25 results on '"Ardizzone, M"'
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2. P10-07 The safety assessment of proteins in food: where do we stand?
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Dumont, A. Fernandez, Paoletti, C., Ruiz, J. Gomez, Ardizzone, M., and Lanzoni, A.
- Published
- 2018
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3. Repeated oral co-exposure to yessotoxin and okadaic acid: A short term toxicity study in mice.
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Sosa, S., Ardizzone, M., Beltramo, D., Vita, F., Dell'Ovo, V., Barreras, A., Yasumoto, T., and Tubaro, A.
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CYCLIC ethers , *TOXICITY testing , *LABORATORY mice , *ANTITOXINS , *POLYETHERS , *MARINE toxins - Abstract
Abstract: The polyethers yessotoxin (YTX) and okadaic acid (OA) are two marine algal toxins frequently associated as edible shellfish contaminants. Seafood contamination by these compounds, also at low concentrations and for a long period of time, can increase the possibility of their simultaneous and repeated ingestion, with possible synergistic toxic effects. Thus, in vivo toxicity by repeated oral exposure to a combination of fixed doses of YTX and OA (1 mg YTX/kg and 0.185 mg OA/kg, daily for 7 days) was investigated in mice, in comparison to that of each toxin alone. No mortality, signs of toxicity, diarrhea or hematological changes was induced by the toxins co-administration or by the single toxins. Light microscopy revealed changes at gastric level (multifocal subacute inflammation, erosions and epithelial hyperplasia) in 2/5 mice co-administered with the toxins. In animals dosed only with OA, epithelial hyperplasia of forestomach and slight focal subacute inflammation of its submucosa were noted. No changes were induced by the treatment with YTX. Ultrastructural analysis of the heart revealed some cardiomyocytes with “loose packing” of myofibrils and aggregated rounded mitochondria in mice co-administered with the toxins or with YTX; OA-treated mice showed only occasional mitochondrial assemblage and dilated sarcomeres. Thus, the combined oral doses of YTX (1 mg/kg/day) and OA (0.185 mg/kg/day) did not exert cumulative or additive toxic effects in mice, in comparison to the single toxins. [Copyright &y& Elsevier]
- Published
- 2013
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4. Spondylarthrite ankylosante et ostéoporose
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Ardizzone, M., Javier, R.M., and Kuntz, J.L.
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ANKYLOSING spondylitis , *JOINT diseases , *RHEUMATISM , *SPINE diseases , *BIOMARKERS - Abstract
Abstract: Purpose. – Ankylosing Spondylitis (AS) is an inflammatory rheumatism characterized by its disease course with flares leading to progressive ankylosis of the spine related to paravertebral ligamentous and discal structures ossification. AS patients suffer significantly more vertebral fractures than control groups. These fractures could affect cervical spine. They are due to either ankylosis-related flawed spine compliance or AS-induced osteoporosis. Current knowledge and key points. – The physiopathology of this osteoporosis is multi-factorial, but essentially linked to AS-related inflammatory phenomenons. It is marked by reduced bone density (at lumbar spine and femoral neck), increased bone turnover (with increased urinary C-telopeptide cross-linked collagen type 1), but without any significant change in phosphocalcic blood parameters. Histological features are depressed bone formation, with either maintained or increased resorption. Future prospects. – The screening of this osteoporosis is based upon investigating people at risk (progressive inflammatory AS) using dual-energy x-ray absorptiometry and biochemical markers of bone turnover. Treatment is based upon a modulation of both inflammatory phenomenons and bone remodelling using bisphosphonates and anti-TNF alpha. [Copyright &y& Elsevier]
- Published
- 2006
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5. The repeated-dose 90-day study oral toxicity study in rodents (OECD TG408) as a tool to investigate toxicological effects of the whole genetically modified (GM) food/feed: Differences from the 90-day study on chemicals and challenges.
- Author
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Lanzoni, A., Ardizzone, M., Martino, L., Favilla, S., and Paoletti, C.
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FOOD toxicology , *GENETICALLY modified foods , *TOXICITY testing , *FOOD testing , *CONSUMERS , *LABORATORY rodents - Published
- 2016
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6. Un cas rare de dysplasie osseuse: la Mélorhéostose
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Ardizzone, M., Khorshidi, P., Weitten, T., Sparsa, L., Durckel, J., Kuntz, J.L., and Afif, N.
- Published
- 2007
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7. Un lupus cutané subaigu induit par le léflunomide: efficacité de l'association Interleukine 1-Ra (anakinra) et chloroquine
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Sparsa, L., Ardizzone, M., Afif, N., Bertolini, E., Chatelus, E., Javier, R.-M., Lipsker, D., Kuntz, J.-L., and Sibilia, J.
- Published
- 2006
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8. Prise en charge d'une grossesse lupique: suivi standardisé de 46 grossesses lupiques
- Author
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Ardizzone, M., Sordet, C., Goetz, J., de Geeter, B., Langer, B., Kuntz, J.-L., and Sibilia, J.
