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Background Image contrast enhancement is considered as the most useful technique permitting a better appearance of the low contrast images. This paper presents a modified Discret Wavelet Transform - Singular Value Decomposition (DWT-SVD) approach for the enhancement of low contrast Brain MR Images used for brain tissues exploration. Methods The proposed technique is processed as follows: first of all, we consider low contrast T1-weighted MRI slices as input images (A1) on which we apply General Histogram Equalization (GHE) algorithm to have equalized images referred as (A2) having zero as mean and one as variance. Secondly, by using the Discrete Wavelet Transform (DWT) algorithm, both (A1) and (A2) are divided into low and high frequency sub-bands. On the low frequency (LL1) and (LL2) sub-bands, SVD is processed in order to generate three matrix factorization (U, V and Σ) where the maximums of (U) and (V) matrix are used for the estimation of a correction coefficient ( ξ ). Our contribution in this paper is to estimate the new singular value matrix (New Σ) using a weighted sum of both original and equalized singular value matrix thanks to an adjustable parameter (μ) for the targeted low contrast images. This parameter, ranged between 0.05 and 0.95, is determined empirically according to the input low contrast image. Finally, the enhanced resulting image is easily reconstructed using the Inverse SVD (ISVD) and the Inverse DWT (IDWT) processes. Results The database considered in our research consisted of 120 MR brain images where T1-weighted MR brain modality are selected for the contrast enhancement process. Considering the qualitative results, our proposed contrast enhancement method have shown better distinction between brain tissues and have preserved all White Matter (WM), Gray Matter (GM) and Cerebro-Spinal Fluid (CSF) pixel edges. In fact, histogram plots of images enhanced by proposed method covered all the gray level intensities. For the quantitative results, proposed method gives the highest PSNR, QRCM, SSIM, FSIM and EME values and the lowest AMBE values for (μ) equal to 0.65 as comparing to the rest of methods. These results signifies that proposed contrast enhancement method have provided greater image quality with preservation of image structure, feature and brightness. Conclusion Proposed method improved performance of contrast enhancement image without creating unwanted artifact and without destroying image edge information or affecting the specificities of brain tissues. This is due to the use of an empirically (μ) parameter adjustable according to the input MR images. Hence, the proposed approach is appropriate for enhancing contrast of huge type of low contrast images.

Vascular complications of lumbar disc surgery are rare. Few cases have been reported. Arteriovenous fistulas are the most common. They are due to anatomical relationships between the last lumbar vertebrae, the corresponding discs, and the iliac vessels; degenerative lesions of the intervertebral discs facilitate instrumental vessel perforation, and operative difficulty. Computed tomography is particularly accurate for making the diagnosis. Treatment strategies consist in surgery or endovascular management. Percutaneous endovascular treatment using a stent-graft is a reasonable option for treating arteriovenous fistula. We describe the case of a 50-year-old patient who developed an iliocaval arteriovenous fistula following lumbar disc hernia surgery. The lesion was excluded by a stent-graft. The postoperative period was uneventful.

Resume Les encephalomyelites aigues disseminees (ADEM) representent l’etiologie la plus frequente des encephalites virales aigues. Elles sont de presentation clinique variable. L’imagerie, et en particulier l’IRM, joue un role important dans le diagnostic positif et precoce. A travers une etude retrospective des dossiers de 21 patients presentant une ADEM, nous avons decrit les differentes presentations radiologiques de cette pathologie et nous avons demontre une correlation statistique entre certains facteurs retrouves en imagerie et un mauvais pronostic.

M. D.L, âge de 30 ans, sans antecedent pathologique particulier, etait hospitalise pour exophtalmie droite evoluant depuis un an et demi, devenant douloureuse. L’examen clinique trouvait une exophtalmie droite non axile irreductible avec deviation du globe oculaire en bas et en dehors, une limitation de la mobilite oculaire vers le haut et une hyperhemie conjonctivale. Une IRM cerebrale et orbitaire avait ete pratiquee (Fig. 1).

