Search

Resume L’objectif de ce travail etait de tester 1) l’effet de la qualite des donnees medico-administratives sur la comparaison des taux de mortalite hospitaliere ajustes, et 2) l’effet de l’adjonction de variables cliniques d’ajustement au systeme d’information medico-administratif sur la qualite de la prediction. L’etude a porte sur deux pathologies, l’ischemie myocardique aigue et l’insuffisance cardiaque congestive, prises en charge dans des services de cardiologie medicale. Les donnees analysees sont issues de la base de donnees PMSI de l’annee 1998 des hopitaux de l’Assistance publique–hopitaux de Paris. Les variables d’ajustement supplementaires non disponibles dans les donnees PMSI ont ete definies par un groupe de cardiologues. Les resultats mettent en evidence une sous-estimation importante de la comorbidite dans le recueil fait par les cliniciens, en particulier pour les comorbidites qui n’interviennent pas dans le groupage PMSI, mais qui permettent la description du terrain morbide des patients. Par ailleurs, malgre un taux de changement de GHM de 15 % apres recodage, la variation moyenne de points ISA (apres–avant recodage) n’est pas significativement differente de zero. Si les modeles de prediction de mortalite sont plus robustes apres recodage et adjonction de variables supplementaires, il y a peu d’impact de ces facteurs en termes de comparaison des taux de mortalite standardises (SMR).

The effects on long-term outcome in childhood acute lymphoblastic leukaemia (ALL) of the duration and the intensity of maintenance chemotherapy need to be assessed reliably. With this objective the Childhood ALL Collaborative Group coordinated a worldwide overview of all randomised trials that began before 1987.Individual patient data were sought for about 3900 children in trials of longer vs shorter maintenance (eg, 3 vs 2 years), 3700 in trials of intensive "reinduction" chemotherapy during maintenance, and 4400 in trials of various other questions, including 1300 in trials of pulses of vincristine and prednisone (VP) during maintenance. Analyses were of survival in first remission, overall survival, and cause-specific mortality.Deaths during remission were increased by longer maintenance (2.7 percent vs 1.2 percent), VP pulses (4.0 vs 3.2 percent), and intensive reinduction (4.8 percent vs 3.3 percent), but these increases were counterbalanced by reductions in relapses. Total events (relapse or death) were significantly reduced by longer maintenance (23.3 percent vs 27.6 percent), VP pulses (31.2 percent vs 40.4 percent) and intensive reinduction (27.8 percent vs 35.8 percent) (each 2p0.001). Many of those who relapsed were successfully re-treated, however, and only for intensive reinduction was overall survival significantly improved (18.5 percent vs 22.3 percent; 2p=0.01).Intensive reinduction chemotherapy in these trials produced an absolute improvement of about 4 percent in long-term survival; if the extra deaths in remission had been avoided, this would have been a 5 percent benefit. Further improvements in survival seem more likely to be obtained with intensive treatment than with longer low-level maintenance.

Objectifs Connaitre le projet de l’imagerie electronique de l’AP-HP. Points cles La realisation d’un PACS ‘partage’ au sein de l’assistance publique des hopitaux de paris. La base centrale des index images permettant de synchroniser les systemes « independents » sans replication des donnees. Resume Le projet « imagerie electronique » de l’Assistance Publique – Hopitaux de Paris se deroule depuis 2005 en plusieurs phases successives« transversales » a l’ensemble des hopitaux de l’AP-HP. Vingt solutions identiques de stockage des images medicales (une par hopital MCO) ont ete installees pendant la premiere phase. La deuxieme phase comprend simultanement la connexion des hopitaux SSR et la realisation d’une interface avec le dossier clinique permettant aux cliniciens d’acceder aux images stockees. Enfin la creation d’une base centrale d’index synchronisee de toutes les zones de stockage (sans aucune replication des donnees images) a ete realisee. Le systeme en place permet en 2008 le stockage « en ligne » en format DICOM lossless de toute la production d’imagerie de l’AP-HP pendant une periode minimale de 5 ans et l’acces pour un utilisateur autorise a un examen d’imagerie de l’AP-HP quelque soit son lieu de production.

