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Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats du réseau de contrôle microbiologique REMI et du réseau de surveillance chimique ROCCH, ce rapport inclut un bilan national et décrit le programme annuel de la Région Corse. Il présente l’ensemble des résultats obtenus entre 2014 et 2017, en particulier l’estimation de la qualité microbiologique et chimique des zones de production de coquillages classées : les étangs de la plaine orientale de la Corse.

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats du réseau de contrôle microbiologique (REMI) et du réseau de surveillance chimique (ROCCH), ce rapport inclut un bilan national et décrit le programme annuel du département des Landes. Il présente l’ensemble des résultats obtenus, en particulier l’estimation de la qualité microbiologique et chimique de la zone de production de coquillages classée (40.01 Lac d’Hossegor) pour la période 2015-2017. Suivant les seuils microbiologiques du règlement (CE) n°854/2014, modifié par le règlement (CE) n° 2285/2015, la zone suivie sur le Lac d’Hossegor est estimée de qualité B pour le groupe 3 (coquillages non fouisseurs). L’étude des tendances d’évolution de la qualité microbiologique de la zone ne met aucune tendance significative en évidence au niveau des deux points de suivi.

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d'interprétation des résultats du réseau de contrôle microbiologique REMI et deu réseau de surveillance chimique ROCCH, ce rapport décrit le programme annuel des départements du Calvados, de la Manche et de la Seine Maritime. Il présente l 'ensemble des résultats obtenus de 2015 à 2017, en particulier l'estimation de la qualité microbiologique et chimique des zones de production de coquillages classées. Ce rapport intègre également les résultats du réseau "Coquillages" de l'Agence Régional de Santé de Normandie dans le cadre de la surveillance de la qualité des zones de pêche à pied récréative.

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d'interprétation des résultats du réseau de contrôle microbiologique REMI et du réseau de surveillance chimique ROCCH, ce rapport décrit le programme annuel du département de la Charente-Maritime. Il présente l'ensemble des résultats obtenus sur la période 2015-2017, en particulier l'estimation de la qualité microbiologique et chimique des zones de production de coquillages classées.

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats des réseaux de contrôle microbiologique (REMI) et de surveillance chimique (ROCCH), ce rapport inclut un bilan national et décrit le programme annuel du département du Morbihan. Il présente l’ensemble des résultats obtenus, en particulier l’estimation de la qualité microbiologique et chimique des zones de production de coquillages classées pour la période 2015-2017. En 2017, la surveillance microbiologique des zones de production conchylicole a concerné 51 zones classées. Selon les critères réglementaires pris en compte (règlement CE n°854/2004, modifié par le règlement n°2285/2015), la qualité microbiologique est estimée en « A » pour 23 zones de production, en « B » pour 25 zones de production, et 3 zones ne disposent pas d’un nombre de données suffisant pour évaluer la qualité. 8 zones présentent une qualité estimée discordante avec le classement administratif en vigueur. 5 zones classées A sont estimées de qualité B, et 3 zones classées B sont estimées de qualité A.

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats des réseaux de contrôle microbiologique (REMI) et de surveillance chimique (ROCCH), ce rapport inclut un bilan national et décrit le programme annuel des départements de l’Hérault, du Gard et de l’Aude. Il présente l’ensemble des résultats obtenus, en particulier l’estimation de la qualité microbiologique et chimique des zones de production de coquillages classées pour la période 2015-2017. Sur les 29 zones de production conchylicole classées et suivies en Occitanie, la qualité a pu être estimée pour 23 d’entre elles. Selon les critères réglementaires pris en compte (règlement CE n°854/2004, modifié par le règlement n°2285/2015), dans les départements de l’Aude, de l’Hérault et du Gard, la qualité microbiologique est estimée en « A » pour 2 zones de production, en « B » pour 12 zones de production, en « C » pour 3 zones de production et en « Très mauvaise qualité » pour 3 zones de production. Le nombre de données est insuffisant sur la période pour évaluer la qualité de 9 zones de production. L’année 2017 a été marquée par 150 prélèvements supplémentaires liés aux déclenchements d’alerte, que ce soit pour des alertes microbiologiques de niveaux 0 (24 prélèvements), 1 (20 prélèvements) ou 2 (106 prélèvements)

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats du réseau de contrôle microbiologique REMI et du réseau de surveillance chimique ROCCH, ce rapport décrit le programme annuel du département de la Vendée. Il présente l’ensemble des résultats obtenus sur la période 2015-2017, en particulier l’estimation de la qualité microbiologique et chimique des zones de production de coquillages classées.