- Published
- 2006
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9. Résultats d'un dispositif régional de reprise d'activité physique pour les RIC.
- Author
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Geneton, S., Messer, L., Demesmay, K., Walther, J., Ardizzone, M., Widawski, L., and Sordet, C.
- Abstract
Nos patients atteints de rhumatisme inflammatoire chronique (RIC). Le dispositif RAP (reprise d'activité physique) vise l'accompagnement des patients ayant un RIC dans les hôpitaux de Colmar, Mulhouse et Strasbourg. Sa création visant un accompagnement des patients, leur permettant de pratiquer une activité physique adaptée (APA). Programme sur 12 mois, débutant par une consultation multidisciplinaire, puis des séances en présentiel ou par vidéo, 2 fois par semaine pendant 3 mois. Puis, un bilan avec l'enseignant en APA est réalisé. À la suite de ce bilan, un contact mensuel est réalisé jusqu'à M6. À partir du bilan à M6, le patient est autonome dans sa pratique et sera revu à M9 et M12. Le but étant d'accompagner les patients vers une autonomisation de leurs pratiques physiques. Cent cinq patients inclus, 27 ayant une polyarthrite rhumatoïde (PR) et 78 ayant une spondyloarthrite (SA). À M0, 88 % des patients ont un traitement de fond, dont 69 % sous biothérapie. Au total, 37,5 % ont un traitement antalgique. Le DAS a une moyenne de 2,16 et le BASDAI de 4,03. Dix-huit pour cent des patients sont en surpoids et 24,7 % sont en obésité. Résultats au questionnaire de RICCI et GAGNON, mesurant l'activité physique au quotidien (x < 18 inactif et x > 18 : actif) : moyenne à 19/45 points, 44 % des patients sont inactifs et 48 % sont actifs. À noter qu'aucun patient est « très actif », pas de score supérieur à 35. Moyenne au test de marche 6 minutes (TM6) : 64 % de la valeur théorique. À M3, 84 patients, les données suivantes n'ont pas évolué : indice de masse corporel, activité de la maladie, le traitement de fond (dont biothérapie). Au total, 29,7 % des patients prennent des antalgiques. Résultats du RICCI et GAGNON : moyenne à 27/45 points, dont 70 % sont actifs ou très actifs. Moyenne au TM6 à 66 % de la valeur théorique. Dix-sept patients ont été perdus de vu, 3 patients ont déclaré manquer de temps et 1 patient manquer de motivation (n = 21). À M12, 41 patients, idem M3 sur les données n'ayant pas changé. Vingt-quatre pour cent des patients ont un traitement antalgique. Quatre-vingt-quatorze pour cent des patients (n = 39) sont actifs (n = 35) ou très actif (n = 1). Seulement 2 patients sont inactifs/moyenne au TM6 à 75 %. À la fin du dispositif, 57 ont arrêté le suivi (perdus de vue, manque de temps, manque de motivation...) mais à des temps différents du programme. Six patients sont encore entre M9 et M12. Le nombre de patients ayant arrête le dispositif est important, il est expliqué en partie par des difficultés organisationnelles notamment d'un centre (28 patients). Les résultats montrent qu'il est possible d'autonomiser les patients RIC dans leur pratique. Nous pouvons imaginer élargir ce dispositif à d'autres pathologies (maladie de Sjögren, sclérodermie...). La reprise d'activité physique adaptée régulière chez des patients ayant un RIC est possible et bénéfique. Cependant, on peut s'interroger sur les pistes d'amélioration des dispositifs de type « sport-santé », en orientant la réflexion sur les formats (présentiel, vidéo, visio, mixte) afin d'améliorer l'adhésion des patients à la pratique physique régulière. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2024
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10. Implémentation d'un Parcours « Lupus systémique » intégratif en Alsace.
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Scherlinger, M., Dieudonné, Y., Blaison, G., Dervieux, B., Ardizzone, M., Dahan, E., Morruzzi, C., Meyer, L., Barrand, L., Messer, L., Windstein, C., Walther, J., Dory, A., Riviere, M., Gonzalez, M., Carrier, C., Kleinlogel, S., Barthelemy, M., Chatelus, E., and Hinschberger, O.
