11 results on '"Desjeux G"'
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2. Apport des bases médico-administratives en épidémiologie et santé publique des maladies infectieuses
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Fonteneau, L., Le Meur, N., Cohen-Akenine, A., Pessel, C., Brouard, C., Delon, F., Desjeux, G., Durand, J., Kirchgesner, J., Lapidus, N., Lemaitre, M., Tala, S., Thiébaut, A., Watier, L., Rudant, J., and Guillon-Grammatico, L.
- Published
- 2017
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3. Screening for Multidrug‐Resistant Bacteria as a Predictive Test for Subsequent Onset of Nosocomial Infection
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Galoisy‐Guibal, L., Soubirou, J. L., Desjeux, G., Dusseau, J. Y., Eve, O., Escarment, J., and Ecochard, R.
- Published
- 2006
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4. Sclérose latérale amyotrophique (SLA) chez les militaires français : enquête rétrospective
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Drouet, A., Desjeux, G., Balaire, C., and Thevenin-Garron, V.
- Published
- 2010
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5. Infections sexuellement transmissibles et contaminations sexuelles par le virus de l’immunodéficience humaine dans les armées françaises en 2006
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Ollivier, L., Pommier de Santi, V., Morand, J.-J., Romand, O., Desjeux, G., Mrabet, A., Verret, C., Mayet, A., Todesco, A., Migliani, R., and Boutin, J.-P.
- Published
- 2009
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6. La consommation d’antibiotiques en 2007 chez les militaires d’active
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Desjeux, G., Balaire, C., and Thevenin-Garron, V.
- Published
- 2009
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7. TARGETED THERAPIES FOR SEVERE IMMUNERELATED ADVERSE EVENTS OF IMMUNE CHECKPOINT INHIBITORS ARE NOT ASSOCIATED WITH A WORSE PROGNOSIS.
- Author
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Sedmak, N., Sebbag, E., BA Loc, P. Tran, Fabacher, T., Bahougne, T., Arnold, C., Desjeux, G., Servy, H., Meyer, N., Sauleau, E., Seror, R., and Gottenberg, J. E.
- Published
- 2023
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8. La mortalité des complications auto-immunes des inhibiteurs de point de contrôle n'est pas augmentée par les thérapies ciblées.
- Author
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Sedmak, N., Sebbag, E., Tran Ba Loc, P., Fabacher, T., Bahougne, T., Arnold, C., Desjeux, G., Servy, H., Meyer, N., Sauleau, E., Seror, R., and Gottenberg, J.E.
- Abstract
La réponse immunitaire aux inhibiteurs de point de contrôle immunitaires (ICI) peut dépasser la réponse antitumorale et mène à des complications auto-immunes (immune-related Adverse Events , irAEs), qui peuvent être graves. L'objectif est de comparer la survie globale des patients avec un irAE hospitalisé selon le traitement reçu : DMARD biologiques ou synthétiques ciblés (b/tsDMARD), DMARD conventionnels (csDMARD) ou corticoïdes. L'ensemble des patients adultes du Système National des Données de Santé ayant initié un ICI entre 2014 et 2019, pour tout type de cancer, ont été analysés rétrospectivement. La période de suivi était de 2013 à 2020, afin d'avoir un an de recul et au moins un an de suivi. La survenue d'un irAE, de tout type, pendant le traitement par ICI ou dans les 12 mois suivant la dernière injection a été définie par la combinaison de (1) une hospitalisation pour une raison évoquant un irAE, et (2) l'initiation de corticoïdes, d'un csDMARD ou d'un b/tsDMARD. Les patients ont contribué à cette analyse de l'irAE jusqu'à la première occurrence entre la fin de suivi ou le décès. Le traitement de l'irAE était considéré comme une variable dépendante du temps à trois classes: corticoïdes seuls, csDMARD and b/tsDMARD. En raison des changements possibles de traitement en cours de suivi, les poids d'équilibrage ont été recalculés tous les 30 jours à l'aide d'un score de propension ajusté. La survie globale a été comparée entre les trois groupes à l'aide d'un modèle de Cox pondéré. Au total, 71 723 patients (hommes : 66,0 %, âge médian : 66 ans) ayant initié un ICI ont été analysés. Un irAE hospitalisé s'est produit chez 2575 patients (3,6 %). L'irAE est survenu après un délai médian de 232 jours après l'initiation de l'ICI, Le suivi médian après l'irAE était de 268 jours. Après s'être restreint aux patients avec irAE, la population pondérée à T = 0 était composée de 221 patients traités par b/tsDMARD, 455 patients traités par csDMARD et 1825 patients traités par corticoïdes seuls. En fin de suivi, la population non pondérée était composée de 330 patients traités par b/tsDMARD, 582 patients par csDMARD et 1862 patients par corticoïdes seuls. La mortalité globale pour un irAE traité par b/tsDMARD n'était pas significativement différente