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Dans le cadre d’une recherche sur l’application des principes de la science ouverte au domaine de la bioéconomie, nous avons mené une étude scientométrique de la production scientifique de la France dans ce domaine, pour la période de 2015 à 2019. L’étude a permis d’identifier 1913 publications dans la base de données Scopus. Nous avons analysé ce corpus sous différents aspects : types et sources des documents, avec volumétrie et impact ; auteurs, organismes et établissements ; sources de financement ; degré d’internationalité et taux d’ouverture (libre accès). La discussion porte sur la terminologie et les sources d’une telle étude scientométrique, sur l’accessibilité des publications et sur la position de la France dans ce domaine. La conclusion propose quelques recommandations pour la conduite d’une étude similaire, notamment à destination des professionnels de l’information., As part of a research on the application of open science principles to the field of bioeconomy, we conducted a scientometric study of the scientific production of France in this field, for the period 2015 to 2019. The study identified 1,913 publications in the Scopus database. We analysed this corpus under different aspects: types and sources of documents, with volumetry and impact; authors, organisations and institutions; sources of funding; degree of internationality and openness (open access). The discussion focuses on the terminology and sources of such a scientometric study, on the accessibility of publications and on the position of France in this field. The conclusion proposes some recommendations for conducting a similar study, particularly for information professionals.

Si les enjeux mondiaux de l'ouverture de la science trouvent des échos récents (dès les années 1990 jusqu'aux recommandations de l'UNESCO (2021)), Cheik Anta Diop a été cependant été très visionnaire, quand il disait en 1974 à la conférence d'ouverture de la 9e biennale de l'Association Scientifique ouest-africaine : “La science en Afrique (ndlr) manque (...) d'informations à un moment où, toutes capacités intellectuelles mises à part, la fécondité du chercheur est fonction de ses moyens de documentation”. Et d'ajouter, “ il devient de plus en plus nécessaire que n'importe quel chercheur puisse bénéficier de la masse considérable d'informations stockées dans les ordinateurs des grands centres spécialisés de l'informatique, qu'il lui suffise de composer un numéro pour accéder à toute la documentation disponible sur un sujet, pour disposer de la liste de toutes les équipes qui y travaillent, de manière à éviter les répétitions, les travaux parallèles, les chevauchements de toutes sortes et les gaspillages de temps”. L'état des lieux actuel de la science africaine basé sur les données bibliographiques de Scopus et Web of Science montre un retard alarmant par rapport aux autres continents. La production scientifique de l'Afrique s'estime à 2% de la production mondiale (Cf Web of Science). Dans les faits, la réalité est tout autre. En effet, la production scientifique africaine est difficile à estimer. D'abord parce qu'elle est encore massivement en version papier, ce qui n'est pas comptabilisé par les bases de données précitées. Ensuite, les pays qui produisent dans d'autres langues autre que l'anglais sont marginalisés dans le “système-monde” de la science (Piron, 2018), qui a érigé l'anglais en langue de la science (cf Elsevier). Ce système-monde est centré sur un ensemble d'institutions occidentales qui se définissent comme juges de la science, et qui trient selon leur seuls critères les savoirs qui méritent le sceau de scientificité, et donc qui peuvent être comptabilisés. Enfin, et surtout, parce que le savoir africain est victime d'une injustice cognitive. Florence Piron estime que la recherche scientifique ne peut pas prétendre vouloir ou pouvoir se satisfaire d'une mission interne de faire progresser les connaissances, sans se soucier du monde qui la finance, dans lequel elle existe et qui l'utilise. Mais la recherche africaine, surtout en science sociale, est victime de son africanité, et les questions locales africaines n'intéressent pas le système-monde de la science, orienté par d'autres objectifs quantitatifs. D'où la science africaine a besoin de se réinventer désormais; grâce à son ouverture pour rendre visible son savoir qui ne peut que rester invisible dans les conditions actuelles. Car l'ouverture de la science dans les pays du Nord est source d'aliénation épistémique, dans le sens où les chercheurs africains, face à au coût important de documentation, vont se retourner sur la documentation des pays du Nord devenue libre, pour questionner via ce prisme les questions locales. Des questions d'ordre épistémologiques se posent alors.