- Abstract
Le lupus systémique (LS) est une maladie auto-immune rare dont la prise en charge diagnostique et thérapeutique implique de nombreux défis. Le délai diagnostique médian est de deux ans et l'absence de parcours de soin bien défini entraîne un retard diagnostique péjoratif et un vécu négatif par les patients. L'objectif de ce travail était d'évaluer de manière systématique les difficultés et freins rencontrés par les patients diagnostiqués d'un LS en Alsace afin d'y répondre par la création d'un parcours LS Alsace. Un groupe de travail pluriprofessionnel comprenant des médecins (rhumatologues, internistes, dermatologues, biologistes, médecins du travail) hospitaliers et libéraux, des pharmaciens, des paramédicaux (infirmiers), ainsi que des patients et représentants d'association de patients ont participé à ce travail. Chaque étape du parcours patient a été étudiée afin d'évaluer les freins et les leviers d'amélioration potentiels. Des solutions ont été discutées au sein du groupe et implémentées en vie réelle afin d'améliorer le parcours des patients. Trois axes principaux ont été identifiés par le groupe de travail : 1/ les délais et difficultés diagnostiques : une sensibilisation des médecins libéraux au LS a été réalisée par le biais de réunions de formations médicales continues et par la diffusion d'une fiche de symptômes/plaintes devant faire évoquer un LS (Fig. 1). Afin d'améliorer l'identification précoce des patients, une fiche d'aide à la prescription du bilan immunologique regroupant symptomatologie et explorations adaptées a été diffusée (Fig. 2). Le rendu des résultats immunologiques a été harmonisé à l'échelle de l'Alsace avec des commentaires permettant au prescripteur d'orienter au mieux le patient. Une ligne de télé-expertise OMNIDOC a été mise en place afin d'accompagner les libéraux dans l'orientation et l'aide à la prise en charge des patients. Enfin, une fois le diagnostic posé, une proposition de verbatim a été élaborée avec médecins et patients afin que l'annonce diagnostique soit la mieux vécue possible ; 2/ la prise en charge thérapeutique : un document formalisant un projet personnalisé de soin (PPS) a été élaboré pour permettre au patient d'avoir une vision globale de sa prise en charge (Fig. 3). En outre, une réunion de concertation pluridisciplinaire présentielle ou à distance a été renforcée afin de discuter des dossiers complexes (i.e., LS réfractaire, grossesse) ; 3/ prise en charge globale : une hospitalisation de jour modulaire est maintenant mise en place, proposant de manière personnalisée des entretiens médicaux, pharmaceutiques, kinésithérapiques, diététiques, d'activité physique adaptée, d'ergothérapie ou de médecine du travail. La prise en charge des comorbidités (ostéoporose, cardiovasculaire) et de la vaccination est également proposée. Enfin, le programme LS développé par l'équipe d'éducation thérapeutique (ETP) vient renforcer l'offre de prise en charge. L'impact de chaque élément du parcours lupus sera évalué par le biais de mesures quantitative et qualitative. Ce parcours intégratif vise à améliorer et à faciliter le diagnostic précoce et la prise en charge globale des patients atteints de LS en Alsace. Ce type de parcours pourrait être étendu à d'autres régions et d'autres pathologies afin de renforcer les parcours de soin. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2024
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11. Efficacité et tolérance de l'etanercept dans le rhupus: étude prospective de huit patients
- Author
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Sordet, C., Ardizzone, M., El Bouchti, I., Bertolini, E., Kuntz, J.-L., and Sibilia, J.
- Published
- 2006
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12. Ultrastructural damage to heart tissue from repeated oral exposure to yessotoxin resolves in 3 months
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Tubaro, A., Giangaspero, A., Ardizzone, M., Soranzo, M.R., Vita, F., Yasumoto, T., Maucher, J.M., Ramsdell, J.S., and Sosa, S.
- Subjects
- *
TOXINS , *ANTIGENS , *ABDOMEN , *RODENTS , *MICE - Abstract
Abstract: Yessotoxin (YTX), an algal toxin contaminating edible shellfish, was previously shown to induce ultrastructural changes in some cardiac muscle cells of mice after acute (1 and 2mg/kg) or daily repeated oral exposure (1 and 2mg/kg/day, for 7 days). Therefore, the temporal evolution of the ultrastructural myocardial alterations and the development of other signs of toxicity induced by a repeated daily oral administration of YTX (1mg/kg/day, for 7 days) to mice were evaluated within 3 months after the treatment. Symptoms, food consumption, body weight, gross pathology and histopathology of the main organs and tissues were observed, and plasma levels of transaminases, lactate dehydrogenase, creatinine and creatinine phosphokinase were measured. Heart, liver, kidneys and cerebellum were also analysed by transmission electron microscopy. In addition, the blood concentration of YTX was determined by a direct enzyme linked immunosorbent assay (ELISA) 24h after the last toxin administration. No mortality or other treatment-related changes, including histological or hematoclinical parameters, were recorded in mice administered with YTX. Similarly, electron microscopy did not reveal any ultrastructural alteration in the liver, kidneys, and cerebellum associated with YTX treatment. In contrast, changes in cardiac muscle cells near to the capillaries (clusters of rounded mitochondria and disorganization of myofibrils) were observed 24h after the treatment. These changes were also noted 30 days after the toxin administration, while after 90 days no differences in cardiac muscle cells between control and YTX-treated mice were observed, which indicated a recovery of the ultrastructural alterations induced by the toxin. [Copyright &y& Elsevier]
- Published
- 2008
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13. Efficacité de l'association de l'ETP individuelle et collective sur l'acquisition de compétences de sécurité des biothérapies sous-cutanées dans les RIC. Étude contrôlée, randomisée, multicentrique (ERIBIO)
- Author
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Fayet, F., Fan, A., Pereira, B., Béranger, M., Rodere, M., Pallot Prades, B., Peyrard, P., Pouplin, S., Grandjean, M., Lin, D. Chu Miow, Ardizzone, M., Cherillat, M.S., Tournadre, A., Beauvais, C., and Soubrier, M.