Resume Introduction Les tumeurs parapharyngees sont profondes. L’imagerie est incontournable dans leur prise en charge. Nous avons voulu preciser le role de cette imagerie par une etude retrospective. Patients et methodes Vingt tumeurs parapharyngees ont eu une imagerie (TDM et/ou IRM) entre 1986 et 2008. Nous avons confronte les images radiologiques aux caracteristiques anatomiques et histologiques. Resultats L’imagerie a confirme la localisation parapharyngee. La tumeur etait prestylienne dans huit cas, retrostylienne dans cinq cas, retropharyngee dans un cas. Elle occupait tout l’espace parapharynge dans six cas. Les tumeurs salivaires occupaient l’espace prestylien dans deux cas et tout l’espace dans deux cas de tumeur maligne. L’IRM n’a pas permis de differencier la nature tumorale, ni sa malignite, sauf en presence de lyse osseuse evidente. Discussion L’imagerie contribue au diagnostic etiologique, au bilan d’extension, et oriente le choix de la voie d’abord chirurgicale. L’IRM est l’examen le plus important, sa resolution est plus adaptee au diagnostic des tumeurs profondes. La TDM est interessante pour etudier le cadre osseux.

Resume But Evaluer la fiabilite de ces explorations dans le bilan du cancer du larynx. Malades et methodes Comparaison endoscopie, TDM et anatomopathologie, etude retrospective de 85 patients atteints de cancer du larynx. Resultats Le scanner a une bonne sensibilite pour determiner l’invasion tumorale dans l’espace pre-epiglottique (82 %) ainsi que dans la glotte et la sous-glotte (74 %). Cette sensibilite etait moyenne pour l’etude des cartilages larynges (51 a 71 %) et tissus extra-laryngees (46 %). Le scanner etait moins sensible pour determiner l’invasion tumorale des bandes ventriculaires (59 %) et des ventricules larynges (53 %). Pour ces dernieres localisations, l’endoscopie a une meilleure sensibilite, respectivement de 75 et 69 %. La specificite du scanner est meilleure dans l’appreciation de l’atteinte de l’etage glottique, de l’envahissement cartilagineuse (86 %) et de l’extension aux tissus mous prelaryngee (90 %). Conclusion La TDM et l’endoscopie ont une valeur diagnostique de 76 %.

Resume Objectif L’atteinte tuberculeuse de la region sellaire et en particulier de l’hypophyse est rare. Notre objectif est de montrer, a travers cinq observations, l’apport de l’imagerie et notamment de l’imagerie par resonance magnetique (IRM) dans cette pathologie. Patients et methodes Une tomodensitometrie (TDM) et une IRM cerebrales etaient pratiquees dans tous les cas, de meme qu’une radiographie du thorax. Resultats A l’IRM, on avait retrouve quatre types d’atteinte : le tuberculome hypophysaire pseudoadenomateux ; l’abces intrahypophysaire, etendu a la loge caverneuse dans un cas et associe a un epaississement de la tige pituitaire dans l’autre cas ; l’hypophysite avec extension suprasellaire associee a une tuberculose cerebro-meningee dans un cas ; et enfin l’epaississement de la tige pituitaire associee a une atteinte cerebro-meningee. Le diagnostic etait anatomopathologique dans deux cas et base sur des arguments radiobiologiques et evolutifs dans les trois autres cas. L’evolution etait favorable sous antituberculeux. Conclusion Quel que soit l’aspect en imagerie en particulier en IRM, le sejour en zone d’endemie, associe a d’autres signes tels qu’un epaississement de la tige pituitaire et de l’infundibulum, doit faire evoquer le diagnostic de la tuberculose de la region sellaire meme en l’absence de signes d’infection systemique.

