65 results on '"Emmanuel, Langlois"'
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52. Hôpital et nouvelle gouvernance : les cadres de santé à la croisée des chemins
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Emmanuel Langlois, Centre Émile Durkheim (CED), Sciences Po Bordeaux - Institut d'études politiques de Bordeaux (IEP Bordeaux)-Université de Bordeaux (UB)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Université de Bordeaux (UB)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Sciences Po Bordeaux - Institut d'études politiques de Bordeaux (IEP Bordeaux), and Sagat, Caroline
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[SHS.SOCIO]Humanities and Social Sciences/Sociology ,[SHS.SOCIO] Humanities and Social Sciences/Sociology ,[SDV.SPEE] Life Sciences [q-bio]/Santé publique et épidémiologie ,sociologie ,santé publique ,hôpital ,[SDV.SPEE]Life Sciences [q-bio]/Santé publique et épidémiologie ,santé ,politique publique - Abstract
Entre nouveau rôle et héritage professionnel, les cadres de santé se trouvent à un point charnière des forces qui s'exercent sur l'hôpital. Cette situation suscite chez eux un malaise et les place à un carrefour de leur histoire : vont-ils couper les ponts avec leur profession d'origine et abandonner le monde du soin pour celui de la gestion ? Comment les mutations de l'hôpital modifient-elles leur rôle? Comment travaillent-elles l'identité du groupe cadre ?
- Published
- 2011
53. Les éthiques du care en pratique
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Emmanuel Langlois, Sagat, Caroline, Paulette Guinchard et Jean-François Petit (dir.), Centre Émile Durkheim (CED), Sciences Po Bordeaux - Institut d'études politiques de Bordeaux (IEP Bordeaux)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Université de Bordeaux (UB), and Université de Bordeaux (UB)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Sciences Po Bordeaux - Institut d'études politiques de Bordeaux (IEP Bordeaux)
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territoire ,[SHS.SOCIO]Humanities and Social Sciences/Sociology ,[SHS.SOCIO] Humanities and Social Sciences/Sociology ,organisation ,soin ,[SHS.SCIPO]Humanities and Social Sciences/Political science ,politique ,pouvoir ,travail ,éthique ,philosophie ,care ,action publique ,[SHS.SCIPO] Humanities and Social Sciences/Political science - Published
- 2011
54. Un modèle français de Communauté Thérapeutique ? Les communautés thérapeutiques expérimentales : Consensus des professionnels
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Emmanuel Langlois, Marc Auriacombe, Mélina Fatséas, Cécile Denis, Sommeil, Attention et Neuropsychiatrie [Bordeaux] (SANPSY), Université de Bordeaux (UB)-CHU de Bordeaux Pellegrin [Bordeaux]-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Centre Émile Durkheim (CED), and Université de Bordeaux (UB)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Sciences Po Bordeaux - Institut d'études politiques de Bordeaux (IEP Bordeaux)
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[SHS.SOCIO]Humanities and Social Sciences/Sociology ,dérives sectaires ,évaluation ,Delphi method ,030508 substance abuse ,méthode Delphi ,030227 psychiatry ,3. Good health ,operation ,03 medical and health sciences ,Psychiatry and Mental health ,Clinical Psychology ,therapeutic community ,0302 clinical medicine ,consensus ,communauté thérapeutique ,fonctionnement ,[SDV.SPEE]Life Sciences [q-bio]/Santé publique et épidémiologie ,sectarian drifts ,0305 other medical science - Abstract
International audience; Introduction: Therapeutic communities (TCs) were introduced as a means of support for individuals with substance dependence a little over forty years ago and are still a common treatment modality in the world. In France, TCs had a bad press because of sectarian drifts. The French Government Plan to combat illegal drugs, tobacco and alcohol (2004-2008) planned the opening of TCs on an experimental basis. Objective: The objective of this study was to define guidelines for the operation of a TC in the French context, based on the expertise of professionals, 30 months after the opening of experimental TCs. Methods: The Delphi analysis that supports the identification of consensus among experts was used. In the context of this study, the experts were professionals of the TCs. It is the expertise of these professionals that was sought. Results: The consensus of professionals to ensure efficient functioning of a TC have been defined. The inclusion criteria should not be restrictive. A pluridisciplinary team of professionals with similar skills than those in outpatient addiction treatment centers should hold the definition of the treatment program. The TC should follow a democratic model inclusive of residents but with a leading of the professionals. To avoid the risks of sectarism and leadership, the TC should make the choice of openness, transparency and integration into the local community and should offer a somewhat limited place to residents to prevent leardership diversion. Conclusion: It is expected that the consensus reached in this Delphi analysis will evolve over the years of operation of TCs but they are a first basis for implementation of TCs in France.; Cette étude a été financée par l'OFDT, appel à projet octobre 2007 Les Communautés Thérapeutiques : quelle mise en œuvre et pour quels résultats ? La Mission Interministérielle de Lutte contre la Drogue et la Toxicomanie (MILDT) a confié à l'Observatoire Français des Drogues et des Toxicomanies (OFDT) la mise en œuvre d'un mandat d'évaluation des CT. Suite à un appel à