- Abstract
Les biothérapies sous-cutanées (SC) présentent un risque d'effets secondaires surtout infectieux chez les patients ayant un rhumatisme inflammatoire chronique (RIC). L'éducation thérapeutique (ETP) réalisée en individuel par une infirmière a montré son efficacité sur l'acquisition par les patients de compétences de sécurité vis-à-vis des biothérapies SC [1]. L'ETP réalisée en groupe n'a pas démontré son efficacité dans ce contexte. L'objectif de cette étude était d'évaluer l'efficacité à 6 mois de l'association ETP individuelle-ETP collective versus ETP individuelle seule sur l'acquisition de compétences de sécurité vis-à-vis des biothérapies SC chez les patients atteints de RIC. Essai thérapeutique prospectif, contrôlé, randomisé [1:1], multicentrique, en ouvert, à deux bras parallèles. Des patients atteints de polyarthrite rhumatoïde (PR) et de spondyloarthrite (SA) débutant une biothérapie SC ont été recrutés de janvier 2019 à novembre 2020 dans 7 services de rhumatologie. Tous les patients ont bénéficié d'une séance d'ETP individuelle à l'inclusion. Une séance d'ETP de renforcement a été réalisée à 3 mois en groupe dans le groupe interventionnel (GI) ou en individuel pour le groupe contrôle (GC). Les compétences étaient évaluées par le questionnaire validé BioSecure (cotation 0–100, un score plus élevé signifiant plus de compétences) explorant 7 domaines : infections, vaccinations, chirurgie, soins dentaires, adhésion au traitement, désir de grossesse, conservation du traitement [2]. Au total, 121 patients ont été inclus et analysés en intention de traiter : 25 % PR et 75 % SpA, avec un âge moyen de 45,9 ± 13,9 ans et une durée de la maladie de 5,9 ± 8,1 ans. Au total, 90 % étaient sous anti-TNF. À baseline , les patients étaient similaires dans les deux groupes. Le score de connaissances BioSecure n'était pas différent entre les groupes à l'inclusion : 66 ± 20,2 dans le GI, 70 ± 17,6 dans le GC. À 6 mois, il était de 81,9 ± 14 dans le GI versus 84,9 ± 9,6 dans le GC (p = 0,08) et à 12 mois : 80,6 ± 17,9 dans le GI versus 85,8 ± 9,9 dans le GC (p = 0,02). À 6 mois, les compétences se sont améliorées dans les deux groupes : 16 ± 17,9 (GI) (p < 0,001) vs 14,9 ± 16,3 (GC) (p < 0,001). Il en est de même à M12 : 14,7 ± 17,6 (GI) (p < 0,001) vs 15,8 ± 17,8 (GC) (p < 0,001). Aucune corrélation avec le score BioSecure n'a été mise en évidence avec le sexe, le niveau scolaire, la durée de la maladie, l'activité de la maladie, l'anxiété, la dépression, les peurs vis-à-vis de la maladie et des traitements et le faire face à la maladie. L'intervention n'a amélioré aucun des 7 domaines du questionnaire BioSecure par rapport au GC. L'éducation aux biothérapies, qu'elle soit individuelle ou collective, a été performante pour promouvoir les comportements de sécurité. L'association ETP individuelle-ETP collective est tout aussi efficace que l'ETP individuelle seule sur l'acquisition de compétences de sécurité des biothérapies à 6 mois. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2022
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14. Mise en place d'un dispositif régional de Reprise d'activité physique « RAP » pour les patients atteints de rhumatisme inflammatoire chronique.
- Author
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Sordet, C., Messer, L., Widawski, L., Demesmay, K., Ardizzone, M., Walther, J., and Geneton, S.
