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Objective:To determine the efficacy of intratympanic methylprednisolone injections for treating sudden sensorineural hearing loss.Method:A retrospective chart review was performed to identify patients suffering from sudden sensorineural hearing loss with no recovery after oral steroids. Patients were given up to three intratympanic methylprednisolone injections at one-week intervals. They were classified according to their functional hearing class, remission was monitored and potential factors affecting prognosis were analysed.Results:Intratympanic injections provide effective salvage therapy for sudden sensorineural hearing loss (p = 0.039). Changes in pure tone average and speech discrimination score were analysed following intratympanic methylprednisolone injections. The pure tone average reached a plateau after the second injection; however, the speech discrimination score improved until after the third injection. Hearing improvement after intratympanic injections mainly occurred at low frequencies. The interval between symptoms appearing and intratympanic injections starting was not significantly associated with remission (p = 0.680).Conclusion:A delay between symptom onset and the first intratympanic methylprednisolone injection does not seem to affect prognosis. [ABSTRACT FROM PUBLISHER]

Castleman's disease (CD) is an uncommon, mainly benign, lymphoproliferative disorder of unknown etiology, mostly involving the mediastinum. Parenchymal lung involvement of the disease is exceedingly rare. We describe a case of CD in a 23-year-old woman with a 4-year history of recurring dyspnea and nonproductive cough, whose chest X-ray showed an abnormal shadow of the right hilum. Chest computed tomography confirmed the presence of a tissue-density mass of the right lower lobe, demonstrating poor contrast enhancement, associated with multiple laterotracheal and mediastinal lymphadenopathies. The patient underwent curative surgery, revealing a right hilar compressive mass, with an intrafissural development between the superior and middle lobes. Pneumonectomy was performed due to profuse bleeding. This case of CD is particular because of its unusual intrapulmonary location and its intrafissural development. Poor contrast enhancement is atypical in CD.

Introduction Le colon est parfois le siège de pathologies ou de malformations rélevant d’une intervention chirurgicale. Cette intervention peut être effectuée par voie vidéo-assistée. Matériel et méthodes Il s’agit d’une étude rétrospective allant de janvier 2003 à décembre 2013 portant sur les patients traités par voie vidéo-assistée pour affection chirurgicale du colon. Résultats Il s’agit de 23 patients répartis en 18 cas porteurs de Maladie de Hirschsprung, un cas de Rectocolite Hémorragique et 4 cas de Malformations ano-rectales hautes. La voie vidéo-assistée a été indiquée dans la Maladie de Hirschsprung en deuxième temps dans 10 cas. Les suites opératoires étaient simples avec un suivi post opératoires sans complications. Les patients porteurs de malformations ano-rectales hautes sont au nombre de 4. L’abaissement colique par voie vidéo assistée a été effectué après une dérivation colique initiale. Cette technique permet une bonne visualisation du plancher musculaire pelvien et de préserver la sangle puborectale et le sphincter externe. L’évolution est bonne avec un recul de 5 ans. Conclusion La voie vidéo-assistée a des multiples avantages par rapport à la chirurgie traditionnelle avec moins de délabrement pariétale, une courte durée de séjour et moins de complications. [ABSTRACT FROM AUTHOR]

Introduction La sténose œsophagienne au cours de l’épidermolyse bulleuse est une complication rare, mais redoutable, responsable de difficultés alimentaires et de retard de croissance. Sa prise en charge est difficile et astreignante. But de l’étude étudier les modalités de la prise en charge de la sténose œsophagienne des épidermolyses bulleuses. Matériel et méthodes Il s’agit d’une étude rétrospective des 2 observations pédiatriques de sténose œsophagienne au cours de l’épidermolyse bulleuse. Résultats Chez les 2 enfants, l’apparition de la dysphagie a été précoce, avant l’âge de 10 ans. Des séances de dilatation pneumatique (respectivement 2 et 3 séances) ont été réalisées à des intervalles de 2 mois et 1 an, permettant une diminution de la dysphagie et une amélioration de l’état nutritionnel. Cependant, cette amélioration a été transitoire (un malade ayant présente' une récidive symptomatique de la sténose après un recul de 3 ans). Conclusion Les sténoses œsophagiennes au cours des épidermolyses bulleuses dystrophiques sont graves et de prise en charge difficile. Les dilatations pneumatiques donnent des résultats satisfaisants et peuvent être répétées. [ABSTRACT FROM AUTHOR]

Introduction La pancréatite est caractérisée par l’autodigestion de la glande pancréatique par ses propres enzymes. C’est une pathologie grave et rare chez l’enfant. Matériels et méthodes Nous rapportons dans ce travail sept cas de pancréatite aigue chez l’enfant entre 2004 et 2013. Résultats Une prédominance masculine a été notée : 3 filles et 4 garçons. Le tableau clinique est dominé par les douleurs abdominales constantes et souvent atypiques. L’échographie et le scanner ont permettent à côté de la clinique et la biologie d’assoir le diagnostic et préciser le bilan lésionnel. Le traitement de la pancréatite aigue est en général symptomatique. Elle peut réclamer un traitement chirurgical. Dans notre série le traitement était symptomatique dans quatre cas, chirurgical dans un cas et deux patients ont eu un drainage radiologique d’un faux kyste du pancréas. L’évolution était favorable chez tous nos patients. Conclusion La pancréatite est une pathologie rare dans l’enfance. Elle est caractérisée par son polymorphisme clinique. Le diagnostic précoce et le traitement approprié peuvent prévenir les complications immédiates et tardives liées à la maladie. [ABSTRACT FROM AUTHOR]