projet, le Laboratoire de Psychiatrie - USR CNRS 3413 SANPsy/Université Bordeaux Segalen, Bordeaux, France a été sélectionné pour conduire cette évaluation qui s'est déroulée du 12 mars 2008 au 30 mars 2011. Introduction : Les communautés thérapeutiques (CT) sont des lieux de vie communautaire introduits comme modalité de prise en charge des personnes dépendantes des substances il y a un peu plus de quarante ans et sont encore une modalité de traitement répandue dans le monde. En France, les CT ont mauvaise presse du fait de dérives sectaires. Le Plan Gouvernemental français de lutte contre les drogues illicites, le tabac et l'alcool (2004-2008) a prévu la création de CT à titre expérimental. Objectif : L'objectif de ce travail était de définir les points importants à mettre en place pour le fonctionnement d'une CT dans le contexte français, sur la base de l'expérience de professionnels, 30 mois après l'ouverture des CT au statut expérimental. Méthode : La méthode d'analyse Delphi qui favorise la mise en évidence de consensus entre experts a été utilisée. Dans le contexte de cette étude, l'expertise recherchée était celle des professionnels des CT. Résultats : Des consensus pour s'assurer du bon fonctionnement d'une CT ont pu être définis. L'admission en CT doit être peu restrictive. L'encadrement, l'organisation de la prise en charge, le projet thérapeutique, la sortie de la CT doivent s'appuyer sur les décisions d'une équipe pluridisciplinaire avec des compétences équivalentes à celles d'une équipe de centres de soins spécialisés en addictologie. La prise en charge doit être démocratisée mais non déprofessionnalisée. La prévention des dérives sectaires et économiques est garantie par le choix de l'ouverture, de la transparence et de l'intégration dans le tissu local de la CT et en offrant une place somme toute limitée aux résidents. Perspectives : Il est prévisible que les consensus dégagés lors de cette analyse Delphi évolueront au cours des années de fonctionnement des CT mais ils constituent une première base de mise en place des CT en France.
- Published
- 2011
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55. Évaluation des communautés thérapeutiques en France. Quelle mise en oeuvre, quels résultats ? Etude prospective sur deux ans dans quatre communautés thérapeutiques
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Cécile Denis, Mélina Fatséas, Emmanuel Langlois, Antoine Vérétout, Marc Auriacombe, Centre Émile Durkheim (CED), Sciences Po Bordeaux - Institut d'études politiques de Bordeaux (IEP Bordeaux)-Université de Bordeaux (UB)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Laboratoire de psychologie clinique et de psychopathologie, Université Bordeaux Segalen - Bordeaux 2-JE2358, Observatoire français des drogues et toxicomanies (OFDT), Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie (MILDT), Direction générale de la santé (DGS), and Université de Bordeaux (UB)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Sciences Po Bordeaux - Institut d'études politiques de Bordeaux (IEP Bordeaux)
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drogues ,[SHS.SOCIO]Humanities and Social Sciences/Sociology ,sociologie ,[SDV.SPEE]Life Sciences [q-bio]/Santé publique et épidémiologie ,toxicomanie ,politique publique ,santé ,action publique ,politique - Published
- 2011
56. L'épreuve du sida
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Emmanuel Langlois, Laboratoire des Problèmes Sociaux et de l'Action Collective (LAPSAC EA 495), and Université Bordeaux Segalen - Bordeaux 2
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maladie ,03 medical and health sciences ,[SHS.SOCIO]Humanities and Social Sciences/Sociology ,0302 clinical medicine ,conditions sociales ,0502 economics and business ,05 social sciences ,030229 sport sciences ,sida ,santé ,050212 sport, leisure & tourism ,thérapie - Abstract
Le sida hante nos sociétés depuis un quart de siècle. On lui doit des changements qui ont profondément modifié notre approche de la maladie. Ce livre est consacré aux hommes et aux femmes qui vivent avec le virus, à la manière dont ils doivent désormais composer leur expérience de malade. Dans l'épreuve du sida, tous les malades sont confrontés au défi de reconstruire des formes de médiation avec autrui et avec eux-mêmes. Donner un sens à ce qui est vécu et préserver l'unité de soi que le sida met à mal. Pour comprendre les difficultés inhérentes à cette épreuve, il faut prendre acte du fait que la maladie ne s'inscrit plus dans un régime d'exception, ne constitue plus une parenthèse dans la vie mais un mode de vie à part entière. Que la maladie s'inscrit désormais dans un univers normatif marqué par une conception triomphante de l'individu qui ne laisse plus beaucoup de place à l'expression de la fragilité de l'homme malade. Dans la société contemporaine, il n'y a plus d'institution en mesure de neutraliser et d'enfermer symboliquement la mort et la maladie. La personne malade ne peut se retirer dans un univers séparé à l'écart des exigences sociales ordinaires, elle doit proposer sa différence aux autres tout en montrant qu'elle est dotée d'un moi standard. Les couches protectrices du statut de malade sautent pour laisser le malade à nu, seul face à son destin et à l'impératif de se prendre en charge. La maladie se « sécularise ». À travers une approche compréhensive de l'expérience du sida, ce livre permet de mesurer à quel point la maladie n'est plus seulement une entreprise de destruction des corps mais un moment central de la formation de l'individu contemporain. Une épreuve dans tous les sens du terme.
