1. Rites of sacrifice among the Lugbara
- Author
-
John Middleton
- Subjects
Rite ,Supreme Being ,personhood ,Restructuring ,sacrifice ,media_common.quotation_subject ,ancestors ,Encirclement ,offrande ,faiseur de pluie ,notion de personne ,rites de passage ,Sacrifice ,rainmaker ,media_common ,rites of passage ,Art ,Consecration ,oblation ,Ceremony ,Social relation ,ancêtres ,Action (philosophy) ,Aesthetics ,Dieu suprême ,Ethnology ,transgression - Abstract
The degree of cultural variation from one part of Lugbara to another is so great that there appears to be no fixed forms of ritual behaviour associated with sacrifice, nor many generally accepted views as to the aims of these behaviours. The Lugbara construct a great many shrines in and near their homesteads, at which offerings are made to the dead and to many kinds of spirits. Herein the problem of the relationship between forms of ritual offering, sickness, sin, and the continual restructuring of ordered social relations is addressed. Since living persons (save rainmakers or prophets) cannot directly contact Divine Spirit, they must request the dead to do so. There is a clear action of identification by a rite of encirclement of the sacrifier’s head or homestead or, in the case of a ceremony performed by a rainmaker, of the group’s territory. In all these rites, there is the consecration of an offering by means either of words or the laying on of hands. La variation culturelle à l’intérieur du pays lugbara est si grande qu’il ne semble y avoir ni de formes fixes de comportements rituels associés au sacrifice, ni d’avis communément partagés sur les finalités de tels comportements. Les Lugbara construisent beaucoup d’autels à l’intérieur et à proximité de leurs maisons où ils font des offrandes aux morts ou à plusieurs sortes d’esprits. Le problème adressé ici est celui du rapport entre les formes d’offrande rituelle, la maladie, le péché et le restructuration continuelle de l’ordre des liens sociaux. Comme les vivants (hormis faiseur de pluie ou prophète) ne peuvent pas entrer directement en contact avec Dieu, ils doivent se tourner vers les morts. On constate une rite d’identification qui s’accomplit par l’encerclement de la tête du sacrifiant ou de sa maison ou, dans le cas d’un rituel exécuté par un faiseur de pluie, par l’encerclement du territoire du groupe. Dans tous ces rites, il y une consécration d’une offrande par des mots ou par l’imposition des mains.
- Published
- 2013