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats des réseaux de contrôle microbiologique (REMI) et de surveillance chimique (ROCCH), ce rapport inclut un bilan national et décrit le programme annuel du département de la Gironde. Il présente l’ensemble des résultats obtenus, en particulier l’estimation de la qualité microbiologique et chimique des zones de production de coquillages classées pour la période 2015-2017. La qualité a pu être estimée pour dix zones de production conchylicole. Selon les critères réglementaires pris en compte (règlement CE n°854/2004, modifié par le règlement n°2285/2015), dans le département de la Gironde, la qualité microbiologique est estimée en « A » pour sept zones de production (une pour des coquillages fouisseurs et six pour des coquillages non fouisseurs) et « B » pour deux zones de production (une pour des coquillages fouisseurs et un pour des coquillages non fouisseurs). Quant au classement alternatif de la zone « Cap Ferret » la période classée « A » est en concordance avec la qualité estimée, cependant le nombre de données est insuffisant sur la période classée « B » pour pouvoir évaluer la qualité. L’étude des tendances ne met en évidence aucune tendance significative sur seize points de suivi, seule le point « Herbe » (zone 33.01) présente une tendance à la dégradation. L’année 2017 a été marquée par une alerte microbiologique de niveau 0, quatre alertes microbiologiques de niveau 1 et une alerte microbiologique de niveau 2.

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats du réseau de contrôle microbiologique REMI, ce rapport inclut un bilan national et décrit le programme annuel du département du Finistère. Il présente l’ensemble des résultats obtenus, en particulier l’estimation de la qualité des zones de production de coquillages classées et l’évolution de leur qualité. En 2017, pour quelques zones, le classement en vigueur est discordant avec l’estimation de la qualité. C’est le cas, pour la qualité microbiologique des fouisseurs de l’anse de Penfoul, les niveaux en plomb des moules en rade de Brest, partie sud-est qui sont très mauvais.

Le milieu littoral est soumis à de multiples sources de contamination fécale d'origine humaine ou animale : assainissement collectifs ou individuels, activité d’élevage, faune sauvage… En filtrant l’eau, les coquillages concentrent les microorganismes présents dans l’eau. Aussi, la présence dans les eaux de bactéries ou virus potentiellement pathogènes pour l’homme peut constituer un risque sanitaire lors de la consommation de coquillages. Il en est de même pour la contamination chimique. Les apports au milieu littoral sont toutefois d'origines plus diverses car il faut ajouter aux activités agricoles (traitements chimiques) et urbaines, les activités industrielles. Depuis 1939, il existe en France une obligation de classement des zones de production de coquillages selon leur qualité microbiologique. Le classement des zones de production et la surveillance des zones de production de coquillages est une responsabilité relevant de l’Etat. La surveillance REMI est mise en oeuvre, sous la responsabilité des préfets de départements, par les laboratoires départementaux d’analyses (LDA). L’Ifremer apporte un appui scientifique à l’Etat pour cette surveillance à travers une assistance à maitrise d’ouvrage (AMOA). Cette assistance à maitrise d’ouvrage comprend (i) un appui à l’élaboration d’un dispositif pertinent et répondant à la réglementation et à ses évolutions, (ii) un soutien au maitre d’ouvrage pour l’accompagnement des opérateurs chargés des prélèvements et analyse et (iii) la gestion des données et leur interprétation. La surveillance ROCCH est directement mise en oeuvre par l’Ifremer. En lien avec les coordinateurs des réseaux, chacun des neuf Laboratoires Environnement Ressources (LER) de l’Ifremer assure les tâches locales d’AMOA du REMI, ainsi que les prélèvements du réseau ROCCH pour les départements littoraux sous sa responsabilité. L’objet du présent document est d‘évaluer la qualité des zones de productions selon les résultats des réseaux REMI et ROCCH. Cet

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats, ce rapport décrit les résultats obtenus en 2017 pour le réseau de surveillance de la contamination microbiologique REMI et du réseau d’observation de la contamination chimique ROCCH du département de Loire–Atlantique. Il présente l’estimation de la qualité microbiologique et chimique des zones de production de coquillages classées.