- Published
- 2006
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57. Droits des malades : une nouvelle éducation morale
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Emmanuel Langlois, Laboratoire des Problèmes Sociaux et de l'Action Collective (LAPSAC EA 495), and Université Bordeaux Segalen - Bordeaux 2
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relation de soin ,Issues, ethics and legal aspects ,droit des malades ,[SHS.SOCIO]Humanities and Social Sciences/Sociology ,060105 history of science, technology & medicine ,05 social sciences ,0501 psychology and cognitive sciences ,0601 history and archaeology ,06 humanities and the arts ,projet collectif ,050105 experimental psychology ,perspective sociologique ,Pathology and Forensic Medicine - Abstract
International audience; Considérée comme l’aboutissement d’un long processus d’émergence des droits des malades, la loi du 4 mars 2002 a explicitement jeté les bases d’un ambitieux projet collectif de réforme de la relation de soin. Dans une perspective sociologique, l’article s’interroge sur les normes véhiculées par le corpus des droits des malades et sur leur capacité à transformer cette relation.
- Published
- 2004
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58. Le tacite à l’hôpital : formes et usages
- Author
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Emmanuel Langlois
- Subjects
General Medicine - Published
- 2000
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59. Espaces genrés des drogues. Parcours dans la fête, l’intimité et la réduction des risques
- Author
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Mélina Germes, Jenny Künkel, Emmanuel Langlois, Sarah Perrin, Roxane Scavo, Passages, Université de Bordeaux (UB)-École nationale supérieure d'architecture et du paysage de Bordeaux (ENSAP Bordeaux)-Université Bordeaux Montaigne (UBM)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Centre Émile Durkheim (CED), Sciences Po Bordeaux - Institut d'études politiques de Bordeaux (IEP Bordeaux)-Université de Bordeaux (UB)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), ANR-16-SEBM-0002,DRUSEC,L'usage d'alcool et de drogues illicites dans les espaces publics et nocturnes. Enjeux et suggestions de solution pour les municipalités(2016), ANR-19-HER2-0005,GONACI,Governing the narcotic city. Imaginaries, practices and discourses of public drug in European cities(2019), and European Project: HERA.2.064,GONACI
- Subjects
consommation de drogue et d'alcool ,drogues ,rapports sociaux de pouvoir ,[SHS.SOCIO]Humanities and Social Sciences/Sociology ,genre ,inégalités ,ville ,Réduction des risques ,[SHS.GEO]Humanities and Social Sciences/Geography ,Fête ,politique publique - Abstract
Les perceptions des drogues et des problèmes qui y sont associés est biaisée en faveur d’une représentation androcentrée et cis-hétéronomée. Dans l’imaginaire et les discours publics, les femmes, personnes queers et trans sont considéré-e-s comme des exceptions – soit implicitement abstinent-e-s, soit avec des conduites à haut risque comme les travailleuses du sexe, les mères toxicomanes, les femmes agressées dans les fêtes ou les chemsexeurs gays. Ces représentations sont partagées et parfois amplifiées par les politiques publiques de lutte contre les stupéfiants, les pratiques ordinaires de la police ou encore les professionnel-les en charge de la prévention et de la réduction des risques. En questionnant les constructions de genre autour de la consommation de drogue et d'alcool, cet ouvrage vise aussi à sortir de l’implicite neutralité des dispositifs institutionnels, à se détacher de la dichotomie simplificatrice entre espaces publics et privés pour privilégier des analyses fines des espaces, spatialités et enjeux spatiaux. Les contributions de cet ouvrage dévoilent ces biais de perception et dessinent une nouvelle géographie des drogues en montrant l'ancienneté et la variété des consommations féminines et LGBTIQ de drogue et d'alcool. Traversant plusieurs contextes sociaux, une variété de lieux et de villes, il contribue à rendre visible les pratiques et leurs significations ainsi que les luttes et rapports sociaux de pouvoir qui les accompagnent.
