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The ability to adapt to harsh environments and thrive with minimal food and water input, places goats among the most popular livestock species in Arab countries. However, little is known about the historical and contemporary genetics of most Arabian goat breeds and populations. In this study, we genetically analyzed 617 individuals (126 from this study and 491 from published sources) representing 18 Arabian goat populations by evaluating variation in the mitochondrial DNA control region (D-loop). Our data were also combined and compared with those from 339 Asian, African, European and Canarian populations. We found 186 different polymorphic sites, which allowed us to identify 453 different haplotypes belonging to three maternal haplogroups: A, B and G. Haplogroup A is the most represented among Arabian goats and highly widespread among Arab countries, whereas B group is rare. Haplogroup G is the second most frequent haplogroup and also the most diverse among Arabian goats. Measurements of nucleotide and haplotype diversity and the mean number of pairwise differences in the 18 populations yielded values of 0.025, 0.998 and 10.586, respectively. These results show that the diversity of native Arabian goat populations is high and similar to that of populations at the center of origin. Based on estimated population structures, comparison of pairwise F ST and AMOVA values between Arabian populations indicated low genetic differentiation. In addition, median-joining network analysis results provide very little evidence of a previous connection between Arabian goats and regions of historical Arab influence were once installed (Iberian Peninsula and Southern Europe). Finally, the same thin evidence was also found between extant Arabian and Canarian goats, which might have partially originated due to commercial trade or during the migratory movements of ancient humans.

Alors que cela a été réalisé chez de nombreuses autres espèces de mammifères, chez le dromadaire, l’évaluation du taux de cortisol a été très rarement décrite dans les fèces, et elle ne l’a jamais été dans les poils. L’objectif de cette étude a ainsi été de déterminer, chez cet animal, les taux de cortisol dans le sérum, les poils et les fèces, et leurs éventuelles corrélations. Les résultats ont montré que le taux de cortisol variait avec la saison et qu’il était significativement (p < 0,05) plus élevé en janvier qu’en mai/juin. Une corrélation positive entre les taux sériques et ceux déterminés dans les poils et les fèces a été notée. Cette corrélation indique que l’analyse du cortisol dans les poils et les fèces reflète l’activité de la corticosurrénale et pourrait être utilisée comme une méthode non-invasive pour évaluer le stress chez le dromadaire.

Slaughter stress responses were evaluated in the dromedary camel by analyzing hematocrit (Hct), neutrophil/lymphocyte ratio (NLR), hemolysis (H%), catalase activity (CATa) and plasma levels of cortisol (COR), triiodothyronine (T3), thyroxine (T4), glucose and malondialdehyde (MDA). Blood was collected during three different steps: at the arrival of the animals at the slaughterhouse just after unloading (step 1), at the end of a rest period of 16 to 20 hours (step 2) and finally during bleeding (step 3) after exposure to traditional slaughter stress. NLR, H%, MDA, glucose, COR, T3 and T4 measured at step 2 were significantly (P

The effect of ageing was evaluated on quality parameters (pH, electrical conductivity (EC), osmolality, drip loss (DL) and cooking loss (CL)), proteins, fat and 25-hydroxyvitamin D (25-OH-D) total levels and antioxidant status (malondialdehyde (MDA) and catalase (CAT) activity) in meat of camels during storage at 4 ± 1 °C. Samples were taken from the brachial triceps muscle (triceps barchii) and were stored at 4 ± 1 °C for 10 d. Quality parameters, chemical composition and antioxidant status were assessed at 3 h and 24 h postslaughter and 5, 7 and 10 d postmortem during cold storage. CAT activity significantly decreased while osmolality, EC, DL, CL and MDA contents significantly increased, from the 5th or 7th postmortem day of cold storage of the camel meat. However, proteins, lipids and 25-OH-D total contents showed no significant differences during all period of ageing. In conclusion, in the dromedary camel, ageing time of triceps muscle influenced significantly its quality characteristics and antioxidant status from the 5th or 7th postmortem day of refrigerated storage, without any variation of proteins, fat and 25-OH-D contents.