Resume Objectif Analyser retrospectivement les facteurs de risque de survenue de toxicite neurologique apres radiotherapie pour cancer du nasopharynx. Patients et methodes Entre 1993 et 2004, 239 patients atteints d’un carcinome nasopharynge non metastatique ont ete traites par irradiation associee ou non a une chimiotherapie. La radiotherapie a ete delivree selon une modalite classique (cinq seances de 2 Gy par semaine) pour 157 patients et hyperfractionnee pour 82 patients. Une evaluation de la toxicite neurologique tardive a ete faite en fonction du stade tumoral, de l’âge, du sexe, des modalites d’irradiation et de l’association ou non de chimiotherapie. Resultats Avec un recul moyen de 107 mois (35–176 mois), 21 patients (8,8 %) ont ete atteints de complications neurologiques, a type de necrose temporale dans neuf cas, necrose du tronc dans cinq cas, myelite dans un cas et atrophie du nerf optique dans deux cas. Les taux de survie a cinq et dix ans sans complication neurologique etaient respectivement de 95 et 84 %. La jeunesse du patient a ete retrouvee comme facteur de risque de necrose temporale (p = 0,04) et l’irradiation hyperfractionnee a ete associee a un risque plus eleve de complications neurologiques (14,6 % contre 5,7 %, p = 0,02). La difference n’etait pas significative pour les autres facteurs. L’analyse multifactorille n’a retenu aucun facteur. Conclusion La toxicite neurologique est rare et tardive. La jeunesse du patient et l’hyper fractionnement ont ete retenus dans notre etude comme facteurs de risque.

Extradural arachnoid cysts are uncommon expanding lesions in the spinal canal, which may communicate with the subarachnoid space. Usually located in the lower thoracic spine, they may cause symptoms by compressing the spinal cord or nerve roots. We report a case of an extradural thoracic arachnoid cyst revealed by progressive spinal cord compression. CT myelography and MRI enabled diagnosis. Rapid neurological improvement was observed after surgical resection.

Central neurocytoma is classically recognized as an intraventricular benign brain tumour. Extraventricular localisation is rarer. We report two intraventricular neurocytoma and another bulbar extraventricular neurocytoma. Histologically, central neurocytoma presents remarkable likeness characteristics to oligodendroglioma, but immunohistochemical study distinguishes this tumour. Imaging appearances (CT, MRI) raise the diagnosis and immunohistochemical study confirm it. The purpose of our work is to assess the value of imaging (CT, MRI) in the diagnosis of central neurocytoma.

Summary Introduction Melanotic schwannoma is a rare benign tumor, which arises from nerve sheath cells. Melanotic differentiation is its most histologic characteristic. Case report We report a case of melanotic schwannoma arising in the temporozygomatic region for a man of 38-year-old. Outcome was favourable after tumor resection. Discussion This benign neoplasm occurs pronominally in spinal nerve roots. Craniofacial locations are rare. Most melanotic schwannomas are slow growing tumors, but prognosis can be poor because of local recurrence or malign behavior, especially when multiple lesions are present and/or involve the Carney complex.

Nutcracker syndrome is a rare cause of hematuria in children. Clinical signs relate to compression of the left renal vein between the aorta and the superior mesenteric artery. The diagnosis is suggested on cystoscopy, which reveals unilateral hematuria, and confirmed by imaging. We report the case of a 4-year-old child who presented nutcracker syndrome confirmed by CT angiography of the abdomen after excluding the other causes of hematuria. Through this observation, we emphasize the reality of this syndrome in children and the value of imaging in the evaluation of this rare affection.

Resume Introduction Le carcinome a cellules acineuses des cavites nasales est exceptionnel et souvent d’origine turbinale. Nous rapportons un cas de carcinome a cellules acineuses a point de depart septal et discutons des particularites de ce type histologique rare dans cette localisation. Observation Une femme de 47 ans, sans antecedents, a consulte pour une obstruction nasale droite associee a une hyposmie evoluant depuis une annee. Une lesion bourgeonnante non hemorragique occupait la fosse nasale droite et adherait au septum. Au scanner avec injection, la cavite nasale droite etait comblee par un processus tissulaire refoulant les cellules ethmoidales et le septum sans les envahir. La masse tumorale et la muqueuse septale adjacente ont ete otees par voie endonasale. Le diagnostic anatomopathologique a ete carcinome a cellules acineuses dont l’exerese etait complete. Les suites operatoires ont ete simples. Le traitement a ete complete par de la radiotherapie. Apres quatre ans de suivi, il n’y avait ni recidive locoregionale ni metastase. Discussion Le carcinome a cellules acineuses des fosses nasales est rare. Son point de depart septal est exceptionnel. Il siege habituellement au niveau des glandes salivaires. Le diagnostic est l’histologique et immunohistochimique. Le traitement curatif est chirurgical associe ou non a une radiotherapie. Le pronostic depend de l’extension tumorale et la qualite de resection.