60. Les traitements de substitution aux opiacés vus par les patients
- Author
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Emmanuel Langlois, Maitena Milhet, Centre Émile Durkheim (CED), Sciences Po Bordeaux - Institut d'études politiques de Bordeaux (IEP Bordeaux)-Université de Bordeaux (UB)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), and Université de Bordeaux (UB)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Sciences Po Bordeaux - Institut d'études politiques de Bordeaux (IEP Bordeaux)
- Subjects
[SHS.SOCIO]Humanities and Social Sciences/Sociology ,opiacés ,drogues ,méthadone ,traitements de substitution ,[SHS.SCIPO]Humanities and Social Sciences/Political science - Abstract
Les traitements de substitution aux opiacés (TSO) constituent depuis 1995 un des fondements de la politique de réduction des risques en France. Les dernières données de l'Assurance-maladie estiment à 143 600 le nombre de personnes ayant bénéficié d'une prescription d'un médicament de substitution aux opiacés (MSO) dans l'année. Prescrits massivement, les TSO sont désormais bien connus des praticiens et des usagers de drogues et ancrés dans leurs pratiques respectives. Au plan scientifique, les données accumulées depuis plusieurs décennies ont permis de statuer en faveur de leurs effets bénéfiques sur les plans sanitaire, social et comportemental (moindre recours aux pratiques à risques par exemple). Pour autant, le point de vue des patients et leur expérience de ces traitements sont encore peu documentés. Qu'est-ce qu'un traitement réussi ? Qu'est-ce qu'un échec ? Sur ce point comme sur d'autres, les indicateurs cliniques ne restituent ni la complexité du réel, ni la diversité des critères d'évaluation mobilisés par les patients. Donner une audience aux appréciations et aux savoirs des patients à l'égard des TSO reste un enjeu majeur. La reconnaissance de cette " expertise " des usagers-patients peine encore à être reconnue comme telle. Afin de pallier ces lacunes, l'OFDT a commandé une enquête de sociologie qualitative interrogeant des patients suivant un TSO dans divers cadres thérapeutiques. Ce numéro de Tendances aborde les points saillants de l'expérience des traitements aux principales étapes des trajectoires individuelles : la perception des traitements pendant l'usage de drogues, l'entrée en traitement, leur gestion quotidienne au long cours et le moment de la sortie. Il en ressort notamment quatre profils de patients selon l'usage qui est fait du médicament de substitution et selon les attentes des patients vis-à-vis de leur prise en charge.
61. Le cancer comme inscription d'une rupture biographique dans le corps
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Sarradon, Aline, Centre de Recherche Cultures, Santé, Sociétés (JE 2424) (CReCSS), Université Paul Cézanne - Aix-Marseille 3-JE2424, Financement Fondation de France, Florence Cousson-Gélie, Emmanuel Langlois, Marion Barrault, Sarradon-Eck, Aline, and Florence Cousson-Gélie, Emmanuel Langlois, Marion Barrault
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[SHS.ANTHRO-SE] Humanities and Social Sciences/Social Anthropology and ethnology ,"Illness experience" ,"Explanatory model of illness" ,"ethnoepidemiology" ,"représentation de la psychosomatique" ,"ethnoépidémiologie" ,[SHS.ANTHRO-SE]Humanities and Social Sciences/Social Anthropology and ethnology ,"Modèles explicatifs de la maladie" ,"psychosomatic representation" ,"Expérience de la maladie" - Abstract
The text considers the lay etiological model of cancer psychogenesis as a social construction, whose dynamics and cultural conditions of elaboration will be analyzed. This model assigns cancer origin or activation to psychic activity (i.e. a matter of mind, understanding and affectivity).This chapter will more precisely consider a cultural model: cancer as a physical scar of a traumatism, which is to say the inscription of a social experience in the body. According to the explanatory model, the patient is a victim of a psychic traumatism that results from a biographical accident or from the social environment. This interpretation favours a process of investigation, in order to seek the biographical occurrence that is liable to activate a cancer. Then, this event is elevated to the rank of traumatism. This model comes within a cultural dynamic: "general traumatization of life", "new psychological culture", expansion of psychosomatic medicine, promotion of a psychological work about oneself, social norm of narrativity. Reparation is the underlying social logic. On the one hand, it underlies some patients' patterns of prevention that aim at repairing the psychic traumatism in order to suppress the recurrence risk. On the other hand, it partly underlies professional practices: those focussing on the support of patients.Then, the article will consider a second cultural model: the "psyche" as cancer risk factor. Following the example of the scientific model, this lay epidemiology examines different real or supposed patients' risk factors. In this context, cultural dynamics is involved: institutionalization of individual responsibility by health policy and internalization of one's fault. It is important to emphasize that ethnoepidemiology sometimes considers the human mind as another risk factor, since patients who consider the "psychic risk" as a risk factor among others develop risk reduction strategies., Le texte propose d'examiner le modèle étiologique profane de la psychogenèse du cancer, qui attribue à une certaine activité psychique (relevant de l'esprit, de l'intelligence