- Abstract
Si les progrès thérapeutiques ont été nombreux dans le domaine des rhumatismes inflammatoires chroniques, une prise en charge non médicamenteuse comme l'activité physique adaptée (APA) n'est pas systématiquement proposée aux patients, les bénéfices articulaires ou extra-articulaires de celle-ci ne sont pourtant plus à démontrer. Un des freins à cette prise en charge est l'absence de dispositif pour cette population de patient. mise en place d'un dispositif d'accompagnement à la reprise d'une APA régulière dans le parcours de soins dans le but d'autonomiser les patients dans cette pratique. Constitution d'un groupe de travail composé des rhumatologues, rééducateurs de chaque centre hospitalier associé à des enseignants en activité physique adaptée. Après revue de la littérature scientifique et du retour d'expérience de l'hôpital universitaire régional, création d'un parcours « activité physique adaptée » intégrée aux soins et aux parcours ETP « Rhin-RIC ». Une recherche de financement par différents partenaires a été faite en parallèle afin de financer un poste d'enseignant en activité physique adapté (EAPA) mutualisé pour les 3 centres. Création d'un dispositif appelé RAP « Reprise d'Activité Physique » d'une durée de 9 mois dans les services de rhumatologie de Colmar, Mulhouse et Strasbourg. Les patients doivent être majeurs et atteints de rhumatisme inflammatoire chronique quel que soit leur traitement et l'activité de la maladie. L'adressage est fait part le rhumatologue traitant qu'il soit libéral ou hospitalier. Après un entretien pharmaceutique et un bilan physique complet permettant entre autres de vérifier l'absence de contre-indications médicales à la pratique d'activité physique, l'EAPA évalue les freins, les motivations mais aussi les capacités physiques du patient afin de lui proposer un programme spécifique d'activité personnalisée (2 séances/semaines de 1 h à 1h30). La pandémie Covid a demandé une adaptation du dispositif, et notamment la création de support vidéo, le présentiel ne pouvant toujours être mis en place. Après 3 mois, l'EAPA revoit le patient pour lui proposer la poursuite dans le dispositif en « semi-autonomie », un carnet patient lui est alors remis, le suivi des activités physiques se faisant à distance par des contacts téléphoniques mensuels. Après 6 mois, le patient est en total autonomie. Un bilan complet du patient mais également des activités physiques est fait à l'issue des 9 mois. Ce dispositif mixte distanciel/présentiel permet de la proposer à des patients habitant même loin de l'hôpital. Les limites du dispositif « tout en distanciel » sont entre autres le niveau de littératie numérique et le manque du lien social habituellement crée entre les patients quand les activités sont faites en présentiels. Les limites du modèle présentiel sont plus d'ordre organisationnel : disponibilité, horaire, déplacement des patients. L'accompagnement des patients ayant un RIC dans le cadre du dispositif régional RAP est unique en France. En distanciel ou en présentiel, l'APA semble pouvoir s'intégrer au parcours de soins du patient comme le parcours ETP régional « RHIN-RIC » depuis plus de 10 ans. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2021
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15. Évaluation des comorbidités par les rhumatologues dans une population de patients atteints de polyarthrite rhumatoïde.
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Mauchamp, A., Sparsa, L., Ardizzone, M., Zaiter, M., Roos, C., Schmidt, C., Dahan, E., Khorshidi Schilausky, P., Bernad, B., and Afif, N.
- Published
- 2014
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16. Réactions cutanées paradoxales sous traitement par tocilizumab.
- Author
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Sparsa, L., Afif, N., Bularca, S., Fricker, A., Thiebault, S., Dahan, E., Wendling, D., Sibilia, J., and Ardizzone, M.
- Abstract
Introduction: Tocilizumab (TCZ) is a humanized antihuman interleukin (IL)-6 receptor antibody recommended for the treatment of moderate to severe active rheumatoid arthritis, adult-onset Still disease, Castleman disease and more recently, systemic juvenile idiopathic arthritis. Like anti-TNFα, rituximab and less frequently abatacept, TCZ can induce paradoxical cutaneous eruption like psoriasis with predominantly palmoplantar presentation. Case report: We report a 47-year-old woman with psoriastic arthritis who developed under anti-TNFα therapy and later under tocilizumab a paradoxical palmoplantar eruption. Conclusion: The specific underlying mechanisms of this side effect are unclear but relapse of these lesions seems to be observed with certain biological agents. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2014
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17. Acute oral toxicity in mice of a new palytoxin analog: 42-Hydroxy-palytoxin
- Author
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Tubaro, A., Del Favero, G., Beltramo, D., Ardizzone, M., Forino, M., De Bortoli, M., Pelin, M., Poli, M., Bignami, G., Ciminiello, P., and Sosa, S.
