4 results on '"espace frontalier"'
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2. Conference Report: 26th SERCIA Conference: 'Cosmopolitan Aspirations in English-Speaking Cinema and Television'
- Author
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Salvi, Costanza and Soubeille, Marine
- Subjects
feminism ,réception ,translation ,horreur ,frontière ,TV ,écologie ,western ,célébrité ,horror ,genre ,science fiction ,star ,cities ,mondialisation ,cosmopolitan ,sérialité ,langage ,industry ,postfeminism ,national ,transnational ,cosmopolitanism ,global ,média ,celebrity ,cosmopolite ,films ,ecology ,traduction ,industrie ,film ,télévision ,Hollywood ,féminisme ,border-places ,seriality ,border ,distribution ,series ,Post-Western ,authorship ,auteurisme ,reception ,language ,post-western comédie ,media ,cosmopolitanisme ,postféminisme ,documentary ,comedy ,documentaire ,ville ,cinema ,espace frontalier ,cinéma - Abstract
SERCIA (Société d'Études et de Recherche sur le Cinéma Anglophone), a research group founded in 1993 to gather researchers in the field of English-speaking cinema and television, held its 26th conference in September 2021 at Universidad de Zaragoza, Spain. Originally meant to take place in 2020, the Conference was postponed due to the Covid-19 pandemic, which forced the organizers, Marimar Azcona, Julia Echeverría, and Pablo Gómez of the Department of English and German Philology of the Unive...
- Published
- 2021
3. La construction de la frontière de facto abkhazo-géorgienne, entre enjeux sécuritaires, politiques et identitaires
- Author
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Ariane Bachelet and Yann Richard
- Subjects
border area ,Géorgie ,Abkhazie ,Georgia ,05 social sciences ,Abkhazia ,0211 other engineering and technologies ,0507 social and economic geography ,lcsh:Political science ,021107 urban & regional planning ,02 engineering and technology ,frontière ,limite ,boundary ,lcsh:Political science (General) ,reconciliation ,Political science ,border ,espace frontalier ,lcsh:JA1-92 ,050703 geography ,Humanities ,lcsh:J ,réconciliation - Abstract
Cet article étudie la manière dont est construite la frontière d’un Etat de facto, en prenant pour exemple la frontière constestée entre l’Abkhazie et le territoire administré par la Géorgie. Il se fonde sur une recherche de terrain qui couvre la période 2015-2018, avec plusieurs séjours en Abkhazie, dix franchissements de cette frontière et une série d’entretiens formels et d’échanges informels. L’attention est portée sur les acteurs individuels, les acteurs politiques et les institutions qui construisent l’espace frontalier matériellement et symboliquement. Les autorités abkhazes mènent une politique de réappropriation territoriale en coopération avec la Russie (délimitation et sécurisation de la frontière, contrôle des flux et réaménagement de l’espace identitaire). De leur côté, les autorités de Tbilissi mettent en œuvre une politique de réconciliation et d’attractivité en prônant le développement de la zone frontalière. De plus, elles essayent de rendre cette frontière invisible, car elles contestent son statut de limite internationale. De fait, le conflit analysé dans cet article ne porte pas sur le tracé de la ligne qui sépare l’Abkhazie du reste de la Géorgie. Il porte sur son statut. S’agit-il d’une frontière interétatique au sens classique de limite entre deux Etats souverains ? Ou d’une limite administrative interne à l’Etat géorgien ? L’évolution de cette limite contestée vers le statut de jure de frontière internationale stricto sensu ou vers le celui de limite administrative dépend des décisions prises par les deux entités politiques riveraines (la Géorgie et l’Abkhazie). Toutefois, sur le terrain, le temps semble être un facteur de stabilisation de la situation de facto et de la possible consolidation de cette frontière est une hypothèse envisageable. This article examines how is constructed the border of a de facto State, taking the disputed border between Abkhazia and the territory administered by Georgia as a case-study. It is based on field research covering the period 2015-2018, with several visits to Abkhazia, ten border crossings and a series of formal interviews and informal exchanges. Attention is focused on the individual actors, political actors and institutions that build the border area physically and symbolically. The Abkhaz authorities are pursuing a policy of territorial re-appropriation in cooperation with Russia (delimitation and security of the border, flow control and redevelopment of the identity space). For their part, the Tbilisi authorities are implementing a policy of reconciliation and attractiveness by promoting the development of the border area. In addition, they are trying to make this border invisible because they are challenging its status as an international boundary. Indeed, the conflict analysed in this article does not concern the line between Abkhazia and the rest of Georgia. It is about his status. Is it an inter-state border in the traditional sense of a boundary between two sovereign States? Or an administrative limit within the Georgian State? The evolution of this disputed boundary towards de jure international border status stricto sensu or towards administrative boundary status depends on the decisions taken by the two riparian political entities (Georgia and Abkhazia). However, on the ground, time seems to be a factor in stabilizing the de facto situation and the possible consolidation of this border is a possible hypothesis.
