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Abstract: This study was carried out in the grain quality laboratory of the Africa Rice Center in Benin to determine the physicochemical and cooking characteristics of some rice varieties consumed in Benin where is widely cultivated and consumed as a staple. The physicochemical properties of fifteen rice varieties, five imported, five previously cultivated in Benin and five upland varieties, newly developed by the Africa Rice Center were compared. Protein content ranged from 6.4 to 7.7% among the imported and previously cultivated varieties and from 10.6 to 10.8% among the newly developed varieties by the Africa Rice Center. The gel consistencies of the previously cultivated ranged from 6.0 to 71.3 mm with the exception of ADNY 11 which had a gel consistency of 100 mm while the imported and newly developed varieties had gel consistencies ranging from 95 to 100 mm. The cooking times differed among varieties. Two previously cultivated varieties – ADNY 11 and TOX LONG – had cooking times of less than 20 min while a newly developed variety, NERICA 1 had the longest cooking time of 26 min. It is suggested that greater attention be subsequently paid to grain quality characteristics in African rice breeding programs in order to meet consumer preferences on the continent. [Copyright &y& Elsevier]

L'indole est un des métabolites bactériens issus du tryptophane les plus concentrés dans le contenu luminal intestinal, à des concentrations millimolaires. Les effets biologiques de l'indole sont controversés : bien que l'indole, à des concentrations physiologiques, favorise le renforcement de la barrière intestinale [1] , son métabolite majoritaire [2] , l'indoxyl sulfate, produit dans le foie et dans le côlon par les cytochromes P450 [3,4] , est considéré comme une toxique urémique [5]. L'objectif de ce travail est donc d'évaluer les effets de l'indole sur un modèle de cellules épithéliales coliques. Des cellules de la lignée épithéliale colique HT-29 Glc± ont été exposées aux concentrations de 1 ou 2,5 mM pendant 48 h. La viabilité cellulaire a été évaluée par les tests MTT et LDH, le stress oxydant par le test DCFH et la mesure de l'expression des SOD par RT-qPCR, l'intégrité de l'ADN par le test des comètes et la respiration cellulaire par la consommation d'oxygène ; enfin, nous avons évalué l'expression de l'IL-8. L'indole est non cytotoxique dans les conditions utilisées. Bien qu'il n'induise pas de production significative d'espèces réactives de l'oxygène, on observe une induction de SOD1 et SOD2, ce qui pourrait indiquer que l'indole induit un stress oxydant compensé par l'induction d'enzymes antioxydantes. Le test des comètes montre une augmentation modeste de la quantité de cassures de l'ADN après exposition à 2,5 mM d'indole, alors que l'expression de XPC ou ATM n'est pas modifiée, ce qui indiquerait des dommages à l'ADN insuffisants pour induire les gènes impliqués dans la réparation de l'ADN. La respiration cellulaire n'est pas modifiée après exposition à 2,5 mM d'indole. Enfin, on observe une augmentation de l'expression d'IL8 après exposition à l'indole, ce qui suggère que ce métabolite pourrait participer au phénomène inflammatoire. L'indole, dans notre étude, présente donc, à des concentrations physiologiques, des effets génotoxiques et proinflammatoires sur les cellules épithéliales coliques. L'augmentation de l'expression des gènes codant pour les 2 isoformes de SOD pourrait correspondre à une adaptation des cellules vis-à-vis de l'indole. Des études complémentaires sur la lignée cellulaire CaCo-2 sont en cours pour étudier l'imapct de l'indole sur la fonction de barrière intestinale. [ABSTRACT FROM AUTHOR]