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Old Catholics have leaned on full communion ties with Anglican churches to create forms of worship which, although decidedly Catholic, are just as decidedly non-Roman, thus strengthening the sense of Old Catholic identity. Full communion, established by the Bonn Agreement of 1931, although slow in making an impact on the life of the two denominations, provided a favourable context for extended liturgical consultations from the 1980s, resulting in Old Catholic use of Anglican liturgical resources in drafting new liturgies. The 1995 Altar Book of the Old Catholic Church in Germany, in particular, owes much to the 1985 Canadian Book of Alternative Services, which had itself borrowed heavily from the 1979 revision of the Book of Common Prayer by the Episcopal Church. La reconnaissance de la pleine communion entre les Eglises anglicanes et les vieux-catholiques ont permis à ces derniers de créer une liturgie aussi résolument catholique qu’elle est non-romaine, permettant ainsi de renforcer une identité vieille-catholique. Si la pleine communion avec les anglicans, établie par l’Accord de Bonn de 1931, n’a fait sentir ses effets que très lentement dans la vie des deux confessions, elle a offert un cadre favorable à de nombreuses consultations liturgiques depuis les années 1980. Elles ont conduit les vieux-catholiques à utiliser les ressources liturgiques anglicanes pour élaborer leurs nouvelles liturgies. Le Livre d’autel (Altarbuch) de 1995 de l’Eglise vieille-catholique d’Allemagne, en particulier, est très redevable au Book of Alternative Services canadien de 1985, qui doit lui-même beaucoup à la révision de 1979 du Book of Common Prayer de l’Eglise épiscopale aux Etats-Unis.

En gran parte ignorada en Francia y muy a menudo reducida a un mero movimiento conservador de otra época, la Antigua Iglesia Católica tiene una historia notable y azarosa. Tener su lugar entre las otras iglesias cristianas, por lo que se merecía que establecemos una síntesis de su génesis y desarrollo, sobre todo desde la aparición de este movimiento dio lugar a una división en la Iglesia romana después del Consejo Vaticano I. ¿Cuáles fueron las causas y quiénes fueron los precursores? ¿Qué discordancias teológicas precipitaron esta ruptura? ¿Qué consecuencias ha tenido esto? ¿Cómo se organizó la Vieja Iglesia Católica? ¿Y qué fueron, durante más de un siglo, las relaciones con las Iglesias hermanas y con la Iglesia de Roma? Estas preguntas son parte de la historia religiosa, política, social y cultural de parte de Europa en la segunda mitad del siglo XIX y el siglo XX. Basado en fuentes de múltiples antecedentes, tanto internas como externas al Antiguo Catolicismo, este tema de investigación se basa en una problemática tanto histórica como teológica, y analiza cómo se encarna una serie de ideas reformadores, paradójicamente muy viejos, en nuevas prácticas institucionales y teológicas., aLargement méconnue en France et trop souvent réduite à un simple mouvement conservateur d’un autre âge, l’Église vieille-catholique possède une histoire remarquable et fertile en événements. Ayant toute sa place parmi les autres Églises chrétiennes, elle méritait donc que l’on établisse une synthèse de sa genèse et de son développement, d’autant que l’émergence de ce mouvement a entraîné une scission dans l’Église romaine après le concile Vatican I. Quelles en étaient les causes profondes et qui étaient les précurseurs ? Quelles discordes théologiques a précipité cette rupture ? Quelles conséquences celle-ci a-t-elle entraînées ? Comment l’Église vieille-catholique s’est-elle organisée ? Et quelles furent, durant plus d’un siècle, les relations avec les Églises sœurs et avec l’Église de Rome ? Autant de questions qui s’inscrivent dans l’histoire religieuse, politique, sociale et culturelle d’une partie de l’Europe de la seconde moitié du XIXe siècle et du XXe siècle. En reposant sur des sources issues de milieux multiples, tant intérieures qu’extérieures au vieux-catholicisme, ce sujet de recherche s’ancre sur une problématique à la fois historique et théologique, et analyse ainsi comment se sont incarnées un certain nombre d’idées réformatrices, paradoxalement très anciennes, dans de nouvelles pratiques institutionnelles et théologiques