11 results on '"Richier Q"'
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2. Fractionated Stereotactic Radiation Therapy for Pituitary Adenomas: An alternative escalating protocol of hypofractionated stereotactic radiotherapy delivering 35 Gy in 5 fractions
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Sumodhee, S., Atallah, V., Kinj, R., Doyen, J., L’Homel, B., Gillon, P., Paquis, P., Almairac, F., Hieronimus, S., Schiappa, R., Sadoul, J.-L., Sumodhee, D., Pontikos, N., Richier, Q., Hannoun-Levi, J.-M., Scouarnec, C., Chevalier, N., and Bondiau, P.-Y.
- Published
- 2022
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3. COVID-19 : physiopathologie d’une maladie à plusieurs visages
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Bonny, V., Maillard, A., Mousseaux, C., Plaçais, L., and Richier, Q.
- Published
- 2020
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4. COVID-19 : caractéristiques cliniques, biologiques et radiologiques chez l’adulte, la femme enceinte et l’enfant. Une mise au point au cœur de la pandémie
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Plaçais, L. and Richier, Q.
- Published
- 2020
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5. Covid-19 : encore une place pour le plasma de convalescent ? Focus sur les patients immunodéprimés.
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Richier, Q., Hueso, T., Tiberghien, P., and Lacombe, K.
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COVID-19 pandemic , *IMMUNOCOMPROMISED patients - Published
- 2023
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6. COVID-19 : encore une place pour le tocilizumab ?
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Richier, Q., Plaçais, L., Lacombe, K., and Hermine, O.
- Published
- 2021
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7. A rare skin complication of COVID-19 pandemic.
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Richier, Q., Dalmas, J.-B., Gaüzère, L., and Raffray, L.
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RARE diseases , *MENTAL depression , *COVID-19 pandemic , *SCURVY , *VITAMIN C deficiency - Published
- 2023
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8. Tocilizumab au cours du COVID-19 : le plus tôt serait le mieux ? Une analyse exploratoire de cohorte.
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Jachiet, V., Richier, Q., Carrat, F., Abisror, N., Dhôte, R., Jerome, P., Marc, G., Maurier, F., Olivier, H., Michel, M., Godeau, B., Boris, B., Cloé, C., Cacoub, P., Mahévas, T., Chasset, F., Adedjouma, A., Fain, O., Lacombe, K., and Mekinian, A.
- Abstract
Avant que le rôle bénéfique de la dexaméthasone ne soit établi au cours de l'infection au COVID-19 dans une large étude randomisée anglaise (RECOVERY) en juillet 2020, plusieurs voies thérapeutiques alternatives ont été testées, notamment le tocilizumab (TCZ), un inhibiteur de la voie de signalisation du récepteur de l'interleukine-6. L'hétérogénéité des résultats concernant l'efficacité du TCZ pourrait être expliquée par des différences dans le timing d'injection : défavorable si trop précoce ou inefficace si trop tardive. Le but de ce travail était d'étudier l'impact du délai d'injection de TCZ–défini depuis le début des symptômes (SF0) jusqu'à la perfusion de TCZ (J0)–sur la mortalité au cours de l'infection au COVID-19. Étude multicentrique rétrospective ayant inclus des patients COVID-19 avec atteinte modérée à sévère–score OMS 5 à 6–avec oxygénodépendance ≥ 4 L/min et CRP > 50 mg/L, traités de manière compassionnelle par TCZ 8 mg/kg IV en plus des soins usuels, lors du premier pic épidémique en France, avant l'ouverture de l'essai randomisé CORIMUNO-TOCI. Les critères d'exclusion étaient une contre-indication au TCZ, une hospitalisation en soins intensifs avant ou dans les 24 heures après TCZ ou une limitation thérapeutique. Les facteurs de risque de mortalité au cours de l'infection au COVID-19 modérée ou sévère après TCZ ont été analysés selon des modèles multivariés de régression logistique et de Cox. Les facteurs de risque potentiels étaient les variables avec p < 0,30 en analyse univariée parmi âge, sexe, obésité, comorbidités, période SF0–J0, débit O2 à l'admission, sévérité des lésions scanographiques, CRP à J0 et traitement par corticoïdes. L'analyse de survie a été réalisée en utilisant le jour d'hospitalisation comme début de suivi, et des courbes de survie ajustées conditionnelles ont été construites à l'aide d'un modèle de Cox. Entre le 17 mars et le 15 avril 2020, 97 patients (âge moyen 68 ans et 80 % hommes) ont reçu du TCZ pour une pneumonie modérée à sévère à COVID-19 dans 8 hôpitaux français. 