- Subjects
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ALGAL toxins , *LACTATE dehydrogenase , *AMINOTRANSFERASES , *BIOMARKERS , *HEMOLYSIS & hemolysins , *CREATINE kinase , *EPIDEMIOLOGY , *ERYTHROCYTES , *LABORATORY mice - Abstract
Abstract: The acute oral toxicity of a new palytoxin congener, 42-hydroxy-palytoxin (42-OH-PLTX), was investigated in female CD-1 mice. The toxin (300–1697 μg/kg), administered by gavage, induced scratching, jumping, respiratory distress, cyanosis, paralysis and death of mice, with an LD50 of 651 μg/kg (95% confidence limits: 384–1018 μg/kg) within 24 h. Hematoclinical analyses showed increased plasma levels of lactate dehydrogenase and aspartate-aminotransferase at doses of 600 μg/kg and above, as well as of alanine-aminotransferase, creatine phosphokinase and potassium ions at ≥848 μg/kg. Histology revealed inflammatory lesions in the non-glandular area of the stomach of mice that survived up to 24 h after gavage (424–1200 μg/kg). Although no histological alterations were seen in skeletal and cardiac muscles, changes in some plasma biomarkers (creatine phosphokinase, lactate dehydrogenase) suggested involvement of these tissues in 42-OH-PLTX oral toxicity, in agreement with epidemiological data on seafood poisonings ascribed to palytoxins. Complete recovery of the tissue and hematological changes was observed two weeks post-exposure. Furthermore, 42-OH-PLTX induced in vitro delayed erythrocyte hemolysis at concentrations similar to those of PLTX (EC50 = 7.6 and 13.2 × 10−12 M, respectively). This hemolysis could be completely neutralized by a monoclonal anti-PLTX antibody. The in vivo data, together with the in vitro data recorded for 42-OH-PLTX, seem to indicate Na+/K+-ATPase as one of the key cellular targets of this toxin. [Copyright &y& Elsevier]
- Published
- 2011
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18. Palytoxin toxicity after acute oral administration in mice
- Author
-
Sosa, S., Del Favero, G., De Bortoli, M., Vita, F., Soranzo, M.R., Beltramo, D., Ardizzone, M., and Tubaro, A.
- Subjects
- *
TOXICOLOGY , *LABORATORY mice , *SEAFOOD poisoning , *RESPIRATORY distress syndrome , *PARALYSIS , *CREATINE kinase , *LACTATE dehydrogenase , *ASPARTATE aminotransferase , *INFLAMMATION - Abstract
Abstract: The acute oral toxicity of palytoxin (PLTX), a highly toxic compound associated with seafood intoxication in tropical and subtropical areas, was investigated in mice. After gavage administration (300–1697μg/kg) to groups of five female CD-1 mice, signs of toxicity and lethality were recorded for 24h. The LD50 was 767μg/kg (95% confidence limits: 549–1039μg/kg) and the main symptoms observed were scratching, jumping, respiratory distress and paralysis. Hematoclinical analyses showed increased levels of creatine phosphokinase and lactate dehydrogenase at doses of 600μg/kg and above, and aspartate transaminase at 848μg/kg and above. Histological analysis revealed acute inflammation of the forestomach in mice surviving up to 24h after administration (424–1200μg/kg). Other histological alterations were observed in the liver and pancreas, while cardiac and skeletal muscle cells revealed only ultrastructural alterations visible by transmission electron microscopy. Ultrastructural and hematoclinical findings suggest an involvement of skeletal and/or cardiac muscle as targets of PLTX, according to the observed human symptoms. A NOEL of 300μg/kg can be estimated from this acute oral toxicity study. [Copyright &y& Elsevier]
- Published
- 2009
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19. Pas de plaie mais une bosse!
- Author
-
Perrin, A.E., Ruellan, A., Ardizzone, M., Wicky, C., Schlienger, J.L., and Goichot, B.
- Published
- 2002
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20. Ce que nous apprennent nos HDJ sur la réponse vaccinale anti-SARS-CoV-2 différente sous traitements ciblant les lymphocytes B et T par rapport aux traitements anti-cytokiniques.
- Author
-
Felten, R., Geoffroy, M., Bolko, L., Duret, P.M., Desmurs, M., Fan, A., Couderc, M., Messer, L., Ardizzone, M., Ahmed Yahia, S., Minniti, L., Javier, R.M., Meyer, A., Chatelus, E., Pijnenburg, L., Arnaud, L., Soubrier, M., Gottenberg, J.E., and Salmon, J.H.
