, les sources potentielles de financement et les opérateurs de la gestion de ces fonds. - L'impact de la modification difficilement évitable du prix unique pour tous les fertilisants, du prix unique pour toute la saison de culture et du prix pan territorial pour chaque produit sur la demande des agriculteurs et sur leurs pratiques. - L'organisation logistique de la distribution avec les OP, en particulier pour la distribution de proximité. - L'impact de modification des niveaux de taxation sur les intrants sur l'économie de la filière coton et sur la demande des agriculteurs ; la possibilité d'allouer une partie des recettes ainsi générées à la capitalisation des organisations paysannes et afin de préserver l'équilibre de développement entre les régions. - Le rôle potentiel de l'usine de Godomey pour approvisionner de façon souple, efficace et économique les agriculteurs en formules d'engrais adaptées à leurs besoins et plus porteuses d'agriculture durable. - La nécessité de réformer la réglementation sur les obligations des opérateurs des produits phytopharmaceutiques (récupération des emballages et des stocks périmés ou interdits). - La définition de programmes de recherche d'accompagnement sur les intrants et la mécanisation agricole et pour l'aide à la décision des OP ; la définition de programmes de formation et de vulgarisation pour les agriculteurs, en particulier en termes de fertilisation intégrée des systèmes de culture et de protection intégrée contre les ravageurs.

Les propositions pour un projet de Recherche-Action dans l'ouest guyanais, préparées lors de la mission de novembre 1998 et finalisée par R. Bertrand, ont été adoptées par la Direction de l'Agriculture et de la Forêt et la CCOG. Le CNES apporte une contribution significative au projet. Le projet s'étendra sur une période de juillet 1999 à juillet 2001, il est doté d'un budget de 6,69 millions de francs. Lors du deuxième comité de pilotage, le sous-préfet de St-Laurent du Maroni, président du comité, a souligné que ce projet de caractère essentiellement social, s'adressant à des populations cibles désignées par les pouvoirs publics, s'engage sur un sujet qui n'a été exploré, ni par l'Etat, ni par les Collectivités Territoriales. Le comité de pilotage va donc assurer la cohérence des orientations stratégiques du projet avec les options politiques gouvernementales en matière d'insertion sociale, de définition des droits, d'aménagement du territoire et d'environnement. Le projet va disposer de quatre postes de chercheurs et deux postes de techniciens. Les réalisations des chercheurs pour la phase préparatoire du projet ont été revues. Le plan d'opération pour la première année du projet a été orienté avec l'accord de la Direction de l'Agriculture et de la Forêt. Les appuis des programmes ERE et AF ont été identifiés.

Le programme COST 622 "sols volcaniques d'Europe" de la DG XII a invité A.L. Angé et S. Perret en Islande du 05 au 11 juillet 98 pour discuter du volet "Mise en valeur des terres" de ce programme. Les discussions avec les partenaires italiens, espagnols, portugais, anglais, néerlandais et islandais ont permis de se mettre d'accord sur une idée de projet commun dont le CIRAD assurerait la coordination, le secrétariat et la recherche de financements. Le Programme ERE développerait ainsi en partenariat un "Atlas des régions volcaniques de l'Europe et des régions gérées par les pays de l'Union Européenne dans le monde". Ce document présenterait le milieu physique, l'histoire et la diversité socio-culturelle, les paysages ruraux et le développement des construits, le développement urbain (environnement et héritage), l'activité économique et la mobilisation des ressources naturelles, les institutions et les organisations professionnelles, les politiques et l'impact de la mondialisation des échanges, les produits et les services spécifiques : rôle de l'UE pour le développement régional et la conservation de la diversité dans l'Union. Ce projet serait financé par les Ministères de l'Agriculture, les Ministères de l'Environnement, les pouvoirs régionaux concernés, les Chambres de Commerce et les organisations professionnelles concernées, l'UE, la FAO. Les documents seraient finalisés et distribués par un éditeur.

En Tunisie, l'agriculture est administrée. La sécurité alimentaire du pays est fragile, les risques sociopolitiques sont importants, les choix pour l'engagement des finances publiques sont délicats car les priorités sont multiples. Le milieu physique et biologique du Tell est très fragile et l'économie agro-sylvo-pastorale de la région est en équilibre instable. Le projet propose une transition réfléchie par tous les partenaires nationaux vers un engagement des ruraux dans les décisions qui les concernent. Le CIRAD accompagnera ce changement. Le projet a trois objectifs : I) la promotion du secteur rural, II) la protection des ressources naturelles, III) l'amélioration des conditions de vie de la population. Le volet Recherche Développement du projet devrait répondre aux besoins des acteurs locaux, malgré la grande modestie des budgets engagés. Il est apparu pendant le séminaire une grande confusion entre la Recherche d'Accompagnement, qui est une extension de la Recherche Thématique au plus près des conditions de production des agriculteurs, et la Recherche Développement qui est une recherche sur le développement, engagée avec la participation non dirigée des acteurs de ce développement, et qui leur donne les moyens d'orienter ce développement.

