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Most of the Greek tragic plays do not fit the celebrated definition Goethe gave of the tragic, according tho which any form of tragic is grounded in an irréconciliable opposition : neither Aeschylus' nor even Sophodes'tragedies can correspond to that definition which seems more adequate to modern tragedy. We then endeavour to define the tragic in contrast with the epic option. Euripides'drama, however, as early as the first tragedies of his that have been handed down to us, seems to propund an absolute and irréconciliable opposition between the sphere of history and that of values, which comes close to the characteristics of modern tragedy., La plupart des textes tragiques grecs échappent à la célèbre définition que Goethe avait donnée du tragique, c'est-à-dire que toute tragicité se fonde sur une opposition inconciliable : ni les tragédies d'Eschyle ni même celles de Sophocle ne peuvent correspondre à cette définition, qui paraît plus propre à la tragédie moderne. On essaie alors de définir le choix tragique par opposition au choix épique. Pourtant le théâtre d'Euripide, déjà dans les premières tragédies que nous avons reçues de lui, paraît proposer une opposition absolue et inconciliable entre la sphère de l'histoire et celle des valeurs, qui s'approche des caractères de la tragédie moderne., CITTI Vittorio. Médée et le problème du tragique. In: Pallas, 45/1996. Médée et la violence. pp. 47-55.

National audience; La Vie d'Antoine d'Athanase fait de l'ermite égyptien un modèle de sainteté: héros refusant la gloire et le culte, ascète soucieux des autres, fidèle mettant ses charismes au service de l'Église et de l'orthodoxie. Au-delà de l'immense succès littéraire et spirituel du texte, ce portrait soigneusement tracé a contribué à populariser la figure d'Antoine, au point que celle-ci a largement échappé au contrôle que l'évêque d'Alexandrie entendait lui imposer.

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Hêsiodou tou Askraiou Erga kai hêmerai, Aspis Hêrakleous, Theogonia, accessit huic editioni Is. Hortiboni Theocriticarum lectionum libellus, caetera sequentes paginae indicant, Texte grec et trad. latine en regard, Ed. par Jean Crespin, Titre conventionnel: Eidyllion de vita humana / Ausonius. De Hero et Leandro / Musaeus. Elegiae / Theognis. Poema admonitorium / Phocylides. Elegiis sententia / Solon, P. 241: Simmiou tou Rhodiou Ôon, Pterygion, Pelekys = Simmiae Rhodii, Ovum, Alae, Securis / omnia Graeco-latina conversa simul enodate exposita a Claudio Auberio Triuncuriano, P. 273: Theokritou Syrakousiou Eidyllia kai epigrammata sôzômena Simmiou Rhodiou, Moschou Syrakousiou, Biônos Smyrnaiou = Theocriti, Simmiae, Moschi, et Bionis Eidyllia et epigrammata quae supersunt, cum Musaei poematio [sic] omnia Graecolatina et exposita, P. 291: Eidyllia Moschou Syrakousiou, kai Biônos Smyrnaiou / interpretatione latina, ad verbum, et scholiis illustrata ; quibus accessit Ausonii elegans Eidyllion a Feder. Iamotio versibus graecis expressum ; itemque Musaei elegantiss. poema de Herone et Leandro, P. 333: Mousaiou Ta kath'Herô kai Leandron = Musaei De Herone et Leandro poema elegantissimum, P. de titre du 2ème t.: Gnômographoi : Theognidos Megareôs Gnômai elegeiakai, Phôkylidou Poiêma nouthetikon, Pythagorou Chrysa epê, Solônos Gnômai elegeiakai = Theognidis, Phocylidis, Pythagorae, Solonis, aliorumque veterum poemata gnomica / latina versione et annotationibus illustrata, Empreinte: ese- a.ue SePi (3) M.DC.XX., P. 241: Σιμμίου τοῦ Ῥοδίου, Ώον, Πτερύγιον, Πέλεκυς = Simmiae Rhodii, Ovum, Alae, Securis / omnia Graeco-latina conversa simul enodate exposita a Claudio Auberio Triuncuriano, P. 273: Θεοκρίτου Συρακούσιου Εἰδύλλια καὶ Ἐπιγράμματα σωζόμενα, Σιμμίου Ῥοδίου, Μόσχου Συρακούσιου, Βιώνος Σμυρναίου = Theocriti, Simmiae, Moschi, et Bionis Eidyllia et epigrammata quae supersunt, cum Musaei poematio [sic] omnia Graecolatina et exposita, P. 291: Εἰδύλλια Μόσχου Συρακούσιου, καὶ Βιώνος Σμυρναίου / interpretatione latina, ad verbum, et scholiis illustrata ; quibus accessit Ausonii elegans Eidyllion a Feder. Iamotio versibus graecis expressum ; itemque Musaei elegantiss. poema de Herone et Leandro, P. 333: Μουσαῖου Τὰ κάθ'Ἡρὼ καὶ Λέανδρον = Musaei De Herone et Leandro poema elegantissimum, P. de titre du 2ème t.: Γνωμόγραφοι : Θεογνίδος Μεγαρέως Γνώμαι ἐλεγειακαὶ, Φωκυλίδου ποιήμα νουθετικὸν, Πυθαγόρου Χρυσὰ ἔπη, Σόλωνος Γνώμαι ἐλεγειακαί = Theognidis, Phocylidis, Pythagorae, Solonis, aliorumque veterum poemata gnomica / latina versione et annotationibus illustrata