Introduction et objectifs Etudier les caracteristiques epidemiologiques, cliniques, para cliniques et evolutives des spondylodiscites a pyogenes chez les diabetiques. Patients et methodes Il s’agit d’une etude descriptive retrospective portant sur 7 cas de spondylodiscites a pyogenes chez des diabetiques, colliges au service des maladies infectieuses entre 2005 et 2014. L’etiologie infectieuse a ete evoquee devant l’aspect radiologique et retenue apres une confirmation bacteriologique et/ou histologique. Resultats Il s’agissait de 5 hommes et 2 femmes d’âge moyen 66 ans. Quatre malades avaient un diabete non insulinodependant. Un contexte postoperatoire etait present dans 2 cas. Le delai moyen de diagnostic etait de 2 mois. La douleur rachidienne etait le symptome le plus frequent (71 %), suivie par le syndrome infectieux (28 %). Un deficit neurologique etait note chez 2 patients. Un syndrome inflammatoire biologique etait present dans tous les cas. Les germes isoles dans les hemocultures etaient : Staphylococcus aureus (1 cas), Streptococcus agalactiae (1 cas) et Enterococcus fecalis (1 cas). L’imagerie a montre une epidurite et/ou une compression medullaire (3 cas), et une atteinte des parties molles (4 cas). Une antibiotherapie a ete prescrite dans tous les cas sans recours au traitement chirurgical. Hormis un cas de deces precoce lie au terrain, l’evolution etait favorable dans les cas restants. Conclusions La spondylodiscite a pyogenes chez les diabetiques est rare. Elle n’a pas de particularite clinique hormis le terrain de diabete qui peut influencer le pronostic. Un diagnostic et une prise en charge precoces sont necessaires afin de prevenir les complications parfois redoutables.

Introduction – objectifs La neurobrucellose est une entite rare mais grave dont le pronostic depend de la precocite du diagnostic et du traitement. Le but de notre travail etait d’etudier le profil epidemiologique, clinique, paraclinique et evolutif de la neurobrucellose. Materiels et methodes Etude retrospective realisee entre 1990 et 2013. Le diagnostic de neurobrucellose a ete retenu devant une atteinte neurologique avec isolement de Brucella dans le liquide cephalo-rachidien (LCR) et/ou une serologie de Wright positive et/ou une hemoculture positive a Brucella . On a exclu les complications neurologiques secondaire a une spondylodiscite. Resultats Il s’agit de 15 cas (10 hommes et 5 femmes) ayant un âge moyen de 38,2 ± 17 ans. La consommation de lait cru etait notee dans 66 %. La fievre (86 %) et les cephalees (73 %) etaient les symptomes les plus frequents. Les formes cliniques etaient reparties en : meningite (9 cas), meningo-encephalite (2 cas), meningomyeloradiculite (2 cas), radiculite (1 cas) et myelite (1 cas). La serologie de Wright etait positive dans tous les cas. L’etude du LCR a revele une pleocytose a predominance lymphocytaire avec hypoglycorrachie et hyperproteinorrachie dans 10 cas. On a isole Brucella melitensis dans le LCR dans 5 cas. L’association d’antibiotique la plus utilisee etait la doxycycline, la rifampicine et le cotrimoxazole dans 8 cas. L’evolution etait favorable sans sequelle dans 11 cas. Un seul cas est decede. Conclusion Les manifestations cliniques de la neurobrucellose sont variees relatant les difficultes diagnostiques. Il faut l’evoquer devant tout tableau neurologique febrile surtout dans les zones d’endemicite.