et de l'affectivité) l'origine ou le déclenchement de la maladie cancéreuse, en tant que construction sociale en analysant sa dynamique et les conditions culturelles de son élaboration. Sera examiné plus précisément un modèle culturel : le cancer comme cicatrice physique d'un traumatisme, soit l'inscription dans le corps d'une expérience sociale. Selon ce modèle explicatif, le malade est une victime d'un traumatisme psychique, lui-même étant la conséquence d'un accident biographique ou d'un environnement social. Cette interprétation favorise une démarche d'enquête à la recherche d'un événement biographique susceptible de déclencher un cancer, événement élevé alors, a posteriori, au rang de traumatisme. Ce modèle s'inscrit dans une dynamique culturelle (« traumatisation généralisée de l'existence », « nouvelle culture psychologique », essor de la médecine psychosomatique, promotion d'un travail psychologique sur soi-même, norme sociale de la narrativité). La logique sociale sous-jacente est celle de la réparation. Elle sous-tend, d'une part, des conduites de prévention de la récidive des patients visant à réparer le traumatisme psychique afin de supprimer le risque de rechute. D'autre part, elle sous-tend – en partie - les pratiques des professionnels centrées sur l'accompagnement des malades pour atténuer les effets –physiques, psychologiques et sociaux - néfastes des traitements et améliorer la qualité de vie des patients. L'article examinera ensuite un second modèle culturel : le « psychisme » comme facteur de risque du cancer. Cette épidémiologique profane interroge les divers facteurs de risque réels ou supposés par la personne, à l'instar du modèle scientifique. La dynamique culturelle à l'oeuvre est celle de l'institutionnalisation de la responsabilité individuelle par la santé publique et de l'intériorisation de la faute. L'ethnoépidémiologie élevant le psychisme au rang de facteur de risque du cancer, est particulièrement importante à connaître car les personnes qui envisagent le « risque psychique » au même titre que les autres facteurs de risques, développent des stratégies de réduction du risque.
- Published
- 2009
62. Gouverner les drogues et la sexualité dans les lieux festifs féministes alternatifs en Allemagne
- Author
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Künkel, Jenny, Viala, Marie, Chabanol, Loïc, Passages, Université de Bordeaux (UB)-École nationale supérieure d'architecture et du paysage de Bordeaux (ENSAP Bordeaux)-Université Bordeaux Montaigne (UBM)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Mélina Germes, Jenny Künkel, Emmanuel Langlois, Sarah Perrin, Roxane Scavo, ANR-19-HER2-0005,GONACI,Governing the narcotic city. Imaginaries, practices and discourses of public drug in European cities(2019), and European Project: HERA.2.064,GONACI
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[SHS.SOCIO]Humanities and Social Sciences/Sociology - Abstract
International audience
- Published
- 2022
63. Electronic cigarettes in students : consumption trajectories and use profiles
- Author
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KINOUANI, Shérazade, Bordeaux population health (BPH), Université de Bordeaux (UB)-Institut de Santé Publique, d'Épidémiologie et de Développement (ISPED)-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM), Université de Bordeaux, Christophe Tzourio, Emmanuel Langlois, STAR, ABES, Tzourio, Christophe, Langlois, Emmanuel, Brousse, Georges, Melchior, Maria, and Jauffret-Roustide, Marie
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[SDV.EE.SANT]Life Sciences [q-bio]/Ecology, environment/Health ,[SHS.SOCIO]Humanities and Social Sciences/Sociology ,Jeunes adultes ,[SHS.SOCIO] Humanities and Social Sciences/Sociology ,Smoking ,E-Cigarettes ,Étudiants ,[SDV.EE.SANT] Life Sciences [q-bio]/Ecology, environment/Health ,Tabagisme ,Students ,Young adults - Abstract
Introduction: Chronic use of tobacco is a harmful practice for health, favored by the installation of an addiction. E-cigarettes are electronic devices that can provide nicotine to be inhaled. A recent clinical trial suggests that they may be more effective than nicotine replacement therapy for smoking cessation in adult tobacco smokers. The absence of combustion also makes them an alternative in harm reduction related to tobacco. These potential benefits for smokers remain to be confirmed. And benefits are counteracted by the lack of data on the risk associated with their continued use and the gateway to tobacco if they are used by non-smokers, particularly among adolescents or young adults. Few studies have focused on the use of e-cigarettes in young adults. Our goal was to describe the use of e-cigarettes (reasons for use, trajectories, personal experience, user profiles) and its evolution in the student population. Methods: Between October 2014 and November 2018, we led a mixed-method research combining an observational online cohort study nested in the i-Share project (12-month follow-up), a systematic review and a qualitative study by semi-directed interviews among students in Bordeaux (France). Results: The e-cigarette experiment was declared in 2016 by 36% of students in i-Share project. The prevalence of current use (daily as non-daily) was estimated at 7%. Vaping was mostly a practice of former smokers and smokers. The reasons for experimenting and continuing the use of e-cigarettes were plural, combining: i) reasons related to tobacco / nicotine use; ii) others reasons related to the functional properties of e-cigarettes or their practicality and iii) social