12 results on '"ART FUNERAIRE"'
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2. Le passionnant dossier de Saint-Hilaire-de-la-Celle (Poitiers). Les enjeux de l’interprétation des dessins des génovéfains à la lumière des autres sources
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Andrault-Schmitt, Claude, Centre d'Etudes Supérieures de Civilisation médiévale (CESCM), and Université de Poitiers-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)
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[SHS.ARCHEO]Humanities and Social Sciences/Archaeology and Prehistory ,hagiographie ,monuments sculptés ,art funéraire ,architecture médiévale ,génovéfains ,[SHS.RELIG]Humanities and Social Sciences/Religions ,Poitiers ,cénotaphe ,chanoines réguliers ,contre-réforme ,[SHS.HIST]Humanities and Social Sciences/History ,architecture du XVIIe siècle ,ComputingMilieux_MISCELLANEOUS - Abstract
International audience
- Published
- 2021
3. Des Vertus et du roi : relectures d'une iconographie du gouvernement : France-Italie, XIIIe-XVIIe siècles
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Neuilly, Elise-Annunziata, STAR, ABES, Centre Georges Chevrier. Sociétés & Sensibilités [Dijon - UMR7366] (CGC), Université de Bourgogne (UB)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Université Bourgogne Franche-Comté, and Daniel Russo
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Iconography ,Funerary art ,[SHS.HIST] Humanities and Social Sciences/History ,Bon gouvernement ,Lay and religious gouvernments ,Visual communication of power ,Good gouvernment ,Art funéraire ,[SHS.HIST]Humanities and Social Sciences/History ,Gouvernements civils et religieux ,Communication visuelle du pouvoir ,Iconographie - Abstract
My doctoral work in the history of medieval art unfolds from a multistep process. Based on the initial finding pertaining to the pervasive use of an iconography of Virtues in the Middle Ages, something specific emerged: its presence in sites of government, as well as its common association with the powerful, be it in the civic or religious spheres. The powerful encompasses here individuals representing various types of government existing during the medieval era in the western world. These are kings, princes, members of royal families, religious and lay dignitaries, as well as tyrants and, on the other end of the spectrum, representatives of local governments. All these characters are surrounded by imagery, including of Virtues. Virtues are painted on the walls of the physical sites of governance, they are on the pages of manuscripts written for (future) governors, they are incarnated by young girls during large public demonstrations honoring the king.Virtues are also chosen as decoration for the tombs of the kings of France and the princes of the Church, in order to illustrate the Good government held by the deceased. More than ninety such royal and princely tombs showcasing Virtues – mostly cardinals, but not exclusively – are still standing. Many narratives attest to the existence of many more, now destroyed, during the period starting at the end of the 13th century, until the 17th, mostly in France and Italy. As such, over a period of four centuries, an excess of one hundred lay and religious governing individuals were buried in a similar iconographic ensemble, in which Virtues constitute a dominant aspect – as a reminder, the adjective “cardinal” stems from the Latin cardo, the hinge – in the visual vocabulary.Accordingly, this dissertation seeks to demonstrate that the use of Virtues serves the political goal of visual communication set by the sponsor of the art, himself usually in a governing position. I examine the occurrence of Virtues in the specific framework of power, and I demonstrate how Virtues are an integral part of the “vocabulary” of visual discourses of legitimation, self-justification, self-glorification, with the goal of illustrating the reigning Good government. An analysis focused on governing sites allows to establish that the iconographic vocabulary of those in power is shared throughout various European courts, as well as varied types of government, and this, during four centuries., Ce travail de doctorat en histoire de l’art médiéval s’est constitué en plusieurs étapes. D’un premier constat sur l’utilisation fréquente, voir même récurrente, et largement variée de l’iconographie des Vertus au Moyen Age, une spécificité s’est rapidement dégagée : leur présence dans les lieux de gouvernance, et aussi leur association régulière avec les hommes de pouvoir, tant dans