Objectif • S’initier au dépôt de manuscrit dans l’archive ouverte HAL

Na Europa e em Portugal, o movimento do Acesso Aberto tem registado um crescimento significativo, com o desenvolvimento de repositórios institucionais, iniciativas de estímulo à publicação em acesso aberto e a incorporação desta prática nas políticas de ciência e tecnologia e em programas de apoio à investigação e inovação. Este artigo procura relembrar a trajetória histórica por detrás das correntes políticas e práticas de acesso aberto, atualmente em convergência com os discursos de ciência aberta e cidadã. Proporciona-se assim uma contextualização sobre o surgimento e a evolução do acesso aberto e a sua assunção pelas políticas de ciência e tecnologia. Ao abordar os desafios decorrentes da sua implementação, algumas contradições têm surgido, face ao mercado editorial e à necessidade de preservar modelos de negócio em andamento. Trata-se aqui, pois, de proporcionar ao leitor uma reflexão norteadora, com um contributo que debate as implicações que o acesso aberto traz à publicação académica e à gestão de dados. In Europe and Portugal, the Open Access movement has reached significant growth, with the development of institutional repositories and increasing initiatives that encourage open access publication. Most recently, these practices have been incorporated into science and technology policies by binding them to funding programs for research and innovation. This article seeks to recall the historical trajectory behind open access, currently in convergence with the discourses of citizen and open science. Thus, it is provided contextualization on the emergence and evolution of open access and its assumptions by science and technology policies. While addressing the challenges facing its implementation, contradictions have arisen, in view of the publishing market and the need to preserve ongoing business models. It is provided to the reader here a guiding reflection, discussing the implications that open access brings to academic publishing and data management. En Europe et au Portugal, le mouvement Libre Accès a atteint une croissance significative, avec le développement de référentiels institutionnels et des initiatives croissantes qui encouragent la publication en libre accès. Plus récemment, ces pratiques ont été intégrées dans les politiques de la science et de la technologie en les liant à des programmes de financement de recherche et d’innovation. Cet article cherche à rappeler la trajectoire historique de l’open access, qui converge actuellement vers les discours de la science citoyenne et ouverte. Ainsi, il est fourni une contextualisation sur l’émergence et l’évolution du libre accès et sa prise en charge par les politiques scientifiques et technologiques. Tout en relevant les défis de sa mise en œuvre, des contradictions sont apparues, liées notamment au marché de l’édition et à la nécessité de préserver les modèles commerciaux. Il est fourni ici au lecteur une réflexion d’orientation, examinant les implications que le libre accès représente pour l’édition académique et la gestion des données.

The article presents the results of a survey on the use of the HAL platform by 144 research laboratories of French IdEx research universities, conducted between March and May 2021. The survey focused on the laboratories’ commitment (creation of a collection, awareness, strategy), on the valorization of HAL repositories (assessment, evaluation, site), on the researchers’ practice and on the institutional environment (policy, institutional archive, training). The results allow to identify some groups of laboratories and to make the link with the individual practices and the institutional environment., L’article présente les résultats d’une enquête sur l’usage de la plateforme HAL par 144 laboratoires de recherche des universités de recherche IdEx, réalisée entre mars et mai 2021. L’enquête a porté sur l’engagement des laboratoires (création d’une collection, sensibilisation, stratégie), sur la valorisation des dépôts HAL (bilan, évaluation, site), sur la pratique des chercheurs et sur l’environnement institutionnel (politique, archive institutionnelle, formation). Les résultats permettent d’identifier plusieurs groupes de laboratoires et de faire le lien avec les pratiques individuelles et l’environnement institutionnel.libre accès

International audience; Since the first on line journals (early 1990s) and the use by researchers of open archives as a means of disseminating their research (late 1990), the evolution of journal publishing towards a digital, open mode has been underway and is gaining all scientific sectors, attracting the interest of researchers. Architecture, urban planning and landscape research journals are not immune to this digital transformation and the changes it induces, encouraged by institutions and funders. Some journals have already changed, and the movement seems irreversible, but reluctance remains. After presenting a state of the art of the resources available online and the active role of libraries in promoting this format of scientific dissemination, the present article takes stock of the conditions for setting up open access within the disciplines concerned: the importance of a support policy and the taking into account of economic issues, the sustainability of the staff working on their writing and dissemination infrastructures, the assurance of a reliable quality process in the face of the proliferation of preprints versus the requirements of funding organizations and the obstacles of the current model for evaluating researchers. Diversifying open access distribution models for architecture, urban planning and landscape journals could create a new dynamic, such as incubators, for regional journal portals or preprints platforms, for the benefit of sustainable and fair access to architectural research.; Depuis les premières revues en version électronique (début des années 1990) et l’utilisation par les chercheurs des réservoirs d’archives ouvertes comme mode de diffusion de leurs travaux de recherche (fin 1990), l’évolution de l’édition de revues vers un mode numérique, ouvert, est en marche et gagne tous les secteurs scientifiques, suscitant l’intérêt des chercheurs. Les revues de recherche d’architecture, d’urbanisme et de paysage n’échappent pas à cette mutation numérique et aux changements qu’elle induit, encouragée par les institutions et financeurs. Certaines revues se sont déjà transformées et le mouvement semble irréversible, mais des réticences subsistent. Après avoir présenté un état de l’art des ressources disponibles en ligne et le rôle actif des bibliothèques pour promouvoir ce format de diffusion scientifique, cet article dresse un bilan sur les conditions de mise en place de l’accès ouvert au sein des disciplines concernées : l’importance d’une politique de soutien et de la prise en compte des enjeux économiques, la pérennité des personnels œuvrant à leur rédaction et des infrastructures de diffusion, l’assurance d’un processus fiable de qualité face à la multiplication des preprints versus les exigences des organismes de financement et les freins du modèle actuel de l’évaluation des chercheurs. Diversifier les modèles de diffusion en accès ouvert de revues d’architecture, d’urbanisme et paysage pourrait créer une nouvelle dynamique, à l’exemple des pépinières, des portails de revues régionaux ou des plateformes de preprints, pour le bénéfice d’un accès durable et équitable à la recherche architecturale.

