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La splénectomie partielle est une technique visant à réséquer du tissu splénique tout en laissant suffisamment de parenchyme afin d'assurer les fonctions immunes de la rate. Alors que la laparoscopie constitue l'approche de choix pour la splénectomie totale, la splénectomie partielle laparoscopique est restée une technique marginale. Notre but était de réaliser une revue de la littérature quant à l'indication et la faisabilité de cette technique à la lumière des récentes avancées en chirurgie minimalement invasive. Nous démontrons, dans ce travail, qu'il y a un réel intérêt pour la splénectomie partielle laparoscopique et également robotique, pour des chirurgies électives visant à retirer des lésions focales ou à réduire le volume de la rate. Les résultats de la splénectomie partielle laparoscopique et robotique sont similaires à ceux rapportés dans la littérature pour la technique ouverte.

Le manque de greffons rénaux adéquats amène à une augmentation du nombre de patients sur liste d'attente de transplantation. A ce jour, aucun processus d'évaluation universel ne permet de prédire avec une fiabilité suffisante l'issue favorable de ces transplants. Les méthodes établies comme l'évaluation histologique, les scores cliniques et les techniques de perfusion offrent une prédiction relativement fiable du retard du fonctionnement du greffon, mais ne sont pas systématiquement capables de prédire la survie d'un greffon. Les techniques émergentes comme les marqueurs moléculaires, les nouvelles techniques d'imagerie et la perfusion des organes normothermique offrent des approches innovatrices tout en permettant d'identifier des cibles d'interventions thérapeutiques. Cependant, les études rigoureuses sur le sujet font défauts et ces nouvelles méthodes nécessitent d'être validées. Le but ultime étant que ces nouvelles approches permettent de diminuer le taux d'organes non-utilisés tout en améliorant la finesse dans l'établissement d'un pronostic pour les greffons rénaux.

Les plaquettes et les cellules endothéliales sinusoïdales hépatiques sont des contributeurs indépendants à la régénération du foie. Nous avons supposé que leurs interactions constituaient le phénomène déclencheur de ladite régénération. Premièrement, nous avons développé une technique d'isolement de cellules endothéliales sinusoïdales hépatiques de souris. L'obtention de cellules de haute pureté nous a permis de démontrer que les plaquettes modulaient la sécrétion d'interleukine-6 par les cellules endothéliales sinusoïdales hépatiques. Ensuite, nous avons montré in vivo que les plaquettes adhéraient aux cellules endothéliales sinusoïdales hépatiques après hépatectomie partielle, et que la concentration plaquettaire était corrélée à la concentration sérique d'interleukine-6. Ces résultats indiquent que les plaquettes stimulent les cellules endothéliales sinusoïdales hépatiques à secréter une cytokine cruciale pour le processus de régénération hépatique. Cette étude ouvre des perspectives cliniques pour prévenir la survenue de l'insuffisance hépatique aiguë post-chirurgicale.

Dans le domaine de la médecine régénérative, la transplantation de cellules souches a gagné de l'intérêt pour le traitement de pathologies terminales de certains organes (coeur, foie, pancréas, poumons, reins). Actuellement, la transplantation hépatique est le seul traitement possible lors d'atteinte irréversible du foie. Le développement d'alternatives thérapeutiques lors de pathologies hépatiques est par conséquent essentiel, et des traitements basés sur la thérapie cellulaire en utilisant des cellules souches est une approche novatrice...