Introduction – objectifs Etudier les caracteristiques epidemio-cliniques microbiologiques, radiologiques et therapeutiques des cas d’abces du cerveau (AC) a pyogenes. Materiels et methodes Etude retrospective des cas d’AC a pyogenes colligees dans le service de maladies infectieuses durant une periode de 24 ans (1990–2013). Resultats Soixante et onze cas (50 hommes et 21 femmes) d’âge moyen de 38,3 ans, ont ete inclus. Les tableaux cliniques les plus frequents etaient : Des troubles de l’etat de conscience febriles (40 %), des signes de focalisations neurologiques febriles (38 %) et un syndrome meninge febrile (29,5 %). Le scanner cerebral a ete pratique dans 93 % des cas et l’IRM dans 31 % des cas. Le scanner a ete normal ou a montre des lesions douteuses dans 12 cas. Dans ces cas l’IRM a permis de confirmer le diagnostic dans 83,3 % des cas. Les localisations les plus frequentes etaient : cerebelleuse (20 %) et parietale (18 %). L’AC etait secondaire a une infection oto-rhino-laryngologique (32,3 %), une septicemie (16,9 %) et une neuro-chirurgie (8 %). Une identification du germe a ete possible dans 57,7 % des cas (34 % de bacilles a Gram negatifs, 59 % de cocci a Gram positif et 7 % d’anaerobies). 60,5 % des patients ont eu un traitement medical seul. Une chirurgie a ete associee dans 38 % des cas. La guerison a ete obtenue dans 53,5 % des cas. 19,7 % des patients ont garde des sequelles et 18,3 % sont decedes. Conclusion Les AC a pyogene est une infection rare du systeme nerveux central qui demeure grave. Malgre les progres du domaine de la radiologie et la microbiologie et le raccourcissement du delai de prise en charge, la mortalite reste elevee.

Objectifs Preciser l’apport de l’imagerie dans le diagnostic et dans le suivi de l’otite externe maligne (OEM). Materiels et methodes Etude retrospective de 19 cas d’OEM. Nos patients etaient âges entre 55 et 73 ans ; 11 de sexe masculin. Dix huit patients etaient diabetiques et une sous corticotherapie. Une TDM a ete pratiquee pour tous les patients. Trois ont beneficie d’une IRM. Quatre patients ont beneficie d’une TDM apres traitement. Resultats La TDM a montre un comblement du CAE dans tous les cas avec lyse de l’os tympanal dans 13 cas ; une lyse de l’ATM dans un cas ; une extension a la base du crâne dans un cas et une infiltration des espaces profonds de la face dans deux cas. L’IRM a permis le diagnostic d’une infiltration de l’espace parapharynge dans deux cas. Un pseudomonas a ete trouve dans 9 cas, aspergillus (1 cas) et candida (1 cas). La TDM de controle (3 cas) a montre une regression des signes inflammatoires dans tous les cas et de la necrose osseuse dans 2 cas. Conclusion L’OEM est une affection grave a considerer chez le sujet diabetique. L’imagerie est d’un grand apport pour poser le diagnostic et pour etudier l’extension aux espaces profonds.

Objectifs Decrire les aspects radiologiques (radiographie standard, TDM et IRM) des sarcomes des maxillaires. Materiels et methodes Serie retrospective portant sur 14 cas de sarcomes des maxillaires : 10 femmes et 4 hommes d’âge variant entre 4 et 73 ans. Le motif de consultation etait une tumefaction genienne rapidement evolutive avec asymetrie faciale. Tous les patients ont ete explores par une radiographie panoramique et une TDM. Deux patients ont beneficie d’une IRM. Resultats Les localisations mandibulaires ont ete retrouvees dans 9 cas et maxillaires dans 5 cas. La radiographie standard et la TDM avait mis en evidence : une lesion lytique irreguliere (n = 5), expansive (n = 4) et mixte (n = 2), une reaction periostee spiculee (n = 2), une masse des tissus mous dans tous les cas avec extension intraorbitaire dans 2 cas. Le diagnostic de sarcome a ete confirme dans tous les cas par l’examen anatomopathologique : sarcome osteogenique (n = 4), sarcome d’Ewing (n = 1), chondrosarcome (n = 1), fibrosarcome (n = 1), hematosarcome : myelome (n = 2) et lymphome de Burkit (n = 3), rhabdomyosarcome (n = 2). Conclusion Les sarcomes des maxillaires sont rares. L’imagerie evoque le diagnostic et permet un bilan d’extension locale precis.

