8 results on '"Vandenbussche C"'
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2. Impact de la spécificité des ANCA sur la survie rénale : à propos d’une série rétrospective observationnelle multicentrique.
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Cartery, C., Puigrenier, S., Bitton, L., Gnemmi, V., Quemeneur, T., and Vandenbussche, C.
- Abstract
Introduction L’atteinte rénale touche jusqu’à 80 % des patients ayant une vascularite associée aux ANCA, avec un risque d’évolution vers l’insuffisance rénale terminale dans 25 % des cas. Deux types d’ANCA pathogènes sont décrits, MPO et PR3. Le but de notre étude est d’évaluer l’impact de la spécificité des ANCA sur la survie rénale. Patients/matériels et méthodes Cette étude observationnelle multicentrique rétrospective a recruté les patients de centres hospitaliers des Hauts-de-France présentant une vascularite à ANCA avec atteinte rénale. Les patients étaient traités selon les recommandations du GFEV. Les données de deux groupes distincts par le type des ANCA, MPO ou PR3, étaient comparées : clinique, biologie et histologie au diagnostic et évolution. Résultats Ont été inclus 114 patients avec des ANCA positifs (50 PR3 et 64 MPO), dont 104 ont eu une relecture de la biopsie rénale. Le BVAS médian au diagnostic était plus élevé dans le groupe PR3 versus MPO (20 ± 8 versus 17,8 ± 4,6, p = 0,004). Le taux médian de créatinine au diagnostic était 37,5 ± 44,5 mg/L dans le groupe PR3 et 30 ± 30 mg/L dans le groupe MPO (p = 0,775). Selon la classification de Berden, on observait un glomérulonéphrite extracapillaire focale chez 26,2 % et 25,8 %, mixte chez 26,2 % et 40,3 %, à croissants prédominants chez 38,1 % et 24,2 %, scléreuse chez 9,5 % et 9,7 % des patients dans les groupes PR3 et MPO respectivement (p = 0,381). Les lésions de fibrose interstitielle et d’atrophie tubulaire n’étaient pas significativement différentes. La créatinine à la rémission était à 15,5 ± 10,95 mg/L et 16 ± 9,95 mg/L (p = 0,47), et l’incidence de l’insuffisance rénale terminale était à 26 % et 26,56 % pour les groupe PR3 et MPO respectivement. Durant le suivi, on notait la survenue de 17 et 11 rechutes rénales dans les groupes PR3 et MPO respectivement (p = 0,05). Les survies globales à l’issue du suivi étaient comparables. Discussion L’impact de la spécificité des ANCA a été étudié [1] , certains rapportant une moins bonne survie rénale et globale chez les patients MPO, en rapport avec des lésions plus chroniques. Dans cette étude, le pronostic rénal et global sont similaires dans les groupes PR3 et MPO, avec au diagnostic une présentation histologique comparable. Le groupe PR3 fait plus de rechutes dans notre cohorte que le groupe MPO, sans impact sur la survie rénale et globale. Conclusion La survie rénale et globale n’étaient pas significativement différentes en fonction de la spécificité des ANCA dans cette série de patients ayant une vascularite à ANCA avec atteinte rénale. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
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- 2018
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3. Étude des facteurs pronostiques cliniques et histologiques à partir d’une série de 113 patients atteints d’une vascularite rénale à ANCA.
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Bitton, L., Vandenbussche, C., Cordonnier, C., Verine, J., Bataille, P., Azar, R., Namara, E. Mac, Hatron, P.Y., Glowacki, F., Copin, M.C., Quemeneur, T., and Gnemmi, V.