des DMARD conventionnels (HR = 1,29, IC = [0,92, 1,81]). La mortalité des patients traités par corticoïdes seuls était significativement plus élevée que les DMARD conventionnels (HR = 1,42, IC = [1,11, 1,82]) mais pas significativement différente des b/tsDMARD (HR = 1,10, IC = [0,83, 1,47]) (Fig. 1). L'étude possède plusieurs limites: la nature rétrospective et observationnelle, l'agrégation de plusieurs types de cancers, d'ICI et d'irAEs, la restriction aux irAEs hospitalisés. Différentes approches statistiques ont été comparées afin d'éliminer le biais d'immortalité lié au fait que les thérapies ciblées ne sont généralement pas administrées immédiatement après l'irAE, contrairement aux autres traitements tels que les corticoïdes. Dans cette étude avec un nombre important de patients hospitalisés pour irAE et traités par b/tsDMARD, les thérapies ciblées n'étaient pas associées à un pronostic aggravé. Le pronostic selon la catégorie d'irAE est actuellement en cours d'analyse et sera présenté au congrès. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2023
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9. Analyse intermédiaire de l'étude PERFUSE : une étude de cohorte française, prospective/rétrospective, non-interventionnelle, de patients naïfs d'infliximab ou en transition, et recevant SB2, un biosimilaire de l'infliximab
- Author
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Fautrel, B., Bouhnik, Y., Desjeux, G., Brigui, A., Freudensprung, U., and Addison, J.
- Abstract
SB2, autorisé dans l'UE en tant que biosimilaire de l'infliximab (IFX), a démontré sa bioéquivalence, ainsi qu'une efficacité, une innocuité et une immunogénicité similaires à l'IFX de référence. Il existe peu de publications démontrant dans la vie réelle la persistance, l'efficacité ou l'innocuité de SB2 chez des patients naïfs d'IFX ou chez ceux en transition depuis la molécule originale ou un autre biosimilaire de l'IFX. PERFUSE est une étude non-interventionnelle en cours comprenant 1374 patients (500 diagnostiqués en rhumatologie, 874 diagnostiqués en gastro-entérologie) recevant SB2 comme traitement de routine ; les objectifs de cette étude sont de décrire les caractéristiques cliniques, l'efficacité, la persistance du traitement et la sécurité chez des patients démarrant SB2 et suivis pendant 24 mois dans 21 sites spécialisés répartis dans toute la France. Les patients adultes éligibles dans les cohortes rhumatologie de cette étude doivent présenter un diagnostic de polyarthrite rhumatoïde (PR), de rhumatisme psoriasique (RPSO) ou de spondyloarthrite ankylosante (SA) ; ils doivent également avoir démarré SB2 comme traitement de routine après septembre 2017, soit comme premier IFX, soit comme transition à partir du produit d'origine d'IFX ou d'un autre biosimilaire de l'IFX. La saisie des données est effectuée à partir des dossiers médicaux des patients. Les paramètres évalués incluent la persistance sous SB2, les caractéristiques cliniques de base (lors de l'initiation de SB2), les scores de la maladie et les événements indésirables graves (EIG). Cette analyse intermédiaire après 12 mois (M12) a inclus 500 patients (99 avec PR, 62 avec RPSO et 339 avec SA). Sous SB2, la persistance M12 pour les patients naïfs d'IFX et en transition était de 73,8 % (IC95 % : 61,5–84,0), 76,2 % (IC95 % : 60,5–87,9) et 71,5 % (IC95 % : 65,6–76,9) pour les patients atteints respectivement de PR, RPSO et SA. Chez les patients préalablement traités par IFX, aucune différence cliniquement significative du score de l'activité de la maladie (DAS) entre le niveau de base et M12 n'a été observée (Tableau 1). La taille restreinte de l'échantillon excluait toute interprétation du score de la maladie pour la cohorte de patients naïfs d'IFX (données non-incluses dans le Tableau 1). Les sept EIG déclarés n'étaient pas associés au traitement SB2 (cohorte PR : carcinome de la prostate et mammaire ; cohorte SA : intoxication alcoolique, néphrostomie, épistaxis, lésion cutanée et fracture de la malléole). Cette analyse intermédiaire indique que, pour les patients présentant une PR, un RPSO ou une SA, la transition entre la molécule d'origine ou un biosimilaire d'IFX vers le SB2 peut s'effectuer avec succès, sans perte de contrôle de la maladie et sans augmentation du nombre d'événements indésirables. Douze mois après son initiation, la majorité des patients ayant effectué cette transition ont continué le traitement SB2. L'étude PERFUSE fournira des informations continues et pertinentes sur les résultats obtenus dans ces populations, ce qui contribuera à éclairer les décisions de traitement fondées sur des données probantes. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2020
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10. Épidémiologie et mortalité de la pneumopathie interstitielle diffuse associée à la polyarthrite rhumatoïde : données nationales du SNDS.