International audience; The paper addresses the evolution and structuring of a market of impact metrics and impact indicators that includes but is no longer limited to citation. This market reveals the consideration by its stakeholders of the evolution of digital environments, policy frameworks and social practices of research communities, conveying new values translated into new types of data and metadata to be collected. The approach to these indicators through the cities of justification allows a novel reading of the place and meaning of these categories of indicators in the game and strategies of technological conglomerates that seek to establish their monopoly on the measurement of science. By this approach, the text returns to the field of bibliometrics, which has adapted and broadened the spectrum of its data and techniques to take on the plurality of definitions of the impact of scientific publication.; La proposition adresse l’évolution et la structuration d’un marché des mesures et indicateurs d’impact qui comprend mais ne se limite plus à ceux des citations. Ce marché révèle la prise en compte par ses acteurs de l’évolution des environnements numériques, des cadres politiques et des pratiques sociales des communautés de chercheurs, véhiculant de nouvelles valeurs traduites dans de nouveaux types de données et de métadonnées à collecter. L’approche de ce marché par les cités de justification (Economies de la grandeur) permet une lecture inédite de la place et de la signification de ces catégories d’indicateurs dans le jeu et les stratégies de conglomérats technologiques qui cherchent à établir leur monopole autour de la science. Ce faisant, le texte revient sur le champ de la bibliométrie qui s’est adapté et a élargi le spectre de ses données et de ses approches pour prendre en charge la pluralité des définitions de l’impact de la science à l’ère d numérique.

The paper presents the results of a study on the use of the HAL platform by the research laboratories of the University of Lille, carried out in April 2021. The analysis focused on the deposits in HAL, on the creation of a collection and on the share of open access documents. The paper reveals the situation in 2021, in comparison with the results of the analyses from 2019 and 2020, showing the evolution of the usage of the HAL platform by the research units and the effect of the launch of the local institutional repository, LillOA.; Cette note présente les résultats d’une étude de suivi sur l’usage de la plateforme HAL par les laboratoires de recherche de l’Université de Lille, réalisée en avril 2021. L’analyse a porté sur les dépôts dans HAL, sur la création d’une collection et sur la part des documents en libre accès. L’étude propose une photographie de la situation en 2021, par rapport aux résultats des analyses de 2019 et 2020, en montrant l’évolution de l’usage de HAL par les unités de recherche et l’impact de la mise en place d’une archive institutionnelle locale nommée LillOA.

La scientometrie (l’etude quantitative des sciences et des technologies) s’appuie sur des outils biblio­metriques permettant la collecte, l’analyse et la mesure des productions scientifiques (articles, livres ou brevets). Cette quantification de l’activite de recherche est parfois decriee lorsqu’elle conduit a la production de classements internationaux d’universites ou qu’elle est maladroitement utilisee pour l’evaluation des chercheurs. Certai...

Depuis 2019, l’ANR a mis en place des obligations Science Ouverte (libre accès et Plan de Gestion des Données) pour les projets financés dans le cadre des appels à projets 2019 et ultérieurs. Si les projets financés ont des obligations, les porteurs de projets peuvent les anticiper dès la phase de montage de leur projet, lors de la rédaction de leur proposition détaillée. Cela leur permet d’améliorer la faisabilité de leur projet en identifiant des acteurs-ressources et les moyens nécessaire pour mettre en œuvre une stratégie Science Ouverte ambitieuse. Anticiper ces aspects peut aussi faciliter les collaborations au sein des équipes et des consortiums pour que la Science Ouverte soit une opportunité plutôt qu’une contrainte., Ce document est une synthèse du guide : Améliorer son projet ANR grâce à la Science Ouverte : https://doi.org/10.5281/zenodo.3769954 Il a été produit par le groupe Données du GTSO-Couperin.

International audience; Au cours de ces dix dernières années, il y a un engagement croissant de l’Union européenne en faveur de l’innovation ouverte, le libre accès et la science ouverte. Notre objectif au sein de cet article est de s’interroger sur les origines de ces politiques et d’en retracer les évolutions et les limites. L’objectif de cette analyse est également de mettre en avant les injonctions contradictoires que subissent aujourd’hui les chercheurs en matière de publication et de diffusion de l’information scientifique et technique à travers entre autres les problématiques et questionnements liés à la brevetabilité des résultats de recherche financés sur des fonds publics.