la sphère civile que dans la religieuse. Par hommes de pouvoir, il est entendu ici les représentants des différents types de gouvernement de l’époque médiévale en Occident. Ce sont les rois, les princes, les membres de lignage royal, les hauts dignitaires religieux et civils, ou encore des tyrans et des représentants de gouvernement communal. Tous ces personnages sont constamment entourés d’images, notamment celles des Vertus. Les Vertus sont peintes sur les murs des lieux de gouvernance, elles sont sur les pages des manuscrits spécifiquement écrits pour les (futurs) gouvernants, elles sont incarnées par des jeunes filles lors des grandes manifestations publiques honorant le roi. Les Vertus sont également choisies pour orner les sépultures des rois francs et des princes de l’Eglise, afin d’illustrer le Bon gouvernement tenu par les défunts. Plus de quatre-vingt-dix tombeaux royaux et princiers portant des Vertus – majoritairement cardinales, mais pas uniquement – ont subsisté ; de nombreux témoignages attestent que d’autres encore existaient, à présent détruits, sur la période couvrant de la fin du XIIIe siècle au XVIIe, principalement en France et en Italie. Ainsi, sur quatre siècles, plus de cent gouvernants laïcs et religieux sont inhumés dans un ensemble iconographique assez similaire, dans lequel les Vertus constituent un élément primordial – on peut rappeler ici que la terminologie « cardinales » renvoie au « cardo » latin, le gond – de ce vocabulaire visuel.Notre thèse s’applique alors à démontrer que cette utilisation est à visée politique, qu’elle sert un but, celui de la communication visuelle souhaitée par le commanditaire, c’est-à-dire la plupart du temps, lui-même un gouvernant. Nous examinons les occurrences des Vertus dans ce cadre spécifique du pouvoir et nous démontrons comment les Vertus font partis du « vocable » des discours visuels de légitimation, d’autojustification, de glorification personnelle, avec l’objectif d’illustrer le Bon gouvernement en place. Cette lecture spécifique aux lieux de gouvernance a permis de mettre en avant que le vocabulaire iconographique des dirigeants est commun aux différentes cours européennes et aussi aux différents types de gouvernement, et ce, pendant quatre siècles.
- Published
- 2019
4. L'hôtel-Dieu, un écrin monastique pour un art funéraire en grand format
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Russo, Daniel, Centre Georges Chevrier. Sociétés & Sensibilités [Dijon - UMR7366] (CGC), Université de Bourgogne (UB)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), and Université de Bourgogne, LIR3S (ancien CGC)
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hôtel-Dieu ,[SHS.HIST] Humanities and Social Sciences/History ,grand format ,[SHS.ART] Humanities and Social Sciences/Art and art history ,écrin monastique ,art funéraire ,[SHS.ART]Humanities and Social Sciences/Art and art history ,[SHS.HIST]Humanities and Social Sciences/History ,ComputingMilieux_MISCELLANEOUS - Abstract
International audience
- Published
- 2018
5. Les différents modes d'évocation des défunts chez Les Eduens, les Lingons et les Séquanes au Haut-Empire (Ier - IIIème siècle) : de l'épigraphie à la représentation figurée
- Author
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Edme, Anne-Laure, Archéologie, Terre, Histoire, Sociétés [Dijon] (ARTeHiS), Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Université de Bourgogne (UB)-Ministère de la Culture et de la Communication (MCC), Université Bourgogne Franche-Comté, Daniele Vitali, Vassiliki Gaggadis-Robin, STAR, ABES, and Ministère de la Culture et de la Communication (MCC)-Université de Bourgogne (UB)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)
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Archeology ,Archéologie ,[SHS.HIST] Humanities and Social Sciences/History ,Épigraphie ,Période gallo-Romaine ,Art funéraire ,[SHS.HIST]Humanities and Social Sciences/History ,Funeral art ,Epigraphy ,Roman period - Abstract