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats du réseau de contrôle microbiologique REMI, ce rapport effectue un bilan national et décrit le programme annuel de la Région PACA (Provence-Alpes-Côte d’Azur). Il présente l’ensemble des résultats obtenus, en particulier l’estimation de la qualité des zones de production de coquillages classées et l’évolution de leur qualité pour la période 2015-2017.

L’étude de zone sanitaire du traict de Pen Bé (44.03) a été menée afin d’envisager un découpage en deux sous-secteurs Nord et Sud de l’actuelle zone classée pour les coquillages fouisseurs, et de déterminer les points de suivis REMI associés pour la surveillance ultérieure. Cette étude sanitaire a été réalisée par l’Ifremer dans le cadre de ses missions d’appui à l’Etat pour la définition d’une stratégie de surveillance pertinente, conforme aux exigences du règlement (CE) n°854/2004. L’étude comprend une étude de dossier identifiant les sources de contamination microbiologiques et une évaluation de leurs impacts sur les zones de pêche ou d’élevage des coquillages fouisseurs, puis une analyse des résultats des suivis réalisés à la fois dans le cadre du REMI, et dans le cadre du suivi de la pêche à pied récréative par l’Agence Régionale de Santé (ARS). Compte tenu de la localisation des gisements naturels de coquillage et des principales sources de contaminations, l’Ifremer recommande une partition de l’actuelle zone classée 44.03 selon une limite nord/sud correspondant au cours de l’étier principal du Traict de Pen Bé. Pour tenir compte de l’arrêt de l’exploitation des parcs à palourdes au niveau de l’actuel point REMI, le suivi ultérieur de la partie Nord serait à réaliser sur un nouveau lieu, à « la Pointe Noire ». Ce lieu correspond à un gisement naturel identifié par les pêcheurs professionnels, et est à priori plus exposé aux contaminations issues de l’amont de l’Etier de Pen Bé. Cette zone Nord est estimée C sur la période 2014-2016. Le suivi de la nouvelle zone Sud sera assuré par un lieu correspondant à celui suivi actuellement par l’ARS, mais qu’il conviendrait de légèrement déplacer afin i)de mieux correspondre au gisement principal de coques de Mérel, et ii) de mieux suivre les apports contaminants issus de l’étier principal de Pen Bé. Cette zone Sud est estimée de qualité B sur la période 2014-2016.

En l’actualitat per a la caracterització de les propietats mecàniques de les roques existeixen una gran varietat de tècniques. La determinació de la velocitat de cisalla (Vs) als primers 30 m de profunditat, pot ser molt interessant, ja que tenen moltes aplicacions, com per exemple quin serà el comportament d’aquests materials davant un moviment sísmic. El present treball s’ha portat a terme en diferents zones pròximes a la ciutat d’Alcoi, Alacant. Són zones caracteritzades per presentar solsides rotacionals en margues del Tap originats per terratrèmols en el passat. Amb aquest treball es pretén obtindre la Vs tant dins com fora del terreny solsit i comparar els resultats. La tècnica més adequada per a l’obtenció de les dades és el mètode ReMi, desenvolupada per Louie (2001) en la Universitat de Nevada, ja que necessitava realitzar una avaluació del risc sísmic de forma ràpida i econòmica sense haver de perforar el subsòl. Aquesta tècnica està basada en la sísmica de refracció amb la diferència que la font d’energia mecànica és el soroll ambiental, també denominat microtremor. S’ha comprovat que les masses de terreny alterades de forma natural o antròpica al perdre part de la seua cohesió, es produeix una ralentització de les ones respecte als registres en profunditat o de terrenys estables., En la actualidad para la caracterización de las propiedades mecánicas de las rocas existen una gran variedad de técnicas. La determinación de la velocidad de cizalla (Vs) en los primeros 30 m de profundidad, puede ser muy interesante ya que tiene muchas aplicaciones, como por ejemplo cuál será el comportamiento de estos materiales frente a un movimiento sísmico. Este trabajo se ha llevado a cabo en distintas zonas próximas a la ciudad de Alcoi, Alicante. Estas zonas se caracterizan por presentar deslizamientos rotacionales en margas del Tap originados por terremotos en el pasado. Lo que se pretende es la obtención de la Vs tanto dentro como fuera de los deslizamientos y comparar los resultados. La técnica más adecuada para la obtención de los datos es la metodología ReMi, desarrollada por Louie (2001) en la Universidad de Nevada motivado por la necesidad de realizar una rápida y económica evaluación del riesgo sísmico en distintas áreas sin necesidad de realizar perforaciones del subsuelo. Esta técnica se basa en la sísmica de refracción con la diferencia de que la fuente de energía mecánica es el ruido ambiental, también llamado microtremor. Se ha comprobado que las masas de terreno removilizadas de manera natural o antrópica, al perder parte de cohesión, se produce una ralentización de las ondas respecto a los registros en profundidad o de masa estable., Nowadays there are a lot of types of methods to typify the mechanical properties of rocks. Establish shallow shear velocity it is useful for different applications, for example it is possible to know how rocks will react to an earthquake. This project it was made in different areas near to Alcoi, Alicante. In this areas we can see a lot of rotational lanslides in Tap marls that were made in the past by earthquakes. With this project we want to know Vs in landslides and stable grounds and compare it. ReMi method was developed by Louie (2001) at Nevada University because of doing an hazard sismic evaluation in different areas without drilling. ReMi is based in seismic refraction which record shallow shear velocity according to depth from microtremor. Modified ground by humans or nature had lost cohesion. It is verified by lower shear velocities than stable ground.