CasuHal is a team of volunteers, gathered into a non-profit organisation. Its purpose is to foster exchanges and communication among its 400+ members, to help them understand and take ownership of the HAL platform, and to propose the functional developments needed for a full institutional use., CasuHal est une équipe de bénévoles, regroupés au sein d'une association Loi 1901. Son objectif est de favoriser les échanges et la communication entre ses membres, de les aider à comprendre et à s'approprier la plate-forme HAL, et de proposer les développements fonctionnels nécessaires à une utilisation institutionnelle complète.

Le Plan d’action national du Canada pour un gouvernement ouvert de 2018-2020 comprend un jalon (jalon5.5) qui charge Environnement et Changement climatique Canada (ECCC), avec l’appui des ministères et organismes à vocation scientifique (MOVS), d’élaborer et de publier des indicateurs qui serviront à mesurer les avantages de la science ouverte pour les Canadiennes et les Canadiens d’ici juin 2019. Nous présentons ici une liste d’indicateurs des avantages de la science ouverte actuellement à l’étude par le Groupe de travail sur les éléments de mesure de la science ouverte des MOVS. La section1 présente les indicateurs fondamentaux proposés que chaque MOVS pourrait mettre en œuvre. La section2 présente des indicateurs complémentaires que les MOVS intéressés pourraient également mettre en œuvre. Les indicateurs inclus dans les sections1 et 2 permettent de mesurer les avantages que la science ouverte peut procurer aux universitaires et aux chercheurs, à l’industrie, aux gouvernements et au public en général. Ces indicateurs et d’autres indicateurs proposés seront définis plus en détail dans le cadre du processus de mise en œuvre de l’ensemble final d’indicateurs devant servir à mesurer les avantages de la science ouverte pour les Canadiennes et les Canadiens. Par conséquent, l’inclusion d’un indicateur à ce stade ne garantit pas sa sélection dans l’ensemble final d’indicateurs qui seront mis en œuvre. Par ailleurs, il est possible que certains des éléments établis comme indicateurs fondamentaux soient catégorisés plus tard en tant qu’indicateurs complémentaires. D’ici juin2020, un rapport sur les indicateurs des avantages de la science ouverte pour les Canadiennes et les Canadiens sera publié et présentera l’ensemble final d’indicateurs ainsi que les résultats de la première année.

(Version pré-impression) Ce rapport présente les progrès réalisés par les ministères et organismes à vocation scientifique (MOVS) fédéraux dans la mise en œuvre de la science ouverte. Il s’agit notamment de rendre les publications et les données scientifiques fédérales plus accessibles, de faire participer directement les Canadiennes et les Canadiens à la discussion sur la science fédérale et de les faire participer à la recherche fédérale. Dans l’ensemble, ce rapport montre que les Canadiennes et les Canadiens ont maintenant accès à une grande partie des publications et des données des MOVS évaluées par les pairs, et que les scientifiques fédéraux font appel au public de diverses façons novatrices, comme les médias sociaux, la diffusion en direct, les médias traditionnels et les projets de science citoyenne. Depuis le lancement du Plan d’action national pour un gouvernement ouvert, des avancées ont été réalisées. La population canadienne à maintenant accès à davantage de publications évaluées par les pairs et des données provenant des MOVS. De plus, les scientifiques fédéraux engagent les Canadiennes et les Canadiens de différentes façons, notamment via les médias sociaux, des activités diffusées en direct sur Internet, les médias traditionnels et les projets de science citoyenne. Malgré ces réalisations, il existe des opportunités afin de rendre la science plus ouverte. De nouveaux éléments de mesure et indicateurs associés sont en cours d’élaboration pour mesurer l’impact des publications scientifiques fédérales dans les principaux médias (par exemple, les médias sociaux) et pour aider à comprendre la demande pour des ensembles de données ouvertes des MOVS. Tout le monde est invité à participer à la discussion. N'hésitez pas à nous faire part de vos commentaires sur ce rapport ou sur la science ouverte fédérale en général à ec.scienceouverte-openscience.ec@canada.ca.