- Abstract
Introduction Le diagnostic de vascularites associées aux anticorps anticytoplasme des polynucléaires neutrophiles (AAV) repose sur la ponction-biopsie rénale. Une classification histologique glomérulaire proposée en 2010 par Berden et al. aide à établir le pronostic rénal de ces patients atteints d’AAV [1] . Le but de notre étude était de réévaluer la valeur pronostique de cette classification et de déterminer les facteurs de risque de rechute rénale. Patients et méthodes Les données clinicobiologiques et histologiques de 113 patients atteints d’une AAV rénale, diagnostiquée entre 2003 et 2013, ont été recueillies dans cette étude rétrospective et multicentrique. Résultats Notre étude permettait de valider cette classification en analyse de survie rénale et globale. La survie rénale à 1 an et 5 ans était respectivement de 94 % et 89,5 % pour le groupe focal, 80 % et 80 % pour le groupe croissant, 82 % et 66,5 % pour la classe mixte, 72 % et 54,5 % pour le groupe scléreux. En analyse multivariée, une fibrose interstitielle (CI > 25 % ; p = 0,01) et un débit de filtration glomérulaire bas au diagnostic ( p < 0,0001) étaient associés à une survie rénale plus défavorable. Seul un âge plus élevé au diagnostic était un facteur de risque indépendant de décès global ( p = 0,01). Les patients des groupes croissant et mixte avec une CI > 25 % partageaient la même survie rénale que le groupe scléreux alors que ceux ayant ≤ 25 % de CI avait un pronostic rénal intermédiaire avec la classe focale. Enfin, une durée plus longue d’immunosuppression en entretien et un infiltrat interstitiel > 25 % étaient les deux seuls facteurs protecteurs d’une rechute rénale en analyse multivariée ( p = 0,0004 et p = 0,016 respectivement). Discussion L’évaluation du degré de fibrose interstitielle apparaît déterminante dans cette étude et s’avérait plus discriminante que la classification de Berden et al. pour juger du pronostic rénal. Conclusion Nous avons validé la classification de Berden et al. en termes de survie rénale et globale. Néanmoins, Berden et al. n’étaient pas un facteur pronostique indépendant, à la différence de la fibrose interstitielle. Proposer une classification de Berden et al. modifiée par la fibrose interstitielle pourrait être intéressante pour améliorer l’évaluation des capacités de récupération des patients atteints d’AAV rénale à partir de données histologiques initiales. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
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- 2017
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4. Implication de miR-21 dans les agressions rénales.
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Van Der Hauwaert, C., Hennino, M.F., Vandenbussche, C., Dewaeles, E., Gnemmi, V., Savary, G., Pottier, N., Glowacki, F., and Cauffiez, C.
- Abstract
Introduction Les lésions de fibrose rénales représentent une caractéristique commune des maladies rénales chroniques et participent, à terme, au développement d’insuffisance rénale chronique terminale. Bien que miR-21 soit un microARN communément impliqué dans le processus de fibrose rénale, les données expérimentales de la littérature restent contradictoires et suggèrent que ce miARN joue un rôle complexe et ambivalent, protecteur ou délétère, selon le contexte des pathologies rénales, aiguës ou chroniques. L’objectif de ce travail est de préciser l’implication de miR-21 dans deux modèles murins de néphrotoxicité induite par le tacrolimus et le cisplatine. Patients/matériels et méthodes Dans un premier modèle, des souris ont été exposées pendant 28 jours au tacrolimus (1 mg/kg/j). Le second modèle repose sur l’utilisation de souris invalidées pour miR-21 exposées au cisplatine de manière aiguë (injection d’une dose unique de 10 mg/kg) ou subaiguë (injections répétées de 7 mg/kg de cisplatine). La fonction rénale des animaux a été évaluée. Les reins prélevés ont permis de réaliser des analyses histologiques et de mesurer l’expression de miR-21, de marqueurs de souffrance rénale, d’inflammation et de stress oxydant dans les deux modèles. Résultats Dans le premier modèle, les souris exposées au tacrolimus ont une surexpression de miR-21 associée à des lésions rénales (surexpression de marqueurs de stress, d’inflammation et fibrotiques). De plus l’expression de miR-21, dans les coupes tissulaires, est localisée au niveau des tubules et dans le compartiment interstitiel, suggérant l’implication de ce dernier dans les lésions de fibrose induites par le tacrolimus. Dans le second modèle, les souris ayant reçu une injection unique de cisplatine ne présentent pas de différence significative d’urémie, de marqueurs de souffrance rénale, d’inflammation et de stress oxydant quel que soit leur statut sauvage ou invalidé pour miR-21. En revanche, les injections répétées de cisplatine induisent des lésions rénales plus sévères chez les souris miR-21-/- que chez les souris sauvages. Conclusion Ces résultats confirment ainsi que miR-21 joue un rôle ambivalent au cours des lésions rénales : protecteur à la phase précoce d’une agression rénale aiguë et délétère lorsque le processus se prolonge dans le temps. Des études complémentaires sont nécessaires afin d’évaluer l’intérêt potentiel de miR-21 en tant que cible thérapeutique innovante. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2018
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5. Nocardiose disséminée en transplantation rénale : intérêt des β-d-glucanes.