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats du réseau de contrôle microbiologique REMI et du réseau de surveillance chimique ROCCH, ce rapport inclut un bilan national et décrit le programme annuel du département de la Gironde. Il présente l’ensemble des résultats obtenus, en particulier l’estimation de la qualité microbiologique et chimique des zones de production de coquillages classées pour la période 2014-2016. La qualité a pu être estimée pour dix zones de production conchylicole. Suivant les seuils microbiologiques du règlement (CE) n°854/2004, modifié par le règlement (CE) n° 2285/2015, sur le Bassin d’Arcachon deux zones suivies sont estimées de qualité « A » pour le groupe « 3 » et sont classées de qualité « A », deux zones suivies sont estimées de qualité « B » pour le groupe « 3 » et sont classées de qualité « A », quatre zones suivies sont estimées de qualité « A » pour les groupes « 2 » et « 3 » et sont classées de qualité « B » et deux zones suivies sont estimées de qualité « B » pour les groupes « 2 » et « 3 » et sont classées « B ». L’étude des tendances ne met en évidence aucune tendance significative sur l’ensemble des points de suivi. L’année 2016 a été marquée par deux alertes microbiologiques de niveau 1.

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats du réseau de contrôle microbiologique REMI et du réseau de surveillance chimique ROCCH, ce rapport inclut un bilan national et décrit le programme annuel des départements de l’Hérault et du Gard. Il présente l’ensemble des résultats obtenus, en particulier l’estimation de la qualité microbiologique et chimique des zones de production de coquillages classées.

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats du réseau de contrôle microbiologique REMI, ce rapport présente le bilan national et décrit le programme annuel pour le département de la Charente-Maritime. Il présente l’ensemble des résultats obtenus, en particulier l’estimation de la qualité des zones de production de coquillages classées et l’évolution de leur qualité sur la période 2014-2016. Le programme de surveillance 2016 a été réalisé à 99%. Les données manquantes résultent d’un manque de ressource ou de problèmes de disponibilité. Au total, le dispositif d’alerte a été déclenché à 25 reprises en 2016 et a donné lieu à la réalisation de 37 prélèvements et analyses supplémentaires. Toutes les zones de production classées font l’objet d’une surveillance microbiologique. Les zones classées en A, B ou C sont au nombre de 36 pour la Charente-Maritime. Quatre d’entre elles sont classées alternativement en A et B par l’arrêté préfectoral n°14.379 du 10 février 2014.

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats du réseau de contrôle microbiologique REMI, ce rapport effectue un bilan national et décrit le programme annuel de la Région PACA (Provence-Alpes-Côte d’Azur). Il présente l’ensemble des résultats obtenus, en particulier l’estimation de la qualité des zones de production de coquillages classées et l’évolution de leur qualité.

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats du réseau de contrôle microbiologique REMI et du réseau de surveillance chimique ROCCH, ce rapport décrit le programme annuel du département du Calvados. Il présente l’ensemble des résultats obtenus de 2014 à 2016, en particulier l’estimation de la qualité microbiologique et chimique des zones de production de coquillages classées. Ce rapport intègre également les résultats du réseau « Coquillages » de l’Agence Régionale de Santé de Basse Normandie dans le cadre de la surveillance de la qualité des zones de pêche à pieds récréative.