Objectifs Connaitre les caracteristiques cliniques des myelites, leurs etiologies, leurs particularites radiologiques en IRM et preciser les diagnostics differentiels. Materiels et methodes Serie retrospective portant sur 53 cas de myelites : 15 hommes et 38 femmes dont l’âge variait entre 4 et 70 ans, colliges durant une periode allant de 2004 a 2008. Tous les patients ont ete explores par une IRM cerebrale et medullaire pour un syndrome clinique de compression medullaire. Une PL a ete realisee dans 90% des cas. Resultats Les myelites inflammatoires comportaient : sclerose en plaque (n = 27), maladie de Behcet (n = 1), lupus erythemateux (n = 2), ADEM (n = 5), syndrome de Devic (n = 3). Les myelites infectieuses : HIV (n = 1), HSV2 (n = 1), zona (n = 1), tuberculose (n = 3), origine post vaccinale (n = 3), idiopathique (n = 7). Conclusion Les myelites sont rares. Les causes en sont multiples et necessitent une enquete etiologique rigoureuse. L’IRM avec injection de Gadolinium permet le diagnostic positif, elimine une compression medullaire et participe au diagnostic etiologique. La cause peut rester indeterminee.

Objectifs Preciser l’apport de l’imagerie dans le diagnostic des complications vasculaires apres transplantation renale. Materiels et methodes Etude retrospective sur 13 ans (1994 – 2007) a propos de 142 greffes d’un rein de donneur vivant (114 cas) ou de donneur en etat de mort encephalique (28 cas). Au cours de cette periode, 34 complications vasculaires ont ete observees soit un taux de 22,5 %. Les manifestations cliniques etaient non specifiques. Tous les greffons ont ete explores par une echographie couplee au Doppler. Un angioscanner a ete pratique dans 8 cas et une angio-MR dans 7 cas. Une arteriographie a ete realisee dans 11 cas. Resultats La moyenne d’âge etait de 31,3 ans (8-58). Le sex ratio etait de 2,1. La stenose de l’artere du greffon etait la complication vasculaire la plus frequente (44,1 %). Dans les autres cas, il s’agissait de thrombose de l’artere du greffon (8,8 %), thrombose de la veine du greffon (8,8 %), plicature de la veine du greffon (2,9 %), infarctus segmentaire (5,8 %), necrose corticale (8,8 %), faux anevrysme (11 %) et fistule arterio-veineuse (11 %). Conclusion L’imagerie joue un role preponderant pour etablir un diagnostic precoce des complications vasculaires de la greffe renale et orienter la prise en charge therapeutique.

Objectifs Evaluation des performances du scanner multicoupe (16 barrettes) dans la detection et la caracterisation des anevrysmes cerebraux intracrâniens par rapport a l’arteriographie et aux donnees operatoires. Materiels et methodes Etude retrospective de 19 patients : 18 patients explores pour une hemorragie meningee et un patient pour un syndrome d’hypertension intracrânienne. Le scanner a revele une hemorragie meningee dans tous les cas. Tous les patients ont tous beneficie d’un angioscanner cerebral et d’une arteriographie realises a un intervalle de 7 jours en moyenne. L’angioscanner etait realise avec un scanner 16 barrettes avec une resolution spatiale longitudinale de 0,6 mm. Tous les patients ont ete operes. Resultats Vingt anevrysmes ont ete retrouves a l’arteriographie et au scanner. Dans 16 cas un seul anevrysme a ete trouve. Deux patients ont presente chacun 2 anevrysmes. Dans un cas un anevrysme de 2 mm a ete detecte au scanner et n’a pas ete retrouve sur l’arteriographie realisee apres une semaine. La description du siege de l’anevrysme a ete concordante dans 19 anevrysmes. Conclusion Le scanner multibarrette est utile pour la detection des anevrysmes intracrâniens avec des resultats similaires a l’arteriographie. Il est moins invasif. Il peut etre indique en premiere ligne. L’arteriographie demeure indispensable dans les cas litigieux.