International audience; According to a recent study, almost half of the articles published by French researchers are disseminated in open access, deposited in open archives, as HAL, or via open access journals, without paid subscription. In this dynamic environment, higher education and research evaluation agencies have a role to play, through their assessment criteria and tools. Depending on their approach and methodology, these institutions can create opportunities for the development of open access, by encouraging the sharing of research results, or slow down the process by maintaining the usual criteria, including the bibliometric evaluation based on the ranking of publications. Our study proposes an analysis of the information and communication sciences in France, from the updated list of A-rated journals published at the end of 2017 and under the aspect of open access. The approach is exploratory. We try to assess our own standards and practices as a research community in relation to the new research policy in favor of open access and open science. 38% of the A-rated journals in our field are in open access. But these journals represent only 4% of all open access journals in the field of information and communication sciences.; Selon une étude récente, presque la moitié des articles publiés par des chercheurs français sont diffusés en libre accès, déposés dans les archives ouvertes, comme HAL, ou mis en ligne dans des revues administrées suivant le modèle du “open access”, sans abonnement payant. Dans cet environnement dynamique, les agences d’évaluation de l’enseignement supérieur et de la recherche ont un rôle à jouer, par le biais de leurs critères et outils d’évaluation. En fonction de leur approche et méthodologie, ces établissements peuvent créer des opportunités pour le développement du libre accès, par l’incitation au partage des résultats de la recherche, ou bien, ralentir le processus par le maintien des critères habituels, dont notamment l’évaluation bibliométrique à partir du classement des publications. Notre étude propose un regard sur notre propre discipline, avec un état des lieux dans le domaine des sciences de l’information et de la communication en France, à partir de la liste actualisée des revues de rang A publiée fin 2017 et sous l’aspect du libre accès. L’approche est exploratoire. Il s’agit avant tout d’étudier nos propres standards et pratiques, en tant que communauté de recherche en SIC par rapport à la politique scientifique du libre accès et de la science ouverte. 38% des revues de rang A en SIC sont en libre accès. Mais ces revues représentent seulement 4% de l’ensemble des revues SIC en libre accès.

International audience; La science ouverte est devenue une priorité de premier rang de la politique de recherche de l’Etat français. Parmi les axes de cette politique, se trouve l’ouverture des données de recherche et des publications scientifiques. A partir de ses fonctions traditionnelles (qualité, propriété intellectuelle, diffusion, conservation), l'article interroge l'impact de la politique de la science ouverte sur les revues scientifiques, en particulier dans trois domaines: leur rôle dans le fonctionnement des dispositifs d’évaluation et de suivi (fonction politique), leur rôle dans le fonctionnement des dispositifs de données, en particulier pour l’acquisition et l’exploitation des données massives par l’industrie de l’information (fonction "big data"), et leur rôle dans le fonctionnement économique des éditeurs, agrégateurs, agences etc. (fonction économique). Dans la mesure où l’accès aux revues devient gratuit, la question se pose si l’usage des revues ne devient pas le véritable produit des plateformes, par le biais des informations générées.

Dans un contexte de changement profond de l’édition scientifique, nous faisons ici un point sur notre Revue, vecteur original de partage de données et de connaissances histotechnologiques entre experts issus de la communauté francophone, à la fois sur l’existant mais aussi sur les moyens pour la rendre plus visible. Nous avons entamé de nombreuses démarches qui sont présentées dans cet article spécial et qui devraient contribuer à marquer un tournant dans l’histoire de notre Revue. L’attractivité et la visibilité de notre Revue devraient s’en trouver grandies., Nowadays scientific publishing knows a change in depth and on that occasion, we make a point on our journal, the Revue Française d’histotechnologie, of which the main goal is sharing histo-technological data and knowledge among the francophone community of experts in the field. We present here the existing of the journal as well as the original ways to make it evolving, notably in order to gain visibility. We started many procedures described in this special article and that should contribute to mark a turning point in the history of our journal. The attractiveness and visibility of the Revue Française d’histotechnologie should be improved., Revue française d'histotechnologie; 31(1), 93-120

Nouveau billet sur l’actualité de la science ouverte qui vient compléter celui d’octobre 2018 'Courant d'air : de la brise au mistral' (https://prefixesmom.hypotheses.org/2907) pour suivre l’évolution de cette mouvance.Plan national pour la science ouverte, plan S à l’échelle européenne, Déclaration internationale de San Francisco sur l’évaluation de la recherche(DORA)... Il y aura probablement des changements d’ici quelques années en ce qui concerne la publication scientifique, les critères d’évaluation,voir le paysage de l’édition scientifique.

International audience; Ce poster « Publier en Open Access, ce n’est pas sérieux ! » a été réalisé dans le cadre d'une action collective débutée en 2017 et menée par des professionnels de l'IST et bibliothécaires du groupe Open Access Lyon. Il fait partie d’un ensemble de six posters traitant des idées reçues sur l’Open Access : 1. « L’Open Access ? Je maîtrise ! » 2. « Publier en Open Access, ce n’est pas sérieux ! » 3. « L’Open Access, les éditeurs sont contre ! » 4. « L’Open Access facilite le plagiat » 5. « L’Open Access, c’est la mort de l’édition » 6. « L’Open Access ce n’est pas pour moi !». Ces posters ont été réalisés à des fins de médiation auprès de publics variés pour déconstruire les idées reçues autour du libre accès dans les différents établissements membre du groupe durant et autour de l’Open Access Week 2018. Deux de ces posters ont été présentés durant les rencontres du club utilisateur CasuHAL 2018 à Dijon les 31 mai et 1er juin 2018; l'ensemble des posters a été présenté lors et autour de la journée oawlyon2018 du 18 octobre 2018. Ces posters ont pu être réalisés grâce au soutien de l’Université de Lyon.

