Tout enseignement réussi, dans le cadre du FLE (français langue étrangère), suppose une bonne maîtrise de la matière enseignée et des éléments qui la constituent. Notre approche recherche à associer la conceptualisation à l’énonciation des éléments étudiés. Il faut se pencher sur l’histoire passée et présente, en partant du Moyen Âge, pour examiner l’évolution du gérondif/participe présent, avoir un aperçu à travers les siècles du sens, de l’usage et tirer l’essence de cette forme en –ant qui pourrait prêter à confusion pour un apprenant hispanophone qui n’a, dans sa langue, qu’une seule forme distincte. Ceci est dû au fait que l’apprenant prend en compte, trop souvent, les ressemblances et non pas les équivalences contextuelles, situationnelles. Bien que notre approche contrastive porte sur l’étude du gérondif espagnol et du gérondif / participe présent français, notre objectif vise un meilleur enseignement-apprentissage en FLE.L’étude de la particule en est d’une extrême importance dans la mesure où elle s’unit avec la forme en -ant pour l’actualiser, devenue, dans certains cas, complémenteur, sorte d’article avec le gérondif. C’était l’espace que nous avons tenté de combler, nous avons opté pour le terme vague de particule qui sera décrypté par le processus de grammaticalisation. Un phénomène qui s’avère d’une extrême importance en ce qui concerne notre étude, précisément en FLE et pour un enseignement sensoriel, nous avons besoin de en pleinement significatif et en récupérant le sens et l’essence de ce en, nous pourrons refaire le chemin inverse et annoncer tout ce qui vient, ce parcours nous permet de nous rendre compte des difficultés dès l’origine et au cours du temps qui restent sous forme de traces, c’est notre hypothèse. Ainsi, nous traitons le gérondif sous l’optique mono-morphématique considéré comme un morphème unique discontinu..., Cualquier enseñanza exitosa, en el marco del FLE (Francés Lengua Extranjera), supone un buen dominio de la materia impartida y de los elementos que la constituyen. Nuestro enfoque busca asociar la conceptualización con la enunciación, con la pragmática de los elementos estudiados, concretamente el caso del gerundio/participio presente francés y sus posibles equivalencias en castellano.La evolución de la forma –ant gerundio/participio presente debe partir del análisis de textos medievales, ya que su uso en las lenguas romances se documenta desde el siglo IX. En castellano, el participio (-ante) perdió el valor predicativo que fue sustituido por el gerundio (-ando) a partir del siglo XV. Esta asimetría evolutiva entre ambas lenguas podría llevar a confusión a un aprendiz hispanohablante, ya que en su lengua utiliza una sola forma. Frecuentemente, en el proceso de aprendizaje de una nueva lengua, se toman más en cuenta las similitudes que las equivalencias contextuales y situacionales. Aunque nuestro enfoque contrastivo se centra en el estudio del gerundio español y del gerundio/participio presente francés, nuestro objetivo es una mejor enseñanza-aprendizaje en FLE.El estudio de la partícula en es de suma importancia porque se une a la forma -ant para actualizarla, convirtiéndose, en algunos casos, en un complemento, una especie de artículo que acompaña al gerundio. Éste es el espacio que nuestro estudio pretende esclarecer. Para ello, optamos por el término vago de "partícula" que será descifrado por el proceso de gramaticalización, fenómeno importante para nuestro trabajo. El gerundio, por lo tanto, se trata desde una perspectiva mono-morfemática considerado como un único morfema discontinuo...