Objectifs Connaitre les particularites cliniques de la mastite tuberculeuse. Connaitre les differents aspects en imagerie (echo-mammographie, IRM) de la tuberculose mammaire. Connaitre la strategie diagnostique devant ses differents aspects en imagerie. Points cles La tuberculose mammaire est une entite rare meme en pays d’endemie. Elle est caracterisee par la diversite des formes cliniques. Le caractere recidivant est evocateur. Les aspects en imagerie ne sont pas specifiques. Son diagnostic est histologique.

Objectifs Presenter par une revue iconographique la radioanatomie, et les differentes pathologies de la loge caverneuse. Materiels et methodes Cours illustre de nombreux dossiers de patients suivis pour une symptomatologie orientant vers une atteinte de la loge caverneuse, ces patients ont ete explores par les differents moyens d’imagerie : IRM, TDM, et arteriographie cerebrale. Cette illustration est suivie d’une auto-evaluation a partir de cas radiocliniques. Resultats La loge caverneuse est une region anatomique complexe et carrefour. Une parfaite connaissance de la radio-anatomie sur les differents moyens d’imagerie s’impose pour bien comprendre la pathologie riche de cette region. L’IRM est l’examen de choix pour l’etude des differentes pathologies de la loge caverneuse. La TDM, depuis l’apparition de l’innovation multicoupe, a permis une meilleure exploration de la pathologie vasculaire. L’arteriographie garde toujours une place dans le traitement endovasculaire. Conclusion L’IRM constitue l’examen essentiel pour demystifier les differentes pathologies de la loge caverneuse. Correlee a l’analyse du tableau clinique et biologique, une fine etude semiologique IRM permet souvent de poser le diagnostic etiologique.

Objectifs Offrir un outil interactif, illustratif et pedagogique, d’autoenseignement de la pathologie de la hanche destine aux internes et aux specialistes de l’appareil locomoteur. Materiels et methodes CD-Rom lisible sur PC, comportant des images numerisees (120 figures et 9 sequences video). Les logiciels utilises sont : Mediator 7.0, ulead video studio plus, photoshop 2002. Resultats Cette presentation interactive traite de la semiologie clinique et radiologique de la hanche douloureuse chez l’adulte. Elle comporte plusieurs chapitres : un rappel anatomique, la semiologie clinique (differents temps de l’examen clinique sont expliques par des figures et des sequences videos), la semiologie radiologique normale et pathologique tres richement illustree, les differents tableaux radio-cliniques regroupes en pathologie articulaire (coxarthrose, coxite, osteochondromatose, retraction capsulaire, synovite villonodulaire, pathologie du bourrelet), pathologie osseuse (osteonecrose, algodystrophie, fracture de contrainte) et pathologie des parties molles, un chapitre de diagnostic differentiel. Une evaluation faite d’exercices et de cas cliniques suit chaque chapitre. Conclusion Ce CD-Rom constitue un outil d’aide pour une meilleure approche diagnostique d’une hanche douloureuse de l’adulte : circonstance clinique frequente et souvent problematique.

Objectifs Produire un outil d’auto-apprentissage des techniques d’imagerie des maxillaires, de leur radio-anatomie et de la semiologie radiologique standard, tomodensitometrique et IRM des differentes tumeurs des maxillaires. Materiels et methodes Ce travail est presente sous forme d’un CD-Rom multimedia lisible sur PC Pentium avec des donnees d’imagerie numerisees et travaillees sur Photoshop 7. Resultats Cette presentation interactive traite les aspects radiologiques des differentes tumeurs osseuses des maxillaires et comporte trois parties : un rappel de l’anatomie et de la radio-anatomie des maxillaires, semiologie radiologique generale suivie d’une etude analytique des differentes tumeurs et une auto-evaluation basee sur des cas cliniques colliges dans notre service. Conclusion La radiologie conventionnelle garde une place importante dans le diagnostic des tumeurs des maxillaires. La TDM et l’IRM permettent une meilleure caracterisation tissulaire des lesions ainsi qu’un bilan d’extension correct.