L'initiative pour la fertilité des sols en Afiique du Sud du Sahara est un grand programme d'un consortium dirigé par la Banque et la FAO. Il s'insérera sous forme de volets d'actions spécifiques dans les grands projets de la Banque dans 20 pays d'une façon certaine et vraisemblablement 6 pays complémentaires. Après la formation des propositions Balique/FAO en Guinée et au Sénégal, j'ai été chargé, par la FAO, de rédiger un guide pour la formulation de ce programme par pays et j'ai été invité par la FAO à le présenter. Ce programme est un grand enjeu pour le programme "Espaces et Ressources" car il organise la màtrise des collectivités locales sur la gestion de leurs ressources naturelles et leur approvisionnement en intrants. Le CWAD devrait pouvoir mettre deux postes sur des centres régionaux de la Banque (Abidjan et Harare) pour aider à la mise en oeuvre de ce programme, sur fonds fiduciaires MAE à la Banque. Je propose d'assurer pour le OR la coordination de notre contribution à ce pro gramme comme je le faisais pour la FAO.

La fertilité élevée des sols combinées avec d'autres facteurs sociaux et politiques a créé des conditions favorables à l'accumulation des hommes sur les îles volcaniques sous climat tropical humide. La charge des déchets organiques d'origine non agricole créée par ces populations vient ainsi s'ajouter à celle des réSudus organiques de la végétation naturelle et aux résidus culturaux sur ces îles. Dans le cas de l'île Maurice, la majeure partie de la nourriture est importée et les déchets de la consommation contribuent de façon significative à la dégradation de l'environnement. L'étude propose le développement de larges unités de compostage industriel pour la majeure partie des déchets organiques urbains combiné avec une proposition significative de résidus de culture de la canne. Ces résidus pourraient être récoltés avec la canne et séparés à l'usine, là où le procédé de compostage serait installé. Ce compost pourrait remplacer une proportion significative des engrais minéraux actuellement consommés et pourrait réduire la masse d'éléments organiques et fertilisants rejetée en mer. Des arrangements fiscaux appropriés sont nécessaires afin de mettre à niveau la compétitivité des composts et des engrais minéraux, en terme de coût élémentaire des éléments fertilisants efficaces, rendus au champ

In tropical regions, soil structure degradation is an important agronomic problem. A study of the variability of the topsoil structure in a small region of the Sudano-Sahelian zone was undertaken in order to separate the variations due to natural factors from those induced by agricultural activity. A model of porosity distribution in the landscape was established, and regression equations enabling scientific forecasting of porosity for .sites where laboratory investigations were not carried out, but for which information on soil profile and cropping system are available were established. This model was obtained from limited laboratory investigations, and is a good illustration of the value of the statistical method employed.

Au sud du bassin arachidier du Sénégal, la culture du mil, céréale largement dominante, est pratiquée dans des milieux physiques diversifiés. Cette région assure à elle seule, près du quart de la production agricole nationale sur moins de 10% de la superficie. L'érosion des sols est le facteur principal qui conditionne le niveau de productivité actuel des cultures et la capacité de production future de cette région. La gestion volontariste des terroirs et des bassins versants est la seule solution pour les agriculteurs. Elle doit s'appuyer sur un diagnostic étayé du fonctionnement du milieu physique et sur une organisation participante de tous les utilisateurs des ressources naturelles des bassins versants

Dans un projet de développement de la culture du soja intéressant le nord-ouest de la Côte d'Ivoire, la démarche de travail pour concevoir et réaliser des aménagements anti-érosils est exposée. Nécessité de réaliser des aménagements; première option édification de banquettes à base large dans un dispositif de diversion; adaptation des dispositifs en fonction des sols; méthode d'établissement de l'avant-projet sommaire; mise en oeuvre in situ.

Pour évaluer les contraintes dans un espace agricole, nous proposons de réaliser d'une part une stratitification du milieu physique à des échelles pertinentes pour en révéler les caractéristiques et le fonctionnement qui déterminent le comportement de la culture, et d'autre part la stratification de l'espace rural en fonction de l'appropriation des terres cultivables et des modes de gestion appliqués à ces terres. Ce second type de réalisation doit particulièrement s'attacher à mettre en évidence la construction sociale de la fertilité des sols. La cartographie est une technique privilégiée pour cette démarche. Sur les sitations dominantes une enquête agronomique déterminera pour une année particulière le poids des contraintes du milieu et le poids des interventions culturales sur les composantes du rendement de la culture analysée. Cette enquête doit être conduite sur deux ou trois ans afin de percevoir l'incidence des évènements climatiques sur l'expression des contraintes du milieu. Des expérimentations d'accompagnement sont nécessaires pour bâtir des référentiels d'interprétation.

Ce séminaire, à valeur de certificat d'études supérieures post maitrise de l'Université des Sciences et Techniques du Languedoc