0, 1 ou > 1 comorbité était relevée chez 23 %, 35 % et 42 % des patients, respectivement. À J0 (administration du TCZ), le débit moyen d'O2 était de 9,6 ± 4 L/min, la fréquence respiratoire de 30 ± 8/min et le taux moyen de CRP de 158 ± 78 mg/L. Le scanner thoracique retrouvait une atteinte parenchymateuse > 50 % chez 39 (45 %) patients. Les glucocorticoïdes étaient utilisés chez 34 (35 %) patients. À J10, 35 (44 %) patients étaient sevrés d'O2, 26 (27 %) étaient sortis d'hospitalisation, 54 (55 %) étaient toujours hospitalisés dont 7 en réanimation, et 17 (18 %) étaient décédés. Le délai moyen de sevrage en O2 était de 15 jours ± 12 et la durée moyenne d'hospitalisation de 16 jours ± 13. À 1 mois du traitement par TCZ, la mortalité globale était de 25 %. La survie globale des patients ayant reçu le TCZ dans les 7 premiers jours après SF0 n'était pas différente de celle des patients ayant reçu le TCZ 8 à 10 jours et > 11 jours après SF0. De même, les délais de survie n'étaient pas associés à la période SF0–J0. Un débit d'O2 à J0 > 12 L/min versus 4-8L/min (OR 9,73, IC à 95 % [2,10-45,12] ; HR 5,20, IC à 95 % [1,62–16,67]) était significativement associée au décès chez les patients traités par TCZ, alors que le taux de CRP à J0 ne l'était pas. Dans cette étude de vraie vie rapportant l'utilisation compassionnelle du TCZ chez des patients atteints de formes modérées à sévères de COVID-19 hospitalisés hors soins intensifs, le délai de perfusion du TCZ n'avait pas d'impact sur la survie des patients contrairement au débit d'O2 à l'admission. En outre, l'existence d'un odds ratio de près de 10 pour des débits d'O2 différents chez des patients tous classés OMS 5 suggère de créer des sous-groupes de gravité croissante (4-8 L/min, 9-11 L/min, 12-15 L/min) afin d'homogénéiser les populations étudiées. Au moment de soumettre cet abstract, les derniers résultats de l'étude Recovery diffusés en prépublication annoncent une réduction de mortalité de 14 % sous TCZ chez les patients hospitalisés pour Covid-19. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
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- 2021
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9. Efficacité du Tocilizumab dans la COVID-19 modérée à sévère : une cohorte française exposé-non exposé.
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Richier, Q., Jachiet, V., Carrat, F., Abisror, N., Jerome, P., Marc, G., Placais, L., Fayand, A., Adedjouma, A., Gobert, D., Riviere, S., Chauchard, M., Gatfosse, M., Chopin, D., Mahévas, T., Morgand, M., Meynard, J.L., Fain, O., Lacombe, K., and Mekinian, A.
- Abstract
L'infection par le SARS-CoV-2 peut mener à un syndrome de détresse respiratoire aigu dont la mortalité était estimée à 50 % au début de l'épidémie. Ces formes sévères étant significativement associées à un état d'hyperinflammation, et notamment à un niveau élevé d'interleukine-6, il a été proposé que cibler la voie de signalisation de cette interleukine majoritairement pro-inflammatoire, puisse réduire la mortalité de la COVID-19. Pour autant, un an après le début de la pandémie, la place de ces inhibiteurs, dont le Tocilizumab, un anticorps monoclonal dirigé contre le récepteur de l'interleuline-6, reste à déterminer. Cohorte exposé-non exposé en vie réelle, monocentrique et menée à l'hôpital Saint-Antoine, Paris, France, avant la mise en place de l'essai randomisé CORIMUNO-TOCI. Etaient inclus les patients de plus de 18 ans qui présentaient une forme modérée à sévère de COVID-19, selon la définition de l'OMS, et qui nécessitaient une oxygéno-requerance ≥ 4 L/min, associée à un syndrome inflammatoire biologique (CRP > 50 mg/L). Etaient exclus les patients qui portaient des contre-indications au Tocilizumab (antécédent de sigmoïdite ou de diverticulite, une cytolyse hépatique supérieure à 5 N, une allergie connue au Tocilizumab, ou une infection bactérienne active.) Par ailleurs, les patients qui étaient transférés en soins intensifs dans les premières 24 h après l'injection de Tocilizumab étaient exclus de notre étude, puisque ils étaient inclus dans une étude qui évaluait le Tocilizumab en réanimation. Les patients du groupe Tocilizumab recevaient une injection de 8 mg/kg (maximum 800 mg) de Tocilizumab associée aux soins courants et les patients du groupe soins courants ne recevaient que les soins courants. Pour assurer la comparabilité des deux groupes nous avons utilisé le score de propension. Notre critère de jugement principal était le délai de sevrage en oxygène. Les critères de jugement secondaire étaient : le transfert en soins intensifs, le besoin de ventilation mécanique, le décès toutes causes confondues, le décès au dixie jour, la durée d'hospitalisation ainsi que les scores composites intubation ou décès et transfert en soins intensifs ou décès. Cinquante patients ont été inclus dans le groupe Tocilizumab et 52 patients dans le groupe soins courants. L'âge moyen était de 68,9 ± 2 ans et 71 % des patients étaient des hommes. Les patients du groupe Tocilizumab étaient plus fréquemment diabétique (34 % vs 13 % ; p = 