This new study of funerary monuments in Roman Gaul aims at putting emphasis on the various tools used by the ancient populations to perpetuate the memories of their dead. Thanks to carved images or texts, the mention of the name, of the identity of the deceased and of specific aspects of his everyday life were some of the means used to keep his memory alive in the world of the living. The geographical area chosen corresponds to three ancient territories : thoose of the Aeduens, the Lingons and the Sequans. Geographically and culturally close, these territories show indeed the same funeral traditions in ancient times. As for the chronological frame, it is limited to the Early Roman Empire, from the 1st to the 3rd centuries. Thanks to an epigraphic and iconographic analysis of the stone monuments, the question of the funeral choices made by the person who commisioned the tom bis raised. Indeed, the ways of evocation diverge according to different criteria, thus implying significant changes in the aspect and the shape of graves. Do the latter denote practices specific to a city or a social group ? In the same way, the epigraphic applications are suitable to the information that the dead wishes to convey.The typological, stylistic and textual comparisons made with orther monuments from Gaul and Italy enable to analyse the particular commemorative practices of indigenous romanised populations from north-eastern Gaul.Through the study of a provincial corpus, this thesis completes the various researches dealing with Roman funeral art., Cette nouvelle étude des monuments funéraires de Gaule romaine a pour but de mettre en évidence les différents procédés employés par les populations antiques pour perpétuer la mémoire de leurs morts. Que ce soit à travers l’image sculptée ou par le texte, le rappel du nom, de l’identité du défunt et des éléments propres à son quotidien étaient autant de moyens adoptés afin de garder vivace son souvenir dans le monde des vivants. L’espace géographique choisi est circonscrit à trois cités antiques, celles des Éduens, des Lingons et des Séquanes. Proches géographiquement et culturellement, ces territoires présentent en effet durant l’Antiquité des traditions funéraires similaires. Quant au cadre chronologique, il est restreint au Haut-Empire, soit du Ier au IIIe siècle ap. J.-C. À travers une analyse épigraphique et iconographique des monuments en pierre est posée la question des choix sépulcraux faits par les commanditaires. En effet, les modes de représentation divergent selon différents critères et modifient donc considérablement l'aspect et la forme des tombeaux. Ces derniers dénotent-ils des pratiques spécifiques à une cité ou à un groupe social ? De la même manière, les formulaires épigraphiques se trouvent adaptés aux informations que le commanditaire souhaite transmettre.Par des comparaisons typologiques, stylistiques et textuelles avec des monuments issus des territoires de Gaule et d’Italie, ce travail cherche à analyser les pratiques commémoratives spécifiques à des populations indigènes romanisées du Nord-est de la Gaule.À travers l’étude d’un corpus provincial, cette thèse vient ainsi compléter les différentes recherches portant sur l’art sépulcral romain.
- Published
- 2018
6. Le plus ancien cimetière en activité de Montpellier : le cimetière protestant
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Pierre-Yves Kirschleger, des publications scientifiques, Base, Centre de Recherches Interdisciplinaires en Sciences humaines et Sociales de Montpellier (CRISES), and Université Paul-Valéry - Montpellier 3 (UPVM)
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funeral art ,cimetière ,19th century ,art funéraire ,[SHS.RELIG] Humanities and Social Sciences/Religions ,[SHS.RELIG]Humanities and Social Sciences/Religions ,protestantism ,protestantisme ,histoire ,[SHS.HIST] Humanities and Social Sciences/History ,XIXe siècle ,history ,cemetery ,[SHS.HIST]Humanities and Social Sciences/History - Abstract
Le cimetière protestant de Montpellier est le plus ancien cimetière en activité de la ville, ouvert en 1809. Mais il a également d’autres titres à faire valoir : il est le plus ancien vestige protestant de la cité ; propriété de l’église réformée locale, il est l’un des rares cimetières urbains privés en France, et n’a pas été déconfessionnalisé sous la troisième république. Le visiteur peut y découvrir les spécificités de l’art funéraire protestant. Patrimoine méconnu et pourtant fort riche, le cimetière est un témoin privilégié de l’histoire de Montpellier et de l’importance de sa communauté protestante. The protestant cemetery of Montpellier is the oldest in operation in the town, opened in 1809. It has other qualities: it is the oldest Protestant vestige of the city; property of the local Reformed Church, it is one of the scarce urban private cemetery in France, and it remained under the Third Republic. The visitor discover there the specificities of the Protestant funeral art. Underestimated heritage and nevertheless very rich, the cemetery is privileged to witness the history of Montpellier and the importance of his Protestant community.