- Author
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Juge, P.A., Wemeau-Stervinou, L., Ottaviani, S., Desjeux, G., Zhuo, J., Bregman, B., Vannier-Moreau, V., Flipo, R.M., Crestani, B., and Dieudé, P.
- Abstract
La pneumopathie interstitielle diffuse (PID) est une manifestation extra-articulaire de la polyarthrite rhumatoïde (PR) associée à une forte morbi-mortalité. Sa fréquence varie entre 10 et 60 % des patients atteints de PR selon les études en fonction de la définition donnée à la PID et des méthodes de détection utilisées. Le Système national des données de santé (SNDS) est une base de données nationale regroupant les données d'assurance maladie et de remboursement médicaux de près de 99,9 % de la population française. Nos objectifs étaient : (1) d'utiliser le SNDS afin de déterminer la prévalence et l'incidence de la PR-PID en France ; (2) de comparer la mortalité entre les patients atteints de PR-PID et les patients atteints de PR sans PID et ; (3) comparer les modalités thérapeutiques entre ces deux groupes de patients. L'ensemble des données des adultes ont été analysées au sein du SNDS entre 2013 et 2018. La PR et la PID étaient identifiées à l'aide des codes de la classification internationale des maladies–10e version (M05, M06.0, M06.8 et M06.9 pour la PR et J84 pour la PID). Les patients devaient avoir reçu un traitement de fond de la PR à 2 dates différentes. Les patients atteints de PID devaient avoir effectué au moins un scanner thoracique dans l'année du diagnostic de PID. La prévalence, l'incidence et le taux de mortalité ont été estimés. Le taux de mortalité des patients atteints de PR-PID a été comparé à celui des patients atteints de PR sans PID après appariement sur l'âge, le sexe, la durée d'évolution de la PR et les facteurs de risques cardiovasculaires. Parmi les 173 132 patients atteints de PR identifiés par le SNDS, 4330 répondaient aux critères de la PID (2,5 %). La fréquence du sexe masculin était plus élevée dans la PR-PID (39,8 %) que dans la PR sans PID (27,0 %). La prévalence était estimée à 6,52 pour 100 000 habitants et l'incidence annuelle à 1,04 pour 100 000 habitants. La prévalence était plus élevée selon l'âge (14,8 pour 100 000 habitants chez les 75 ans ou plus vs 1,66 pour 100 000 habitants chez les moins de 65 ans). Le taux de mortalité global était de 1,71 pour 100 000 habitants. Il était plus important pour les patients chez qui la PID précédait la PR. Après appariement, la PR-PID était associée à une surmortalité comparée à la PR sans PID (Hazard Ratio = 3,4 IC95 % [3,1–3,9]). Cette surmortalité observée était d'autant plus importante que les patients étaient jeunes (HR = 5,6, IC95 % [4,8–6,6] pour les moins de 65 ans vs 1,6, IC95 % [1,5–1,8] chez les 75 ans et plus). Après analyses des modalités thérapeutiques de la PR, les patients atteints de PR-PID étaient plus souvent sans traitements de fond, recevaient moins souvent du méthotrexate et des anti-TNF et étaient plus souvent traités par des autres biothérapies et/ou des corticoïdes. Dans cette grande étude épidémiologique française, nous avons pu estimer la prévalence et l'incidence de la PR-PID. La PR-PID est associée à une surmortalité par rapport à la PR sans PID notamment chez les patients âgés de moins de 65 ans. Alors qu'aucune recommandation spécifique n'existe pour la PR-PID, les patients atteints de PR sont traités différemment en cas de PID associée. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2021
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11. Premiers résultats de l'étude PRAISE (Patient-Reported AutoImmunity SEcondary to cancer immunotherapy) : étude de cohorte prospective multicentrique pour le suivi des manifestations auto-immunes survenant sous immunothérapie anticancéreuse
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Sebbag, E., Barthelemy, P., Sedmak, N., Hamamouche, N., Servy, H., Desjeux, G., Cloarec, N., Najem, A., Monnet, I., Porneuf, M., Meunier, J., Darut-Jouve, A., San, T., Chauvenet, L., Falkowski, S., Rizzo, C., Cannelas, A., Cadranel, J., Debieuvre, D., and Weiss, L.