Les taux plasmatiques de thyroxine libre (FT4) et de triiodothyronine libre (FT3) ont été mesurés chez 30 dromadaires mâles adultes, chez 31 chamelles non gravides et non allaitantes et chez 13 chamelles et leur fœtus de 6 mois ou leur nouveau-né, de la naissance à l’âge de 30 jours. Les valeurs basales de FT4 et de FT3 plasmatiques (pM) chez le dromadaire mâle adulte ont été respectivement de 24,8 ± 2,8 et 8,6 ± 1,4. Au cours de la gestation (6 mois), ces valeurs (pM) ont été respectivement de 43,4 ± 4,1 et 1,4 ± 0,4 chez le fœtus, et de 31,1 ± 2,8 et 16,9 ± 2,1 chez la chamelle. Chez le chamelon, les taux de FT4 (50,7 ± 4,1) et de FT3 (18,6 ± 2,3) plasmatiques (pM), très élevés à la naissance, ont diminué progressivement jusqu’au 7e jour (FT4 : 28,3 ± 2,8 ; P < 0,05 ; FT3 : 9,6 ± 1,7 ; P < 0,05), puis sont restés stables jusqu’au 30e jour. L’évolution périnatale et postnatale des taux de FT4 et de FT3 plasmatiques chez la chamelle et son chamelon était similaire à celle rapportée chez les autres ruminants domestiques.

Dans cette étude a été établie une cinétique d'évolution post-partum des taux plasmatiques de quelques paramètres minéraux (Ca, P, Mg, Na et K), d'ostéocalcine, du 25(OH)D et du 1,25(OH)2D, chez la chamelle en lactation du Sud marocain (n = 5) et chez son nouveau-né (n = 5). Les taux plasmatiques de Ca et de P (mg/l) chez le chamelon ont été supérieurs à ceux de la mère, depuis la naissance jusqu'au 301 jour de vie. A la naissance, les taux plasmatiques de Mg, Na et K (mg/1) chez le chamelon ont été inférieurs aux valeurs maternelles. Chez le chamelon, les taux plasmatiques d'OC (ng/ml) ont été plus élevés que ceux de la mère depuis la naissance (3,4 ± 0,3 vs 0,7 ± 0,3; P < 0,05) jusqu'au 30e jour postnatal (5,2 ± 0,5 vs 0,7 ± 0,3). Ces taux ont atteint leur maximum au 3e jour postnatal chez le chamelon (6,8 ± 0,5) et au 4e jour post-partum chez la chamelle (2,3 ± 0,4). Les concentrations plasmatiques (pg/ml) du 25(OH)D et du 1,25(OH)2D chez le chamelon nouveau-né ont été plus faibles à la naissance que celles de la mère (respectivement 58,2 ± 12,4 vs 480 ± 59,7, P < 0,05, et 834,8 ± 61,5 vs 1 301 ± 209, P < 0,05). Ces concentrations néonatales sont devenues significativement plus élevées comparativement à la mère dès le 15e jour postnatal pour le 25(OH)D (176,4 ± 19,6 vs 116,1 ± 30,4, P < 0,05) et dès le 7e jour de vie pour le 1,25(OH)2D (1 215 ± 248 vs 571 ± 64, P < 0,05). Ces résultats indiquent que, chez le dromadaire, l'OC pourrait être un biomarqueur fiable de la croissance osseuse néonatale et que les 25(OH)D et 1,25(OH)2D pourraient jouer un rôle prépondérant dans la régulation de l'homéostasie calcique chez le nouveau-né et chez la mère en lactation.

The aim of this study was to determine the 25-hydroxyvitamin D3 (25-OH-D3) amounts in meat and serum of the Moroccan one-humped camels. The obtained results showed that the 25-OH-D3 amounts in serum (ng/mL), liver, kidney and muscle (ng/g) were 390±45; 7.071±1.003; 6.154±1.067 and 4.241±1.045 respectively. Values in liver were significantly higher (p< 0.05) than those of muscle. Serum 25-OH-D3 levels in camels were very higher than those of ruminant species. Meat of camel was rich in water and ash, and the amounts of 25-OH-D3 in it's various analyzed tissues were similar to those reported for this constituent in the corresponding tissues of bovine species and slightly higher than those measured in other domestic animals.