[Pt. 1:] Ta geôrgika: Hêsiodou tou Askraiou Erga kai hêmerai ; Aspis Hêrakleous ; Theogonia = Hesiodi Ascrai poetae ut vetustissimi, ita purissimi, opera, quae supersint omnia, Latina versione & brevibus annotationibus iisque selectiss. exposita, [Pt. 2:] [Ta boukolika:] Theokritou Syrakousiou Eidullia kai epigrammata sôzomena. Simmiou Rhodiou. Moschou Syrakousiou. Biônos Smyrnaiou = Theocriti, Simmiae, Moschi, & Bionis Eidyllia & epigrammata quae supersunt, cum Musaei poematio [sic] omnia Graecolatina & exposita, [Pt. 3:] Gnômographoi: Theognidos Megareôs Gnômai elegeiakai. Phôkylidou Poiêma nouthetikôn. Pythagorou Chrysa epê. Solônos Gnômai elegeiakai = Theognidis, Phocylidis, Pythagorae, Solonis, aliorumque veterum Poemata gnomica / Latina versione & annotationibus illustrata. - Coloniae Allobrogum : apud Johan. Vignon, 1612, accessit huic editioni Is. Hortiboni Theocriticarum lectionum libellus, caetera sequentes paginae indicant, Ed. par Jean Crespin, Titre général dans un encadrement gravé, Texte grec et trad. latine en regard, Les Pt. 1-2 sont munies d'un faux-titre ; la Pt. 3 est munie d'une p. de titre propre dans un encadrement gravé, avec lieu, nom et date, Empreinte: o*o* a.e- SePi (3) M.DCXII., Pt. 2 : Les poèmes de Simmias sont introduites par un faux-titre : "Simmiou tou Rhodiou Ôon, Pterygion, Pelekys = Simmiae Rhodii, Ovum, Alae, Securis / omnia Graeco-Latina, conversa simul & enodate exposita a Claudio Auberio Triuncuriano", Pt. 2 : Les idylles sont introduites par un faux-titre dans un encadrement gravé : "Eidyllia Moschou Syrakousiou, kai Biônos Smyrnaiou / interpretatione Latina, ad verbum, et scholiis illustrata ; quibus accessit Ausonii elegans Eidyllion, a Feder. Jamotio versibus Graecis expressum ; itemque Musaei elegantiss. poema de Herone et Leandro, Pt. 2 : Le poème de Musée est introduit par un faux-titre : "Mousaiou Ta kath' Herô kai Leandron = Musaei De Herone et Leandro poema elegantissimum", Pt. 2 : Contient les commentaires de Casaubon mentionnés au titre ; il sont pourvus d'un index et introduits par un faux-titre : "Isaaci Hortiboni Theocriticarum lectionum libellus", Pt. 3 : In fine : Fragments de divers auteurs, notamment de Tyrtaeus, Simonides d'Amorgos, Orpheus, Mimnermus, Callimaque de Cyrène, Eratosthène, Metrodorus Atheniensis