0,02), et avaient un niveau d'oxygène moyen plus élevé (9,1 L/min vs 6,8 L/min ; p = 0,0002). Les patients du groupe Tocilizumab avaient reçu plus de corticoïdes que les patients du groupe soins courants (53 % vs 6 % ; p < 0,0001). Le délai de sevrage en oxygène n'était pas diffèrent dans les deux groupes, 14,1 [IQR 7-19] jours dans le groupe Tocilizumab versus 12,2 [IQR 7,5-14] jours dans le groupe soins courants, hazard ratio ajusté à 1,53 (IC95 % (0,96-2,45) ; p = 0,073). Il n'y avait pas non plus de différence concernant les critères de jugement secondaires. Dans cet essai, nous rapportons une absence de bénéfice du Tocilizumab dans les formes modérées à sévères de la COVID-19. L'injection de Tocilizumab à la posologie de 8 mg/kg n'améliorait pas le délai de sevrage en oxygène, et ne réduisait pas la nécessité d'intubation, de transfert en soins intensifs ou la mortalité. Cette absence de différence peut être expliquée, en partie, par le fait que les patients du groupe Tocilizumab étaient plus graves (oxygéno-requerance plus élevée) et comorbides (plus fréquemment diabétiques). En revanche, ces patients avaient reçu plus de corticoides qui est aujourd'hui un traitement recommandé dans la prise en charge des patients sous oxygène, atteints de la COVID-19. Notre étude manque aussi de puissance, une récente méta-analyse estimait à 2300 patients (dans chaque bras) le nombre de sujet nécessaire pour mettre en évidence une différence significative si celle-ci existait. Un essai randomisé récent qui incluait un nombre de sujet suffisant, en cours de publication, a montré des résultats encourageants, avec une diminution de la mortalité à 28 jours chez les patients traités par Tocilizumab (majoritairement en associations au corticoïdes). Toutefois la question du meilleur moment de l'injection de Tocilizumab chez les patients atteints de COVID-19 reste entière. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
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- 2021
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10. Prévalence et incidence élevées de la sclérodermie systémique sur l'île de la Réunion : résultats de l'étude SCLERUN.
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Dubernet, A., Roussin, C., Sultan-Bichat, N., Foucher, A., Saint-Pastou, C., Poubeau, P., Klisnick, J., Bertolotti, A., Gauzere, L., Renou, F., Gerber, A., Bagny, K., Osdoit, S., Desroche, T., Allou, N., Richier, Q., Lecoules, S., Fayeulle, S., Vagner, D., and Kassir, M.
- Abstract
La prévalence de la sclérodermie systémique (SSc) augmente depuis plusieurs décennies et connaît des disparités géographiques. Des facteurs tant génétiques qu'environnementaux ont été suspectés de jouer un rôle dans ces variations, et l'appartenance ethnique a un impact clairement établi dans la présentation et la fréquence de la maladie. L'objectif de cette étude était de déterminer la prévalence et l'incidence de la sclérodermie sur l'île. Une étude rétrospective des cas de sclérodermie systémique suivis en ville ou à l'hôpital à la Réunion entre 2005 et 2021 et définis selon les critères de classification ACR/EULAR 2013 a été conduite. Des informations sur l'ethnie et le phototype des cas ont été déterminés de façon prospective par soumission de questionnaires aux patients suivis entre avril 2021 et avril 2022. La prévalence de la maladie en 2021 et l'incidence annuelle moyenne entre 2005 et 2021 ont été calculées et standardisées sur les données de population-type définie par l'OMS. 207 patients ont été inclus dans la cohorte rétrospective, incluant 175 SSc (108 SSc cutanées limitées, 58 SSc cutanées diffuses et 9 SSc sine scleroderma) et 32 syndromes de Sharp. La prévalence et l'incidence annuelle moyenne de la SSc étaient de 30,9 cas (95 %IC : 26,1–35,8) pour 100 000 habitants en 2021 et de 2,13 cas annuels (95 %IC : 1,81–2,45) pour 100 000 habitants respectivement. La survie à 5 et 10 ans était de 93 % et de 82 % respectivement. 102 phototypes et 86 ethnies étaient recueillis. Les phototypes sombres (V et VI) étaient plus fréquemment associés à la survenue d'une hypertension pulmonaire, tandis que les patients à phototypes clairs (I et II) se présentaient plus souvent avec une atteinte digestive sévère et des anticorps anti-centromère. Cette étude révèle une prévalence et une incidence élevées de la sclérodermie sur l'île de la Réunion, ce qui corrobore la surprévalence connue chez les patients d'origine africaine. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2024
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11. Le théorème de Pythagore face au lit.
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Monseau, G., Savoye, B., Maigné, G., de Boysson, H., Baldolli, A., Verdon, R., Aouba, A., Richier, Q., Roeser, A., Salaun, K., and Nguekap, O.
- Published
- 2019
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