As the impacts of climate change become more prominent within the next 50 years and beyond, the risk of overheating in homes is a concern. This is specifically relevant in the UK's suburbs where 84% of the population reside. To assess this future impact and the effectiveness of adaptive retrofitting, probabilistic climate change data for the 2030s and 2050s are used to assess the overheating risk in six suburban house archetypes in three cities in the UK: Bristol, Oxford and Stockport. The risks of overheating in typical constructions are assessed and the possibility of preventing overheating through the use of adaptation packages is evaluated through dynamic thermal simulation. Homes in Oxford show the greatest risk of overheating. The most effective (passive) package for tackling future overheating tends to combine fabric improvements and internal heat gain reduction. To assist planners and policy-makers in assessing and preventing overheating risk at a stock level, this adaptation package is further evaluated in selected neighbourhoods across the three case study cities, using the geographical information system (GIS)-based DECoRuM-Adapt (Domestic Energy, Carbon Counting and Carbon Reduction Model) model. The implications for public policy are that the existing housing stock must be future-proofed for a warming climate, particularly retrofit programmes (e.g.the Green Deal) and any upgrading of building regulations. Etant donné que les répercussions du changement climatique vont devenir de plus en plus importantes au cours des cinquante prochaines années et au-delà, le risque de surchauffe dans les habitations constitue un sujet de préoccupation. Ceci revêt une pertinence particulière dans les banlieues du Royaume-Uni dans lesquelles réside 84 % de la population. Afin d'évaluer cet impact futur et l'efficacité du réaménagement adaptatif, les données probabilistes relatives au changement climatique pour les années 2030 et 2050 sont utilisées pour évaluer le risque de surchauffe dans six archétypes de maisons suburbaines situés dans trois villes du Royaume-Uni : Bristol, Oxford et Stockport. Les risques de surchauffe dans des constructions types sont évalués et la possibilité de prévenir l'excès de chaleur par le recours à des trains de mesures d'adaptation est évaluée au moyen d'une simulation thermique dynamique. Les habitations situées à Oxford présentent le plus grand risque de surchauffe. Les mesures (passives) les plus efficaces pour s'attaquer aux futurs excès de chaleur tendent à combiner les améliorations apportées à l'enveloppe des bâtiments et une réduction interne du gain de chaleur. Afin d'aider les planificateurs et les décideurs à évaluer et à prévenir le risque de surchauffe au niveau du parc bâti, cet ensemble de mesures d'adaptation est évalué de manière plus poussée dans des quartiers sélectionnés sur les trois villes faisant l'objet de l'étude de cas, en utilisant le modèle DECoRuM-Adapt (Domestic Energy, Carbon Counting and Carbon Reduction Model – modèle d'énergie domestique, de comptabilisation du carbone, et de réduction du carbone), basé sur un système d'information géographique (SIG). Les implications pour les politiques publiques sont que la pérennité future du parc de logements existant doit être assurée en termes de réchauffement climatique, en recourant en particulier à des programmes de réaménagement (par ex. le New Deal vert) et à toute mise à jour de la réglementation du bâtiment. Mots clés:adaptation, changement climatique, logement, atténuation, surchauffe, réaménagement, suburbain [ABSTRACT FROM AUTHOR]