reasons. However, curiosity was the most cited reason for experimentation, regardless of smoking status. Among smokers, the probability of smoking cessation at 12-month was statistically uncorrelated with the use of e-cigarettes. Yet some students were able to quit tobacco smoking via e-cigarettes in our qualitative research. Four trajectories in the use of e-cigarettes and tobacco have been described in smokers who used e-cigarettes for at least 2 consecutive months: cessation of smoking without transition by dual use; planned and acquired cessation of tobacco, after a transitional dual use; a planned cessation of tobacco, with dual use in progress; dual use without a planned smoking cessation. A learning process was taking place in students during their continued use of e-cigarettes. Learning took place at different levels: search for effects, relation with their electronic device, social interactions and cognitive mechanism of justifications for pursuing e-cigarette use. This learning process was described independently of the desire to stop smoking. Conclusion: Our analysis of the data collected in i-Share project did not show an association between the use of e-cigarettes and smoking cessation among student smokers. The possible hypotheses are i) that e-cigarettes are in fact not effective or ii) that young adult smokers - not feeling the need to quit smoking- did not use them in this perspective. In smokers enrolled in a continued vaping, the trajectories of use of e-cigarettes and tobacco seem influenced by their initial project of stopping smoking (motivation to change) but also by their experience during the use of e-cigarettes. This can lead in some cases to smoking cessation., Introduction : L’usage chronique de tabac est une pratique nocive pour la santé, favorisée par l’installation d’une addiction. Les e-cigarettes sont des dispositifs électroniques pouvant délivrer de la nicotine destinée à être inhalée. Un récent essai clinique suggère qu’elles pourraient être plus efficaces que les traitements de substitution nicotinique pour obtenir l’arrêt du tabac chez les fumeurs adultes. L’absence de combustion en fait aussi une alternative dans la réduction des risques et des dommages liés au tabac. Ces bénéfices potentiels pour les fumeurs restent néanmoins à confirmer. Ils sont contrebalancés par l’absence de données sur les risques liés à leur usage prolongé et par la passerelle vers le tabagisme que constitue leur usage par les non-fumeurs adolescents ou jeunes adultes. Peu d’études se sont justement intéressées à l’usage d’e-cigarettes en population de jeunes adultes. Notre objectif était de décrire l’usage d’e-cigarettes (motivations, trajectoires, vécu, profils d’usagers) et son évolution en population étudiante. Méthodes : Entre Octobre 2014 et Novembre 2018, nous avons mené un projet de recherche par méthode mixte, associant une étude observationnelle de cohorte en ligne nichée dans le projet i-Share (suivi sur 12 mois), une revue systématique de littérature et une étude qualitative par entretiens semi-dirigés auprès d’étudiants bordelais. Résultats : L’expérimentation d’e-cigarettes a été déclarée en 2016 par 36 % des étudiants interrogés dans i-Share. La prévalence de l’usage actuel (occasionnel ou quotidien) d’e-cigarettes était estimée à 7 %. Le vapotage était majoritairement une pratique d’anciens fumeurs et de fumeurs. Les raisons d’expérimenter comme de prolonger l’usage d’e-cigarettes étaient plurielles, combinant i) des raisons en lien avec l’usage de tabac/nicotine ; ii) d’autres en lien avec les propriétés fonctionnelles des e-cigarettes ou leur praticité et iii) des raisons sociales. La curiosité était cependant la raison la plus citée d’expérimentation, indépendamment du statut tabagique. Chez les fumeurs, la probabilité d’arrêt du tabac à l’issue d’un suivi sur 12 mois n’était statistiquement pas corrélée à l’usage d’e-cigarettes. Pourtant, certains étudiants réussissaient à arrêter de fumer via les e-cigarettes dans notre étude qualitative. Quatre trajectoires de l’usage d’e-cigarettes et de tabac ont pu être décrites chez des fumeurs ayant vapoté pendant au moins 2 mois consécutifs : l’arrêt du tabac sans transition par un usage dualiste ; l’arrêt planifié et acquis du tabac, après un usage dualiste transitoire ; l’arrêt planifié mais non acquis du tabac, avec un usage dualiste en cours ; l’usage dualiste sans arrêt planifié du tabac. Un processus d’apprentissages s’opérait chez les étudiants au cours du vapotage prolongé. L’apprentissage avait lieu à différents niveaux : dans la recherche des effets, dans le rapport avec le dispositif électronique, dans les interactions sociales et dans le mécanisme cognitif de rationalisation de la poursuite du vapotage. Ce processus d’apprentissages était décrit indépendamment du souhait d’arrêt du tabac. Conclusion : Notre analyse des données recueillies dans i-Share ne montrait pas d’association entre l’usage d’e-cigarettes et l’arrêt du tabac chez des étudiants fumeurs. Les hypothèses possibles sont i) qu’elles ne sont effectivement pas efficaces ou ii) que les jeunes adultes fumeurs qui vapotent ne ressentent pas tous le besoin d’arrêter de fumer et ne les utilisent donc pas dans cette perspective. Chez les fumeurs qui s’inscrivent dans un vapotage prolongé, les trajectoires d’usage d’e-cigarettes et de tabac paraissent influencées non seulement par leur projet initial d’arrêt du tabac (motivation au changement) mais aussi par leur vécu au cours de l’usage d’e-cigarettes. Cela aboutit dans certains cas à l’arrêt du tabac.