Resume Le mode de financement des etablissements de sante va devenir mixte : Une partie est directement liee a l’activite, l’autre partie correspond a une dotation dans le cadre d’une mission d’interet general. 1- Le financement lie a l’activite repose sur trois types de recettes : - des recettes induites par des sejours de patients dans les centres hospitaliers. Ainsi, l’hopital ou la clinique peut etre beneficiaire ou deficitaire. - des recettes qui decoulent de prestations (consultations, prestations externes, urgences) et qui donnent lieu a l’octroi de forfaits annuels. - enfin le paiement par la tutelle des innovations, des medicaments, ainsi que de divers dispositifs medicaux. 2- Le deuxieme mode de financement est la dotation par deux enveloppes : l’une correspond a l’activite d’enseignement et de recherche. Les criteres d’attribution doivent etre definis en 2005 ou 2006. L’autre decoule de projets de contractualisation entre l’etablissement et la tutelle. Consequences pour l’imagerie medicale : A partir de l’evaluation des couts par GHM en fonction de la DMS, une evaluation des couts de l’imagerie par GHM a ete faite tenant compte du cout de chaque examen et du nombre d’examens prescrits. Il s’avere donc possible d’etablir des comparaisons par rapport a la moyenne nationale. Chaque responsable de pole medical ou chirurgical aura donc son budget clinique et medico-technique. On peut ainsi envisager l’etablissement de contrat avec l’imagerie visant a optimiser la productivite. Une bonne productivite doit permettre une diminution des durees de sejour par le raccourcissement des delais de rendez-vous des examens d’imagerie pour les malades hospitalises. L’ouverture des poles d’imagerie aux consultants externes ne s’envisage que dans la mesure ou la productivite pour les malades hospitalises est suffisante.

Resume L’AP-HP a opte de facon pragmatique pour un dossier image patient (DIP) en grande partie construit avant son systeme global d’information clinique (SIC) et auquel il sera secondairement fortement integre. Le SIC comprendra l’ensemble des fonctions actuellement assurees par son SIR (Systeme d’Information Radiolo-gique) : enregistrement des demandes, planification des rendez-vous, transmission des identifiants patients aux modalites productrices d’images, edition des comptes rendus, codification des actes … Le DIP de l’AP-HP comporte trois modules : (1) Stockage Local des Images (SLIM), au format Dicom sans perte, assure des 2006 sur tous les MCO, l’identification des images etant assuree par le SIR existant dans l’attente du SIC ; les cibles prioritaires ont ete l’imagerie classique (radiologie, medecine nucleaire), la connexion des autres producteurs d’images (endoscopie, ophtalmologie …) n’etant prevue qu’ulterieurement apres « dicomisation » des sources et realisation des interfaces ; (2) communication des images, sous la forme d’un acces aux images ou series d’images selectionnees, sans perte de qualite diagnostique, complete dans certains cas (services producteurs d’image par exemple) par des acces directs au SLIM ; 3) archivage des images qui sera developpe secondairement sur la base d’une politique institutionnelle.

Keeping a patient with fulminant hepatic failure (FHF) alive until a donor liver is available for transplantation can be a problem. We describe an 18-year-old woman with paracetamol-induced FHF, who was treated by total hepatectomy, hypothermia, plasma exchange, and extracorporeal liver support. The patient was anhepatic for 14 h. The liver-support system consisted of plasma separation and perfusion through a charcoal filter and a hollow-fibre module seeded with matrix-attached porcine hepatocytes. With artificial liver treatment there was reversal of severe neurological dysfunction, normalisation of intracranial pressure, and decreased serum ammonia. The patient underwent emergency transplantation with an ABO-incompatible liver, followed by transplantation with a compatible organ eight days later. The patient has fully recovered and is neurologically intact.

Hematopoietic reconstitution using autologous blood stem cells after high-dose chemoradiotherapy has been achieved successfully in patients with acute leukemias, 1–4 non-Hodgkin's lymphomas, 5–6 or solid tumors. 7 Some patients, however, had incomplete hematopoietic engraftment, which may be due to insufficient numbers of progenitors infused or to the recurrence of leukemic cells. 1,8,9 Thus, the question arises: Is there a safe minimum number of blood progenitors that will produce complete hematopoietic reconstitution following supralethal therapy? To answer this question, we reviewed the data from 46 patients who have undergone autologus blood stem cell transplantation (ABSCT) in six different centers in France.