Etude sanitaire de la zone du Traict du Croisic (44.06) Convention Etude DGAL-IFREMER 2015-2016 – Etude de zone en vue du classement sanitaire d’une zone de production de coquillages. L’étude de zone « Traict du Croisic - 44.06 » conduite pour le groupe 3 avait pour objectifs de mettre à jour la stratégie d’échantillonnage du REMI en identifiant le ou les points plus sensibles à retenir dans le cadre de la surveillance régulière REMI et en proposant si nécessaire une sectorisation en termes de classement. Trois points de suivi ont été positionnés dans les secteurs jugés les plus sensibles aux sources de contamination, et ont été échantillonnés de janvier 2016 à décembre 2016.

Etude de la qualité microbiologique et chimique de la zone 44.04.03 – Piriac - Lanséria Groupe 3. Département de Loire – Atlantique. Rapport final – 2017 L’étude de zone 44.04.03 « Côte Piriac Lanséria » conduite pour le groupe 3 avait pour objectifs de déterminer la qualité de la zone et de définir le point le plus pertinent à retenir dans le cadre de la surveillance régulière REMI. Deux points de suivi ont été positionnés dans des secteurs jugés sensibles aux sources de contamination et ont été échantillonnés de Janvier à Décembre 2016.

L’étude de zone sanitaire du golfe du Morbihan (56.13.1) a été menée, à la demande des conchyliculteurs, afin de proposer un redécoupage de cette vaste zone conchylicole de 9 000 Ha. Une étude de dossier a été réalisée afin de recenser les principales sources de contamination, d’origine humaine, agricole ou « naturelle ». Des prélèvements d’huîtres ont été réalisés sur sept points de suivi, de janvier à décembre 2016 avec une fréquence bimensuelle. Les résultats des analyses microbiologiques (indicateur Escherichia coli) permettent d’estimer en A la qualité de chacun des points échantillonnés dans la zone de production au regard des critères du règlement CE n° 854/2004. Les résultats d’analyse chimique montrent une qualité compatible avec un classement en catégorie A, B ou C. A la lumière des résultats acquis, et en raison de l’absence de contamination microbiologique durant l’année d’étude, il est proposé un redécoupage du golfe du Morbihan en 5 sous-secteurs, sous l’influence de sources de contamination distinctes.

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats du réseau de contrôle microbiologique REMI et du réseau de surveillance chimique ROCCH, ce rapport inclut un bilan national et décrit le programme annuel des départements de l’Aude et des Pyrénées orientales. Il présente l’ensemble des résultats obtenus, en particulier l’estimation de la qualité microbiologique et chimique des zones de production de coquillages classées.

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats du réseau de contrôle microbiologique REMI, ce rapport inclut un bilan national et décrit le programme annuel du département du Finistère. Il présente l’ensemble des résultats obtenus, en particulier l’estimation de la qualité des zones de production de coquillages classées et l’évolution de leur qualité. Pour quelques zones, le classement en vigueur est discordant avec l’estimation de la qualité. En décembre 2016, l’arrêté préfectoral portant classement sanitaire des zones de production de coquillages vivants dans le Finistère a été révisé et a permis le classement de quatre zones B en A.

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats du réseau de contrôle microbiologique REMI et du réseau de surveillance chimique ROCCH, ce rapport inclut un bilan national et décrit le programme annuel de la Région Corse. Il présente l’ensemble des résultats obtenus, en particulier l’estimation de la qualité microbiologique et chimique des zones de production de coquillages classées : les étangs de la plaine orientale de la Corse.

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats du réseau de contrôle microbiologique REMI et du réseau de surveillance chimique ROCCH, ce rapport inclut un bilan national et décrit le programme annuel du département des Landes. Il présente l’ensemble des résultats obtenus, en particulier l’estimation de la qualité microbiologique et chimique de la zone de production de coquillages classée (40.01 Lac d’Hossegor) pour la période 2014-2016. Suivant les seuils microbiologiques du règlement (CE) n°854/2014, modifié par le règlement (CE) n° 2285/2015, la zone suivie sur le Lac d’Hossegor est estimée de qualité B pour le groupe 3 (coquillages non fouisseurs). L’étude des tendances d’évolution de la qualité microbiologique de la zone ne met aucune tendance significative en évidence au niveau des deux points de suivi.

