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Background: Repeated cocaine administration changes histone acetylation and methylation on Lys residues and Deoxyribonucleic acid (DNA) within the nucleus accumbens (NAc). Recently Nestler’s group explored histone Arg (R) methylation in reward processing models. Damez- Werno et al. (2016) reported that during human investigations and animal self-administration experiments, the histone mark protein-R-methyltransferase-6 (PRMT6) and asymmetric dimethylation of R2 on histone H3 (H3R2me2a) decreased in the rodent and cocaine-dependent human NAc. Overexpression of PRMT6 in D2-MSNs in all NAc neurons increased cocaine seeking, whereas PRMT6 overexpression in D1-MSNs protects against cocaine-seeking. Hypothesis: The hypothesis is that dopaminylation (H3R2me2a binding) occurs in psychostimulant use disorder (PSU), and the binding inhibitor Srcin1, like the major DRD2 A2 allelic polymorphism, protects against psychostimulant seeking behavior by normalizing nucleus accumbens (NAc) dopamine expression. Discussion: Numerous publications confirmed the association between the DRD2 Taq A1 allele (30-40 lower D2 receptor numbers) and severe cocaine dependence. Lepack et al. (2020) found that acute cocaine increases dopamine in NAc synapses, and results in histone H3 glutamine 5 dopaminylation (H3Q5dop) and consequent inhibition of D2 expression. The inhibition increases with chronic cocaine use and accompanies cocaine withdrawal. They also found that the Src kinase signaling inhibitor 1 (Srcin1 or p140CAP) during cocaine withdrawal reduced H3R2me2a binding. Consequently, this inhibited dopaminylation induced a “homeostatic brake.” Conclusion: The decrease in Src signaling in NAc D2-MSNs, (like the DRD2 Taq A2 allele, a well- known genetic mechanism protective against SUD) normalizes the NAc dopamine expression and decreases cocaine reward and motivation to self-administer cocaine. The Srcin1 may be an important therapeutic target.

The UVA and UVB components of sunlight can produce three classes of bipyrimidine DNA photolesions [cyclobutane pyrimidine dimers (CPDs), pyrimidine (6-4) pyrimidone photoproducts (6-4PPs) and related Dewar valence isomers (DewarPPs)]. The UVA/UVB ratio of sunlight is high in winter and low in summer in the Northern Hemisphere. Since UVB radiation produces 6-4PPs and UVA radiation converts them into DewarPPs through photoisomerization, it is expected that there may be differences in the photoisomerization of 6-4PPs between summer and winter, although that has never been documented. To determine that, isolated DNA was exposed to natural sunlight for 8 h in late summer and in winter, and absolute levels of the three classes of photolesions were quantified using calibrated ELISAs. It was found that sunlight produces CPDs and 6-4PPs in DNA at a ratio of about 9:1 and converts approximately 80% of 6-4PPs into DewarPPs within 3 h. Moreover, photoisomerization is more efficient in winter than in late summer after sunlight irradiation for the same duration, at similar solar UV doses and with the same induction level of CPDs. These results demonstrate that seasonal differences in the UVA/UVB ratio influence the efficiency of the photoisomerization of 6-4PPs into DewarPPs., 博士（医学）・甲第775号・令和3年3月15日, © 2020 The Authors. Photochemistry and Photobiology published by Wiley Periodicals LLC on behalf of American Society for Photobiology. This is an open access article under the terms of the Creative Commons Attribution License(https://creativecommons.org/licenses/by/4.0/), which permits use, distribution and reproduction in any medium, provided the original work is properly cited.