- Abstract
Les études vaccinales de grande ampleur et les registres apportent des résultats précieux mais souvent de manière retardée par rapport à l'urgence pandémique. Les perfusions de biologiques intraveineux en hôpital de jour (HDJ) permettent de garantir un recueil de données fiables en temps réel. C'est ainsi que nous avions mis en évidence le surrisque d'une forme grave de COVID-19 sous rituximab. Nous avons souhaité étudier l'impact des bDMARDs sur la réponse vaccinale humorale des patients suivis en HDJ. Nous avons étudié la réponse vaccinale après un schéma vaccinale complet, 2 ou 3 doses de vaccin, suivis en hôpital de jour dans 5 centres hospitaliers français et traités par un biomédicament intraveineux entre septembre 2019 et août 2021. Après information et consentement des patients, nous avons inclus ceux disposant ou acceptant de réaliser une sérologie anti-SARS-CoV-2. Les patients étaient considérés comme non-répondeurs si le taux d'anticorps détecté était inférieur au seuil de positivé du kit utilisé. Sur les 925 patients suivis en HDJ dans les 5 centres, les données préliminaires de 205 patients sont disponibles (148 F/57 H). L'âge médian était de 64 ans (Interquartile Range [IQR] 56–71). 25 étaient traités par tocilizumab (TCZ), 36 par abatacept (ABA), 53 par infliximab (IFX) et 91 par rituximab (RTX). 156 étaient traités pour une PR, 33 pour une spondyloarthrite et 16 pour une autre pathologie (connectivite n = 5, myosite n = 3, vascularite n = 2, arthrite juvénile idiopathique n = 2, autres n = 4). 25 patients étaient co-traités par corticoïdes, 126 par csDMARDs et 2 par d'autres immunossuppresseurs (aziathioprine). Trois quarts des patients traités par RTX ont débuté leur schéma vaccinal plus de 4 mois après leur dernier cycle de traitement. Un total de 23 patients avaient un antécédent de COVID-19 confirmé (par PCR ou sérologie). Un total de 169 patients ont été vaccinés par Pfizer, 16 par Astra-Zeneca, 14 par Moderna, 5 par Janssen et un par Astra-Zeneca puis Pfizer. Un total de 167 patients ont bénéficié d'une sérologie après 2 doses de vaccin (ou un schéma vaccinal complet en cas de COVID-19 préalable). Parmi eux, 28 (16,8 %) étaient non-répondeurs. Il n'y avait pas de différence en fonction de l'âge (p = 0,24) ou du sexe des patients (p = 0,51), du type de pathologie ou du co-traitement par corticoïdes ou csDMARD. La réponse vaccinale était différente en fonction du bDMARD utilisé (p = 0,0003) : aucun patient traité par IFX (0/42) n'était non-répondeur, un seul sous TCZ (1/25, 4 %) contre 25 % sous ABA (8/32) et 27,9 % sous RTX (19/68). Un total de 94 % des non répondeurs après 2 ou 3 doses de vaccin avaient été traités par RTX ou ABA. Chez les patients traités par rituximab, le délai entre la dernière perfusion et la première dose de vaccin était significativement plus courte chez les non-répondeurs (médiane 4,3 IQR [2,9–6,1] mois chez les non-répondeurs versus 8,4 IQR [5,7–14,5] chez les répondeurs, p = 0,0007). La diminution de réponse vaccinale post-ABA ou RTX étaient similaires après 3 doses de vaccin (56 patients), 25 % de non répondeurs sous ABA (1/4), 25 % sous RTX (10/40) contre 19 % sous IFX (9/11) et aucun sous TCZ (0/1). 18 des 56 patients ont bénéficié d'une sérologie après 2 doses et également après 3 doses de vaccin. 7 étaient non-répondeurs après 2 doses (6 RTX et 1 TCZ). Parmi eux, 5 sont restés non-répondeurs après leur 3e dose, tous traités par RTX. L'ABA et le RTX altèrent la réponse vaccinale anti-SARS-CoV-2 : associés à 94 % des non-réponses vaccinales. La réponse vaccinale est altérée si un délai suffisant n'est pas respecté entre la perfusion de RTX, permettant une repopulation lymphocytaire B, et la vaccination. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
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- 2021
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21. Dispositif régional de Reprise d'activité physique « RAP » pour les patients atteints de rhumatisme inflammatoire chronique : 1ers résultats à 3 mois.
- Author
-
Sordet, C., Messer, L., Demesmay, K., Ardizzone, M., Walther, J., Widawski, L., and Geneton, S.
- Abstract
Mise en place d'un dispositif d'accompagnement de reprise d'activité physique « RAP » pour les patients ayant un rhumatisme inflammatoire chronique (RIC) au sein des hôpitaux de Colmar, Mulhouse, Strasbourg depuis octobre 2020. Il se déroule en 3 phases de 3 mois, lui permettant après une 1ère période de pratique d'activités physiques supervisées (2 fois/semaines d'une durée de 1 h à 1h30), d'être accompagné vers une pratique autonome. L'objectif final étant diminuer la sédentarité et augmenter le temps hebdomadaire d'activité physique chez les patients RIC. Inclusion des patients majeurs avec un RIC sans contre-indication médicale à la pratique d'APA. A M0 et M3, les données sociodémographiques, le niveau d'activité du RIC, EVA douleur, Fatigue, la prise de traitement de fond, d'antalgique, le test de marche de6 mins, les poussées du RIC sont recueillies. Des entretiens semi directifs menés par l'enseignant en activité physique adaptée permettent de recueillir le vécu des patients. Séances d'activités physiques présentielles ou distancielles (contrainte COVID) réalisées par un enseignant en activité physique adapté (EAPA) 62 patients (24 hommes et 38 femmes) bénéficiaires de « RAP » en 8 mois. L'âge moyen est de 46,9 ans. 49 ont une spondyloarthrite (SA), 13 ont une polyarthrite rhumatoïde (PR). À M0, BASDAI moyen à 3,92, médiane à 3,8, DAS 28 moyen à 2,22, médiane à 2,25. Moyenne de l'EVA douleur est 3,78 (0–8,5), Médiane est 4, moyenne de l'EVA fatigue est à 5,39 (0–9,5), médiane est 6. 