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Après avoir exposé les principes de base du GPS et les techniques de mesure, quelques exemples sont donnés pour l'élaboration d'un plan

Les retraits linéaires de séchage sont les principaux indicateurs du comportement du bois durant le séchage puis après mise en oeuvre, lors de variations des conditions ambiantes d'utilisation. Leur détermination en laboratoire fait l'objet d'un protocole normalisé (norme NF B 51-006) qui nécessite l'emploi d'éprouvettes de grande section (40 à 50 mm de côté). En pratique, ces caractéristiques doivent parfois être mesurées sur des échantillons de dimension réduite et les résultats obtenus doivent pouvoir être comparés à des valeurs standard. Cela est notamment nécessaire dans le cadre d'études de variabilité lorsque les bois disponibles sont de petit diamètre, ou pour étudier les évolutions radiales de propriétés (influence du bois juvénile ou du bois de tension sur ces caractéristiques). Pour étudier l'effet d'échelle sur les mesures de retrait de séchage, 7 barreaux de 4x4cm de section ont été prélevés longitudinalement à différentes positions sur la section d'un billon de Xanthocercis rabiensis (bois gabonais). Dans chaque barreau, les retraits linéaires ont été mesurés sur 4 lots de 3 éprouvettes de taille différente (4x4xlcm, 2x2xlcm et 2x2x5 cm) prélevées côte à côte longitudinalement de façon à obtenir des résultats directement comparables entre eux. L'analyse des résultats de ces mesures a montré que les valeurs de retraits transverses mesurés simultanément sur les éprouvettes de 4x4xl cm et 2x2xl cm ne sont pas significativement différentes, alors que les barreaux de 2x2x5 cm, sur lesquels sont mesurés parallèlement les retraits longitudinaux, donnent des valeurs plus faibles. Par ailleurs, le point de saturation des fibres (PSF), très bon indicateur de la stabilité d'un bois après mise en oeuvre, a été déterminé par mesure comparative des variations dimensionnelles dans le plan transverse et des variations de volume d'éprouvettes initialement saturées puis séchées et stabilisées successivement à cinq états d'équilibre hygroscopique différents (22%, 18%, 12%, 6%, état anhydre). L'analyse des corrélations entre les valeurs obtenues laisse entrevoir de sérieuses perspectives de simplification de la méthode de mesure du PSF en essai de routine pour les campagnes de caractérisation à venir.

Ce rapport reprend les faits marquants des années 1991 à 1994 tant pour les programmes de recherche que pour les opérations ponctuelles. Une gestion des données a été mise en oeuvre

Ce rapport fait le point sur les activités du programme plantations en Guyane en 1995 et sur les prévisions 1996

A la demande du Service National de Reboisement du Congo, l'UAIC a contribué à l'inventaire des plantations de pins et d'eucalyptus de Loudima. Ces mesures avaient pour but d'élaborer des tarifs de cubage correspondants

L'essai a été installé à Korhogo en 1988. Il compare 8 provenances d'Eucalyptus camaldulensis Dehn. Après une description des conditions d'essai et du dispositif expérimental, des auteurs analysent les mesures annuelles. Celles-ci permettent de retenir trois provenances ayant un accroissement annuel moyen supérieur à 10 m3/haan. Ce sont les provenances Petford et Gilvert River in et ex situ. Ces provenances sont également celles qui présentent les meilleures caractéristiques de forme.

Mis en place en septembre 1975 dans le périmètre de reboisement du Plateau de Tango, cet essai avait pour but de tester différentes provenances de Pinus caribaea var. hondurensis, var caribaea, var bahamensis, P. oocarpa et P. elliottii

Cet essai concerne 22 croisements contrôlés et 3 témoins. Le dispositif est en blocs complets randomisés avec 5 blocs et 20 plants par parcelles. Une analyse de variance concernant uniquement les croisements contrôlés montre l'existence d'un effet bloc à peine significatif et d'un effet traitement très significatif

Mise en place de tarif de cubage à partir d'analyse statistique issue d'un échantillonnage. Liste des arbres mesurés. Explication des différentes équations

L'objectif de cet essai est triple : comparer quelques descendances des meilleurs arbres présents dans les parcelles, conservatoire de Mopri 83, estimer l'héritabilité sur certaines provenances, transformer ultérieurement l'essai en parcelle semencière de qualité. Nous présenterons tout d'abord la récolte de graines réalisée pour la mise en place de cet essai, puis le protocole et enfin la mise en place proprement dite

