Search

This paper explores ovoo and landscape practices in two regions of Mongolia, Harhorin, and the way that these places deal with local and outsider inputs in constructing dialogues about conservation. While much has been written about formal ovoo practices, their origins, and their historical and contemporary role in local and national politics, this paper focuses on individual experiences with and definitions of ovoos, how those intersect with more formal practices, and what ovoos may indicate for conservation. Cet article explore les pratiques concernant les ovoo et le paysage dans deux régions de Mongolie, Harhorin dans la province Övörhangai et la vallée Darhad dans la province Hövsgöl, et la manière dont se forment en ces lieux des discours sur la conservation à partir d’apports locaux et extérieurs. Bien que les pratiques formelles concernant les ovoo, leurs origines et leur rôle historique et contemporain dans la politique locale et nationale aient été abondamment traités dans la littérature académique, cet article se concentre sur les expériences individuelles avec les ovoo et les définitions que l’on peut en donner, sur la manière dont celles-ci recoupent des pratiques plus formelles, et sur ce qu’elles nous apprennent sur la conservation.

Le « Galet au Glouton » de la collection Chaplain-Duparc (Musée de Tessé, Le Mans, Sarthe) est considéré traditionnellement comme provenant des « grottes de Saulges », dans la vallée de l’Erve (Mayenne). Il offre sur une de ses faces la représentation d’un Glouton au pelage hérissé, avec les paires de pattes doublées (articfice graphique commode pour figurer le mouvement). Hugo Obermaier l’interprétait comme la représentation de la peau écorchée d’un animal, hypothèse aujourd’hui abandonnée. The « Glutton pebble » of the Chaplain-Duparc collection (Musée de Tessé, Le Mans, Sarthe) is traditionally considered to come from the caves of Saulges, in the Erve Valley (Mayenne). The representation of a Glutton with its fur bristled up and with doubled leg-pairs (easy graphic trick to figure motion) can be observed on one side. Hugo Obermaier interpreted the engraving as the representation of a skin coat, which idea is now abandoned.