- Published
- 2017
7. « On y sentait la mort ». Les morts de Catherine de Médicis
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Foa, Jérémie, Temps, espaces, langages Europe méridionale-Méditerranée (TELEMME), Aix Marseille Université (AMU)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Aix Marseille Université (AMU), Jérémie Foa, Elisabeth Malamut, and Charles Zaremba (Dir.)
- Subjects
histoire du corps ,Catherine de Médicis ,guerres de Religion ,art funéraire ,[SHS.HIST]Humanities and Social Sciences/History ,embaumement ,histoire de la mort - Abstract
International audience; "She smelled like death. Her husband instinctively retreated from her, like a worm, born from the tomb of Italy: she was the daughter of a father so spoiled by the great malady of the age that the mother gained her, Died at the same time as he did at the end of a year of marriage. "The girl herself was she alive ? " These words of Michelet tell how death, from the cradle to the grave, radiates the life of Catherine de 'Medici, the engine of her own history and of the history she is going through. The death of Catherine de 'Medici is first, in a genitive sense, the macabre as the property of Catherine de' Medici. Death is its own, something that belongs to it, as a fatality from which it can not get rid. From the wars of Italy to the wars of Religion, from the death of her husband to that of her children, death imposes itself as the central actor of his biography. This article analyzes the objects, mechanisms and stakes of this centrality of death in Catherine de Medicis' life.; « On y sentait la mort ; son mari instinctivement s’en reculait, comme d’un ver, né du tombeau de l’Italie. Elle était fille d’un père tellement gâté par la grande maladie du siècle que la mère la gagna, mourut en même temps que lui au bout d’un an de mariage. La fille elle-même était-elle en vie ». Ces mots de Michelet disent combien, du berceau au tombeau, la mort irradie la vie de Catherine de Médicis, moteur de sa propre histoire et de l’Histoire qu’elle traverse. La mort de Catherine de Médicis, c’est d’abord, en un sens génitif, le macabre comme propriété de Catherine de Médicis. La mort est son propre, quelque chose qui lui appartient, comme une fatalité dont elle ne peut se défaire. Des guerres d’Italie aux guerres de Religion, du décès de son mari à celui de ses enfants, la mort s’impose comme l’acteur central de sa biographie. Cet article analyse les objets, les mécanismes et les enjeux de cette centralité de la mort chez Catherine de Médicis.
- Published
- 2016
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8. Limoges, cathédrale Saint-Etienne. Les tombeaux monumentaux (1322-1349)
- Author
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Andrault-Schmitt, Claude, Centre d'Etudes Supérieures de Civilisation médiévale (CESCM), Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Université de Poitiers, Éliane Vergnolle, and Ernst-Maillet, Vanessa
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art d'Avignon ,Limoges ,[SHS.ARCHEO] Humanities and Social Sciences/Archaeology and Prehistory ,ISBN : 978-2-901837-61-9 ,[SHS.ARCHEO]Humanities and Social Sciences/Archaeology and Prehistory ,[SHS.HIST] Humanities and Social Sciences/History ,[SHS.ART] Humanities and Social Sciences/Art and art history ,art funéraire ,[SHS.ART]Humanities and Social Sciences/Art and art history ,art des cathédrales ,[SHS.HIST]Humanities and Social Sciences/History ,art du 14e siècle - Abstract
International audience; La cathédrale de Limoges conserve deux tombeaux dont la qualité apparait avec éclat depuis un nettoyage récent : ceux de Raynaud de La Porte et de Bernard Brun. Il s’agit de deux membres de la même famille. Il a donc fallu traiter les œuvres dans l’ordre chronologique, non sans en avoir analysé les avatars. Puis la caractérisation formelle et iconographique a imposé de mettre en exergue la première de ces œuvres, création précoce de grande inventivité. Enfin, une évocation du panorama limousin de l’époque permet de rappeler que l’art funéraire doit beaucoup à la richesse des cardinaux avignonnais et à leurs familles.
