Dandruff is a common scalp condition that can be improved by regular use of shampoos containing anti-fungal actives. The efficacy of anti-dandruff shampoos can be assessed by measuring scalp flaking, one of the important dandruff symptoms. A randomized, double-blind trial is often used with one of two clinical designs: whole-head parallel design and split-head paired design. We aimed to explore the difference in product differentiation between these two designs using the same two test shampoos and the same scalp flaking assessment method (Total Weighted Head Score Adhered Flakes-TWHS AF).A clinical study was conducted with a 2- to 3-week wash-out phase and a 4-week test phase, consisting of 2 cells: 120 subjects with whole-head parallel design, divided into 2 subgroups (1:1) using on-site controlled washing method (either wash their own hair at a study site, under the instruction of a study supervisor or wash their own hair at home, as per instructions, but without supervision) and 35 subjects with split-head paired design using salon-staff washing method. Both cells employed hair washing at frequency of three times a week and TWHS AF measurement once a week from the baseline assessment.Both designs gave similar differences in TWHS AF between products: 5.6 units (95% CI: 4.1-7.0 units) in whole-head design and 5.9 units (95% CI: 4.9-6.9 units) in split-head design.Split-head paired design shows a similar ability of detecting product difference as whole-head parallel design, whereas it is a choice of more efficient and more cost-effective, as only a quarter of the subjects are required to demonstrate the efficacy between anti-dandruff shampoos.Les pellicules sont une affection courante du cuir chevelu qui peut être améliorée par l’utilisation régulière de shampooings contenant des principes actifs antifongiques. L’efficacité des shampooings antipelliculaires peut être évaluée en mesurant la desquamation du cuir chevelu, l’un des symptômes importants associés aux pellicules. Il est souvent fait recours à une étude randomisée et en double aveugle reposant sur l’une des deux conceptions cliniques suivantes: une conception parallèle portant sur la tête entière et une conception appariée par séparation de la surface de la tête. Nous avons cherché à étudier en quoi des produits se différenciaient entre ces deux conceptions, en utilisant les deux mêmes shampooings d’examen et la même méthode d’évaluation de la desquamation du cuir chevelu (score total pondéré des pellicules collées sur la tête [Total Weighted Head Score Adhered Flakes, TWHS AF]). MÉTHODES: Une étude clinique a été menée avec une fenêtre thérapeutique de deux à trois semaines et une phase d’examen de quatre semaines, composée de deux cellules: 120 sujets recrutés selon une conception parallèle portant sur la tête entière, répartis en deux sous-groupes (1:1), avec un lavage réalisé au centre d’après une méthode contrôlée (lavage par le sujet dans l’un des centres de l’étude, réalisé sous les instructions d’un superviseur de l’étude, ou lavage par le sujet à son domicile, en suivant les instructions, mais sans surveillance) et 35 sujets recrutés selon une conception appariée par séparation de la surface de la tête, avec un lavage réalisé selon la méthode employée par le personnel des salons de coiffure. Pour les deux cellules, le lavage des cheveux avait lieu à une fréquence de trois fois par semaine et le score TWHS AF était mesuré une fois par semaine à partir de l’évaluation de référence. RÉSULTATS: Les deux conceptions ont permis d’observer des différences similaires des scores TWHS AF entre les produits: 5,6 unités (IC à 95%: 4,1 à 7,0 unités) avec la conception portant sur la tête entière et 5,9 unités (IC à 95%: 4,9 à 6,9 unités) avec la conception par séparation de la surface de la tête.Par comparaison avec la conception parallèle portant sur la tête entière, la conception appariée par séparation de la surface de la tête montre une capacité de détection similaire de la différence entre les produits, mais constitue un choix plus efficace et plus rentable, car elle n’exige de démontrer l’efficacité entre les shampooings antipelliculaires que chez un quart des sujets.