Ce document présente les premiers tarifs de cubage établis pour Afzelia africana (Lingué) en Nord Côte d'Ivoire. 7 tarifs à une ou deux entrées, établis par régression pondérée, permettent l'estimation des volume total, volume grume et volume bois de feu. Ils permettent également de déterminer l'intervalle de confiance de l'estimation de ces volumes. Des graphiques ainsi que des tables de cubage à une ou deux entrées sont joints en annexe

Les résultats des essais TD 426, 427 et 428 à 74 mois et leur comparaison avec ceux du TD 232 à 10 ans montrent, en dépit des réserves liées aux perturbations des dispositifs, l'existence de parents à bonne AGC pour la vigueur

Ce document présente quelques relations dendrométrique préliminaires pour les 6 espèces secondaires : Bombax costatum Pellegr. et Vuillet Detarium microcarpum Guill. et Perr. Lophira lanceolata Van Thiegh. ex Keay Parkia biglobosa (Jacq.) Benth Prosopis africana (Guill., Perrot et Rich.) Taub -Vitellaria paradoxa Gaertn

Il s'agit du bilan des analyses statistiques mesure des plantations d'Eucalyptus et Acacia introduits

Le document établit un sommier de cet ensemble et tire les premiers éléments de conclusion relatif au criblage des premières essences testées à ce jour. Certaines de ces dernières se montrent particulièrement intéressantes

Les essais de comparaison de provenances de limba 81-13 et 81-20, installés à N'gouha 2, en décembre 1981 permettent de comparer une origine "fraké", représentée par la provenance ivoirienne Gregbeu, à une origine "Limba" sensu stricto, représentée par la provenance N'gouha 2

L'Office National des Forêts et le CIRAD-Forêt assurent depuis 1989 le suivi d'un dispositif expérimental constitué de cinq parcelles réparties entre 20 m et 900 m d'altitude. Le document établit un sommier de cet ensembe et tire les premiers éléments de conclusion relatifs au criblage des premières essences testées à ce jour. Certaines de ces dernières se montrent particulièrement intéressantes

Dans le cadre de l'appui semestriel au Programme AMV, il s'agissait de : Faire le point sur les sélections et greffage Eucalyptus 93, préparer un programme de pollinisation contrôlée et lancer les premières opérations, passer en revue l'ensemble des opérations 1993 et préparer un programme d'interventions en éclaircies, mensurations, etc..

La Province Sud de Nouvelle Calédonie a confié au CIRAD-Forêt/NC la réalisation de l'inventaire forestier d'exploitation du versant Sud-Est de Table Unio. Le CIRAD-Forêt/NC a réalisé la phase de terrain, le dépouillement des données et la rédaction du rapport entre Août et Décembre 1993

Ce rapport concerne le protocole de saisie et de traitement des données relatives à l'inventaire des périmètres de forêt naturelle en Côte d'Ivoire : Mopri, Téné, Irobo

Ce document fait l'inventaire des mesures de parcelles de Cedrela odorata et analyse les croissances des différentes provenances selon des critères phénotypiques et génotypiques

La Province Sud a confié au CIRAD-Forêt, Centre de Nouvelle Calédonie, la réalisation d'un inventaire forestier d'exploitation pour l'ensemble des forêts de la Vallée de la Pourina et un massif contiguë de la vallée de la Ouinne. Le CIRAD-Forêt/Nouvelle Calédonie a réalisé successivement la phase de terrain, le dépouillement des données et la rédaction du rapport entre octobre 1992 et novembre 1993. Le présent rapport répond aux objectifs de l'inventaire en abordant successivement : le cadre géographique de la zone, la méthode d'inventaire, la réalisation des travaux de terrain, la présentation des résultats

Ce dispositif comporte 25 placettes "qui se veulent représentatives des milieux dans lesquels elles se trouvent". Elles sont accessibles et renferment chacune jusqu'à 100 individus de C130 supérieure à 60 cm. La conception de ce dispositif comporte de nombreuses limites qui ne permettront pas un dépouillement "final" et ce dispositif devra donc être complété dans un proche avenir par des dispositifs complémentaires. Le présent document concerne uniquement les placettes localisées en forêt dense de basse et moyenne altitude.