- Published
- 2014
9. Les sépultures dans le couvent des Cordeliers de Nantes
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MORVAN, Haude, Morvan, Haude, Nicolas Faucherre, Jean-Marie Guillouët, Ausonius-Institut de recherche sur l'Antiquité et le Moyen âge, Université Bordeaux Montaigne-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), LabEx Sciences archéologiques de Bordeaux (LASCARBX), and Université de Bordeaux (UB)-Université Bordeaux Montaigne
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Nantes, Art funéraire, Franciscains ,[SHS.ART] Humanities and Social Sciences/Art and art history ,Nantes ,Art funéraire ,[SHS.ART]Humanities and Social Sciences/Art and art history ,Franciscains ,[SHS.HIST]Humanities and Social Sciences/History ,[SHS]Humanities and Social Sciences - Abstract
International audience; L’article présente l’organisation spatiale et la typologie des tombes qui se trouvaient dans l’ancienne église des Cordeliers de Nantes, à partir des vestiges monumentaux, des descriptions (notamment de Dubuisson-Aubenay) et des dessins de la collection Gaignières. Le panorama met en valeur les modes d’implantation des Franciscains dans la société urbaine ; les premiers monuments funéraires témoignent du soutien des élites ducale et seigneuriale. La première tombe connue est celle du fils du duc, Robert de Bretagne. Par son iconographie, la plaque émaillée du jeune garçon mort en 1259, dans le chœur des religieux, est un manifeste des prétentions royales de Jean Ier. La famille de Rieux, bienfaitrice du couvent nantais, se réserve le droit d’inhumation dans le chœur. Plusieurs membres de la famille y sont enterrés à partir de la première décennie du XIVème siècle. Entre le XIVème et le XVIIème siècle, la multiplication des enfeus dans la nef et des chapelles aménagées dans l’église ou hors-œuvre témoigne du succès des Franciscains auprès des familles seigneuriales, commerçantes, et des corporations nantaises.
- Published
- 2014
10. Architecture dominicaine et promotion de nouveaux saints : autour de la tombe de Clément IV à Santa Maria in Gradi (Viterbe)
- Author
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Haude Morvan, Université, Bordeaux Montaigne, Ausonius-Institut de recherche sur l'Antiquité et le Moyen âge, Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Université Bordeaux Montaigne, LabEx Sciences archéologiques de Bordeaux (LASCARBX), and Université de Bordeaux (UB)-Université Bordeaux Montaigne
- Subjects
Archeology ,Viterbe ,Dominicains ,[SHS.ARCHEO] Humanities and Social Sciences/Archaeology and Prehistory ,Visual Arts and Performing Arts ,[SHS.ARCHEO]Humanities and Social Sciences/Archaeology and Prehistory ,05 social sciences ,0507 social and economic geography ,06 humanities and the arts ,Art funéraire ,050701 cultural studies ,[SHS]Humanities and Social Sciences ,060104 history ,Culte des saints ,[SHS.HIST] Humanities and Social Sciences/History ,11. Sustainability ,Architecture ,0601 history and archaeology ,[SHS] Humanities and Social Sciences ,[SHS.HIST]Humanities and Social Sciences/History - Abstract
