In the UK, long-acting reversible contraceptives have been welcomed by sexual health policy-makers and many practitioners as a particularly effective way of preventing unintended pregnancy, especially teenage conception. However, little is known about women's individual experiences of these forms of contraception beyond limited data on retention rates and reasons for discontinuation. The main aims of this research were to gain a fuller understanding of why some young women have their implants removed, and what may help them maintain this method of contraception if they wish to do so. The contraceptive choices of 20 young women (aged 16–22) who had chosen the implant, and later discontinued it, were examined. They had experienced unacceptable side effects that they attributed to the implant, and interpreted as a threat to their bodily control, which they were not prepared to tolerate. These feelings were exacerbated if they then encountered delays after requesting removal. Although they remained concerned to avoid unintended pregnancy, they generally moved to a less reliable form of contraception following implant removal and felt discouraged from trying other long-acting contraception. We suggest that principles of contraceptive choice should include facilitating the discontinuation of unsatisfactory methods; implant removal should therefore be readily available when requested, regardless of the length of time the implant has been in place. Long-acting forms of contraception do not suit all women, and will not obviate the need for other forms of reproductive control, including legal abortion. Au Royaume-Uni, les contraceptifs réversibles à longue durée d'action ont été accueillis favorablement par les décideurs en santé sexuelle et beaucoup de praticiens comme moyen particulièrement efficace de prévenir les grossesses non désirées, spécialement chez les adolescentes. Néanmoins, on connaît mal l'expérience individuelle des femmes, à part les données sur les taux de rétention et les raisons de l'interruption de ces formes de contraception. Les objectifs principaux de cette recherche étaient de mieux comprendre pourquoi certaines jeunes femmes se font enlever leur implant et qu'est-ce qui peut les aider à conserver cette méthode de contraception si elles le souhaitent. Les choix contraceptifs de 20 femmes (âgées de 16 à 22 ans) qui avaient sélectionné l'implant, puis l'avaient abandonné, ont été examinés. Ces femmes avaient enregistré des effets secondaires inacceptables qu'elles avaient attribués à l'implant. Elles les avaient interprétés comme une menace pour leur maîtrise corporelle qu'elles n'étaient pas disposées à tolérer. Le fait de devoir attendre après avoir demandé le retrait de l'implant avait exacerbé ces sentiments. Même si elles souhaitaient encore éviter les grossesses non désirées, elles étaient généralement passées à une contraception moins fiable après le retrait de l'implant et n'avaient plus envie d'essayer d'autres contraceptifs de longue durée. Les principes du choix contraceptif devraient inclure des mesures pour faciliter l'abandon de méthodes non satisfaisantes ; l'implant devrait donc être retiré dès que demandé, quelle que soit la durée de sa mise en place. Les formes de contraception de longue durée ne conviennent pas à toutes les femmes et n'élimineront pas la nécessité d'autres méthodes de maîtrise de la fécondité, notamment l'avortement légal. En el Reino Unido, los anticonceptivos reversibles de acción prolongada son bienvenidos por formuladores de políticas de salud sexual y muchos profesionales de la salud como una manera especialmente eficaz de evitar embarazos no deseados, en particular la concepción en la adolescencia. Sin embargo, no se sabe mucho acerca de las experiencias personales de las mujeres con estos anticonceptivos aparte de los datos limitados sobre las tasas de retención y las razones para abandonar el método. Los objetivos principales de esta investigación eran entender mejor por qué algunas jóvenes solicitan que se les extraigan los implantes y qué podría ayudarlas a mantener este método anticonceptivo si así lo desean. Se examinaron las opciones anticonceptivas de 20 jóvenes (de 16 a 22 años de edad), quienes habían elegido el implante y después lo abandonaron. Presentaron efectos secundarios inaceptables, que atribuyeron al implante e interpretaron como un peligro para el control de su cuerpo, lo cual no estaban preparadas para tolerar. Estos sentimientos fueron exacerbados si luego encontraron demoras tras solicitar la extracción. Aunque continuaron preocupadas por evitar embarazos no intencionales, generalmente pasaron a usar un anticonceptivo menos confiable después de la extraccción del implante y se sintieron disuadidas de probar otros anticonceptivos de acción prolongada. Sugerimos que los principios de elección de anticonceptivos incluyan facilitar el abandono de métodos poco satisfactorios. Por lo tanto, cuando se solicite la extracción del implante, ésta debe efectuarse con prontitud, independientemente del tiempo que lleva colocado el implante. Los anticonceptivos de acción prolongada no son adecuados para todas las mujeres y no harán innecesaria otras formas de control reproductivo, como la interrupción legal del embarazo. [ABSTRACT FROM AUTHOR]