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Ulrich, M., Frimat, M., Titcat, M., Jacobsoone-Ulrich, A., El Fallah, S., Vandenbussche, C., Lemoine, C., Lionet, A., Wallet, F., Lebas, C., Hazzan, M., and Noël, C.
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Introduction Les Nocardia , bactéries principalement pathogènes chez les patients immunodéprimés, peuvent induire de sévères infections avec une incidence de 0,7 à 3 % après une transplantation d’organe [1] . Le diagnostic de nocardiose est rendu difficile par l’absence de marqueurs clinico-biologiques spécifiques et le besoin d’une culture prolongée pour identifier le germe. Nous rapportons ici le cas d’une patiente ayant eu une transplantation rénale, atteinte d’une nocardiose cutanée disséminée, associée à une élévation des β- d -glucanes (βDG). Observation Une patiente âgée de 67 ans, ayant eu une greffe rénale en 2011 (vascularite à ANCA), poursuivant mycophénolate mofétil, tacrolimus et prednisone, a été hospitalisée fin 2014 pour hyperthermie. L’examen clinique n’a isolé qu’un ulcère inflammatoire de la main droite apparu après jardinage, avec adénopathie axillaire satellite. Le syndrome inflammatoire était modeste (CRP : 21 mg/L), la biopsie cutanée n’a isolé aucun germe ou filament mycélien et l’ensemble des prélèvements étaient négatifs. Seuls les βDG étaient augmentés (2000 ng/mL), sans infection fongique identifiée. L’évolution sous une première ligne probabiliste par 15 jours d’amoxicilline–acide clavulanique–azithromycine était défavorable : la CRP s’élevait à 77 mg/L, les βDG restaient très positifs à 2326 ng/mL. Le drainage chirurgical de l’adénopathie a permis finalement d’identifier une Nocardia nova. Le bilan d’extension a révélé une localisation secondaire cérébrale. Sous traitement par imipénème–triméthoprime–sulfaméthoxazole, l’évolution a été satisfaisante, avec obtention de l’apyrexie, régression des βDG et guérison cutanée en respectivement 2, 6 et 11 jours. Discussion La nocardiose n’est pas si rare en transplantation d’organe, où elle est favorisée par la corticothérapie via l’inhibition de l’immunité cellulaire (seule active contre cette bactérie). Son diagnostic est souvent difficile et dans notre cas, la positivité des βDG nous a initialement conduit à rechercher une infection fongique. Une interférence entre Nocardia et test biologique des βDG a cependant été rapportée [2] . Conclusion La positivité des βDG ne doit pas éliminer cette infection pourtant bactérienne et pourrait au contraire guider l’orientation diagnostique et faire prolonger les cultures. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2015
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6. Valeur pronostique de l’hématurie lors de la rémission au décours d’une première poussée de glomérulonéphrite extracapillaire pauci-immune (GNEC).