- Published
- 2019
64. La cigarette électronique chez les étudiants : trajectoires de consommation et profils d’usage
- Author
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Kinouani, Shérazade, Bordeaux population health (BPH), Université de Bordeaux (UB)-Institut de Santé Publique, d'Épidémiologie et de Développement (ISPED)-Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM), Université de Bordeaux, Christophe Tzourio, and Emmanuel Langlois
- Subjects
[SDV.EE.SANT]Life Sciences [q-bio]/Ecology, environment/Health ,[SHS.SOCIO]Humanities and Social Sciences/Sociology ,Jeunes adultes ,Smoking ,E-Cigarettes ,Étudiants ,Tabagisme ,Students ,Young adults - Abstract
Introduction: Chronic use of tobacco is a harmful practice for health, favored by the installation of an addiction. E-cigarettes are electronic devices that can provide nicotine to be inhaled. A recent clinical trial suggests that they may be more effective than nicotine replacement therapy for smoking cessation in adult tobacco smokers. The absence of combustion also makes them an alternative in harm reduction related to tobacco. These potential benefits for smokers remain to be confirmed. And benefits are counteracted by the lack of data on the risk associated with their continued use and the gateway to tobacco if they are used by non-smokers, particularly among adolescents or young adults. Few studies have focused on the use of e-cigarettes in young adults. Our goal was to describe the use of e-cigarettes (reasons for use, trajectories, personal experience, user profiles) and its evolution in the student population. Methods: Between October 2014 and November 2018, we led a mixed-method research combining an observational online cohort study nested in the i-Share project (12-month follow-up), a systematic review and a qualitative study by semi-directed interviews among students in Bordeaux (France). Results: The e-cigarette experiment was declared in 2016 by 36% of students in i-Share project. The prevalence of current use (daily as non-daily) was estimated at 7%. Vaping was mostly a practice of former smokers and smokers. The reasons for experimenting and continuing the use of e-cigarettes were plural, combining: i) reasons related to tobacco / nicotine use; ii) others reasons related to the functional properties of e-cigarettes or their practicality and iii) social reasons. However, curiosity was the most cited reason for experimentation, regardless of smoking status. Among smokers, the probability of smoking cessation at 12-month was statistically uncorrelated with the use of e-cigarettes. Yet some students were able to quit tobacco smoking via e-cigarettes in our qualitative research. Four trajectories in the use of e-cigarettes and tobacco have been described in smokers who used e-cigarettes for at least 2 consecutive months: cessation of smoking without transition by dual use; planned and acquired cessation of tobacco, after a transitional dual use; a planned cessation of tobacco, with dual use in progress; dual use without a planned smoking cessation. A learning process was taking place in students during their continued use of e-cigarettes. Learning took place at different levels: search for effects, relation with their electronic device, social interactions and cognitive mechanism of justifications for pursuing e-cigarette use. This learning process was described independently of the desire to stop smoking. Conclusion: Our analysis of the data collected in i-Share project did not show an association between the use of e-cigarettes and smoking cessation among student smokers. The possible hypotheses are i) that e-cigarettes are in fact not effective or ii) that young adult smokers - not feeling the need to quit smoking- did not use them in this perspective. In smokers enrolled in a continued vaping, the trajectories of use of e-cigarettes and tobacco seem influenced by their initial project of stopping smoking (motivation to change) but also by their experience during the use of e-cigarettes. This can lead in some cases to smoking cessation.; Introduction : L’usage chronique de tabac est une pratique nocive pour la santé, favorisée par l’installation d’une addiction. Les e-cigarettes sont des dispositifs électroniques pouvant délivrer de la nicotine destinée à être inhalée. Un récent essai clinique suggère qu’elles pourraient être plus efficaces que les traitements de substitution nicotinique pour obtenir l’arrêt du tabac chez les fumeurs adultes. L’absence de combustion en fait aussi