91 % des patients ont un traitement de fond classique ou biologique. 60 % (n = 37) prennent des antalgiques ou AINS. Le test de marche de 6 min est en moyenne à 65,59 % de la valeur théorique. Le résultat moyen du questionnaire de Ricci Gagnon est de 21,86, 16 patients considérés comme inactif (score < 18). À M3, 37 dossiers analysés. DAS Moyen est 2,1, BASDAI moyen à 3,71. Les moyennes des EVA douleur et fatigue, sont respectivement de 3,47 et 5,21. 25 patients ne rapportent aucune poussée, 11 signalent 1 à 2 poussées en 3 mois. Le dispositif RAP permet d'intégrer l'APA dans le parcours de soin du patient RIC. Les patients bénéficiaires étaient en activité faible du rhumatisme mais avec un niveau de fatigue important. Le programme d'APA n'a pas engendré d'aggravation du rhumatisme (DAS 28, BASDAI, EVA douleur fatigue stables). Donnés superposables à la littérature scientifique. Le dispositif en distanciel a permis de « recruter » des patients habitants loin du centre hospitalier référent. Si en distanciel, le coté organisationnel semble plus simple pour les patients, ses limites sont entre autres le niveau de littératie numérique, et le manque de lien social qui est plébiscité par les patients lors des séances présentielles. Les retours patients sont très positifs tant sur le fond et la forme du dispositif. Ils apprécient les compétences spécifiques des enseignants en activité physique adapté. Les 1ers résultats sont encourageants, le dispositif RAP distanciel ou présentiel permet aux patients RIC de reprendre une APA. Les données de suivi à 6 et 9 mois lors de l'autonomisation seront très intéressantes et représentent le 2ème challenge de RAP. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
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- 2021
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22. Wild rats as urban detectives for latent sources of asbestos contamination.
- Author
-
Ingravalle, F., Ceballos, L.A., D'Errico, V., Mirabelli, D., Capella, S., Belluso, E., Pezzolato, M., Bozzetta, E., Dondo, A., Di Blasio, A., Meistro, S., Vizio, C., Fraccaro, E., Ardizzone, M., Seghesio, A., and Ru, G.
- Abstract
Based on a large body of evidence asbestos minerals have been classified as carcinogens. Despite the Italian ban on asbestos in 1992 and the subsequent remediation activities, latent sources of contamination may still represent a hazard where asbestos were particularly used. Using wild rats as sentinel animals, this study aimed at uncovering sites with the greatest potential for non-occupational exposure to asbestos in the city of Casale Monferrato (Piedmont Region, Italy), where the largest Italian manufacturing plant of asbestos-cement had been active. During the study period (2013–2015) a total of 40 wild rats were captured from 16 sampling capture points. The lungs of wild rats have been investigated by using scanning electron microscopy (SEM) with energy dispersive spectroscopy (EDS). The SEM-EDS detected the presence of asbestos fibers (tremolite/actinolite, amosite, and chrysotile) in rats' lungs from 11 sampling points. The hypothetical rats' home-range and the observed site-specific concentration of asbestos fibers per gram of dry lung tissue were used to identify areas to be targeted by additional search of latent sources of asbestos. In conclusion, our results showed that the use of wild rats as sentinel animals may effectively integrate the strategies currently in use to reduce the exposure to asbestos. Unlabeled Image • Wild rats were used as sentinels of asbestos latent sources contamination. • Measurement of the lung asbestos fiber burden was conducted by SEM-EDS. • Different asbestos fibers species were found in rats' lungs living in an Italian city. • The concentration of fibers was spatially associated with the rats' capture points. • Based on the home-range of rats, we suggest a hot-spot of latent sources of asbestos. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Published
- 2020
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23. Caractéristiques clinicobiologiques et radiologiques du rhupus : résultats d’une cohorte de 28 patients
- Author
-
Sparsa, L., Sordet, C., Chatelus, E., Chifflot, H., Blaison, G., Ardizzone, M., Goetz, J., Durckel, J., Gottenberg, J.-E., and Sibilia, J.
- Published
- 2010
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24. Un syndrome de Vogt-Koyanagi-Harada induit par anti TNFα
- Author
-
Bertolini, E., El Bouchti, I., Sordet, C., Ardizzone, M., Sparsa, L., Kuntz, J.-L., and Sibilia, J.
- Published
- 2006
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25. Les glomérulopathies membrano-proliférative: une manifestation du POEMS syndrome? à propos d'un cas
- Author
-
El Bouchti, I., Noel, N., Sordet, C., Ardizzone, M., El Alaoui, Z., Caillard, S., Moulin, B., Kuntz, J.-L., and Sibilia, J.
- Published
- 2006
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