Emergency Medical Services are ideally placed to provide relief of acute pain and discomfort. The objectives of this study were to describe pre-hospital pain management practices by Emergency Medical Services in the Western Cape, South Africa.A retrospective, descriptive survey was undertaken of analgesic drug administration by advanced life support paramedics. Patient care records generated in the City of Cape Town during an 11-month period containing administrations of morphine, ketamine, nitrates and 50% nitrous oxide/oxygen were randomly sampled. Variables studied were drug dose, dose frequency, and route of administration, patient age, gender, disorder and call type as well as qualification and experience level of the provider.A total of 530 patient care records were included (n = 530). Morphine was administered in 371 (70%, 95% CI 66-74) cases, nitrates in 197 (37%, 95% CI 33-41) and ketamine in 9 (1.7%, 95% CI 1-3) cases. A total of 5 mg or less of morphine was administered in 278 (75%, 95% CI 70-79) cases, with the median dose being 4 mg (IQR 3-6). Single doses were administered to 268 (72.2%, 95% CI 67-77) morphine administrations, five (56%, 95% CI 21-86) ketamine administrations and 161 (82%, 95% CI 76-87) of nitrate administrations. Chest pain was the reason for pain management in 226 (43%) cases. Advanced Life Support Providers had a median experience level of two years (IQR 2-4).Pre-hospital acute pain management in the Western Cape does not appear to conform to best practice as Advanced Life Support providers in the Western Cape use low doses of morphine. Chest pain is an important reason for drug administration in acute pre-hospital pain. Multimodal analgesia is not a feature of care in this pre-hospital service. The development of a Clinical Practice Guideline for and training in pre-hospital pain should be viewed as imperative.Les services d'aide médicale d'urgence sont dans une position idéale pour atténuer les douleurs aigues et la gêne. Les objectifs de cette étude étaient de décrire la gestion préhospitalière de la douleur par les services d'aide médicale d'urgence dans la province du Cap occidental, en Afrique du Sud.Une étude rétrospective et descriptive a été réalisée sur l'administration d'analgésiques par des auxiliaires médicaux spécialisés en réanimation. Les dossiers médicaux des patients générés dans la ville du Cap sur une période de 11 mois indiquant l'administration de morphine, de kétamine, de nitrates et d'un mélange de protoxyde d'azote/oxygène à 50 % ont été échantillonnés de manière aléatoire. Les variables étudiées étaient la dose de médicament, la fréquence d'administration des doses et la voix d'administration, l'âge du patient, son sexe, le trouble dont il souffre et le type d'appel, ainsi que les qualifications et le niveau d'expérience de l'administrateur.Au total, 530 dossiers médicaux de patients ont été inclus (n = 530). De la morphine a été administrée dans 371 (70 %, IC 95% 66–74) cas, du protoxyde d'azote dans 197 (37 %, IC 95 % 33–41) cas et de la kétamine dans 9 (1,7 %, IC 95 % 1–3) cas. Un total de 5 mg de morphine ou moins a été administré dans 278 (75 %, IC 95 % 70–79) cas, la dose moyenne étant de 5 mg (IIQ 3–6). Des doses uniques ont été administrées pour 268 (72,2 %, IC 95 %, 67–77) administrations de morphine, cinq (56 %, IC 95 % 21–86) administrations de kétamine et 161 (82 %, IC 95 % 76–87) administrations de protoxyde d'azote. Les douleurs thoraciques étaient la raison de l'administration d'analgésiques dans 226 (43 %) cas. Les auxiliaires médicaux spécialisés en réanimation disposaient d'un niveau d'expérience moyen de deux ans (IIQ 2–4).La gestion préhospitalière de la douleur aiguë dans la province du Cap occidental ne semble pas se conformer aux meilleures pratiques, car les auxiliaires médicaux spécialisés en réanimation utilisent de faibles doses de morphine. Les douleurs thoraciques constituent une raison importante de l'administration d'analgésiques pour le traitement préhospitalier de la douleur aiguë. L'analgésie multimodale n'est pas une caractéristique des soins dans ce service préhospitalier. Le développement de Directives pratiques cliniques pour la formation à la gestion préhospitalière de la douleur devrait être considéré comme un impératif.