- Published
- 2019
4. Pour une géographie des bordures à l'heure globale : frontières et espaces d'activités 'informelles'
- Author
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Bennafla, Karine, Groupe de recherches et d'études sur la méditerranée et le moyen orient (GREMMO), Université Lumière - Lyon 2 (UL2)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Université Paris Ouest Nanterre La Défense, Alain Dubresson, and Bennafla, Karine
- Subjects
illégalité ,[SHS.GEO] Humanities and Social Sciences/Geography ,Liban ,informalité ,[SHS.GEO]Humanities and Social Sciences/Geography ,central Africa ,borderland ,frontière ,Afrique centrale ,Maroc ,Morocco ,bordure ,border ,informality ,espace frontalier ,illegality ,Lebanon - Abstract
This work draws upon 20 years of research on border zones, peripheral areas, and the margins of State territory. Through a variety of fieldwork sites and case studies from central Africa to Morocco and Lebanon, I examine the multiple transformations of borders in a neoliberal era and question the place of territorial margins in a global world. Methodologically, the book develops a multiple-focus approach that is predominantly based on personal investigations and accordingly, makes ample room for the researcher's subjectivity. My research is primarily concerned with transgressive social practices in border zones and how the latter become instrumentalized by ordinary people. This play with the distortions created by the borders highlights the persistence of a State framework inherited from colonialism. Although some borderlands feature highly profitable activities from which they benefit, most borderlands appear as regions of tensions where identities are being rewrought, contested, asserted, and reinforced. In other words, border areas raise significant issues related to globalization. Most importantly, they show very clearly the discontinuities and inequalities that result from globalization processes. Empirical field observations demonstrated a strong link between border locations and informal activities, suggesting a key issue to reflect further on the geographies of informality and illegality. The umbrella-concept of 'informal' seems to be increasingly popular in the social sciences. The concept could be defined as a transgressive playing with the rules. It needs to be tackled in a global spatial perspective and linked to a reflection about law. The nature of the link between borderland and informality has become a main issue to explore., Ces pages retracent un itinéraire scientifique marqué par un tropisme pour les bordures, zones périphériques ou frontalières au sein de territoires d'Etat. De l'Afrique subsaharienne au Maroc en passant par le Liban, les terrains ont été variés pour examiner les avatars des frontières à l'heure néolibérale et questionner l'insertion des marges périphériques dans la globalisation. Le propos revient sur une posture méthodologique caractérisée par le décentrement du regard et une démarche d'enquêtes ancrée sur la subjectivité de la chercheuse. Les espaces frontaliers ont surtout été abordés à l'aune de leurs usages et de leurs pratiques transgressives. Celles-ci éclairent le maintien d'une grille stato-nationale d'origine exogène et héritée. Certaines bordures frontalières s'affirment comme des lieux de profitabilité, mais elles sont aussi souvent des zones de tensions et de cristallisation identitaire. Bref, elles informent sur les processus de mondialisation, les discontinuités et les inégalités qu'ils engendrent. Mes observations empiriques ont mis en exergue un lien récurrent entre la frontière et la présence d'activités informelles, ouvrant une piste de réflexion sur une géographie de l'informalité et de l'illégalité. Concept-valise, l'informel revient en force dans le champ académique. La notion, définie comme jeu transgressif avec les règles, demande à être étudiée avec une approche spatiale globale et en interrogeant le droit. La nature de la connexion entre frontière et informalité reste une question à creuser.
- Published
- 2012
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