International audience; Ce poster « L’Open Access, les éditeurs sont contre ! » a été réalisé dans le cadre d'une action collective débutée en 2017 et menée par des professionnels de l'IST et bibliothécaires du groupe Open Access Lyon. Il fait partie d’un ensemble de six posters traitant des idées reçues sur l’Open Access : 1. « L’Open Access ? Je maîtrise ! » 2. « Publier en Open Access, ce n’est pas sérieux ! » 3. « L’Open Access, les éditeurs sont contre ! » 4. « L’Open Access facilite le plagiat » 5. « L’Open Access, c’est la mort de l’édition » 6. « L’Open Access ce n’est pas pour moi !». Ces posters ont été réalisés à des fins de médiation auprès de publics variés pour déconstruire les idées reçues autour du libre accès dans les différents établissements membre du groupe durant et autour de l’Open Access Week 2018. Deux de ces posters ont été présentés durant les rencontres du club utilisateur CasuHAL 2018 à Dijon les 31 mai et 1er juin 2018; l'ensemble des posters a été présenté lors et autour de la journée oawlyon2018 du 18 octobre 2018. Ces posters ont pu être réalisés grâce au soutien de l’Université de Lyon.

International audience; Ce poster « L’Open Access ce n’est pas pour moi ! » a été réalisé dans le cadre d'une action collective débutée en 2017 et menée par des professionnels de l'IST et bibliothécaires du groupe Open Access Lyon. Il fait partie d’un ensemble de six posters traitant des idées reçues sur l’Open Access : 1. « L’Open Access ? Je maîtrise ! » 2. « Publier en Open Access, ce n’est pas sérieux ! » 3. « L’Open Access, les éditeurs sont contre ! » 4. « L’Open Access facilite le plagiat » 5. « L’Open Access, c’est la mort de l’édition » 6. « L’Open Access ce n’est pas pour moi ! ». Ces posters ont été réalisés à des fins de médiation auprès de publics variés pour déconstruire les idées reçues autour du libre accès dans les différents établissements membre du groupe durant et autour de l’Open Access Week 2018. Deux de ces posters ont été présentés durant les rencontres du club utilisateur CasuHAL 2018 à Dijon les 31 mai et 1er juin 2018; l'ensemble des posters a été présenté lors et autour de la journée oawlyon2018 du 18 octobre 2018. Ces posters ont pu être réalisés grâce au soutien de l’Université de Lyon.

International audience; Ce poster « L’Open Access facilite le plagiat » a été réalisé dans le cadre d'une action collective débutée en 2017 et menée par des professionnels de l'IST et bibliothécaires du groupe Open Access Lyon. Il fait partie d’un ensemble de six posters traitant des idées reçues sur l’Open Access : 1. « L’Open Access ? Je maîtrise ! » 2. « Publier en Open Access, ce n’est pas sérieux ! » 3. « L’Open Access, les éditeurs sont contre ! » 4. « L’Open Access facilite le plagiat » 5. « L’Open Access, c’est la mort de l’édition » 6. « L’Open Access ce n’est pas pour moi !». Ces posters ont été réalisés à des fins de médiation auprès de publics variés pour déconstruire les idées reçues autour du libre accès dans les différents établissements membre du groupe durant et autour de l’Open Access Week 2018. Deux de ces posters ont été présentés durant les rencontres du club utilisateur CasuHAL 2018 à Dijon les 31 mai et 1er juin 2018; l'ensemble des posters a été présenté lors et autour de la journée oawlyon2018 du 18 octobre 2018. Ces posters ont pu être réalisés grâce au soutien de l’Université de Lyon.

CasuHal is a team of volunteers, gathered into a non-profit organisation. Its purpose is to foster exchanges and communication among its 270+ members, to help them understand and take ownership of the HAL platform, and to propose the functional developments needed for a full institutional use., CasuHal est une équipe de bénévoles, regroupés au sein d'une association Loi 1901. Son objectif est de favoriser les échanges et la communication entre ses membres, de les aider à comprendre et à s'approprier la plate-forme HAL, et de proposer les développements fonctionnels nécessaires à une utilisation institutionnelle complète.