- Abstract
Dans l'immunothérapie contre le cancer, l'activation des lymphocytes T peut favoriser l'émergence de manifestations auto-immunes secondaires, les OASI (Opportunistic Autoimmunity Secondary to cancer Immunotherapy) [1]. Leur épidémiologie est mal connue vie réelle en raison du « reporting » inadapté des essais cliniques, du faible nombre d'études observationnelles sur le sujet, et du cloisonnement du système de santé. De plus, les analyses disponibles dans la littérature s'intéressent principalement aux OASI les plus sévères, ayant entraîné une hospitalisation, ou à des OASI spécifiques (myocardite, atteinte rhumatologique par exemple). L'objectif principal de cette étude est de déterminer à l'aide d'une cohorte prospective et multicentrique, l'incidence, la sévérité et les conséquences des OASI de tous grades, observées par les patients qui initient une immunothérapie du cancer. Il s'agit d'une étude de e-cohorte française, en vie réelle, longitudinale, observationnelle, prospective et multicentrique. 900 patients traités par ipilimumab et/ou nivolumab seront inclus. Une collecte de données est faite auprès de l'oncologue et du patient à l'inclusion puis les patients rapportent directement les signes évocateurs d'OASI à l'aide de questionnaires numériques mensuels. En cas de suspicion d'OASI, ces évènements sont validés auprès des médecins en charge des patients et, à partir de 2022, par une analyse appariée du Système National De Santé (SNDS). Au 29/07/21, 321 patients ont été inclus. Deux cent trente hommes (71,7 %) et 91 femmes (28,3 %), avec un âge moyen de 66 ans ont un suivi médian actuel de 210 jours. 264 patients (82,2 %) sont traités par Nivolumab seul, 4 (1,2 %) par Ipilimumab seul et 53 (16,5 %) par une combinaison Nivolumab + Ipilimumab. 99 (31,8 %) des patients sont traités pour un cancer pulmonaire non à petites cellules, 74 (23,8 %) pour un carcinome rénal à cellules claires, 72 (23,2 %) sont suivis pour un mélanome, 36 (11,6 %) pour un carcinome épidermoïde ORL et 30 (9,7 %) pour un autre cancer. 304 patients (93 %) ont répondu à au moins un questionnaire. 57 patients (17 8 %) sont décédés depuis le début du suivi. À la date de l'analyse, 37 patients (11 5 %) ont développé 42 OASI. Le délai moyen entre le début de l'immunothérapie et l'OASI est de 124,5 jours (± 79) soit environ 4 mois et demi. Les OASI sont les suivants : colite (7 patients), dysthyroïdie (6 patients), hépatite (4 patients), PPR (2 patients), rhumatisme psoriasique (1 patient), lupus systémique (1 patient), atteinte rénale (2 patients), pneumopathie immunologique (2 patients), hypophysite (2 patients), insuffisance surrénalienne (2 patients), atteinte rénale (2 patients), myocardite (1 patient), et autres manifestations auto-immunes (10 patients). L'immunothérapie a été arrêtée chez 17 patients à cause de l'OASI. 25 patients ont été traités par corticoïdes, 1 patient par méthotrexate (rhumatisme psoriasique), 3 patients par infliximab (colite) et 1 patient par abatacept (myocardite). Un patient est décédé suite à un OASI (colite). Les résultats préliminaires de cette étude prospective, utilisant une méthodologie originale centrée sur le patient, confirment l'incidence attendue d'évènement auto-immuns secondaires à l'immunothérapie. La poursuite des inclusions et l'appariement au SNDS permettront de compléter ces premières analyses. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2021
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