International audience; Il a été constaté ces dernières années, tant en Haïti que sur la scène internationale, un regain d’intérêt pour la personne ainsi que l’œuvre de Jacques Stephen Alexis, figure emblématique de la littérature d’Haïti et de la Caraïbe. Tout à la fois, médecin, journaliste, romancier, essayiste et homme politique, ce natif des Gonaïves qui a débuté dans la littérature par un essai très remarqué sur le poète haïtien Hamilton Garoute a laissé une œuvre inachevée composée d’articles, d’essais, de contes (Romancero aux étoiles) et de romans qui n’ont cessé d’être l’objet de traductions et d’études sous formes de mémoires, de thèses de doctorat, d’essais et d’articles. En juin 2018, L’espace d’un cillement (1959) a été le premier lauréat du prix Jean d’Ormesson. En 2016, l’éditrice Laure Leroy des éditions Zulma a retrouvé la suite « inachevée » de ce roman qui sera publiée sous le titre L’Étoile Absinthe. Le premier roman de Jacques Stephen Alexis, Compère général soleil (1955), a été traduit en anglais par Carrol F. Coates en 1999 et en créole par Édenne Roc en 2018. L’intérêt pour l’œuvre d'Alexis se manifeste aussi par sa réception interne dans la littérature haïtienne comme c’est le cas chez Lyonel Trouillot qui a publié, en 2011, son roman intitulé La belle amour humaine en écho au texte du même titre publié par Jacques Stephen Alexis en janvier 1957. Lui rendant hommage pour le prix Jean d’Ormesson, Dany Laferrière reconnaît que l’auteur de L’espace d’un cillement n’a jamais cessé de cheminer en lui.[...]2022 est une année lumière. C’est l’année qui marque le centenaire de Jacques Stephen Alexis, cet écrivain lumineux ayant laissé ses empreintes sur les lettres francophones, en particulier la littérature haïtienne. D’aucuns diront qu’Alexis, pour reprendre une expression chère à Eddy Arnold Jean se référant à Coriolan Ardouin, est passé « comme une comète dans l’histoire de la littérature haïtienne », et rien ne prédit si la postérité sera capable de lui rendre ce qu’elle lui doit tant son génie, sa science et son engagement n’ont d’égal que dans cet amour voué à l’homme, son semblable, à ce rêve, cet idéal parcourant son œuvre de part en part... Ce véritable météore, quelquefois oublié comme tant d’autres de la critique, « a droit à la reconnaissance de la postérité » pour avoir laissé une œuvre gigantesque, source inépuisable pour la naissance d’une nouvelle humanité.[...]Ce numéro de Legs et Littérature se propose de porter un (nouveau) regard sur la vie et l’œuvre de Jacques Stephen dans toute sa portée militante, politique, littéraire, philosophique et idéologique en comparaison au contexte historique qui l’a vue naître. Il invite à réfléchir sur le sens et la dimension de son engagement à la fois comme créateur, politique et médecin dans la lutte contre les inégalités, l’avènement d’une cité juste et équitable –et, par extension, d’un monde meilleur.

Il a été constaté ces dernières années, tant en Haïti que sur la scène internationale, un regain d’intérêt pour la personne ainsi que l’œuvre de Jacques Stephen Alexis, figure emblématique de la littérature d’Haïti et de la Caraïbe. Tout à la fois, médecin, journaliste, romancier, essayiste et homme politique, ce natif des Gonaïves qui a débuté dans la littérature par un essai très remarqué sur le poète haïtien Hamilton Garoute a laissé une œuvre inachevée composée d’articles, d’essais, de contes (Romancero aux étoiles) et de romans qui n’ont cessé d’être l’objet de traductions et d’études sous formes de mémoires, de thèses de doctorat, d’essais et d’articles. En juin 2018, L’espace d’un cillement (1959) a été le premier lauréat du prix Jean d’Ormesson. En 2016, l’éditrice Laure Leroy des éditions Zulma a retrouvé la suite « inachevée » de ce roman qui sera publiée sous le titre L’Étoile Absinthe. Le premier roman de Jacques Stephen Alexis, Compère général soleil (1955), a été traduit en anglais par Carrol F. Coates en 1999 et en créole par Édenne Roc en 2018. L’intérêt pour l’œuvre d'Alexis se manifeste aussi par sa réception interne dans la littérature haïtienne comme c’est le cas chez Lyonel Trouillot qui a publié, en 2011, son roman intitulé La belle amour humaine en écho au texte du même titre publié par Jacques Stephen Alexis en janvier 1957. Lui rendant hommage pour le prix Jean d’Ormesson, Dany Laferrière reconnaît que l’auteur de L’espace d’un cillement n’a jamais cessé de cheminer en lui.[...]2022 est une année lumière. C’est l’année qui marque le centenaire de Jacques Stephen Alexis, cet écrivain lumineux ayant laissé ses empreintes sur les lettres francophones, en particulier la littérature haïtienne. D’aucuns diront qu’Alexis, pour reprendre une expression chère à Eddy Arnold Jean se référant à Coriolan Ardouin, est passé « comme une comète dans l’histoire de la littérature haïtienne », et rien ne prédit si la postérité sera capable de lui rendre ce qu’elle lui doit tant son génie, sa science et son engagement n’ont d’égal que dans cet amour voué à l’homme, son semblable, à ce rêve, cet idéal parcourant son œuvre de part en part... Ce véritable météore, quelquefois oublié comme tant d’autres de la critique, « a droit à la reconnaissance de la postérité » pour avoir laissé une œuvre gigantesque, source inépuisable pour la naissance d’une nouvelle humanité.[...]Ce numéro de Legs et Littérature se propose de porter un (nouveau) regard sur la vie et l’œuvre de Jacques Stephen dans toute sa portée militante, politique, littéraire, philosophique et idéologique en comparaison au contexte historique qui l’a vue naître. Il invite à réfléchir sur le sens et la dimension de son engagement à la fois comme créateur, politique et médecin dans la lutte contre les inégalités, l’avènement d’une cité juste et équitable –et, par extension, d’un monde meilleur.