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Vandenbussche, C., Bitton, L., Bataille, P., Glowacki, F., Azar, R., Hatron, P.Y., Namara, E. Mac, Gheerbrant, J.D., Cardon, G., Hoffmann, M., Gnemmi, V., and Quemeneur, T.
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Introduction L’atteinte rénale est un facteur pronostique majeur des vascularites associées aux ANCA (VAA). Le traitement des VAA vise la rémission rapide. Sur le plan rénal, la rémission est définie par une diminution ou une stabilité de la créatininémie et de la protéinurie. L’hématurie est d’interprétation difficile. Le but de ce travail est d’évaluer la valeur pronostique de l’hématurie lors la rémission au décours d’un premier épisode de GNEC. Patients et méthodes Étude rétrospective de patients en 1 re poussée de GNEC histologiquement prouvée après obtention de la rémission de la VAA (BVAS = 0) après traitement d’induction conventionnel. L’hématurie est définie par : bandelette urinaire > 1+ et/ou la cytologie urinaire ≥ 10 000 érythrocytes/mL (H + ). Le critère de jugement principal (CDJ) est la rechute rénale (RR) et l’insuffisance rénale chronique terminale (IRCT). La RR est définie par une élévation de la créatininémie et/ou l’apparition d’une hématurie et/ou la confirmation histologique menant à une modification du traitement. L’IRCT est définie par un GFRe < 15 mL/min/1,73m 2 . Résultats Les dossiers de 86 patients ont été analysés : 41 femmes et 45 hommes, âge moyen de 60,5 ± 12,3 ans ; MPO-ANCA : n = 42, PR3-ANCA : n = 39 ; créatinine : 2,9 mg/dL au diagnostic, 1,6 mg/dL lors de la rémission. Il n’y a pas de différence clinique, biologique ou histologique significative entre les patients H+ et H− au diagnostic ou lors de la rémission. Le CDJ est atteint chez 34 patients (26 RR). En analyse de survie, il n’a pas de différence pour le CDJ. En revanche, la survie sans RR est moins bonne dans le groupe H+ ( p = 0,002). La RR survient plus précocement dans le groupe H+ que dans le groupe H− (30,3 ± 14,1 vs. 55,7 ± 26,8 mois, p = 0,017). En analyse multivariée, 3 facteurs sont associés à la RR : l’hématurie à la rémission pour les RR dans les 44 premiers mois ( p = 0,03), la durée d’immunosuppression ( p < 0,001) et le type d’ANCA (PR3+ vs. PR3−) ( p = 0,07). Aucune différence n’a été retrouvée entre les 2 groupes concernant le risque d’IRCT. Discussion En accord avec les études précédentes, nous n’avons pas montré d’influence de l’hématurie sur le risque d’IRCT (Karras A. et al., 2015), mais un rôle pronostique sur le risque de rechute, en particulier dans les premiers mois suivant la rémission (Rhee R.L. et al., 2016). Conclusion Cette étude rétrospective souligne l’association entre l’hématurie à la rémission et le risque de RR précoce au décours d’une 1 re poussée de GNEC. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2017
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7. Glomérulonéphrites à dépôts monoclonaux non organisés, non Randall : rapport de 21 cas.
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Ulrich, M., Gnemmi, V., Frimat, M., Lionet, A., Vandenbussche, C., Lemoine, C., Cardon, G., Bataille, P., Vrigneaud, L., Noel, C., and Lebas, C.
