1. Dynamic strategies when consumption and wealth risk aversions differ
- Author
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Pierre Six, Palmer, Sandrine, Pôle Finance Responsable - Rouen Business School, and Rouen Business School
- Subjects
Economics and Econometrics ,wealth ,demande de couverture à la Merton-Breeden ,[SHS.ECO.FIN]Humanities and Social Sciences/Economics and Finance/domain_shs.eco.fin ,Merton-Breeden hedging demand ,Asset allocation ,Dynamic asset allocation ,Empirical fact ,Microeconomics ,Accounting ,rapport consommation-richesse ,élasticité consommation richesse ,Econometrics ,JEL: G - Financial Economics/G.G1 - General Financial Markets/G.G1.G11 - Portfolio Choice • Investment Decisions ,Economics ,aversion pour le risque ,consumption ,allocation dynamique d'actifs ,richesse ,Marketing ,Consumption (economics) ,wealth elasticity of consumption ,Public economics ,Risk aversion ,risk aversion ,JEL: D - Microeconomics/D.D8 - Information, Knowledge, and Uncertainty/D.D8.D81 - Criteria for Decision-Making under Risk and Uncertainty ,Variable (computer science) ,consumptionwealth ratio ,consommation ,[SHS.ECO.FIN] Humanities and Social Sciences/Economics and Finance/domain_shs.eco.fin ,dynamic asset allocation ,JEL: G - Financial Economics/G.G1 - General Financial Markets/G.G1.G12 - Asset Pricing • Trading Volume • Bond Interest Rates ,Finance - Abstract
This paper focuses on the consequences on asset allocation of an empirical fact outlined in a recent survey of the literature about risk aversion (Meyer and Meyer, 2005): Investors are more risk averse toward consumption than they are toward wealth. We demonstrate that this empirical fact can be assessed with the study of a single financial variable. This variable measures the share of wealth that investors set aside to satisfy their future consumption. We show that this variable depends on wealth only when the empirical case is considered. Our findings build on some methodological results developed by Karatzas et al. (1987) as well as insights provided by Wachter (2002) and Munk and Sørensen (2007) for the restricted setting in which risk aversions are equal., Cet article analyse l'impact sur l'allocation d'actifs d'un comportement des investisseurs révélé dans une étude empirique récente (Meyer and Meyer, 2005) : les investisseurs ont une aversion pour le risque de la consommation supérieure à celle pour le risque de la richesse. Nous démontrons que ce phénomène s'apprécie simplement à l'aide d'une seule variable financière. Cette variable mesure la part de la richesse que l'investisseur met de côté pour satisfaire sa consommation future par opposition à la richesse dont il souhaite disposer à la fin de l'investissement. Elle ne dépend de la richesse de l'investisseur que lorsque ce phénomène est pris en compte. Pour parvenir à ces résultats, nous nous sommes servis de techniques développées par Karatzas et al. (1987), ainsi que des apports de Wachter (2002) et de Munk et Sørensen (2007) réalisés dans le cadre restreint où l'investisseur a la même aversion pour le risque de la consommation que pour celui de la richesse.
- Published
- 2010
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