La forme de l’ἀγών est inhérente à l’esprit grec. Aussi loin que l’on puisse remonter dans l’histoire de la civilisation grecque, on retrouve l’amour de la compétition, et une cité ne connaissait pas plus grande gloire que de voir un de ses enfants vainqueur aux jeux panhelléniques. La passion des procès et de la plaidoirie n’est qu’un autre aspect de la même tendance : il y a dans toute affaire une cause à gagner, un adversaire à écraser. Le même tour d’esprit se retrouve dans le domaine intellectuel : une idée ne vaut que dans la mesure où elle prévaut sur l’idée adverse, un point de vue n’est satisfaisant que s’il l’emporte, après mûre délibération, sur le point de vue opposé. Aussi le penseur, l’historien, le poète comique, dans la mesure même où ils ne prennent pas eux-mêmes parti, sont-ils amenés à tout concevoir et à tout représenter sous la forme contradictoire. A cet art du pour et du contre, les sophistes ont donné ses règles d’expression. Dans ce domaine, l’historien de la tragédie est amené à faire des constatations et à se poser un problème. Les constatations qui, au premier abord semblent s’imposer de façon massive, sont en réalité d’une nature assez délicate. Il est certain que l’ἀγών est très richement représenté dans la tragédie : il suffit de feuilleter un exemplaire de Sophocle ou d’Euripide pour craindre d’être écrasé sous l’abondance de la matière. Mais dès que l’on essaye, très simplement, de déterminer quelles tragédies possèdent des scènes d’ἀγών et lesquelles n’en possèdent pas, les difficultés commencent. On s’aperçoit alors que la notion technique d’ἀγών est très fuyante, que les variétés sont nombreuses, les règles complexes, et l’on se trouve souvent en présence de scènes dont on se demande si elles méritent ou non le nom d’ἀγών. A cette question on ne peut, à vrai dire, répondre que quand on a étudié de près la structure de l’ἀγών et établi, sinon des lois, au moins des constatations suffisamment précises et générales.

Part. 1: Hesiodi opera quae supersunt omnia... latina versione et annotationibus exposita, Part. 2: Boukolika : Theokritou Syrakousiou Eidyllia kai Epigrammata sôzomêna, Simmiou Rhodiou, Moschou Syrakousiou, Biônos Smyrnaios = Theocriti, Simmiae, Moschi, et Bionis Eidyllia et Epigrammata quae supersunt, omnia graecolatina et exposita (GLN-1763), Part. 3: Eidyllia : Moschou Syrakousiou, kai Biônos Smyrnaiou, Interpretatione Latina ad verbum, et scholiis illustrata, quibus accessit Ausonii elegans Eidyllion a Feder. Jamotio versibus Graecis expressum (GLN-1765 sans date, GLN-1766 daté), Part. 4: Gnômographoi : Theognidos Megareôs Gnômai elegeiakai, Phôkylidou Poêma nouthepkon, Pythagorou Chrysa epê, Solônos Gnômai elegeiakai = Theognidis, Phocylidis, Pythagorae, Solonis, aliorumque veterum poetarum gnomica, latina versione et annotationibus illustratae (GLN-1767 sans date, GLN-1768 daté), Ouvrage en quatre part., chacune avec sa propre p. de titre, éd. par Jean Crespin (GLN-1761 éd. complète), Dans cette éd. de 1569, on trouve des part. sans nom de l'imprimeur, avec son nom en version grecque ou latine, datées en chiffres grecs, romains ou sans date, Le titre de la 2e part. annonce le contenu de la part. 3, considérée parfois comme la 2e part. du t. 2

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