Buts Evaluer les résultats des dilatations pneumatiques dans le traitement des sténoses caustiques et préciser les facteurs prédictifs d’échec Méthodes Etude prospective de 46 sténoses caustiques chez l’enfant colligés dans notre service entre 1997 et 2007 Résultats L’âgé moyen était de 4,3ans. La soude était ingérée dans 34cas. Une œsophagite grave été retrouvée chez 29 patients,32 ont eu une corticothérapie à forte dose. Toutes les œsophagites, quelque soit le stade, ont évolué vers la sténose. Celle-ci était symptomatique dans 39cas et de découverte systématique dans 7cas. Tous nos patients ont eu des dilatations pneumatiques de première intention avec un total de 395 séances, une moyenne de 8,58 séances par malade. Le reflux gastro-oesophagien (RGO) associé a été retrouvé dans 4cas. Le taux de succès était de 67,4 %. Les résultats moyens et les échecs ont représenté respectivement 26,1% et 6,5 %. Une perforation était survenue dans 7,1% Les facteurs d’échec sont l’étendue de la sténose et le RGO associé. Conclusion La dilatation pneumatique est la méthode thérapeutique de choix à entreprendre de première intention pour le traitement des sténoses caustiques de l’œsophage chez l’enfant en raison de son innocuité et de sa grande efficacité [ABSTRACT FROM AUTHOR]

Objectif discuter certains problèmes diagnostique et thérapeutique des malformations adénomatoides kystiques des poumons (MAKP) et prévenir une exérèse pulmonaire inutile. Le diagnostic différentiel se pose avec d’autres malformations broncho-pulmoaires ainsi que certaines affections aqcuises. Patients et Méthode Etude rétrospective de 49 enfants opérés pour suspicion de MAKP dans notre service depuis 1996. Analyse d’une expérience personnelle de 13 cas d’erreurs diagnostique et thérapeutique. Resultats Le diagnostic pré-opératoire a été établi sur la radiologie. 43 enfants ont eu une lobectomie. Le diagnostic de MAKP a été confirmé par l’histologie dans 38 cas. Ailleurs, l’examen histologique a conclu à: emphsème interstitial (1cas), infarctus pulmonaire anté-natalet post-natal (2cas), hémangiomatose pulmoanire (1cas), lésion hybride (1cas), abcès du poumon, lésions non classées (7cas) et dilatation des bronches (1cas). Conclusion L’attitude diagnostique et thérapeutique des MAKP repose sur une collaboration multidisciplinaire. Le diagnostic évoqué sur la clinique et la radiologie, nécéssite une confirmation histologique. Certains problèmes diagnostiques nécéssite une confrontation avec des anatomopathologistes avertis pour éviter une éxèrse pulmonaire inutile. [ABSTRACT FROM AUTHOR]

Introduction L’ectopie testiculaire transverse est une pathologie rare, appelée également ectopie paradoxale ou croisée. Elle peut être associée au syndrome de persistance du canal müllérien dans 30% cas. Objectif Décrire les principes de l’approche clinique et thérapeutique d’une telle anomalie Matériel et Méthodes Il s’agit d’une étude rétrospective des 6 observations d’ectopie testiculaire croisée. Résultats L’âge moyen a été de 4,3 mois (extrêmes de 45 j à 1 an). Le motif de consultation a été une tuméfaction inguinale dans 5 cas et un épispadias dans un cas. L’examen clinique a trouvé une hernie inguinale d’un coté et une ectopie testiculaire avec testicule non palpable de l’autre coté dans 5 cas. La découverte était en per-opératoire dans tous les cas. Une biopsie testiculaire a été faite chez 2 patients. Le traitement a consisté à l’abaissement trans-septal du testicule controlatéral dans trois cas, à sa translocation dans 2 cas et à l’abaissement testiculaire en 2 temps dans un cas. Conclusion L’ectopie testiculaire croisée est une anomalie rare, dont la pathologie est incertaine. La laparoscopie constitue actuellement un moyen diagnostic et thérapeutique. [ABSTRACT FROM AUTHOR]

Objectifs Préciser les particularités du diagnostic clinique d’un épisode d’invagination intestinale aigue (IIA) récidivante, discuter ses étiologies et établir une prise en charge thérapeutique. Matériels et méthodes Etude rétrospective de 28 cas d’IIA récidivantes colligées au service de chirurgie pédiatrique de Monastir sur une période de 12ans. Le logiciel SPSS 18ML a été utilisé. Résultats Durant l’étude, 505 patients ont été traités pour 544 épisodes d’IIA. La récidive de l’invagination a été observée chez 28 patients qui ont presenté 39 épisodes de récidives soit une fréquence de 5.5%. Comparativement à l’épisode initial, la symptomatologie clinique lors des récidives n’a pas montré de différence statistiquement significative sauf pour les rectorragies qui étaient presque absentes (p=0.016). Une cause locale favorisant la récidive de l’invagination n’a été notée que chez un patient ayant un purpura rhumatoïde. Conclusions Lors des récidives, les patients sont moins symptomatiques et consultent rapidement. Les récidives sont généralement facilement réductibles par lavement et ne préjugent pas du caractère secondaire de l’invagination. [ABSTRACT FROM AUTHOR]