Das Grabmal von Clemens IV. in Santa Maria in Gradi (Viterbo), die Dominikanerarchitektur und die Förderung der Verehrung neuer Heiliger. Der Beitrag zielt auf eine neue Sichtweise des Grabmals von Papst Clemens IV. (gest. 1268), das ursprünglich in der Dominikanerkirche von Viterbo aufgestellt war. Sein Standort an der Nordwand derMittelapsis, auf der linken Seite des Hochaltars ist von mehreren Quellen des 18. Jhds. bezeugt. Diese unmittelbare Nähe zum Hochaltar verwundert, da die Vorschriften der Predigermönche den Zutritt von Laien in die ecclesia fratrum streng verboten. Wunder und Devotionalien zeugen jedoch von der Gegenwart der Gläubigen am Papstgrab. In Wirklichkeit wurden 1547 Hochaltar und Chorgestühl versetzt : Brüderchor und Hochaltar nahmen nun die drei östlichen Joche des Hauptschiffes und die Vierung ein ; die Hauptapsis blieb leer. Diese eigenwillige Anordnung wurde von den Dominikanern sicherlich im letzten Viertel des 13. Jhds. konzipiert, um die Verehrung des im Geruch der Heiligkeit gestorbenen Papstes zu begünstigen., Dominican architecture and the promotion of new saints : the tomb of Clement IV at Santa Maria in Gradi (Viterbo). The article treats from a new perspective the tomb of pope Clement IV († 1268), originally in the Dominican church in Viterbo. Its emplacement against the north wall of the central apse, to the left of the main altar, is documented by several eighteenth-century sources. This immediate proximity to the main altar is surprising, because rules within the order strictly prohibited the presence of laity in the ecclesia fratrum. Access to the tomb by the faithful is, however, attested by miracles and signs of devotion. The position of the altar and stalls was modified in 1547, establishing the choir of the friars and the main altar in the last three bays of the nave and the transept crossing, leaving the main apse free. This inventive organization of space was certainly conceived by the Dominicans in the last quarter of the thirteenth century in order to encourage popular devotion for a pope who died in the odour of sanctity., L’article considère sous un nouvel angle la tombe du pape Clément IV († 1268), originellement dans l’église dominicaine de Viterbe. Son emplacement contre le mur nord de l’abside centrale, à gauche de l’autel majeur, est documenté par plusieurs sources du XVIIIe siècle. Cette proximité immédiate avec l’autel majeur est surprenante, puisque la réglementation des frères prêcheurs interdisait fermement la présence de laïcs dans l’ecclesia fratrum. Or, des miracles et des signes de dévotion témoignent d’un accès des fidèles au tombeau du pape. En réalité, la position de l’autel et des stalles fut modifiée en 1547 : le choeur des frères et l’autel majeur occupaient les trois dernières travées de la nef et la croisée du transept, laissant libre l’abside principale. Cette organisation originale fut certainement conçue par les dominicains dans le dernier quart du XIIIe siècle pour encourager la dévotion populaire autour du pape mort en odeur de sainteté., Morvan Haude. Architecture dominicaine et promotion de nouveaux saints : autour de la tombe de Clément IV à Santa Maria in Gradi (Viterbe). In: Bulletin Monumental, tome 171, n°2, année 2013. pp. 99-106.