Suite à la demande d’exploitation des zones du Cordon du Jaï et de l’étang de Berre par les professionnels, la Direction Départementale des Territoires et de la Mer des Bouches du Rhône (DDTM 13) a sollicité l’Ifremer pour la réalisation d’une étude de zone en vue du classement des zones de production de coquillages pour le groupe 2 (bivalves fouisseurs) « Etang de Berre » et « Cordon du Jaï ». En raison de la proximité géographique de ces deux zones, une seule étude a été réalisée par le Laboratoire Environnement Ressources Provence Azur Corse (LER-PAC). Celle-ci, menée en collaboration avec le GIPREB, a bénéficié d’un financement DGAL. La stratégie d’échantillonnage de cette étude de zone a été déterminée sur la base des résultats d’une étude de dossier et d’une inspection du littoral. Ces dernières ont ainsi permis de positionner trois points pour la zone de l’Etang de Berre « Massane », « Figuerolles », « Le Bouquet » et un point pour la zone Cordon du Jaï « Le Jaï ». Ces points ont été suivis pour le paramètre E. coli pendant un an de façon à obtenir 24 résultats. En raison de mauvaises conditions météorologiques, le prélèvement pour la contamination chimique initialement prévu en février 2016 n’a été effectué qu’en 2017. Au vu des résultats de la qualité microbiologique et chimique obtenus, un classement « B » peut-être retenu pour les deux zones « Etang de Berre » et « Cordon du Jaï ». Lors de la délimitation géographique de ces zones, l’Ifremer a recommandé de définir un périmètre d’exclusion d’un kilomètre autour des exutoires Berre et Saint-Chamas qui se déversent directement dans l’étang. Dans le cadre de la surveillance régulière de ces deux zones, il est recommandé de suivre les points « Massane » et « Le Bouquet » pour la zone Etang de Berre et le point « Le Jaï » pour le Cordon du Jaï.

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats du réseau de contrôle microbiologique des zones de production conchylicoles (REMI) et du réseau d’observation de la contamination chimique (ROCCH), ce rapport inclut un bilan national et décrit le programme annuel du département de l’Ille-et-Vilaine (35). Il présente l’ensemble des résultats obtenus, en particulier l’estimation de la qualité microbiologique et chimique des zones de production de coquillages classées.Pour la troisième année consécutive, les résultats du suivi microbiologique sont globalement bons dans le département d’Ille-et-Vilaine. Les alertes sanitaires ont été quasiment absentes, il n’y a eu qu’une alerte préventive qui n’a pas donné de suite. Cette situation est exceptionnelle. L’estimation de la qualité sanitaire s’améliore ainsi pour de nombreux sites. Cette observation est également appuyée par une modification des critères administratifs du classement sanitaire par la prise en compte d’une tolérance sur la classe A (bonne qualité). Par exemple en baie du Mont Saint-Michel, trois zones supplémentaires sont estimées de bonne qualité. Seul le point « St-Enogat » reste de très mauvaise qualité sanitaire du fait de très mauvais résultats enregistrés en avril 2014. Trois zones ne disposent pas d’assez de données pour pouvoir estimer leur qualité : la zone 35.11 située en baie du Mont-Saint-Michel classée A et les zones 35.04 et 3522.01 situées en baie de Saint-Malo et dans l’estuaire de la Rance, actuellement classées B. La récupération des échantillons provenant des zones 35.04 et 3522.01 est dépendante de la collaboration des pêcheurs. Une convention avec le CDPMEM 35 (Comité Départemental des Pêches Maritimes et des Elevages Marins d’Ille-et-Vilaine) a été signée en novembre 2015 pour améliorer la situation. La zone 35.11 est quant à elle dépendante des conditions météorologiques. Les résultats obtenus sur ces trois dernières années sont compatible