une alternative dans la réduction des risques et des dommages liés au tabac. Ces bénéfices potentiels pour les fumeurs restent néanmoins à confirmer. Ils sont contrebalancés par l’absence de données sur les risques liés à leur usage prolongé et par la passerelle vers le tabagisme que constitue leur usage par les non-fumeurs adolescents ou jeunes adultes. Peu d’études se sont justement intéressées à l’usage d’e-cigarettes en population de jeunes adultes. Notre objectif était de décrire l’usage d’e-cigarettes (motivations, trajectoires, vécu, profils d’usagers) et son évolution en population étudiante. Méthodes : Entre Octobre 2014 et Novembre 2018, nous avons mené un projet de recherche par méthode mixte, associant une étude observationnelle de cohorte en ligne nichée dans le projet i-Share (suivi sur 12 mois), une revue systématique de littérature et une étude qualitative par entretiens semi-dirigés auprès d’étudiants bordelais. Résultats : L’expérimentation d’e-cigarettes a été déclarée en 2016 par 36 % des étudiants interrogés dans i-Share. La prévalence de l’usage actuel (occasionnel ou quotidien) d’e-cigarettes était estimée à 7 %. Le vapotage était majoritairement une pratique d’anciens fumeurs et de fumeurs. Les raisons d’expérimenter comme de prolonger l’usage d’e-cigarettes étaient plurielles, combinant i) des raisons en lien avec l’usage de tabac/nicotine ; ii) d’autres en lien avec les propriétés fonctionnelles des e-cigarettes ou leur praticité et iii) des raisons sociales. La curiosité était cependant la raison la plus citée d’expérimentation, indépendamment du statut tabagique. Chez les fumeurs, la probabilité d’arrêt du tabac à l’issue d’un suivi sur 12 mois n’était statistiquement pas corrélée à l’usage d’e-cigarettes. Pourtant, certains étudiants réussissaient à arrêter de fumer via les e-cigarettes dans notre étude qualitative. Quatre trajectoires de l’usage d’e-cigarettes et de tabac ont pu être décrites chez des fumeurs ayant vapoté pendant au moins 2 mois consécutifs : l’arrêt du tabac sans transition par un usage dualiste ; l’arrêt planifié et acquis du tabac, après un usage dualiste transitoire ; l’arrêt planifié mais non acquis du tabac, avec un usage dualiste en cours ; l’usage dualiste sans arrêt planifié du tabac. Un processus d’apprentissages s’opérait chez les étudiants au cours du vapotage prolongé. L’apprentissage avait lieu à différents niveaux : dans la recherche des effets, dans le rapport avec le dispositif électronique, dans les interactions sociales et dans le mécanisme cognitif de rationalisation de la poursuite du vapotage. Ce processus d’apprentissages était décrit indépendamment du souhait d’arrêt du tabac. Conclusion : Notre analyse des données recueillies dans i-Share ne montrait pas d’association entre l’usage d’e-cigarettes et l’arrêt du tabac chez des étudiants fumeurs. Les hypothèses possibles sont i) qu’elles ne sont effectivement pas efficaces ou ii) que les jeunes adultes fumeurs qui vapotent ne ressentent pas tous le besoin d’arrêter de fumer et ne les utilisent donc pas dans cette perspective. Chez les fumeurs qui s’inscrivent dans un vapotage prolongé, les trajectoires d’usage d’e-cigarettes et de tabac paraissent influencées non seulement par leur projet initial d’arrêt du tabac (motivation au changement) mais aussi par leur vécu au cours de l’usage d’e-cigarettes. Cela aboutit dans certains cas à l’arrêt du tabac.
- Published
- 2019
65. Couples et drogues. L’influence des drogues sur le choix du partenaire, les dynamiques conjugales et les séparations
- Author
-
Sarah Perrin, Perrin, Sarah, and Mélina Germes, Jenny Künkel, Emmanuel Langlois, Sarah Perrin, Roxane Scavo
- Subjects
rapport aux drogues ,[SHS.SOCIO] Humanities and Social Sciences/Sociology ,rapport de genre ,France ,jeunes couples hétérosexuels ,Québec - Abstract
Sarah Perrin plonge dans les spatialités intimes du couple et de la sexualité et explique comment certains couples se construisent, depuis la rencontre (souvent en contexte festif) jusqu’à la séparation, autour de consommations communes. Son travail, qui porte sur de jeunes couples hétérosexuels en France et au Québec, interroge les rapports de genre et les harmonies ou décalages conjugaux dans le rapport aux drogues – l’intimité du couple nouée autour des drogues infuse une multitude d’espaces, depuis les lieux festifs de la rencontre à celui du lit partagé et du domicile commun, jusqu’aux spatialités de l’achat et parfois de la vente.
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