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Many cases of AML are associated with mutational activation of receptor tyrosine kinases (RTKs) such as FLT3. However, RTK inhibitors have limited clinical efficacy as single agents, indicating that AML is driven by concomitant activation of different signaling molecules. We used a functional genomic approach to identify RET, encoding an RTK, as an essential gene in multiple subtypes of AML, and observed that AML cells show activation of RET signaling via ARTN/GFRA3 and NRTN/GFRA2 ligand/co-receptor complexes. Interrogation of downstream pathways identified mTORC1-mediated suppression of autophagy and subsequent stabilization of leukemogenic drivers such as mutant FLT3 as important RET effectors. Accordingly, genetic or pharmacologic RET inhibition impaired the growth of FLT3-dependent AML cell lines and was accompanied by upregulation of autophagy and FLT3 depletion. RET dependence was also evident in mouse models of AML and primary AML patient samples, and transcriptome and immunohistochemistry analyses identified elevated RETmRNA levels and co-expression of RET and FLT3 proteins in a substantial proportion of AML patients. Our results indicate that RET-mTORC1 signaling promotes AML through autophagy suppression, suggesting that targeting RET or, more broadly, depletion of leukemogenic drivers via autophagy induction provides a therapeutic opportunity in a relevant subset of AML patients.

Les plasties antérolatérales (PAL) sont utilisées pour diminuer le risque de rupture itérative après reconstruction du ligament croisé antérieur (LCA) chez les patients à risque. Ces plasties ajoutent un geste à la greffe isolée du LCA qui peut augmenter le temps opératoire et perturber les suites opératoires. L’objectif de cette étude était d’évaluer le taux de complications précoces. L’hypothèse était que les plasties antérolatérales associées à une plastie du LCA n’augmentent pas le taux de complications par rapport aux plasties isolées.

Lors de la ligamentoplastie du LCA, l’adjonction d’une plastie antérolatérale (PAL) a pour but d’améliorer le contrôle de la stabilité en rotation du genou. L’efficacité de cette technique et ses conséquences sur les risques de re-rupture et d’atteinte dégénérative secondaire sont discutées.

L’analyse des causes d’échec d’une ligamentoplastie du LCA doit permettre de choisir la technique la plus adaptée lors de la reprise chirurgicale afin d’assurer au patient un bon contrôle de la stabilité rotatoire et de diminuer les risques de ruptures itératives.

The author introduces himself as the new Editor-in-Chief of the "World Aquaculture" magazine in June 2023. Topics covered include his education background and professional activities, and his training as an aquaculture geneticist and writings on the subject. The author also notes his goal to facilitate opportunities to reach stakeholders, digitally and objectively.

Some years ago CBC ran, I hear, a documentary on Ambrose Small, a wealthy Toronto theatre impresario of the twenties who went missing at the time along with a large [...]

L’objectif principal de cette étude multicentrique était d’évaluer la faisabilité de la chirurgie ambulatoire en France dans les reconstructions du ligament croisé antérieur (LCA), quelle que soit la technique ou greffe utilisée (ischiojambier, tendon rotulien, fascia lata). Notre hypothèse était que si le patient bénéficie d’une organisation dédiée, la sécurité du patient était assurée.

La reconstruction du ligament croisé antérieur (RLCA) en ambulatoire est une procédure qui se développe en France, sous l’impulsion de mesures économiques. La douleur reste la première cause d’échec pouvant nécessiter une hospitalisation. L’objectif de cette étude était de définir les meilleures modalités anesthésiques et analgésiques pour ce type de prise en charge.

Le développement de la chirurgie du ligament croisé antérieur en ambulatoire connaît un essor important mais reste faible en France. Un des freins principal est la crainte de la douleur postopératoire. L’objectif de cette étude était de comparer la douleur postopératoire entre les patients opérés en ambulatoire (groupe A) et en hospitalisation conventionnelle (groupe HC). L’analyse de la cinétique de la douleur et la recherche de facteurs ayant pu influencer son intensité ont été les objectifs secondaires.