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats du réseau de contrôle microbiologique des zones de production conchylicoles (REMI) et du réseau d’observation de la contamination chimique (ROCCH), ce rapport inclut un bilan national et décrit le programme annuel du département des Côtes d’Armor (22). Il présente l’ensemble des résultats obtenus, en particulier l’estimation de la qualité microbiologique et chimique des zones de production de coquillages classées. Pour la troisième année consécutive, les résultats du suivi microbiologique sont globalement bons dans le département des Côtes d’Armor. Les alertes sanitaires ont été également très peu nombreuses, il n’y a eu qu’une alerte de niveau 1 en 2016 et trois alertes préventives qui n’ont pas donné de suite. Cette situation est exceptionnelle, meilleure encore qu’en 2008 année durant laquelle il y avait eu peu d’alerte de niveau 1 et aucune de niveau 2. L’estimation de la qualité sanitaire s’améliore ainsi pour de nombreux sites. Cette observation est également appuyée par une modification des critères administratifs du classement sanitaire par la prise en compte d’une tolérance sur la classe A (bonne qualité). Sept zones supplémentaires sont estimées de bonne qualité et il n’existe plus de zone présentant une mauvaise ou très mauvaise qualité sanitaire dans les Côtes d’Armor en 2016.

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats du réseau de contrôle microbiologique REMI et du réseau de surveillance chimique ROCCH, ce rapport inclut un bilan national et décrit le programme annuel des départements du Nord, Pas-de-Calais et Somme. Il présente l’ensemble des résultats obtenus, en particulier l’estimation de la qualité microbiologique et chimique des zones de production de coquillages classées pour la période 2014-2016. La qualité a pu être estimée pour quatorze zones de production conchylicole. Suivant les seuils microbiologiques du règlement (CE) n° 854/2004, treize zones suivies sur le littoral Nord Pas-de-Calais Picardie sont estimées de qualité B pour les groupes 2 et 3. Une zone est estimée de qualité A dans la Somme. L’étude des tendances met en évidence une augmentation de la contamination microbiologique sur un point et une diminution pour deux points. Un épisode d’alerte microbiologique a marqué l’année 2016.

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats du réseau de contrôle microbiologique REMI et du réseau de surveillance chimique ROCCH, ce rapport décrit le programme annuel du département de Loire-Atlantique. Il présente l’ensemble des résultats obtenus en 2016, en particulier l’estimation de la qualité microbiologique et chimique des zones de production de coquillages classées. Les classements sanitaires arrêtés le 29 juin 2016 sont concordants avec la qualité microbiologique estimée sur l’ensemble des zones, sauf pour « le traict de Pen Bé » groupe 2, et le «Nord de la baie de Bourgneuf» groupe 3. Le dispositif d’alerte a été déclenché à neuf reprises en 2016 : un seul faisait suite à un épisode de contamination détectée sur les zones de production (niveau 1). La répartition des résultats acquis sur les trois dernières années ne permet pas cette année d’alléger le dispositif de la surveillance. La raréfaction et la difficulté d’accès à la ressource sur le gisement de palourdes de « Saint Brévin » n’ont pas permis d’assurer l’échantillonnage mensuel programmé. Les résultats des analyses chimiques sont inférieurs aux seuils sanitaires pour tous les points

Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats du réseau de contrôle microbiologique REMI et du réseau de surveillance chimique ROCCH, ce rapport décrit le programme annuel du département de la Vendée nord (aire de compétence du LER/MPL) et Vendée sud (aire de compétence du LER/PC). Il présente l’ensemble des résultats obtenus sur la période 2014-201, en particulier l’estimation de la qualité microbiologique et chimique des zones de production de coquillages classées. Les classements sanitaires arrêtés le 12 octobre 2016 ne sont pas concordants avec la qualité microbiologique estimée de toutes les zones de la Vendée. En effet, deux zones classées A sont évaluées en B (« Baie de bourgneuf-Nord-Est du Gois » pour le groupe 3 et « Côte le Faute » pour le groupe 3). Par ailleurs, une zone classée B est évaluée A (« La Frandière – La Fosse » pour le groupe 3). Le classement alternatif saisonnier pour la zone 85.08.01 « Lotissement de filières du Pertuis Breton » semble à revoir. Le dispositif d’alerte a été déclenché à huit reprises en 2016 dont trois fois de manière préventive (niveau 0). L’alerte n’a pas été confirmée et l’alerte a été levée dans les 48 heures suivant son déclenchement. Les résultats acquis sur les trois dernières années permettent cette année d’alléger la fréquence de prélèvement sur la zone 85.08.03 « Rivière du Lay » à un échantillonnage bimestriel et au contraire de renforcer la fréquence de prélèvement sur la zone 85.06 « Parcs du Hâvre de la Gachère » par un échantillonnage mensuel.