Ce poster synthétise les résultats d'une enquête menée par l'Apes (Acteurs pour une économie solidaire) Hauts-de-France auprès de son réseau d'acteurs en lien avec le Service commun de la documentation de l'Université de Lille. Cette enquête par questionnaire a été menée du 14 novembre 2017 au 12 janvier 2018 auprès du réseau d’acteurs de l’Apes. 75 réponses ont été recueillies. Les résultats montrent que ces acteurs ont un accès restreint aux productions scientifiques issues de leurs collaborations avec des chercheurs, ce qui leur pose des difficultés dans un nombre significatif de cas. Cependant, à travers les réponses des acteurs des pistes d’amélioration se dessinent par l’entremise d’une redéfinition plus large des relations entre acteurs et chercheurs. Les réponses au questionnaire sont présentées dans un jeu de données disponible dans Zenodo à l’adresse suivante: https://dx.doi.org/10.5281/zenodo.1174366 English description This poster summarizes the results of a survey of the Apes (Acteurs pour une économie solidaire, Hauts-de-France, a network of organizations of social and solidarity economy in Northern France) and of the university library of Lille. This survey based on a questionnaire was led from the 14th of November 2017 to the 12th of January 2018 among the organizations of the Apes network. 75 answers were collected. Results indicate that these organizations have a limited-access to research products coming from research in which they were engaged. This causes difficulties to quite many of them. However, from the answers of these organizations some ways of improving the situation may be drawn, by changing in a broader way the relationship between these organizations and the researchers they are working with. A dataset including the answers to the questionnaire is available in Zenodo at this URL: https://dx.doi.org/10.5281/zenodo.1174366

International audience; Ce poster « L’Open Access ? Je maîtrise ! » a été réalisé dans le cadre d'une action collective débutée en 2017 et menée par des professionnels de l'IST et bibliothécaires du groupe Open Access Lyon. Il fait partie d’un ensemble de six posters traitant des idées reçues sur l’Open Access : 1. « L’Open Access ? Je maîtrise ! » 2. « Publier en Open Access, ce n’est pas sérieux ! » 3. « L’Open Access, les éditeurs sont contre ! » 4. « L’Open Access facilite le plagiat » 5. « L’Open Access, c’est la mort de l’édition » 6. « L’Open Access ce n’est pas pour moi !». Ces posters ont été réalisés à des fins de médiation auprès de publics variés pour déconstruire les idées reçues autour du libre accès dans les différents établissements membre du groupe durant et autour de l’Open Access Week 2018. Deux de ces posters ont été présentés durant les rencontres du club utilisateur CasuHAL 2018 à Dijon les 31 mai et 1er juin 2018; l'ensemble des posters a été présenté lors et autour de la journée oawlyon2018 du 18 octobre 2018. Ces posters ont pu être réalisés grâce au soutien de l’Université de Lyon.

International audience

International audience; Ce poster « L’Open Access, c’est la mort de l’édition » a été réalisé dans le cadre d'une action collective débutée en 2017 et menée par des professionnels de l'IST et bibliothécaires du groupe Open Access Lyon. Il fait partie d’un ensemble de six posters traitant des idées reçues sur l’Open Access : 1. « L’Open Access ? Je maîtrise ! » 2. « Publier en Open Access, ce n’est pas sérieux ! » 3. « L’Open Access, les éditeurs sont contre ! » 4. « L’Open Access facilite le plagiat » 5. « L’Open Access, c’est la mort de l’édition » 6. « L’Open Access ce n’est pas pour moi !». Ces posters ont été réalisés à des fins de médiation auprès de publics variés pour déconstruire les idées reçues autour du libre accès dans les différents établissements membre du groupe durant et autour de l’Open Access Week 2018. Deux de ces posters ont été présentés durant les rencontres du club utilisateur CasuHAL 2018 à Dijon les 31 mai et 1er juin 2018; l'ensemble des posters a été présenté lors et autour de la journée oawlyon2018 du 18 octobre 2018. Ces posters ont pu être réalisés grâce au soutien de l’Université de Lyon.

L’article présente les résultats d’un projet de recherche de trois années qui s’intéresse aux pratiques et stratégies de publication des « jeunes chercheurs », une catégorie démographique clairement identifiée par les acteurs du marché. Les résultats présentés ici sont issues des entretiens menés auprès d’un panel de 116 jeunes chercheurs, issus de 7 pays (Chine, Espagne, Etats-Unis, France, Malaisie, Pologne, Royaume-Uni), et ce pendant les deux premières années du projet. L’article expose dans quelle mesure les jeunes chercheurs s’emparent des outils, plateformes et innovations numériques positionnés sur des objectifs de Libre Accès, de Science Ouverte pour diffuser leurs résultats de recherche. En comparant les résultats des deux premières années du projet, l’article dégage les évolutions stratégiques identifiées. The paper presents the early findings from the first two years of the Harbingers research project, a 3-year-long study of early career researchers (ECRs), the new wave of researchers, which sought to ascertain their current and changing habits with regard to scholarly communications. The study recruited a convenience sample of 116 researchers from seven countries (China, France, Malaysia, Poland, Spain, UK and US) who were subject to repeat, in-depth interviews. Interviews were conducted face-to-face or remotely (via Skype). A major focus of the study was to determine whether ECRs are taking the myriad opportunities proffered by digital innovations, developing within the context Open Science, Open Access and social media to disseminate their research. The paper provides the highlights of the first-year benchmarking exercise and then investigates the strategic changes one year on.