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Introduction La glomérulonéphrite à dépôts d’immunoglobuline (Ig) monoclonale non organisés, non Randall (PGNMID) a été décrite par Nasr et al. [1] qui ont rapporté la série la plus importante à ce jour. Nous décrivons les caractéristiques cliniques, histologiques et thérapeutiques d’une série de 21 cas. Patients et méthodes Étude rétrospective multicentrique incluant des patients avec diagnostic anatomopathologique de PGNMID (dépôts strictement glomérulaires d’Ig monoclonale monotypique, non organisés en microscopie électronique [ME] sans cryoglobulinémie). Résultats Vingt et un cas de PGNMID, dont 1 récidive et 3 atteintes de novo sur greffon, sont survenus à l’âge moyen de 54,61 ans (± 17,3) avec un sex-ratio de 2. Au diagnostic, la créatininémie moyenne était de 3,1 mg/dL, la protéinurie constante (3,7 g/24 h), associée à une hématurie dans 90,5 % des cas. Chez 8 patients, un composant monoclonal était mis en évidence. La présentation histologique prédominante était une glomérulonéphrite membrano-proliférative (GNMP) ( n = 16, 71,4 %) avec des dépôts d’IgG3 Kappa dans 62 % des cas. En ME, les dépôts étaient majoritairement sous-endothéliaux. L’évolution se faisait vers l’insuffisance rénale terminale avec un délai moyen de 27,5 mois pour 4 des 7 patients non traités par chimiothérapie (CT) et 6 des 14 patients traités. Le délai moyen d’initiation de la CT était de 16,6 mois. Un patient en l’absence de CT est en rémission partielle (protéinurie à 0,5 g/j, créatininémie à 1,7 mg/dL versus 2,3 mg/dL, pas de lésion évocatrice de PGNMID à la biopsie de contrôle). Discussion Cette cohorte conforte les données cliniques déjà publiées, notamment la prédominance de la forme GNMP, l’absence d’hémopathie associée et l’existence d’une paraprotéine dans environ un tiers des cas. L’observation de rémission partielle « spontanée » pose la question de différentes entités sous le terme de PGNMID. Aucune donnée ne permettait au diagnostic de différencier ce cas des autres patients. Au plan thérapeutique, aucune différence significative n’a pu être mise en évidence au sein de notre série du fait du faible effectif. Conclusion L’initiation précoce du traitement est très probablement bénéfique. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
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- 2016
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8. Étude anatomopathologique de la glomérulonéphrite extra-membraneuse après transplantation de mœlle osseuse.
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Vandenbussche, C., Lionet, A., Gnemmi, V., Magro, L., Filali, A., Ulrich, M., Lemoine, C., Hazzan, M., and Noel, C.
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Introduction Nous présentons les résultats anatomopathologiques de 3 cas de glomérulonéphrite extra-membraneuse (GEM) rattachée à une manifestation de réaction du greffon contre l’hôte (GVH). Observation Deux hommes et une femme développent un syndrome œdémateux révélateur d’un syndrome néphrotique entre 16 et 24 mois post-allogreffe de cellules souches hématopoïétiques. Au diagnostic, la biologie révèle une protéinurie entre 5 et 14 g/24 h associée à une hypo-albuminémie entre 20 et 28 g/L et une augmentation de la créatinine à 14 mg/L pour la patiente. L’analyse de la biopsie rénale révèle pour les 2 patients une GEM de stade 1 et pour la patiente une GEM de stade 2, une prédominance de la sous-classe IgG4 avec un faible marquage IgG1, pas d’IgG2 et 3. Dans aucun cas, il n’y a d’expression du PLA2 récepteur ni d’anticorps anti-PLA2R sérique. Dans un cas, il est observé une néphrite interstitielle lymphocytaire. Le bilan de GEM secondaire biologique et iconographique est négatif. Dans ce contexte de GVH chronique, les 3 patients vont bénéficier d’un traitement par rituximab. Discussion Les marquages en immunofluorescence sont évocateurs d’une GEM idiopathique [1] mais sans médiation par une immunisation contre le PLA2R [2,3] . Le contexte de GVH chronique évoque la possibilité d’une allo-immunisation des cellules du donneur contre le tissus rénal du receveur tel que décrit dans les GEM materno-fœtales par allo-immunisation contre le CD10 [4] . Conclusion L’étude anatomopathologique des biopsies de ces patients transplantés de mœlle est évocatrice de GEM allo-immune indépendante du PLA2R. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
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- 2015
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