Male contraceptive options are limited; however, product development efforts tend to focus on female methods. Research on attitudes toward methods for men-particularly in regions of low contraceptive prevalence, such as Sub-Saharan Africa-could inform the development of new male methods.Qualitative data were taken from focus group discussions with 80 men aged 23-67 and 398 women aged 15-50 conducted in Burkina Faso and Uganda in 2016. Transcripts were analyzed thematically to explore support among men and women for male contraceptive methods, and to extract suggestions about ideal method characteristics.Male and female participants in both countries expressed support for new male contraceptive options; more positive attitudes were expressed in Uganda than in Burkina Faso. Participants of both sexes recognized that male methods could reduce the family planning burden on women and offer men greater control over their fertility; however, some had concerns about side effects and thought that men would not use contraceptives. Relationship characteristics, such as polygamous unions, were cited as possible challenges. In both countries, various delivery methods (e.g., creams or jellies, injections and implants) and durations (from short-acting to permanent) were proposed.The acceptability of new male methods among most participants in the two countries indicates a potential demand for male contraceptives. Options should include a variety of method characteristics to maximize choice, engage men, and support men and women's contraceptive needs.RESUMEN Contexto: Las opciones de anticonceptivos masculinos son limitadas; sin embargo, los esfuerzos de desarrollo de productos tienden a enfocarse en los métodos femeninos. La investigación sobre las actitudes hacia los métodos para hombres, — particularmente en las regiones de baja prevalencia de anticoncepción, como el África subsahariana— podría dar sustento al desarrollo de nuevos métodos masculinos. Métodos: Se tomaron datos cualitativos a partir de discusiones de grupos focales que se llevaron a cabo en Burkina Faso y Uganda en 2016, con la participación de 80 hombres de 23 a 67 años y de 398 mujeres de 15 a 50 años. Las transcripciones se analizaron temáticamente para explorar el apoyo de hombres y mujeres a los métodos anticonceptivos masculinos, así como para extraer sugerencias sobre las características ideales del método. Resultados: Los participantes masculinos y femeninos en ambos países expresaron su apoyo a las nuevas opciones de anticonceptivos masculinos; se expresaron más actitudes positivas en Uganda que en Burkina Faso. Los participantes de ambos sexos reconocieron que los métodos masculinos podrían reducir la carga de planificación familiar para las mujeres y ofrecer a los hombres un mayor control sobre su fecundidad; sin embargo, algunos participantes plantearon sus preocupaciones sobre los efectos secundarios y consideraron que los hombres no usarían anticonceptivos. Las características de la relación, como las uniones polígamas, se mencionaron como posibles desafíos. En ambos países, se propusieron varios tipos de métodos anticonceptivos (por ejemplo, cremas o jaleas, la inyección y el implante) y de distintas duraciones (de acción corta a permanente). Conclusiones: La aceptabilidad de los nuevos métodos masculinos en la mayoría de los participantes en los dos países indica una demanda potencial de anticoncepción masculina. Las opciones deberían incluir una variedad de características del método para maximizar la elección, involucrar a los hombres y apoyar las necesidades de anticonceptivos de hombres y mujeres.RÉSUMÉ Contexte: Les options contraceptives masculines ne sont guère nombreuses. Le fait est, cependant, que les efforts de développement de produits se concentrent généralement sur les méthodes féminines. L'étude des attitudes à l'égard des méthodes masculines — en particulier dans les régions à faible prévalence contraceptive telles que l'Afrique subsaharienne — permettrait d'éclairer le développement de nouvelles méthodes pour les hommes. Méthodes: Les données qualitatives requises ont été extraites de discussions de groupe menées en 2016 avec 80 hommes âgés de 23 à 67 ans et 398 femmes âgées de 15 à 50 ans au Burkina Faso et en Ouganda. Elles ont été transcrites et analy-sées thématiquement pour examiner le soutien des hommes et des femmes à l'égard des méthodes contraceptives masculines et en dégager les suggestions possibles sur les caractéristiques des méthodes idéales. Résultats: Dans les deux pays, les participants et participantes ont exprimé leur appui de nouvelles options de contraception masculine; plus d'attitudes positives ont été exprimées en Ouganda qu'au Burkina Faso. Les participants des deux sexes ont reconnu que les méthodes masculines pourraient alléger la charge de la planification familiale portée par les femmes et offrir aux hommes un meilleur contrôle de leur fécondité. Certains s'inquiétaient cependant des effets secondaires et pensaient que les hommes n'utiliseraient pas les contraceptifs. Les caractéristiques de relation, telles que les unions polygames, ont été citées comme difficultés possibles. Dans les deux pays, différentes méthodes (par exemple, crèmes ou gels, injection ou implant) et durées (de courte à permanente) ont été proposées. Conclusions: L'acceptabilité de nouvelles méthodes masculines aux yeux de la plupart des participants dans les deux pays révèle une demande potentielle de contraception masculine. Les options proposées doivent inclure diverses caractéristiques de méthode pour maximiser le choix, engager les hommes et soutenir les hommes et les femmes dans leurs besoins contraceptifs.