Suite à la demande d’exploitation des zones du Cordon du Jaï et de l’Etang de Berre par les professionnels, la Direction Départementale des Territoires et de la Mer des Bouches du Rhône (DDTM 13) a sollicité l’Ifremer pour la réalisation d’une étude de zone en vue du classement des zones de production de coquillages pour le groupe 2 (bivalves fouisseurs) « Etang de Berre » et « Cordon du Jaï ». En raison de la proximité géographique de ces deux zones, une seule étude a été réalisée par le Laboratoire Environnement Ressources Provence Azur Corse (LER-PAC). Celle-ci, menée en collaboration avec le GIPREB, a bénéficié d’un financement DGAL. La stratégie d’échantillonnage de cette étude de zone a été déterminée sur la base des résultats d’une étude de dossier et d’une inspection du littoral. Ces dernières ont ainsi permis de positionner trois points pour la zone de l’Etang de Berre « Massane », « Figuerolles », « Le Bouquet » et un point pour la zone Cordon du Jaï « Le Jaï ». Ces points ont été suivis pour le paramètre E. coli pendant un an de façon à obtenir 24 résultats. En raison de mauvaises conditions météorologiques, le prélèvement pour la contamination chimique initialement prévu en février 2016 n’a été effectué qu’en février 2017. Au vu des résultats microbiologiques obtenus, un classement « B » peut-être retenu pour les deux zones « Etang de Berre » et « Cordon du Jaï ». Ce classement devra être confirmé dès que le bilan de la contamination chimique sera connu. Lors de la délimitation géographique de ces zones, l’Ifremer a recommandé de définir un périmètre d’exclusion d’un kilomètre autour des exutoires Berre et Saint-Chamas qui se déversent directement dans l’étang. Dans le cadre de la surveillance régulière de ces deux zones, il est recommandé de suivre les points « Massane » et « Le Bouquet » pour la zone Etang de Berre et le point « Le Jaï » pour le Cordon du Jaï.

Etude de la qualité microbiologique et chimique du gisement naturel de tellines « Sud Pont d’Yeu », St Jean de Monts et St Hilaire de Riez – groupe 2. Département de Vendée. Rapport final 2017. L’étude de zone 85.05 « Sud Pont d’Yeu » conduite pour le groupe 2 avait pour objectifs de déterminer la qualité de la zone et de définir la stratégie d’échantillonnage à appliquer dans le cadre de la surveillance REMI. Le bassin versant se restreint à la plage, les principales sources de contamination potentielles sont essentiellement diffuses et liées aux activités à proximité très immédiate de la plage. Aucun exutoire (eaux pluviales ou usées) pouvant impacter la qualité microbiologique de la zone de production n’a pu être identifié. Il existe cependant des toilettes publiques en haut de plage et quelques postes de relèvements du réseau des eaux usées sur le secteur de la Grande Plage. Les trois points de prélèvements ont été positionnés en fonction de la répartition spatiale du stock de tellines (D. trunculus) et des sources de contaminations potentielles, et ont été échantillonnés à fréquence bimensuelle de janvier à décembre 2016 : "Davière", "Golf" et "Cale 17".

Résumé : Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats du réseau de contrôle microbiologique REMI et du réseau de surveillance chimique ROCCH, ce rapport inclut un bilan national et décrit le programme annuel 2016 du département du Morbihan. Il présente l’ensemble des résultats obtenus, en particulier l’estimation de la qualité microbiologique et chimique des zones de production de coquillages classées. L’évaluation de la qualité des zones de production sur la période 2014-2016 (2013-2016 pour les classements saisonniers) met en évidence que (i) le classement n’est concordant avec la qualité estimée que pour environ la moitié des zones, cependant dans la majorité des cas (10 zones) la qualité estimée est meilleure que le classement actuel, (ii) la qualité estimée est moins bonne que le classement dans six zones, dont trois en classement saisonnier A/B. L’analyse des résultats des six zones classées de façon saisonnière montre qu’il n’existe aucun caractère saisonnier des niveaux de contamination sur 10 ans, qui justifierait un tel classement. En 2016, deux alertes de niveau 1 ont été déclenchées, aucune n’ayant donné lieu à une alerte de niveau 2. L’analyse des tendances sur 10 ans montre que dix zones présentent une tendance à l’amélioration et plus aucune tendance à la dégradation n’est observée dans le Morbihan. La qualité chimique est satisfaisante sur toutes les stations.