Objectifs Pedagogique interactif, outil d’auto-enseignement de la pathologie tumorale primitive rachidienne par les differents moyens d’imagerie. Materiels et methodes Word 2000 pour la redaction du texte. Photoshop pour le traitement des images. Macromedia flash pour la realisation du CD. Resultats Cette presentation se compose essentiellement de : rappel des techniques d’imagerie, rappel de la radio-anatomie normale (radiographies conventionnelles, TDM, IRM), syndrome tumoral rachidien, rappel des circonstances cliniques de decouverte, analyse des differentes tumeurs rachidiennes benignes et malignes, analyse des differentes pathologies pouvant representer un diagnostic differentiel et des pseudo-tumeurs. Apres chaque chapitre des questions et des cas radiocliniques sont proposes au lecteur auxquels il pourra repondre activement. Les reponses corrigees et le guide d’auto-evaluation lui permettront d’etablir son autocritique. Conclusion Ce travail est un kit informatique permettant un apprentissage et une auto-evaluation de l’imagerie des tumeurs vertebrales.

Objectifs Creation d’un outil pedagogique d’auto-enseignement interactif traitant la radio-anatomie normale de l’angle ponto-cerebel-leux et les differentes pathologies qui peuvent y sieger. Materiels et methodes CD-Rom lisible sur PC compatible – Pentium avec des donnees d’imagerie numerisees et travaillees sur photoshop. Resultats Ce CD-Rom comprend 3 parties : un rappel anatomique de l’angle ponto-cerebelleux avec correspondance de coupes anato-miques et de coupes IRM. Les differentes techniques d’exploration en insistant sur l’IRM et les nouvelles sequences. La pathologie de l’APC : tumorale, infectieuse, inflammatoire et vasculaire. La derniere partie de ce CD-Rom est consacree a l’evaluation des connaissances theoriques par l’etude de cas cliniques. Conclusion La pathologie de l’APC est variee. La pathologie tumorale est predominante. L’approche diagnostique de la pathologie de l’APC est revolutionnee par l’IRM.

Objectifs Creation d’un outil pedagogique d’auto-enseignement interactif traitant la radio-anatomie normale de l’angle ponto-cerebelleux et les differentes pathologies qui peuvent y sieger. Materiels et methodes CD-Rom lisible sur PC compatible – Pentium avec des donnees d’imagerie numerisees et travaillees sur Photoshop. Resultats Ce CD-Rom comprend 3 parties : un rappel anatomique de l’angle ponto-cerebelleux avec correspondance de coupes anatomiques et de coupes IRM. Les differentes techniques d’exploration en insistant sur l’IRM et les nouvelles sequences. La pathologie de l’APC : tumorale, infectieuse, inflammatoire et vasculaire. La derniere partie de ce CD-Rom est consacree a l’evaluation des connaissances theoriques par l’etude de cas cliniques. Conclusion La pathologie de l’APC est variee. La pathologie tumorale est predominante. L’approche diagnostique de la pathologie de l’APC est revolutionnee par l’IRM.

Objectifs Creation d’un outil pedagogique d’auto-enseignement des processus expansifs intra-orbitaire. Materiels et methodes Word 2000 pour la creation du texte. Photoshop pour le traitement des images macromedia pour la realisation du CD. Resultats Cette presentation comporte plusieurs parties: 1) Rappel anatomique de l’orbite et de son contenu. 2) Rappel des techniques d’imagerie (radiographies conventionnelles, echographie, TDM, IRM). 3) Analyse des differentes tumeurs et pseudo-tumeurs de l’orbite. 4) Une derniere partie consacree a l’evaluation des connaissances theoriques par des cas cliniques. Conclusion L’IRM constitue un examen essentiel dans l’exploration des masses orbitaires. Il est d’un grand apport dans le diagnostic positif, differentiel, topographique et dans le bilan d’extension.