Conférence présentée à l'Université Laval le 25 octobre 2016, dans le cadre de la Semaine internationale du libre accès

ANPERSANA is the digital library created by the Basque Studies laboratory IKER to provide added value to the research projects of its scientific community. This project is the latest of the many actions in favour of open access carried out by IKER, out of which the journal Lapurdum and the self-storage platform Artxiker constitute remarkable achievements. In an international context of emergence of open research data projects, it is necessary to define the roles of actors and institutions to avoid service overlapping. In this respect, what sets ANPERSANA apart is its specialisation in data derived from research in Basque language and culture. The platform is confronted to choices (such as the type of services offered, integrated tools and storage procedures) that can incite the commitment of the targeted scientific community, indispensable to the continuity of the project. Commitment, however, is more largely influenced by the views of the research community over open science and open research data, and particularly about spreading one’s own data. The legal context, time availability, professional culture and source confidentiality issues influence the perceptions and practices of data sharing and online distribution.; ANPERSANA, IKER laborategiak sortutako liburutegi digitala da. IKER-en komunitate zientifikoaren ikerketa proiektuen baitan ekoizten diren datuak ikustaraztea du helburu. Egitura honek jada open access edo sarbide irekiaren alde egindako ibilbidean beste urrats bat da, Lapurdum aldizkari zientifikoa eta Artxiker auto-artxibatze plataforma bezalako proiektuak osatzera datorrena. Egungo testuinguruan, datu zientifikoen irekiera bultzatzen duten proiektuak nabarmenki ugaritu ahala, erakunde eta eragileen rola definitzea komeni da, bata edo besteren zerbitzuen eskaintza errepika ez dadin, ez bada behar. Zentzu honetan, ANPERSANA datu gordailua euskal ikasketetan espezializatu izanak bereizten du. Hala, aukeratzera behartua dago (zerbitzu motak, integratutako tresnak edo biltegiratze prozedurak) baldin eta komunitate zientifikoaren engaiamendua, proiektuaren biziraupenerako baldintza, bermatu nahi badu. Baina inplikatze hau, ikerlariek sarbide irekiarekiko duten iritziaren araberakoa ere izango da; bereziki norbere lana modu irekian zabaltzeari dagokionez. Testuinguru juridikoak, lan denborak, kultura profesionalak eta iturrien konfidentzialtasunak, denek ere, datu edo emaitzen elkarbanatze eta hedapenaren pertzepzioarekiko eragina izango dute.; ANPERSANA est la bibliothèque numérique créée par le laboratoire IKER pour valoriser les données produites au cours des projets de recherche de sa communauté scientifique. Ce projet vient s’ajouter aux multiples démarches en faveur du libre accès de cette structure, tel que la revue Lapurdum et la plateforme d’auto-archivage Artxiker. Dans un contexte international d’émergence de projets pour l’ouverture des données scientifiques, il convient de définir le rôle de chacun pour éviter le chevauchement des services. Dans ce sens, l’entrepôt de données ANPERSANA se distingue par sa spécialisation disciplinaire dans les études basques. Cette plateforme est confrontée à des choix (types de services, outils intégrés ou procédures de dépôt) qui peuvent inciter l’engagement de la communauté scientifique visée, indispensable à l’évolution du projet. Mais cette implication est aussi influencée plus largement par la conception que les membres de la communauté scientifique ont sur la diffusion de leur travail en accès libre. Le contexte juridique, le temps, la culture professionnelle et les questions de confidentialité des sources influencent en effet les perceptions et pratiques de partage et de diffusion.

International audience

Pour la première fois, la BULAC propose ce jeudi 1er décembre 2016 une journée d’information pour répondre aux questions pratiques sur le libre accès à l’information scientifique (Open Access). Cette manifestation est conçue pour les enseignants, chercheurs, et doctorants de sciences humaines et sociales dans le champ des études aréales. Le 9 octobre, la loi pour une République Numérique a été définitivement adoptée. Cette loi autorise les chercheurs à diffuser de façon ouverte les résultats de leurs recherches dans des délais encadrés et parfois inférieurs aux délais imposés par les éditeurs. Cette loi ouvre des possibilités nouvelles pour la diffusion de la recherche et l’accès aux publications scientifiques ; il est désormais indispensable pour tous les acteurs de l’enseignement supérieur et de la recherche d’identifier et d’exploiter les possibilités offertes par l’Open Access pour nourrir et diffuser ses travaux.

Erratum: previously OpenDoar (The Directory of Open Access Repositories) was mention by mistake instead of DOAJ (Directory of Open Access Journals); Two years spent studying LCA convinced me that the process of production and distribution of scientific content is a root cause for our current issues. During this same period all the potential corrections were also found in literature. This communication is a letter to my communities. It is a proposition for a new generation of scientific journals. I here state operating principles, constitutive of these journals. Here I lay my proposal for wiki based free-open journals.

International audience; Retour sur la genèse du portail HAL-INSHEA, l’accompagnement des déposants et aperçu des développements futurs du portail.