Search

A history of the slow progress of women in high professions. This comparison is conducted in Western Europe in the 19th, 20th and early 21st centuries. It can shed light on how long banned women have faced and brings out three major time for access to their fields and professions to . The book also focuses on the study of international networks formed by these women or networks in which they are working hard to achieve equality between women and men in the labor market., Une histoire de la lente progression des femmes dans les espaces des métiers diplômés. Cette comparaison menée dans les pays d'Europe occidentale aux 19e, 20e et au début du 21e siècle permet de mettre en lumière les longs interdits auxquels les femmes se sont heurtées et permet de dégager trois grands temps pour leur accès aux filières et métiers de pouvoir. L'ouvrage s'attache aussi à l'étude des réseaux internationaux constitués par ces femmes ou les réseaux dans lesquels elles s'activent pour obtenir l'égalité entre femmes et hommes sur le marché du travail.

Ces deux tomes sont l'étude, pour la Région Rhône-Alpes, des populations étrangères des 19e et 20e siècles. L'ensemble des recensements (1851-2000) a été dépouillé et traité, et une partie du rapport les détaille, nationalité par nationalité. Un tome recense les archives et la bibliographie dans les 8 départements de Rhône-Alpes. Dans l'analyse (tome 1), l'accent est particulièrement mis sur les étrangères et étrangers au travail, la place des femmes et des enfants, les modalités de logement.

cette préface remet en perspective historique la réédition de l'ouvrage (The subjection of women) que John Stuart Mill écrivit avec son épouse, Harriet Mill, en 1869.

La longue inégalité de traitement scolaire entre les filles et les garçons a, depuis quelques dizaines d'années, été largement soulignée. Au regard des recherches récentes elle reste cependant à nuancer et à lire à l'aune de l'organisation du marché du travail et des évolutions de la société industrielle. En effet, les formations consenties aux filles sont directement liées aux professions qui leur sont ouvertes et à celles qu'elles — et leur familles — s'autorisent à investir. Tout au long des XIXe et XXe siècles évolue le partage entre les métiers mixtes et ceux qui sont réservés ou interdits aux femmes, partage dont la structure de l'enseignement porte largement trace quel que soit le niveau de scolarité ou l'époque envisagés. Les enseignements primaires, secondaires, techniques et supérieurs portent trace des mutations qui ont marqué les diverses générations de filles et de jeunes femmes : à une mixité des formations répond une mixité des métiers. Dans tous les pays développés, une question en tire le fil rouge : le mélange des sexes sur les bancs de tous les apprentissages.

International audience; la place des jeunes femmes dans les formations initiales est mal connue et donc sous-évaluée. A partir de l'exemple de la Région lyonnaise aux 19e et 20e siècle, on constate que de nombreux lieux de formation étaient ouverts aux femmes, concernant certes les traditionnels métiers de la couture, mais aussi ceux du commerce, des bureaux, des usines.

International audience; cette préface remet en perspective historique la réédition de l'ouvrage (The subjection of women) que John Stuart Mill écrivit avec son épouse, Harriet Mill, en 1869.