- Published
- 2013
11. Il De Consuetudinibus sepelientium di Boncompagno da Signa : la tematica funeraria in un testo del Duecento tra esempio morale, interessi antropologici, archeologici e artistici
- Author
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Morvan, Haude, Ausonius-Institut de recherche sur l'Antiquité et le Moyen âge, Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Université Bordeaux Montaigne, LabEx Sciences archéologiques de Bordeaux (LASCARBX), Université de Bordeaux (UB)-Université Bordeaux Montaigne, and Université, Bordeaux Montaigne
- Subjects
ars dictaminis ,Boncompagno da Signa ,[SHS.ARCHEO] Humanities and Social Sciences/Archaeology and Prehistory ,[SHS.ARCHEO]Humanities and Social Sciences/Archaeology and Prehistory ,[SHS.HIST] Humanities and Social Sciences/History ,Art funéraire ,[SHS.HIST]Humanities and Social Sciences/History - Abstract
International audience; A rare medieval description of tombs was included in a treatise on ars dictaminis written during the first quarter of the 13th century by Boncompagno da Signa. Why did Boncompagno describe tombs in an epistolary treatise? The paragraph lies at the end of two chapters which depict the traditions of mourning and funerals in different countries and ages. They can be considered as linked with the precedent chapter on letters of condolence. Boncompagno explains in others treatises that it is essential for a dictator to have good understanding of the culture of the recipient of the letter. Those chapters also show the peculiar and impartial curiosity of Boncompagno for alien people, and his fervent interest in Antiquity. It is uncertain that the prototype described by Boncompagno could eventually precisely correspond to real funerary monuments. However we can find in the rare surviving or documented Roman tombs of the 11th and 12th centuries some elements of the Boncompagno’s description. Nevertheless the author rejects the idea expressed by some art historians that the fresco of a commendatio animae discovered in the low church of San Clemente could be part of a tomb. The author refuses as well to define this kind of scene, described by Boncompagno, as a particular judgment.
- Published
- 2012
12. Les inscriptions funéraires des monuments lyonnais
- Author
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Laubry, Nicolas, Monde romain, Archéologie et Philologie d'Orient et d'Occident (AOROC), École normale supérieure - Paris (ENS Paris), Université Paris sciences et lettres (PSL)-Université Paris sciences et lettres (PSL)-École pratique des hautes études (EPHE), Université Paris sciences et lettres (PSL)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-École normale supérieure - Paris (ENS Paris), Université Paris sciences et lettres (PSL)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), Centre de recherche en histoire européenne comparée (CRHEC), Université Paris-Est Créteil Val-de-Marne - Paris 12 (UPEC UP12), Christian Goudineau, Laubry, Nicolas, École pratique des hautes études (EPHE), Université Paris sciences et lettres (PSL)-Université Paris sciences et lettres (PSL)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Département des Sciences de l'Antiquité - ENS Paris (DSA ENS-PSL), École normale supérieure - Paris (ENS-PSL), Université Paris sciences et lettres (PSL)-Université Paris sciences et lettres (PSL)-École normale supérieure - Paris (ENS-PSL), Université Paris sciences et lettres (PSL)-École pratique des hautes études (EPHE), Université Paris sciences et lettres (PSL), and Paris Sciences et Lettres (PSL)-École normale supérieure - Paris (ENS Paris)-École pratique des hautes études (EPHE)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)-Paris Sciences et Lettres (PSL)-École normale supérieure - Paris (ENS Paris)-École pratique des hautes études (EPHE)-Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)
- Subjects
funerary practices ,funerary monuments ,[SHS.ARCHEO] Humanities and Social Sciences/Archaeology and Prehistory ,pratiques funéraires ,[SHS.ARCHEO]Humanities and Social Sciences/Archaeology and Prehistory ,art funéraire ,Latin epigraphy ,Gaule romaine ,monuments funéraires ,Epigraphie latine ,[SHS.HIST] Humanities and Social Sciences/History ,[SHS.CLASS] Humanities and Social Sciences/Classical studies ,Roman Gaul ,funerary art ,[SHS.HIST]Humanities and Social Sciences/History ,[SHS.CLASS]Humanities and Social Sciences/Classical studies ,Lugdunum - Abstract
International audience; Dans un ouvrage paru en marge de l’exposition « Post mortem ? Les rites funéraires à Lugdunum » (Musée gallo-romain de Lyon, 2009-2010), cet article propose une synthèse sur le support et le contenu des inscriptions funéraires d’époque impériale à Lyon. Il aborde ainsi les formes monumentales, le contexte et la relation du monument avec la sépulture, le formulaire des épitaphes et propose pour finir quelques considérations sur le statut social et la culture des commanditaires et destinataires.
- Published
- 2009
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